vendredi 10 décembre 2010

Une cartographie de la Palestine, carte du monde


Un peu d'Art dans ce monde de brutes, qui serve a autre chose qu'a spéculer sur la valeur artistique des autres, parce que l'on a de l'argent.


Une cartographie de la Palestine, carte du monde
[ 07/12/2010 - 10:46 ]
Stefan Christoff - Art Threat

La création d’Hamdi Attia revoit et corrige la géographie.

"L’Archipel" décrit la Palestine comme un symbole du monde.




Dominant les collines d’Amman d’un balcon de la galerie Darat al Funun, l’œuvre de l’artiste Hamdi Attia, L’Archipel, carte du monde revoit et corrige le globe. Attia y présente un monde composé de territoires insulaires encodés de noms de régions et villes palestiniennes.
L’Archipel, explique Attia, nous montre que « l’occupation militaire est devenue une géographie élaborée » en Palestine, et que « la politique d’occupation s’est systématisée et a complètement réorganisé l’environnement physique pour les Palestiniens ».
Présentée dans le cadre de Condamnations des banques et autres activités, un groupe d’expositions à Amman, Jordanie, l’œuvre d’Attia découpe en morceaux la Palestine historique, et projette la réalité géographique de la Palestine contemporaine, nation éclatée par des clôtures de séparation et des check-points militaires israéliens en îlots de territoires occupés.
L’Archipel reflète « les différentes formes de l’isolement géographique qu’Israël a façonné pour les Palestiniens » explique Attia.
Dans sa création, Attia présente une carte du monde au moyen de silhouettes imprimées sur du métal et disposées sur une large grille métallique, carte de la Palestine revue et corrigée qui surplombe Amman, ville peuplée en grande partie par des réfugiés déplacés de la Palestine historique et qui vivent là, à une heure de route seulement à l’ouest de la Palestine.
Qalqilya, cité palestinienne dans le nord de la Cisjordanie, devient un îlot physique dans cette création. Aujourd’hui, Qalqilya est en grande partie encerclée par le mur d’apartheid d’Israël, une géographie politique qui a fait de la ville une île coupée de ses terres agricoles ancestrales et des autres communautés palestiniennes.

L’Archipel met les principaux points de réflexion sur la Palestine en relation avec le monde d’aujourd’hui dans cette cartographie artistique.
Alors que les voix qui rejoignent le mouvement de solidarité internationale avec la lutte palestinienne sont toujours plus nombreuses, inspirées par la campagne populaire mondiale qui mit fin à l’apartheid en Afrique du Sud, beaucoup montrent la Palestine comme un exemple test de la moralité des grandes institutions mondiales au sein des centres traditionnels de la puissance mondiale.
« Les Nations-Unies seront jugées, aujourd’hui et dans l’avenir, sur leur capacité à contribuer, enfin, à la réalisation si longtemps différée du droit palestinien à l’autodétermination » a déclaré aux Nations-Unies, Richard Falk, rapporteur spécial de l’Organisation sur la situation des droits humains dans les Territoires occupés, en octobre 2010.
L’Archipel décrit la Palestine comme un symbole du monde, éclairant à la fois la géographie territoriale contemporaine de l’occupation israélienne et la conscience collective émergente du monde de la lutte anticolonialiste de la Palestine pour la liberté.

Stefan Christoff est journaliste, organisateur communautaire et musicien à Montréal ; il peut être joint sur Twitter.
29 novembre 2010 - Art Threat - traduction : JPP

Palestiniens, Cobayes de leurs boureaux

Il est nécessaire d'être stupide pour prétendre :    "Israël est un État démocratique"
Les Instances internationales ont accordé un État à des truands...
Sionisme est l'égal du nazisme, quel être sensée peut en douter ?

L’occupation continue d’utiliser des détenus comme cobayes pour tester des médicaments
[ 07/12/2010 - 12:24 ]
Alger – CPI

L’ancien détenu, le chercheur spécialisé dans les affaires des détenus, Abd al-Nasser Farwana, a affirmé que les autorités de l’occupation continuent d’utiliser les prisonniers comme des cobayes pour tester des médicaments. Il a assuré qu’il existe des permis accordés par le ministère sioniste de la Santé à des sociétés pharmaceutiques pour mener des tests sur 15% des détenus.
Lors de sa participation à la conférence d’Alger pour le soutien des détenus Farwana a précisé dans une étude intitulée « Les détenus palestiniens, cobayes pour les médicaments israéliens », que plus de 5000 essais sont menés chaque année sur leurs corps, ce qui explique le nombre croissant de prisonniers malades dans les prisons de l’occupation, et l’apparition de maladies étranges et malignes qui constituent un réel danger pour la santé des détenus en général.
Farwana a abordé dans son discours trois thèmes importants : les mauvaises conditions de vie et de santé qui peuvent rendre malades des détenus en bonne santé à cause d’une politique de négligence médicale, la privation de soins et la malnutrition. Il a affirmé que la majorité des prisonniers palestiniens ont des problèmes de santé, 1500 captifs ont besoin de soins urgents, et des dizaines d’entre eux souffrent de maladies graves et malignes.
Le deuxième sujet concerne l’utilisation des détenus comme cobayes pour tester des médicaments. Farwana a cité les déclarations d’un membre de la Knesset, Dalia Itzik, qui a révélé en 1997 que le ministère de la Santé accordait un millier d’autorisation par an aux sociétés pharmaceutiques pour mener des tests sur les corps des détenus.

