samedi 21 août 2010

Dites-le mais avec MODERATION







Dites-le, mais avec « modération ». Le discours laudatif  par lequel des esprits mineurs voudraient voir leurs actions louées. Pour ne pas se trouver  en face  d’autistes, faisant la démonstration éclatante de la stupidité humaine.

Nous vivons assurément une époque de truanderie. 
Non. Aujourd’hui la truanderie  se manifeste et se développe beaucoup plus sournoisement, avec perfidie nous sommes des gens raffinés que diable, et ne concerne pas seulement la bourse du manant vendeur d’étoffe à bas prix, mais des institutions ayant  -comme l’on disait au  XVIIe siècle   -pignon sur rue.   

Cependant cela n’est pas ni très grave ni très important, lorsque par votre perspicacité vous avez réussi à délimiter le périmètre (π x d) ou (h+lx2) du terrain miné dans lequel ces séraphins voudraient voir nous couper les ailes.  
Vous pouvez toujours  avec difficultés, je vous l’accorde, vous octroyer un quelconque recours.  La difficulté dans laquelle, ils vous plongent, n’est  pas anodine.  Un proverbe espagnol dit : « a rio revuelto ganancia de pescadores »   « en eaux troubles les  pêcheurs sortent gagnants ». [Pêcheurs ou ceux qui savent nager en eaux troubles] En clair : «  pendant que vous êtes empêtré dans vos difficultés, quotidiennes vous n’attachez plus d’importance aux événements ». Autre technique raffinée  consiste à dénoncer les conflits ça et là  détournant notre attention de leurs doigts sanguinolents.  Époque de truanderie à la quelle il est conseillé de ne pas s’y inscrire en mouton de Panurge.  Où alors il faut accepter de perdre ses belles ailes au profit de gens qui confondent ruse ou encore fourberie avec l'intelligence.  
En effet :
·        L’intelligence consiste plus à s’entendre avec les êtres plus qu’à les dominer. 
·        Pour dominer il suffit d’être plus fort  et user de sa force, tous les dictateurs,  à défaut d’intelligence, usent de la force. 
·        La ruse permet d’abuser quelqu’un qui vous fait confiance. Abuser quelqu’un qui vous fait confiance est la pire bassesse de l'homme, et la gentillesse ou l’obligeance qu’il vous témoigne,  ne sert qu’à tenter d’endormir votre défiance.
L’intelligence, disais-je permet la coexistence  pacifique : état de paix, d’apparente conciliation entre les puissances aux régimes politique ou aux intérêts économiques opposées. Ça, c’est l’intelligence.  Soumettre un Peuple par la force par la violence c’est ce que font tous les dictateurs. 
 
En effet tel est la règle du jeu et les dominants ne demandent pas que l’on soit aimable, ni modérée avec eux.  L’animal serait plus loyal que l’homme ? Sans l’ombre d’une hésitation je dis « OUI ». Surtout pour ceux qui en plus se vantent de leur intelligence en la confondant  avec la fourberie, la perfidie ou la déloyauté. Ils n’ont, dans les faits, pas d’état de conscience.  

Un homme sans état de conscience est un homme égoïste qui ne fait la différence, seul son intérêt prévaux.
Avouons et admirons la conscience professionnelle de ces charognards, regrettons quelle ne fut tout simplement  un « état de conscience suffisant» qui nous aurait permis de ne pas les confondre avec (...)


Le leitmotiv de notre époque est « MODÉRATION » nous avons le droit de dire ce que nous pensons mais avec « MODÉRATION » même si la luette,  a envie de vibrer. 
Naturellement cette modération ne concerne, du moins pour nos élites, que l’expression orale ou écrite. Car en ce qui concerne l’action des « va-t-en guerre », que  nous avons élus sont, pourtant, dans l’extrémisme le plus aigu, le plus acérée, avec des centaines de milliers de morts à la clé.

De la case « pertes & profits »  ne connaissent  que PROFIT et laissent les PERTES en provision.  Cet ainsi que les USA, l’Europe expliquent avec MODÉRATION l’impérieuse nécessité de lutter contre le terrorisme au motif qu’ils ont eux même provoqués  pour concrètement, agir avec  la sauvagerie la plus violente. Ou  le permettre par veulerie, par traîtrise ou pire encore par intérêt.  Intérêt personnel, c’est une évidence ! Comment comprendre alors l’Europe qui par son incapacité à être dominant,  n'a aucun intérêt au Proche-Orient et qui soutient aveuglement des gouvernements dont la sauvagerie est comparable à celle du nazisme.
Il y a même qui dans le Web sont fiers d’être sionistes et veulent mourir pour le sable d’Israël.  J’aimerais répondre à ces personnes que je crois sincères, que : « les SS étaient aussi fiers d’être nazis ». 
 
Le soutien inconditionnel de l’Occident, de l’Europe à Israël est incompréhensible. Ceux qui ne se cantonnent au pas dévant leur porte, savent que c’est la politique de l’État israélien qui favorise la radicalisation de la société palestinienne (Musulmane).

Seuls des "vrais démocrates", (va-t-en guerre, convient aussi), sous des prétexte fallacieux  refusent   le résultat des urnes, qui pourtant était incontestable.  Une nouvelle fois la fourberie des gouvernements sionistes –bras dessus, bras dessus avec cet Occident rudéral est si éclatante qu’il n’y a que les élèves de Panurge  ou les déficients de l’intellect pour l’ignorer.  

Entendons-nous bien, le bénéfice de la veulerie occidentale ne s’apprécie pas forcement par son courage mais par sa lâcheté. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils protègent des bêtes féroces qui n’ont rien à voir avec les victimes de leur lâcheté.  Ces criminels déshonorent par leur présence les commémorations  des crimes et génocides commis pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Il nous est demandé, de la modération de la compréhension, de la tolérance. Il suffit d’entendre leurs aboiements mensonger et manipulateurs pour apercevoir l’arrogance qui les anime.  Nous avons à faire à une bande de pirates soutenus pas des criminels en col blanc.
Nos élites sont perfides elles acceptent dans un premier temps les arguments démasquant leurs méfaits  et dans un second temps les détournent en prétendant  qu’ils agissent en état de légitimité !
Pour ces êtres perfides agissant au nom d’une idéologie il leur suffit d’avoir les médias dans la manche pour être les rois du monde, Bokassa Ier était aussi. 

Je crois que nos dirigeant devraient écouter un peu plus  les saltimbanques que son les chanteurs comme Brel ou Brassent ils y découvriraient  « Les Singes de mon quartier » ou « le Roi des cons » ils y visualiseraient  leur vie en diaporama.   


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