Srebrenica, quinze ans après

Il y a t’il une cause à effet ?

Dans la ALA, (sorte de brigades internationales, composé  de musulmans) qui combattirent les forces juives, lors du Nettoyage Ethnique de la Palestine en 1948. Il y avait parmi eux une brigade Bosniaque.

Le drame de Srebrenica, est du principalement au désarmement du camp Bosniaque. 
Qui aurait pu commettre un tel crime, si l’ordre ne lui avait été donné ?

Il est intellectuellement convenu  que : « pour éviter tout massacre il faille désarmer les deux camps ».  Comment se fait'il que l'ONU désarma un seul camp ? Qui avait donné cet ordre ?

Pour pouvoir donner une réponse à ma question il faudrait être dans secrets des dieux.

Mon but est simplement de faire cogiter les méninges de ceux qui ont les yeux ouverts.


Quinze ans après le massacre des 8 000 hommes et adolescents musulmans par l'armée serbe, la douleur des familles n'est pas guérie. Et le général Mladic court toujours.

Hier au mémorial de Potocari, une mère bosniaque devant la tombe d'un des siens.

Les 775 cercueils recouverts de vert, couleur de l'islam, ont été portés en terre. Au cimetière de Potocari (est de la Bosnie), ils ont rejoint 3000 autres victimes déjà enterrées. En tout, 8 000 hommes et adolescents bosniaques, identifiés par leur ADN, ont été exécutés en juillet 1995 à Srebrenica par les soldats de l'armée serbe de Bosnie commandée par le général Ratko Mladic dans une enclave qui était pourtant censée être protègée par les casques bleus de l’ONU.

Hier, des dizaines de milliers de personnes ont convergé vers le mémorial qui porte le deuil du pire massacre collectif commis en Europe depuis la Shoah. « Je ne pouvais croire que quelqu'un ait été capable d'un pareil crime », soupirait hier Hatidza Mehmedovic, mère douloureuse ayant perdu son mari et deux fils durant ces jours fous de juillet : Srebrenica ou le paroxysme d'une guerre de Bosnie qui a fait 100 000 morts et de la

Capitale Sarajevo une cité martyre.