Il a également évoqué plusieurs témoignages de prisonniers et des exemples concrets pour appuyer son discours. Il a cité de nombreux noms de détenus qui souffrent de maladies malignes dans la prison, ou dont les maladies sont apparues après leur libération à cause des conséquences de l’emprisonnement, des tests, et des conditions dramatiques de détention.
Farwana a souligné que les Nazis furent les premiers à utiliser les prisonniers comme cobayes pour tester des médicaments, et qu'il y a une grande similitude avec ce qui se passe dans les prisons sionistes.
Il a noté l’existence de près de 3000 prisonniers dans les prisons de Nafha et Raymond, et la maison de détention du Néguev, représentant 45% des détenus, qui sont soumis à des tests biologiques en masse, à cause de la présence du réacteur nucléaire de Dimona et l’impact de ses déchets toxiques.
Dans son 3e thème, Farwana a affirmé la nécessité de se préoccuper des détenus à l’intérieur des prisons et de travailler sérieusement pour faire appliquer la décision de l’Organisation Mondiale de la Santé qui, en mai dernier, a condamné l’occupation pour sa négligence envers les conditions de santé des détenus palestiniens.
Il a enfin préconisé la nécessité de contrôler régulièrement les détenus libérés, et de leur fournir des soins médicaux, d’autant plus que de nombreuses maladies apparaissent après leur libération à cause des effets de l’emprisonnement ou des tests pharmaceutiques.

jeudi 9 décembre 2010

La loi existe

Pour tous ceux qui doutent encore de la nocivité du sionisme et de tous ceux qui, juifs ou on, soutiennent cette idéologie méprisable d'un autre temps.
Que ces criminels, tel la conclusion, "tentent de tirer les marrons du feu" on pourrait le comprendre, mais le soutient qu'ils obtiennent y compris de nos propres dirigeants, juifs ou non, cela n'est pas acceptable.
Toute communauté a ses délinquants, cependant aucune ne les soutient aussi ouvertement.    

" La loi existe "
Rapport  [ 07/12/2010 - 23:47 ]
Les colonies, repaires des bandits sionistes extrémistes

Cisjordanie – L’association israélienne « La loi existe » vient de publier une étude parlant de ces colonies qui rongent la Cisjordanie. L’étude confirme qu’elles sont devenues de vrais repaires de bandits, de maraudeurs, de brigands, d’organisations juives extrémistes et armées. Plusieurs colonies sionistes sont même désormais dirigées par de telles organisations.
Pire, les services de renseignements israéliens dont le Shabak reconnaissent leur impuissance face à ces organisations. Ils prétextent que la loi israélienne les empêchent de les poursuivre, sans dire que ces bandits sont épaulés par un bon nombre de partis sionistes, de la majorité comme de l’opposition.
L’association israélienne « La loi existe » parle du calvaire dans lequel vivent les Palestiniens hantés par l’épée de Damoclès dressée au-dessus de leurs têtes par ces extrémistes.
Au sud de la ville de Naplouse se trouve la colonie de Tafouh. Tous ses colons font partie de l’organisation de Kahana Hay fondée par le grand extrémiste Benyamin Kahana, qui a été tué par la résistance palestinienne, au début de l’Intifada. Benyamin est fils du rabbin Maïr Kahana, fondateur du mouvement extrémiste Khakh.
Les colons ne font rien pour dissimuler leur appartenance à ce groupe. Bien au contraire. Ils se sont montrés fiers durant l’enquête d’une chaîne de télévision israélienne. Un de leurs leaders a même osé conseiller, en public, les siens sur la façon de répondre aux questions d’enquêteurs des services de renseignements.
Et au nord de la même ville de Naplouse se trouvent les deux colonies Yatsahar et Harbrkha. Ce sont aussi des gîtes d’organisations juives armées. Y habite le chef extrémiste Yahouda Lifnat, frère de la ministre de la culture israélienne Limor Livnat, un chef du parti du Likoud. Ils travaillent ensemble pour rendre la vie dure aux Palestiniens de la ville de Naplouse et des villages des alentours.
Plusieurs Palestiniens ont perdu la vie à cause de ces colons. Ceux-ci pratiquent du tapage nocturne ; ils font de mauvaises querelles, au cœur de la ville de Naplouse, sous prétexte de vouloir prier près de la Tombe de Joseph.
Dans le département d’Al-Khalil
Le site de l’association israélienne « La loi existe » parle aussi de la région d’Al-Khalil où se trouvent plusieurs colonies sionistes, en particulier celle de Bet Ayen. De cette dernière, plusieurs cellules dangereuses sont nées. La plus dangereuse est celle dont l'insolence l’avait poussée à placer des obus explosifs dans plusieurs écoles primaires palestiniennes des villes d'Al-Quds et d’Al-Khalil.
Puis dans la région d’Al-Khalil, il y a la colonie de Karyat Arbaa et toutes ces poches coloniales. Elles sont devenues le refuge de ces organisations sionistes qui appellent à la violence envers les Palestiniens. En tête se trouve cette organisation présidée par Baroukh Marzil, qui occupe une zone appelée Ibraham Abino, aux cotés de la sainte mosquée d’Al-Ibrahimi.
Et dans la même région d’Al-Khalil, le mouvement de Khakh a mis en place une organisation nommée « La sécurité sur les routes ». Elle travaille contre tout ce qui est palestinien, sous prétexte d’assurer le déplacement des colons sionistes qui occupent le sud de la Cisjordanie.
La loi de la jungle
Le site a rapporté de Youfal Bazak, directeur de la division du développement des théories de combat de l’armée israélienne, que l’armée ferme les yeux devant toutes ces pratiques, depuis des décennies, aussi bien en Cisjordanie que dans la bande de Gaza. Et les colons se sentent au-dessus de la loi. Ils profitent de la loi du silence officiel.
Bazak affirme que l’armée de l’occupation israélienne les considère comme des amis et non comme des hors-la-loi. Pourquoi les colons se priveraient-ils alors de cette impunité ? Pourquoi se priveraient-ils de tirer les marrons du feu ?

WikiLeaks dénonce l'influence croissante de la mafia israélienne


WikiLeaks dénonce l'influence croissante de la mafia israélienne

[ 06/12/2010 - 17:22 ]
Justin Raimondo est un écrivain américain et le rédacteur en chef du site web antiwar.com.

Source : Antiwar.com
Mounadil Al Djazaïri


J'aime la manière dont les spécialistes restent bouche bée (1) devant les dernières révélations de WikiLeaks (2) : oh, il n'y a rien à voir là dedans, tout ça est franchement rasoir, pas de "coup fumant," alors passons. Ces gens sont tout simplement paresseux : ils veulent des "scoops" livrés à domicile, bien emballés et étiquetés en tant que tels. En bref, ils ne veulent pas avoir à faire d'effort, en dehors du couper-coller habituel. Et c'est pourquoi beaucoup de matériel très intéressant provenant de WikiLeaks continue à leur échapper.

Prenez, par exemple, cet extrait d'un télégramme en date du 15 mai 2009 - intitulé "Israël, une terre promise pour le crime organisé ?" - envoyé par notre ambassade à Tel-Aviv, qui traite de l'influence croissante du crime organisé israélien :

"Tout récemment, en mars 2009, Zvika Ben Shabat, Yaacov Avitan et Tzuri Toka ont demandé des visas pour assister à une 'convention liée aux questions de sécurité' à Las Vegas. Selon la presse locale, tous trois sont associés au crime organisé. Le consulat leur a demandé de fournir leurs extraits de casier judiciaire israélien, mais en l'absence de telles preuves, il n'y a pas d'inéligibilité automatique pour cause de lien avec le crime organisé. Heureusement, aucun des trois n'est revenu pour compléter sa demande. Néanmoins, il est juste de supposer que de nombreuses personnalités connues du crime organisé ont des visas touristiques pour les USA et circulent librement."

Que peuvent bien faire des personnalités du crime organisé à une "convention liée aux questions de sécurité" à Las Vegas ? Eh bien, il semble que M. Zvika Ben Shabat assume la présidence de "H.A. Sh Security Group", une compagnie israélienne qui propose des services dans le domaine de la sécurité dans le monde entier.

En fait, elle vient juste de signer un accord avec Micro-Technologies, une très importante entreprise indienne dont voici les caractéristiques :

"Micro-Technologies a été fondée par le Dr [P.] Shekhar qui a été la personne chargée par le gouvernement indien de la promotion et du développement de la technologie et des logiciels en Inde (First Director Software Technology Park en Inde), et sa société opère dans le développement des technologies et est déjà présente dans de nombreux marchés dans le monde : au Danemark, à Bruxelles, en Italie, à New York, au Japon, à Singapour, en Afrique du Sud, au Kenya, au Nigeria, au Sri Lanka, etc.

Cette société détient des technologies dans le domaine de la sécurité, pour l'identification et le contrôle des téléphones mobiles, des véhicules, des structures, des ordinateurs, des infrastructures et des technologies WIFI."


En d'autres termes, elle est spécialisée dans la surveillance, c'est-à-dire l'espionnage. Le premier projet commun Micro Technologies/H.A. Sh Security Group est la construction à Mumbai d'un "centre de commandement et de contrôle". Concernant les spécialités du H.A.Sh Security Group, voyez ces vidéos Youtube : ici, ici et là, pour les néophytes.

Et devinez qui est le PDG de H.A.Sh Security ? Personne d'autre que le général en retraite Dan Ronen dont voici le CV :

"2003-2004 - Police israélienne : chef de la division des opérations avec le grade de général major ; coordination des activités de toutes les unités de police sur le terrain ; coordination avec la Sûreté générale et avec des unités de l'armée dans la bataille contre le terrorisme ; 2004-2007 – Police israélienne : commandant de la région Nord (la plus vaste des régions de
police), responsable de la liaison et de la coordination avec les responsables des autorités locales ; responsable de la direction et du commandement de l'ensemble des forces et des dispositifs pendant la seconde guerre du Liban, pour des missions concernant la défense des habitants sur le front nord du pays ; domaines d'expertise : lutte contre le terrorisme et les attentats-suicide, coordination et mise en œuvre des services d'urgence et de secours, lutte contre les organisations terroristes et criminelles."


Le général Ronen est cité comme étant le PDG du H.A.Sh Security Group, tandis que M. Ben Shabat est tantôt présenté comme en étant le président, le vice-président et le directeur. Alors pourquoi un ancien haut gradé de la police israélienne en relations d'affaires avec un membre connu de la mafia israélienne ?

Les esprits curieux veulent savoir !

Information inquiétante, le message en vient à déplorer le fait que les personnalités du crime organisé en Israël ne sont plus automatiquement empêchées d'entrer aux Etats Unis en raison d'un changement des procédures. Ainsi que l'observe son rédacteur, un certain Cunningham dans un propos annexé intitulé "Le Crime Organisé passe à travers les failles du contrôle consulaire" :

"Compte tenu du rayon d'action croissant et de la dangerosité des méthodes du crime organisé israélien, interdire à des personnalités du crime organisé d'aller aux Etats-Unis est un gros motif de préoccupation pour la représentation consulaire.

Par la collaboration avec les forces de polices israéliennes et américaines, les services consulaires ont mis au point une importante base de données et mis en place une veille pour les personnalités du crime organisé et leurs hommes de main. Néanmoins, le problème de visa évoqué démontre la nature des défis qui sont apparus depuis la fin de Visas Shark en septembre 2008.

A la différence des organisations criminelles de l'ex-Union Soviétique, d'Italie, de Chine et d'Amérique Centrale, l'application de l'INA 212(a)(3)(A)(ii) aux membres d'organisations criminelles israéliennes n'est pas expressément autorisée par le Foreign Affairs Manual 40.31 N5.3. De sorte que des Israéliens qui sont connus pour travailler ou appartenir à des familles du crime organisé ne sont pas automatiquement inéligibles à un séjour aux États Unis."

"Visas Shark était un programme qui a apparemment efficacement exclu des personnalités du crime organisé des Etats Unis, et son abandon est signalé ici : à la place, l'ambassade doit passer par une procédure bureaucratique complexe pour exclure les personnes soupçonnées d'appartenir au crime organisé. D'abord, le personnel consulaire doit déterminer qu'il existe une "suspicion raisonnable" pour identifier un demandeur de visa comme membre d'un syndicat du crime organisé, puis le dossier remonte à l'"Office of Legislation, Regulations, and Advisory Assistance" du Département d'Etat qui déterminera alors s'il y a une "raison de croire" à la véracité des informations négatives sur le demandeur. Toute une panoplie de possibles "raisons de croire" sont citées, dont :

"Reconnaissance de l'appartenance par l'individu, (...) travailler activement à l'atteinte de ses objectifs par l'organisation, d'une manière qui suggère une proximité, une appartenance. Recevoir de l'argent ou la reconnaissance de l'organisation. Détermination de la qualité de membre par un tribunal compétent. Déclaration par des services de police locaux ou américains que l'individu est membre d'une organisation ; fréquente association avec d'autres
membres ; exhiber volontairement des symboles de l'organisation, et participer à des activités de l'organisation, même si elles sont légales."


Pourtant, c'est par des articles de presse que l'auteur du câble a déterminé le lien de MM. Ben Shabat, Avitan et Roka au crime organisé. Est-ce suffisant pour avoir une "raison de croire" ? Et faire appel à l'Office of Legislation, Regulation, and Advisory Assistance, ce qui est ce que notre ambassade à Tel Aviv (comme nos ambassades partout ailleurs) doit faire avant de refuser éventuellement sur cette base un visa à un demandeur.

Non pas que la mafia israélienne ait eu de quelconques problèmes pour entrer aux États-Unis par le passé - et faire sentir sa présence. Comme l'avait rapporté Carl Cameron sur Fox News le 17 décembre 2001 :

"Los Angeles, 1997, une importante enquête sur le trafic de drogue au niveau local, de l'Etat et fédéral mise en échec. Les suspects : le crime organisé israélien et ses activités à New York, Miami, Las Vegas, au Canada, en Israël et en Egypte. Les allégations : trafic de cocaïne et d'ecstasy, et une fraude sophistiquée à la carte de crédit et informatique.

"Le problème : selon des documents confidentiels des forces de l'ordre obtenus par Fox News, les malfrats surveillaient les bippers, les téléphones cellulaires et même les téléphones des domiciles des policiers. Certains qui ont été arrêtés ont reconnu posséder des centaines de numéros et s'en servir pour éviter l'arrestation.

"Ce qui a perturbé les communications entre les agents de la police de Los Angeles et les agents d'autres services qui travaillaient sur les divers aspects de cette affaire. L'organisation a pénétré les communications entre les agents chargés du crime organisé, le FBI et les services secrets.

"Ça a été un choc de la DEA [service antidrogues] au FBI à Washington puis à la CIA. Une enquête sur ce problème a conclu, selon les documents des services de sécurité que "L'organisation a apparemment un large accès à des systèmes de bases de données permettant d'identifier les personnels concernés avec des informations biographiques."


Le secteur militaire hi-tech est en plein essor en Israël malgré le ralentissement économique mondial, et l'industrie de la "sécurité intérieure" est un domaine dans lequel il s'est lancé à pieds joints, ainsi que le gouverneur de Pennsylvanie Ed Rendell ne le sait que trop bien. C'est Rendell qui avait fait appel aux Israéliens pour superviser les dispositifs de sécurité en Pennsylvanie - jusqu'à ce qu'on apprenne qu'ils espionnaient des associations légales de citoyens qui protestaient contre la construction localement d'une centrale électrique.

Des sociétés israéliennes de "sécurité" opèrent un peu partout aux Etats Unis et à l'étranger, dans des aéroports et des installations gouvernementales, et le crime organisé israélien devient maintenant un élément de cette industrie en plein essor, c'est donc à coup sûr un important problème de sécurité - ou ce devrait en être un.

Les quatre parties de l'enquête de Cameron pour Fox News sur l'espionnage israélien aux États-Unis semblaient postuler une connexion entre le gouvernement israélien et la mafia israélienne et, grâce à WikiLeaks, ce lien a été maintenant rendu visible.

La connexion entre le général Ronen et Ben Shabat via le H.A.Sh Security Group montre que le reportage de Cameron reposait sur plus que de simples soupçons. Compte tenu des informations complémentaires fournies par ce câble, il est raisonnable de penser qu'un segment corrompu de l'armée et des forces de sécurité israéliennes est littéralement en relation d'affaires avec le crime organisé israélien.

Si ce n'est pas alarmant - et bon à savoir - alors je ne sais pas ce que c'est. Pourtant nos experts assoupis, et les "journalistes" - qui veulent une histoire servie sur un plateau d'argent - se plaignent qu'on ne trouve aucune réelle nouveauté dans les câbles de WikiLeaks.

C'est parce qu'ils ne cherchent pas.


(1) "WikiLeaks: The Secret Diplomatic Cables That Were Too Boring to Publish", par Iain Martin, The Wall Street Journal, 29.11.2010
(2) Site Keep Us Strong.

Débat entre Juifs

Un ami me fait part d'un débat entre Juifs, où le sujet en est : " Peut-on être antisioniste sans être antisémite ? "

Bien entendu le C.R.I.F. organisation raciste au possible est de la partie. Il fait même de cette interrogation son "cheval de bataille"  pour dénigrer tous ceux qui militent pour que le Droit international s'applique au Proche-Orient et naturellement défendent  le Droit du Peuple de Palestine.
C'est une sorte de "contre-feu" que le CRIF lance à chaque fois que ces souteneurs (au propre comme au figuré) des criminels sionistes sont à court d'arguments ou que qu'Israël en a besoin pour édulcorer le crime qu'il vient de commettre. 

Ma réponse à été : Est-ce que pendant la Deuxième guerre mondiale, ceux qui ont combattu l'Allemagne, se sont-ils battu contre les allemands ou contre le nazisme ? Trouve la réponse et tu trouveras la solution à ton interrogation.  

De prime-a-bord  la réponse parait évidente pour tout citoyen lambda, elle ne l'est pas pour un Juif. A quoi cela tien-t-il ? à leur structure psychologique qui ne leur permet pas de penser que ce qu'il n'acceptent pas pour eux, ils ne peuvent, non plus, le faire aux autres. Les Juifs, du moins l'immense majorité de ceux que je connais, trouvent normal d'avoir des prérogatives qu'ils refusent aux autres. Ils pensent que le citoyen lambda, non seulement est inferieur intellectuellement au juif, mais encore qu'il leur doit quelque chose. C'est le drame de la Palestine, c'est le drame des négociation où les Juifs se taillent la part du lion ou alors il ne peut y avoir de négociations.   
   
C'est exactement se qui vient de se produire avec les négociations directes de paix entre le Gouvernement israélien et l'"Autorité" palestinienne. Un véritable marche de dupes, mais les juifs trouvent cela logique !  

C'est aussi le problème des spoliations :
  1. Les juifs réclament le droit au retour, sur ce qu'ils appellent la Terre promise par dieu, excusez du peu, mais refusent le retour des réfugies palestiniens sur la terre de leurs ancêtres !
  2. Les terres "conquises", achetées ou prises par la violence, restent la propriété inaliénable de l'État israélien, mais ne se sont pas posés la question de savoir si elles n'étaient pas déjà aliénées a un autre propriétaire ?

C'est aussi le problème des crimes commis:
  1. Les juifs tuent par volonté divine, mais dès que vous vous défendez, vous accusent de terrorisme !
  2. Les juifs démolissent l'habitat autochtone, sous des prétextes aussi inhumains que le défaut de permis de construire , alors mêmes que palestiniens sont chez eux, mais les Juifs construisent des colonies en territoire palestinien et trouvent cela normal ! Ont-ils un permis de construire ? En ont-ils fait la demande au Gouvernement palestinien ? Non, et ils trouvent cela normal !

Il y aurait encore beaucoup à dire, mais voila succinctement, ce qui me permet de dire : "que la construction psychologique de la majorité des Juifs n'est pas celle de tout en chacun"  Mais dès que l'on a affaire aux fanatiques, là, il n'est plus question de religion, d'ethnie ou de nationalité, ils voient le monde à travers le prisme déformant de leur illumination.

mercredi 8 décembre 2010

GAZA ON N'OUBLIE PAS


GAZA ON N'OUBLIE PAS : Bruxelles, Dimanche 26 décembre 2010
[ 06/12/2010 - 18:16 ]
Mouvement Citoyen Palestine


Deux ans après l’agression militaire israélienne, actions de commémoration et de soutien :
GAZA ON N'OUBLIE PAS
Levée du blocus de la Bande de Gaza ! Dimanche 26 décembre 2010, Marche et commémoration pour Gaza, Solidarité avec le peuple Palestinien
Marche : Départ Avenue de Stalingrad, 14h00

 Il y a deux ans, Israël a déclenché son assaut meurtrier contre la bande de Gaza alors même qu’il l’occupait et lui imposait son blocus. Plus de 1.400 Palestiniens, la plupart des civils, ont été tués. De nombreuses organisations des droits de l’homme aussi bien qu’une mission spéciale des Nations Unies dirigée par le juge sud-africain Richard Goldstone ont accusé Israël d’avoir commis des crimes de guerre. Ces attaques ont provoqué des manifestations tout autour du monde en solidarité avec les Palestiniens gazaouis.

Deux année après cette agression militaire dévastatrice, la perpétuation de ce blocus illégal constitue une punition collective de la population et sape la crédibilité du droit international humanitaire.
 
Dans le cadre d’une action citoyenne et pacifique, nous organisons une marche symbolique et une veillée de commémoration à Bruxelles, pour :

- La levée du blocus de Gaza
- L’arrêt de la politique sioniste de colonisation et d’occupation de la Palestine
- La condamnation du sionisme comme mouvement politique colonialiste et raciste.
- Le soutien à la résistance du peuple palestinien
- La libération de tous les prisonniers palestiniens
- Le soutien à la campagne « Boycott Désinvestissement et Sanctions ».

Le départ de la Marche se fera au croisement de l’avenue de Stalingrad et du boulevard du Midi (statue mégaphone) à 13h30, et nous achèverons cette marche sur la Place de l’Albertine vers 16h00.

Nous lançons un appel à tous et toutes : citoyens, mouvements sociaux, mouvements syndicaux, ONG, comités de solidarité, représentants politiques à manifester avec nous, massivement, le 26 décembre 2010 à Bruxelles.



Gaza : un nouveau cri d’alarme



[ 07/12/2010 - 10:40 ]
Dina Ezzat - Al Ahram

Gaza : un nouveau cri d’alarme

La désastreuse situation humanitaire dans la bande de Gaza est loin de s’améliorer, avertissent les observateurs.
« La levée du blocus sur Gaza demeure un impératif juridique, économique et politique pour ceux qui cherchent une solution durable au conflit israélo-palestinien », affirme un rapport international publié mardi. Le rapport ajoute : « Le temps d’une action crédible et efficace est venu ».
Publié par un groupe d’organisations internationales de défense des droits humanitaires et juridiques, un rapport de 12 pages intitulé « Espoirs déçus » examine la situation humanitaire actuelle à Gaza et met en garde contre de graves conséquences si cette région si densément peuplée et si appauvrie continue de se voir refuser ce dont elle a besoin.
Selon le rapport, seulement 7% des matériaux de construction nécessaires demandés par l’UNRWA pour la construction (et reconstruction) des écoles et des centres de soins et de santé ont été acceptés par Israël, et encore beaucoup moins ont été admis dans la bande de Gaza, malgré les engagements israéliens devant la communauté internationale d’autoriser l’entrée des matériaux de construction.
La guerre d’Israël de trois semaines contre la bande de Gaza de fin décembre 2008 à fin janvier 2009 a laissé Gaza avec d’énormes destructions. Une conférence des donateurs organisée en Egypte une semaine après la fin de la guerre avait promis la reconstruction de Gaza, mais à ce jour la plupart de ces promesses n’ont pas été honorées - en grande partie en raison des restrictions imposées par le gouvernement israélien sur le transport des matériaux de construction.
Et tandis que les travailleurs des organisations humanitaires témoignent qu’à Gaza, près de deux ans après la guerre, des civils vivent toujours dans des maisons démolies, le rapport de ce mardi révèle que ce sont 670 000 camions de matériaux de construction qui devraient être autorisés à entrer dans la bande de Gaza, alors que seuls 715 camions ont été tolérés.
Le rapport note en outre le refus israélien d’honorer ses engagements conformément à ses responsabilités juridiquement contraignantes en tant que puissance occupante.
Il révèle que les deux tiers des usines de Gaza sont incapables de fonctionner en raison des restrictions imposées par Israël - qu’il s’agisse de l’introduction de matériel industriel ou qu’il s’agisse des exportations des marchandises produites.
« La liste va bien au-delà de la définition internationale de biens à double usage ... De nombreux articles absents de [la] liste doivent être approuvés spécialement et beaucoup d’entre eux ne l’ont pas été. »
Le rapport révèle en outre que le nombre de camions pour l’exportation a baissé de manière significative, allant de 400 par jour en 2005 à 224 en 2007.
Pendant ce temps, le rapport « Espoirs déçus » rappelle au monde que les citoyens de Gaza sont toujours privés du droit de circuler librement. Bien qu’il constate une augmentation dans les permis d’entrée et de sortie de Gaza pour les hommes d’affaires, ce rapport fait observer qu’une « interdiction générale de sortie et d’entrée est toujours en place [pour les citoyens ordinaires] ».
Beaucoup de personnes, souligne le rapport, cherchent à se faire soigner à l’extérieur de Gaza mais l’autorisation leur est refusée, et leur santé est compromise en raison du manque de matériel médical nécessaire au niveau local.
Israël contrôle l’essentiel des points de passage reliant la bande de Gaza au monde extérieur et a imposé des restrictions depuis les années 1990. Mais depuis 2007, il a considérablement augmenté ces restrictions à un point tel que certaines organisations internationales qualifient Gaza de prison à ciel ouvert.
Fait révélateur : le rapport confirme que « moins de permis ont été accordés par le gouvernement israélien pour le personnel humanitaire sur place que par le passé » et que la politique de permis restrictif pour les travailleurs humanitaires et les malades est « toujours arbitraire, imprévisible et prend énormément de temps ».
Le rapport a été publié quelques semaines avant le deuxième anniversaire de la dernière guerre israélienne contre Gaza - l’opération Plomb Durci - qui a massacré près de 1500 habitants et a laissé la bande de Gaza dans un abîme de souffrances inhumaines.

