Carte de la Palestine de 1920
Pays pastoral où les trois religions monothéistes vivaient paisiblement loin des vicissitudes et convoitises occidentales.
Vers 1890 la Palestine fait partie de l’empire Ottoman. Elle compte 300.000 habitants, musulmans, juifs, chrétiens. Les juifs présents depuis longtemps représentent 5% de la population à cette époque.
- Carrés Verts > Villes palestiniennes
- Ronds Verts > Villages palestiniens
- Carrés rouges > Villes juives
- Etoiles Rouges> Colonies juives
- Carrés Verts & Rouges > Villes mixtes
À cette époque malgré les réticences, voir l’hostilité, de la population à l’égard du projet sioniste il faisait encore « bon-vivre » en Palestine où une société moderne y prospérait. Société où la femme avait toute sa place où la religion ne prenait pas toute la place.
Aujourd’hui nous prenons comme prétexte la radicalisation de la société palestinienne, sa résistance à la colonisation au despotisme subi, pour les diaboliser et qualifier de terroristes. Parce que nos propres citoyens refuseraient la tyrannie de nos gouvernements à l’égard d’autres peuples que nos médias déversent leur propagande mensongère empreinte de pharisaïsme cupide et de manipulations éhontées. (Médias et classe politique phagocytés par l’organisation sioniste mondiale, parce que, pensent-ils avoir une part du gâteau. Nous élisons des arrivistes sans honneur. Le Général de Gaulle avait de l’honneur, Jacques Chirac fit honneur à la France en refusant la coalition qui devait faire une guerre illégale en Irak. Que l’hêtre le plus stupide que la Terre ait porté, à la cupidité inversement proportionnelle à son intelligence voulant, disait-il, libérer le peuple irakien !) Saddam a assassiné son peuple, c’est vrai, avec les armes que nous lui avons vendues…
Dans l’histoire universelle il n’y a pas un conflit où l’Occident y est mêlé qu’il n’en soit pas à l’origine.
Les habitants originels des « Amériques » ceux du Nord, cherchaient à vivre en harmonie avec la nature, ceux du Sud cherchaient principalement à la préserver.
Nous Occidentaux, les avons colonisées parce que nous voulions échapper « déjà » à la misère, notre misère ou pire encore par cupidité.
Nous vivions dans de cahutes alors que les Egyptiens construisaient des monuments pharaoniques, les Incas des pyramides…
Quand nous « disons » y apporter la civilisation !
De quelle civilisation parlions-nous ?
En 1946 la population juive atteint 35% de la population de Palestine, le sionisme a bien travaillé, tirant profit des pogroms, -dont il avait sa part de responsabilité- (voir : Théodore Herzl/Chaïm Weizmann) s’attire les bonnes grâces des juifs persécutés mais surtout du rabbinat. (Voir : Assemblée des Rabbins de France 1936) de la cupidité, le mensonge et l’arrogance que le sionisme « illustre » au monde y compris au notre ?
Le sionisme n’est pas une religion, n’est pas un mode de vie mais une prison faite de mythes où le « peuple élu » voudrait y enfermer tous ceux qui s’opposent à lui y compris les Juifs. Il sait aussi que seul y compris les juifs ralliés n’est pas suffisant, il faut non seulement attirer vers lui d’autres lobbys (gens cupides pour qui les hégémonie et l'asservissement va de pair) mais encore faut-il phagocyter les gouvernements et instances internationales pour donner un semblant de légalité a ce qui reste un crime contre l’humanité au propre comme au figuré. Car en Palestine c’est bien de cela dont il s’agit aujourd’hui, pour l’exporter demain.
On ne peut prétendre s’épanouir du fruit des autres et vouloir en être remercié, les frustrations que cela entraîne sont à la mesure de leurs rancœurs.
Nous nous accordons tous pour reconnaître la nocivité du nazisme et nous refuserions de celle du sionisme, que : si le nazisme avait une visée parcellaire de ses privilèges, le sionisme a une visée globale des siens.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire