samedi 25 septembre 2010

Quand une agence contre l'antisémitisme créée ad hoc MENT

Quand je dis, que le sionisme est un « CANCER» dont ses métastases  s’immergent dans le plus petit coin de notre existence, il n’est pas question de cette maladie, mais de la similitude de dommages que l’un fait dans le corps humain et l’autre dans le corps urbain…
Bien que point surpris, il m’était difficile d’imaginer qu’il y ait en France des organisations oeuvrant en sous mains pour dénoncer les crimes antisémites apocryphes à chaque fois qu’Israël avait un crime à se faire « pardonner ».
Le plus inepte c’est que les mass média relayent ces mensonges. Qu’ils se fassent avoir un fois, deux fouis, trois fois. Bon. Mais les relayent sciemment cela signifie que corps politique et les grands média sont corrompus par cupidité ou pas niaiserie.  
En lisant (en fin de lettre) les éventements manipulateurs voulant tinter des crimes crapuleux ou scénarisées d’antisémitisme, je me suis vu, en son temps, écrivant aux medias pour dénoncer les lacunes et approximations de leur récit.

Il me parait évident, et là je vais faire hurler des français d’origine juive qui n’ont rien à se reprocher et cherchent à s’intégrer, comme nous tous, d’ailleurs, c’est que à chaque fois que par nos votes nous placerons un citoyen favorable à Israël au centre des décisions nous prendrons le risque qu’il agisse en préférence pour Israël. Nous l’avons vu avec Sarkozy, Kouchner, ce Ghozlan, Kopé, Délanoé, Straus-Khan, Lelouch, […]  
Ils ne sont pas difficiles à dénicher, il suffit d’être un peu attentif.   
Nous le voyons bien Israël ouvre le chemin à tous les despotes de la terre, pour qui il n'y a aucune raisons qu'ils ne puissent en faire autant. Sans omettre que ce que craint ,"soi-disant" Israël, sa destruction ou le terrorisme islamiste, c'est lui même qui livre le comburant facilitant la combustion, le troisième élément nécessaire à cette combustion sont tous ces militants des soi-disant "droits humains" et qui privent un peuple des siens. J'ai nommé la Palestine. 

Parmi les 80 plaintes que se targue d’avoir déposé le président du BNVC contre des femmes et des hommes engagés dans la campagne internationale de boycott d’Israël, il y en a une contre un rescapé de Buchenwald, le diplomate Stephane Hessel. Si, si, il est en roue libre, lisez !


Sammy Ghozlan porte plainte contre Stéphane Hessel pour « incitation à la haine raciale »
Publié le 23-09-2010

Communiqué du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, en date du 12/07/2010.

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy
Drancy le 11/7/10

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme condamne les termes et les intentions haineux d’un ancien diplomate français qui appelle au boycott généralisé d’Israël.

Alerté par de très nombreux correspondants scandalisés par la tribune publiée en anglais sur le Huffington Post, un site américain d’extrême gauche, par Stéphane HESSEL qui invite la communauté internationale à se ranger derrière Boycott Désinvestissement Sanction BDS, et à « isoler efficacement Israël, ses institutions complices économiques, culturelles universitaires »

Nous rappelons à cet individu que son passé de résistant et prisonnier, ni son ancienne fonction de diplomate ne l’immunisent des peines prévues par nos loi, qui sanctionnent et punissent ceux qui se mettent en infraction, comme le fait Stéphane HESSEL qui contrevient à la loi concernant le délit d’appel à boycott, et à la discrimination.

Le BNVCA rappelle que ce type de comportement pousse depuis 10 ans à la haine d’Israël qui conduit à l’acte antijuif.

Le BNVCA dépose plainte contre l’ex diplomate connu qui depuis plusieurs années mène un combat acharné contre Israël. Au prétexte de défendre la cause palestinienne, HESSEL né Berlin et  naturalisé français s’acharne contre l’Etat Juif, qui lutte pour sa survie, la protection de sa population,son existence , harcelé comme il l’est par des mouvements hostiles, islamo terroristes qui trouvent pourtant grâce aux yeux de Hessel.

Nous demandons au Ministre des Affaires Etrangères de rappeler à l’ordre ce diplomate qui déshonore sa fonction et disqualifie les titres dont il se revendique.

Comme l’a rappelé l’ancien Premier Ministre espagnol AZNAR, nous considérons que ceux qui militent pour la paix se doivent de soutenir Israël seul rempart contre l’hégémonie des extrémistes islamistes, seul garant de la  paix tant espérée.


SAMMY GHOZLAN : UN AGENT DU MOSSAD DANS LE SYSTÈME POLICIER FRANÇAIS
Publié le 23-09-2010

De son propre aveu, le président du « Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme » (BNVCA) Sammy Ghozlan, policier à la retraite, collabore avec les services secrets israéliens depuis près de 35 ans. C’est ce qu’il écrit, en tout cas, dans sa biographie dite « officielle », fournie à une Ecole de Journalisme.

Pas vraiment modeste, Ghozlan, qui partage son existence entre la région parisienne et les colons de Cisjordanie occupée, y étale les exploits, réels ou inventés, de sa longue carrière de flic : terroristes, banlieues, stupéfiants, participation –subalterne- à la vie politicienne sous les couleurs de l’UMP, tout y passe.

Mais c’est en tant que dirigeant du BNVCA que Sammy Ghozlan aura finalement accédé à la notoriété et, du moins en rêve-t-il, à la gloire.

Il n’y a pourtant pas de quoi.

Car l’officine qu’il a créée a pour objet premier de créer un sentiment de panique au sein des communautés juives en France, pour les pousser à partir coloniser la Palestine.