2 décembre 2010 - Al-Ahram Weekly - Vous pouvez consulter cet article à :
http://weekly.ahram.org.eg/2010/102...
Traduction : Naguib

mardi 7 décembre 2010

Le buisson ardent

Le buisson ardent
[ 04/12/2010 - 12:35 ]
Gilad Atzmon

Excellent post qui éclaire l'incendie du Mont Carmel d'un nouveau jour, mais aussi la Palestine et le sionisme, qui non satisfaits d'avoir commis des massacres et détruit les villages a cherché à en effacer l'historiographie...     

Comme les pins, Israël et les israéliens n’ont rien à faire au Moyen-Orient, écrit Gilad Atzmon.

"Catastrophe dans le nord d’Israël. Au moins quarante morts, tandis que l’incendie continue à faire rage et à progresser dans le Mont Carmel. Une évacuation massive est en cours."
Au moment où j’écris ceci, les équipes de pompiers israéliens se battent contre les flammes. Ils n’expriment aucun espoir d’être à même de contrôler le feu avant longtemps. « Nous avons perdu le contrôle du feu », a indiqué le porte-parole des services des pompiers de Haïfa. « Il n’y a pas suffisamment de pompiers réservistes en Israël pour éteindre cet incendie ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est rendu précipitamment sur les lieux de l’incendie hier. Il a demandé l’aide des États-Unis, de la Grèce, de l’Italie, de la Russie et de Chypre, sollicités pour seconder les pompiers israéliens. Un pays normal aurait probablement sollicité l’assistance des pays voisins.

Mais l’Etat juif n’a pas de voisins : de tous ses voisins, sans exception, il en a fait des ennemis.

Mais c’est là où ce fait divers revêt une profonde signification. Cet incendie dans le nord d’Israël n’a rien d’un événement fortuit. Le paysage rural d’Israël est saturé de plantations de pins. Ces arbres sont totalement étrangers à la région. Il n’y avait aucun pin (en Palestine) avant les années Trente. Ces pins ont été introduits dans le paysage palestinien au début des années Trente par le Fonds National Juif (FNJ), qui tentait (prétendait-il) « réhabiliter les terres » (voire « les rédimer »).

En 1935, le FNJ avait planté 1,7 million de pins sur une superficie totale de 1750 acres (soit environ 700 hectares, ndt). Durant les cinquante années suivantes, le FNJ a planté plus de 260 millions d’arbres (pour la plupart, des pins) sur des terres très majoritairement confisquées à des propriétaires palestiniens.

Le FNJ a fait cela dans une tentative - vaine - de dissimuler les ruines des villages palestiniens détruits et ethniquement « épurés » (par les sionistes), soucieux qu’ils étaient d’en effacer jusqu’à l’histoire.

Au long de toutes ces années, le FNJ a déployé une tentative grossière d’éliminer la civilisation palestinienne et le passé des Palestiniens. En même temps, il s’est évertué à faire en sorte que la Palestine ressemble à l’Europe. La forêt primaire palestinienne a été éradiquée. Les oliviers ont été déracinés. Les pins ont pris leur place. Dans le sud du Mont Carmel, les Israéliens ont baptisé la région « la Petite Suisse ».
J’ai appris ce soir même qu’il n’y a plus de « Petite Suisse » car la « Petite Suisse » a entièrement brûlé.

Reste que, sur le terrain, la situation est carrément dévastatrice pour le FNJ. Le pin ne s’est pas plus adapté au climat de la Palestine que les Israéliens ne se sont adaptés au Moyen-Orient. Selon les propres statistiques du FNJ, six sur dix des nouveaux plants de pin n’ont pas pris. Les rares pins qui ont survécu n’ont rien formé d’autre qu’un bûcher en puissance. Vers la fin de chaque été israélien, chacune des pinèdes israéliennes devient une zone mortelle en puissance.

En dépit de sa puissance nucléaire, de son armée de criminels de guerre, de son occupation, de son Mossad et de ses lobbyistes répandus dans le monde entier, Israël s’avère très vulnérable. Il est catastrophiquement aliéné à la terre qu’il prétend posséder.
Comme les pins, Israël et les Israéliens n’ont rien à faire au Moyen-Orient.
Gilad Atzmon est écrivain et musicien de jazz, il vit à Londres.
Son dernier CD : In Loving Memory of Americ.

Jérusalem sous référendum !

Israël va soumettre à référendum toute cession a Jérusalem.

Le parlement approuve une loi qui impose la convocation d'une consultation par référendum, avant de ratifier tout traité international qui altère la situation de la colonisation des territoires annexés.

Israël utilise un des principes fondamentaux de la démocratie universelle pour détourner et justifier la rapine la plus inacceptable, que peut être celle de la spoliation d'un Peuple de ses biens. Son crime, ne pas être Juif.
Cet État criminel prend à témoins les démocraties mondiales, pour quelles avalent des principes nauséeux sous couvert de démocratie et avalisent les crimes de cet État qui n'aurait jamais du sortir de terre.
 L'arrogance de l'État d'israélien est sans limités et déshonore sans conteste possible l'intelligence de ceux qui le soutiennent.


Il n'est pas facile d'imaginer un leader israélien, Benjamin Netanyahu ou n'importe qui d'autre, rendant la moitié de Jérusalem au futur Etat Palestinien. Jérusalem a de tous temps été un des points de discorde et sans doute un des plus émotionnel, un des plus explosifs, dans les négociations de paix. (Quelle paix ?) D'heure en avant il y aura une difficulté supplémentaire. Israël ne pourra céder de territoire a Jérusalem si son électorat ne l'approuve par référendum.
  
