dimanche 2 janvier 2011

Le Peuple élu

LE PEUPLE ELU !

Le mythe du « Peuple élu » semble faire référence à la religion, le Peuple qui serait élu par Dieu. Cette croyance eu demeurant injuste, eu regard des autres Peuples et à la philosophie même, de ce que devrait être une religion.

Ce que le sionisme entend par « Peuple élu » n’a pas de connotation religieuse  ou spirituelle mais matérielle et ne se rapporte plus au « Peuple élu », tel que l’on pouvait le croire à ses origines comme étant le Peuple Juif. [Concept irréalisable par la transparence même de son exclusivité] Il fallait donc y additionner des « adjuvants » rendant opaque l’appartenance à ce nouveau « Peuple élu » que nous nommerons « Caste supranationale » où la religion, la nationalité ou origine, la position sociale, serait indifférente. La condition sine qua non est de faire siennes, d’adopter, la vision d’une conscience au dessus du simple citoyen de favoriser sans faille cette vision au risque de se voir assassiner, s’il est considéré qu’il y a « trahison ». 


Cette volonté était irréalisable aussi, dans un monde où les Etats restaient maîtres de leur destin. La MONDIALISATION ou DÉCONSTRUCTION (de nos sociétés) vint tout arranger, vint mettre les choses en place. Présenté comme des avancées économiques, sociales, sociétales voir philosophiques y compris humaines, les Etats, les citoyens, perdent, une à une, leurs prérogatives, leurs avantages (acquis souvent de haute lutte) pour les citoyens lambda.

Fallait-il encore canaliser le psychisme des populations, faire accepter ce que devrait être la pensée unique distillée : par des intellectuels voués à la « CAUSE », par les médias acquis à cette « CAUSE » ou en prenant le contrôle de ceux récalcitrants (par différents moyens, d’ailleurs), et se donner les moyens, la capacité, de manipuler les populations devant admettre la « pensée unique » visant à l'acceptation des décisions de la CASTE

Les politiques, portent dans le processus de désinformation une grande responsabilité et non seulement refusent d’assumer l’implication que leur engagement requiert, mais aussi en nous mentant, en faisant preuve d'un mépris rarement égalé et au lieu de protéger les populations tel les engagements librement acceptés en se présentant à une élection, favorisent l’avènement de la « Caste supranationale » au détriment non seulement de leurs électeurs mais aussi de leur propre pays.    

La vision des dirigeants de cette « Caste supranationale » est de prendre les "rênes" de tous les secteurs qu’ils soient culturels, politiques, économiques. De se rendre maître du destin des autres citoyens, de faire en sorte qu’ils ne puissent échapper au destin que l’on a décidé à leur place.
C’est l’esclavage moderne, dont nous pouvons pressentir les prémices dans nos pays et en observer la résultante dans les cas, où des Etats émergeant ou supposés plus faibles militairement, en appellent au concours des instances internationales et soumis dès lors au 
NOUVEL ORDRE MONDIAL.
L’Europe actuelle trahît, non seulement, l’esprit qui anima ses pères : (la prospérité dans la paix, la justice et la démocratie).  Mais encore l’Europe d’aujourd’hui fait partie intégrante des criminels du « Nouvel  ordre mondial » ayant pour devise : « Communauté, Identité, Stabilité ».
Nouvel Ordre Mondial dénoncé par Aldous Huxley en 1933 dans (Le Meilleur des Mondes et dont nous pouvons remarquer les prémices en occident, mais surtout l’expérience grandeur nature, en Palestine. Et comme il le disait : le secret du bonheur et de la vertu est, d’« aimer ce que l’on est obligé de faire ». Tel est le but du conditionnement : « faire accepter aux gens la destination sociale à laquelle ils ne peuvent échapper. »

De cette CASTE SUPRANATIONALE sont/seront issus les dirigeants d'aujourd'hui/demain, les tenants de l’économie [industrie, finance, services, commerce] tel que nous pouvons le constater depuis quelque temps déjà, mais aussi des instances internationales qui sont/seront utilisées pour assujettir les petit Etat, Etats émergeants ou possédant des richesses dans leur sous-sol et insuffisamment armées. 