C’est une officine spécialisée dans la désinformation, à commencer par la propagation de fausses nouvelles sur les actes antisémites en France.

Sammy Ghozlan et son BNVCA ont en effet été ces dernières années de tous les mauvais coups en matière de faux attentats antisémites, en symbiose, il faut le dire, avec un Sarkozy ministre de l’Intérieur puis Président de la République :

Ø      Novembre 2003 : Un incendie se déclare dans une école religieuse juive à Gagny, en banlieue parisienne. Sarkozy et Ghozlan montent au créneau, le premier nommé créant, dans la foulée, un « Comité interministériel pour la lutte contre l’antisémitisme », lequel confie aussitôt à un organisme privé, le BNCVA vous l’aurez deviné, le soin de produire les statistiques officielles sur l’antisémitisme en France ! Il y a cependant un hic : si l’école de Gagny a effectivement brûlé, et si l’incendie avait à l’évidence une origine criminelle, la motivation « antisémite » en était rigoureusement absente. Un journaliste du Figaro, citant des sources policières, indiquait au contraire qu’on était en présence d’une histoire d’escroquerie à l’assurance. Les autres médias n’ont pas couvert, et Sammy a pu continuer sa besogne.

Ø      Le RER D : en juillet 2004, 60 millions de Français apprennent, stupéfiés, qu’une jeune femme voyageant à bord d’un train de banlieue parisien (le RER D) aurait été sauvagement agressée, avec son bébé, par une demi-douzaine de « Maghrébins et Africains », lesquels auraient tatoué des croix gammées sur son ventre dénudé, la traitant de « Sale juive », avant de jeter le landau du bébé sur le quai ! Une jeune femme s’est effectivement présentée dans un poste de police le vendredi 9 juillet 2004 en cours de journée, pour raconter une histoire de ce genre. Mais qui la rend publique ? La police ? Pas exactement. En début de soirée, le BNCVA passe en effet un appel téléphonique à l’Agence-France-Presse (AFP), où il a une correspondante bien disposée à son égard. Il la branche sur ce « gros coup ». La journaliste appelle alors les services de police, qui lui confirment qu’il y a bien une plaignante correspondant à ce que la journaliste leur raconte. L’AFP lance alors l’affaire, relayée en quelques dizaines de minutes par des communiqués indignés du ministre de l’Intérieur Dominique de Villepin, puis du Président de la République, et par ricochet, de tout l’établissement politique et médiatique.

Pendant trois longs jours, l’affaire fera la « Une » des télévisions françaises et même internationales. Des policiers ont beau très rapidement émettre des doutes sur la véracité du récit de la jeune femme, médias et politiques ne les écoutent pas, et continuent sur leur lancée, stigmatisant tout ce qui est un peu bronzé dans notre pays, voire l’ensemble de la population, comme ces « lâches voyageurs qui n’ont rien fait quand les barbares du RER violentaient la jeune juive, à l’instar de leurs aînés qui ont laissé partir les Juifs vers les camps d’extermination ».

Finalement, le 4ème jour, l’affaire se dégonfle : incapable de tenir plus longtemps son mensonge, Marie Leblanc (c’est le nom de la jeune femme) confesse qu’elle a tout inventé, pour faire parler d’elle, et elle ajoute qu’en inventant un tel scénario, où il était question de Noirs et d’Arabes attaquant une Juive, on s’intéresserait forcément à elle.

Elle n’avait malheureusement pas tort. Toujours est-il que Chirac, interviewé au lendemain de ce désastre, qu’il avait contribué à lancer avec son communiqué présidentiel dès les premières heures, déclare qu’il est très mécontent d’avoir été manipulé, et que « le manipulateur sera sanctionné ». Chirac ne dit "pas  l’affabulatrice », il ne dit pas « la manipulatrice », il dit « le manipulateur ». Ghozlan ne souffle mot, mais ses communiqués de juillet 2004 ont curieusement été effacés de la base de données des dépêches AFP que nous avons consultée ces derniers jours. Heureusement, sa prose de l’époque est toujours bien là sur son propre site.

Depuis, Ghozlan a certes continué dans l’intox, mais on dirait que le cœur n’y est plus. En 2007, il fait un flop en tentant de refaire le coup du RER D avec une « collégienne juive de 13 ans » agressée par « des Arabes », affaire inventée de toutes pièces. « J’ai peut-être relayé cette histoire un peu trop vite », déclare-t-il à la presse, qui l’exonère ainsi à peu de frais. En 2008, l’espoir renaît, avec « un jeune Juif entre la vie et la mort », après une bagarre dans le XIXème arrondissement de la capitale. Là encore, l’affaire se dégonfle, quand on apprend que le jeune en question sort rapidement du coma, qu’il va passer sa « convalescence » dans la colonie de fanatiques de Kyriat Arba (Cisjordanie occupée), et surtout qu’il était déjà connu de la police, pour son agressivité, préalablement à la bagarre.

On parlera une autre fois des conceptions très particulières qu’a Sammy Ghozlan de la défense des « jeunes juifs en danger ».

Source CAPJPO-EuroPalestine








Concernant l’école talmudique, citée plus haut, je rajoute que l’hauteur de l’incendie était un jeune élève qui avait maille à partir avec le Rabbin. Et qui mit le feu à l'école pour se venger. Cela ne s'invente pas... 
Cela bien entendu, peu de médias l’on rectifié, après avoir qualifié l’acte d’antisémitisme et tout le toutim. Je trouve qu’il dommageable y compris pour la communauté juive en France que cette technique maintenant éculé n’ait pas été dénoncé, justement par eux.


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