Le parlement israélien a approuvé ce lundi, après sept heures de débats, une loi qui impose de faire appel au référendum, dans un délais de 180 jours, avants de ratifier tout traité international qui altère la situation des territoires annexés. La loi affecte principalement Jérusalem, dont la moitié orientale inclue la Vielle Citée et les lieu sacrés pour les Juifs, Musulmans et Chrétiens,  soi-disant conquise à la Jordanie en 1967.

En 1980 le parlement établit le nommée Loi de Jérusalem, selon laquelle toute la cité faisait partie indivisible de l'État israélien. Cette loin n'a pas été reconnue par l'ONU ni par aucun autre pays di monde.   

L'autre territoire inclus dans la nouvelle loi de référendum est le Golan, le plateau conquis à la Syrie en 1967. Le Golan fut incorporé au territoire israélien en 1981 et la citoyenneté israélienne fut offerte à ses habitants ( Jusqu'à quand ? ) sans les obliger à renoncer à la citoyenneté syrienne.
La loi qui incorpora le Golan au territoire israélien n'utilisa pas le vocable "annexion", elle supposait pourtant une annexion avec trous ses effets. La preuve est qu'a partir de maintenant ce plateau, d'intérêts stratégique important, restera soumise à la même loi référendaire que Jérusalem.    
Cependant, il  reste très improbable que l'électorat israélien approuve de renoncer au Golan en cas d'accord avec la Syrie.  

Les dirigeants israéliens ne sont pas uniquement des criminel, mais aussi des êtres qui n'assument pas leurs actes et ont besoin face aux populations mondiales, de faire référence à la volonté de leurs électeurs pour entériner les décisions qu'ils savent d'avance immérités, arbitraires et illogiques, ce sont des êtres qui se cachent derrière des mythes de la religion israélite pour justifier leurs crimes. Leur seul mérite est la capacité à comploter, à acheter les consciences de nos dirigeants.

Le Mont Carmel, incendié par un Juif...

Un  adolescent admet avoir provoqué involontairement le plus grand incendie à ce jour d'Israël.

Il a reconnu avoir fume une pipe lorsque l'incendie prit naissance. Causant la mort de 41 personnes.
Público  - EFE Jerusalén 06/12/2010 20:07

AFP  - Image d'un pompier éteignant le dernières braises du plus grand incendie de la courte histoire du Pays.

Un adolescent de 14 ans a admis aujourd'hui devant la police qu'ils avait provoqué involontairement l'incendie qui durant quatre jours a frappé le nord de l'Etat, qui a couté la vie a 41 personnes.
L' adolescent, dont l'identité n'a pas été révélée et l'unique précision de la police a été, qu'il demeurait dans la région du sinistre. Il a reconnu  qu'en voulant  éteindre une braise que le feu prit immédiatement dans le Mont Carmel, l'origine du sinistre.
Le jeune a déclaré qu'il était entrain de fumer une pipe et que quand il s'est rendu compte de la gravité des flammes, il s'est mis à courir ver le collège sans aviser personne de la situation.

Évidemment l'État "démocratique" qu'est Israël arrêta deux jeunes palestiniens druses les suspectant, sans la moindre preuve, d'être à l'origine du sinistre, comme d'habitude, c'est la démocratie made in Israël !
Devant l'aveu du jeune juif, même si la qualité de ses origines n'a pas été divulguée, on connait suffisamment le fonctionnement fanatique de l'État d'Israël, pour affirmer que le jeune "incendiaire" était juif.

En plus des 41 morts, le sinistre à nécessité l'évacuation de 17.000 personnes, et a posé la question du manque de préparation logistique et de réponse adéquate de la part d'Israël  devant une situation d'urgence avec des caractéristiques similaires.
le feu a ravagée 5.000 hectares d'une grande valeur écologique, avec cinq millions d'arbres  selon les renseignements du Fond National Juif.
Une vingtaine de pays on participé à l'aide aérienne, des équipes terrestres  ou en dotations de matériel d'extinction.

Le gouvernement israélien a reconnu qu'il n'aurait été capable de faire front face la catastrophe en solitaire.

L'État "démocratique" qu'est Israël, n'a pas besoin d'aide pour incendier aussi bien les cultures palestiniennes que les champs d'oliviers, ce n'est pas son affaire d'éteindre les incendies. L'étrange réside, dans le fait, que ces mêmes États "félons" se taisent face aux incendies provoqués par les juifs et se décarcassent face à la punition que Dieu inflige à Israël !

lundi 6 décembre 2010

Qu'est-ce qu'une expropriation ?

Qu'est-ce qu'une expropriation ?

Dans un État, tant soit peu, démocratique les expropriations se font par le besoin d'infrastructures au service de la collectivité.

Au Proche-Orient, Israël exproprie un Arabe pour mettre un Juif à la place, c'est la règle, les besoins de la collectivité se confondent, exclusivement, avec les intérêts des juifs, c'est un procédé incontestablement raciste.
Et comme si cela ne suffisait pas, Israël, le sionisme détruisent les infrastructures palestiniennes, sans autre raison compréhensible que la volonté de nuire et les prétextes invoqués ne sont que des arguties d'êtres illuminées par le fanatisme religieux assurément néfaste à une cohabitation intelligente.  (il faut cependant reconnaitre que l'une ou l'autre de ces deux entités, l'État d'Israël ou le sionisme, ont la même nocivité y compris, tous ceux qui les soutiennent, juifs ou non).
Quel être intelligent peut affirmer qu'Israël est une démocratie ?

Cet État rapporté, a la dignité  d'un autre temps, sans discernement humain, si ce n'est celui de leur propre ethnie, de leur propre race, qui par volonté divine s'autorise a maltraiter les autres peuples.

La Shoah, c'est sur, est la conséquence de l'arrogance de cette frange de la communauté juive, qui n'a pas hésité à clamer leur nocivité, pour s'approprier des crimes commis à l'encontre de l'ensemble de la communauté, crimes qu'ils avaient eux-mêmes enfantés.
En effet, si le racisme antijuif et le nazisme sont l'exécuteur de ces crimes, le sionisme, leurs ambitions et leurs déclarations, sont incontestablement, à l'origine de l'idée qui voulait apporter la preuve de la nocivité de la communauté juive.   

 

Madji Al-Rimawi, un prisonniers palestinien

Madji Al-Rimawi, un prisonniers palestinien brise l’arrogance des enquêteurs israéliens

[ 25/11/2010 - 22:37 ]
Ramallah – CPI

Bel exemple de courage et d'abnégation pour son pays, est-ce que les israéliens en peuvent dire autant ?