Les pouvoirs publics nationaux, s’accordent/s'accorderont des avantages ruineux, favorisant certains secteurs, industriels, financiers, économiques. Et détruisant les réseaux de protection et cohésion sociale, les emplois (délocalisation/déconstruction) sous des prétextes purement économiques, écartant l’humain qui aurait du être, pourtant au centre de leurs préoccupation, sont/seront précarisés, rendant les populations tributaires d’un pouvoir qui leur enlève, les uns après les autres, les droits acquis souvent de haute lutte, sous l'argument manipulateur d'un redressement National quand le but recherché est l’anéantissement des acquis des "petit", au profit de capitaux venus d'on ne sait où et en direction de destinations inconnues.

La valeur intrinsèque de ses dirigeants est secondaire par rapport à l’exigence d’une compétence normalement requise. Il est exigé d’eux une soumission sans faille (c’est de mon point de vue, une des raison, qui fait que nous voyons nos hommes politiques ou dirigeants économiques avancer des turpitudes, que nous voyons bien que eux-mêmes n’y croient pas, mais ne peuvent faire autrement, sous peine de se voir, au mieux, "éjectés"), soumission, disais-je, au sommet pyramidal de la CASTE SUPRANATIONALE issus de ce qui était au départ un mythe, celui du « PEUPLE ELU » ou se considérant comme tel. 




Tout cela, n’est, évidemment que pure fiction. Fiction faisant suite à la réflexion qui fait elle-même suite aux événements  que nous vivons.
La Terre promise est un Mythe, le peuple élu est un Mythe, mais contrairement à la Mythologie romaine ou grecque une communauté, un peuple, une race, appelez cela comme vous le souhaitez, ou une fraction  d’elle, veut et se donne les moyens des les réaliser.  
Les vicissitudes jalonnant l‘histoire de la Communauté juive sont prises comme argument originel pour accéder au Mythe de la Terre promise, or l’histoire nous a appris que l’initiateur (Théodore Herzl) s’est basé aussi sur l’impossibilité du « Peuple élu » a vivre en harmonie avec les autres peuples du à un racisme, selon lui, inexpliqué anti-juif.


ET, la question qui je pose est : ce soi-disant racisme antijuif, ne prendrait-il  naissance dans la supériorité réelle ou supposée de cette frange qui se dit Peuple élu, plus exactement de l'arrogance quelle témoigne aux autres Peuples et que  nous appelons, aujourd’hui, sionisme  et qui cherche à réaliser le Mythe du peuple élu. Cependant, ne serais-t-il pas, parce que de tous temps cette frange c’est auto-désigné comme étant le Peuple élu, qu'on pris naissance les vicissitudes émaillant le parcours des Juifs ? 

On ne peut pas abuser indéfiniment quelqu'un sans qu'un jour il ne demande des comptes.



Hier lundi 25 octobre 2010, dans la première partie du Grand Journal de Canal +, un des journalistes faisait l'apologie de la gestion de Tony Blair (y compris de Margaret Thatcher, il avait oublie Aznar et Bush,) et restait admiratif devant la stoïcité et le dynamisme anglais par opposition à la déprime et au grévisme français, que Tony Blair était appelé à faire des conférences sur la gestion des Etats, mais qui voulez-vous que fasse appel à  Jacques Chirac ? Sous entendu qui aurait envie du "modèle français" ? 
Ce journaliste de brocante oublie un peu vite, que la France a de tous temps été à la pointe des revendications sociétales et très souvent suivie. 
Ce journaliste est paye pour le faire? à moins d'être stupide.


Et comme le dit François Bayrou (le seul qui pendant la campagne présidentielle parla de la dette de la France) dans "ABUS DE POUVOIR" :  "Le président de la République à un plan. Il conduit la France là où elle a toujours refusé d'aller L'abandon du modèle républicain, le culte de l'argent, le choix d'une société d'inégalités, le renoncement à ce qui faisait la force et l'originalité de la France dans le monde.
Partout, la France se range du côté des puissants.
En même temps, tous les centres de décision, politiques, économiques médiatiques sont convoités et mis en réseau. L'arbitraire règne en maître. 
Jamais démocratie ne porta plus mal son nom. Jamais République ne fut moins publique."
   Et j'ajoute cette France là, fait partie des escrocs du NOUVEL ORDRE MONDIAL, ordre auquel elle avait jusque-là, principalement avec le Général de Gaulle, toujours refuse d'appartenir. 
J'étais fier d'être français la France était admiré de par le monde, aujourd'hui mes amis espagnols me disent cette France là, ne sert plus à rien...  et moi de répondre : oui elle sert à répandre l'injustice de ceNOUVEL ORDRE MONDIAL.   











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