La lutte contre l’occupation, Madji Al-Rimawi l’aime depuis son enfance. Il était encore sur les pupitres de l’école lorsque les forces israéliennes d'occupation l’ont arrêté, pour ses activités dans les mouvements estudiantins.
Al-Rimawi est né dans le village de Rima, de la ville de Ramallah, le 5 mai 1965, dans une famille de campagne. Il a cinq frères et sœurs.
Actuellement, sa femme est la maire du village de Beit Rima. Elle dit à l’envoyé du centre Ahrar pour les études des captifs et des droits de l’homme que son mari voulait terminer ses études à l’étranger, mais que les autorités de l’occupation israélienne l’ont empêché. Il a commencé ses activités nationales contre l’occupation dès le début de la Première Intifada et il a été arrêté en 1988.
Durant l’enquête et l’interrogation, il a montré une endurance exceptionnelle. Et dès sa sortie, il a repris ses activités nationales. Il a été pourchassé par les forces israéliennes d'occupation pendant cinq ans. Un groupe de ces forces déguisées en Arabes, "Al-mostaaribine", a enfin mis la main sur lui, le blessant à la jambe droite, dans la maison de son père. Il est resté quelque six mois derrière les barreaux de l’occupation israélienne.
Au début de l’an 1995, Al-Rimawi s’est marié avec Dorrayya Fathiya Al-Barghothi, étudiante elle aussi dans la même université. En luttant contre les conditions très difficiles, elle a pu finir ses études.
Elle parle au centre Ahrar de l’arrivée de leur fille en 1996, de leur déménagement vers la ville de Ramallah en 1999, de l’arrivée de leur garçon un an après.
La poursuite
Au début de l’Intifada d’Al-Aqsa, le ministre sioniste du tourisme Zaïfi, connu pour son racisme, a été tué, le 17 octobre 2001. Al-Rimawi a été accusé d’être le superviseur. Il a alors commencé à être poursuivi.
La ville de Ramallah a été encerclée pendant un mois et demi. Le siège d’Al-Moqattaa, où se trouvaient le défunt président Arafat et ses compagnons dont Madji, a été fermement encerclé. Puis, selon un accord, il a été condamné à huit ans de prison, dans la prison d’Ariha (Jéricho), sous un contrôle américano-britannique.
La prison d’Ariha puis Nafha
Mais la prison a été investie, quatre ans après, le 14 mars 2006, par les forces israéliennes d'occupation, et tous les détenus ont été enlevés dont Al-Rimawi.
Il est resté soixante jours dans les cellules de l’occupation israélienne. Mais toutes les équipes d’enquêteurs avec toutes leurs pressions n’ont rien pu tirer de lui, bien qu’il sût que cela pouvait lui coûter la vie. Sa vie, il est prêt à la sacrifier simplement pour sa patrie, pour sa terre, pour l’homme palestinien, dit sa femme Om Saïd.
Le tribunal central israélien l’a condamné à une perpétuité plus quatre-vingts ans. Actuellement, il est enfermé dans la prison de Nafha. Seulement ses parents et ses enfants peuvent lui rendre visite. Sa femme et ses frères en sont interdits ! C’est une politique menée par le service israélien de sécurité contre les captifs palestiniens et leurs familles.

Volvo permet la torture et renforce l’occupation

Avec ses équipements, Volvo permet la torture et renforce l’occupation
[ 04/12/2010 - 12:22 ]
David Cronin - The Electronic Intifada

Robustesse, sécurité et fiabilité. Voilà donc les spécificités dont se vante Volvo, synonymes de ses performances....

Mars 2007 - Démolition d’une maison dans le quartier Wadi-Qadum à Jérusalem-est
Mais après une analyse minutieuse des investissements du fabricant de voitures en Israël, la firme deviendrait peut-être synonyme d’une autre spécificité : l’encouragement de la torture.
Avec 26.5%, la société suédoise est actionnaire dans la firme israélienne Merkavim, fabricant du bus pour prisonniers Mars (The Mars Prisoner Bus). Ce bus avait été spécialement conçu pour permettre à l’administration pénitentiaire israélienne de transporter les Palestiniens, arrêtés en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza Occupées, vers des infrastructures se trouvant au cœur des frontières internationalement reconnues d’Israël. Le reste de l’actionnariat de Merkavim est détenu par Meyer ‘s Cars & Trucks (Meyer voitures et camions) qui est également le représentant exclusif de Volvo en Israël.
S’agissant des tortures, des observateurs pour les droits de l’homme ont assemblé des preuves révélant que ce phénomène est répandu dans tous les centres de détention israéliens. En fait, Amnesty International avait relevé qu’Israël continue de faire appel à la torture lorsqu’elle est jugée « nécessaire » en dépit de la décision de la Cour Suprême israélienne qui, en 1999, avait décrété illégales certaines méthodes utilisées lors des interrogatoires.
Dans ce contexte, une importante lacune dans les décisions de la Cour indique que la torture est autorisée dans le cas où les forces de sécurité israéliennes sont exposées à une menace imminente. Le procureur général israélien avait été bien trop disposé à invoquer cette lacune afin d’approuver le recours à la torture et ce, en dépit de la façon avec laquelle Israël avait entériné la Convention des Nations Unies Contre la Torture.
Sur le terrain, Israël séquestre chaque année environ 700 enfants palestiniens, souvent pour des délits aussi simples que le jet de pierres. Dans sa section palestinienne, l’Organisation Défense des Enfant International -Defence Children International- (DEI-SP) rapporte que le mauvais traitement est usuel lors du transfert des détenus dans les prisons. A ce sujet, Raifat Kassis, directeur du bureau de DEI-SP à Ramallah, en Cisjordanie, affirme que les individus arrêtés sont tous sujets à des insultes et à des menaces verbales, et d’ajouter : « Certains sont tabassés, battus à coups de pieds et sommés de s’asseoir de manière inconfortable et gênante. Il existe aussi d’autres méthodes pénibles qui consistent à retenir des enfants les mains menottées et les yeux bandés. »
En effet, durant le mois de septembre, trois enfants auraient reçu des décharges électriques de la part d’interrogateurs dans la colonie juive d’Ariel en Cisjordanie. L’un d’eux n’avait que 14 ans. Une récente enquête conduite pas DEI-SP, en collaboration avec d’autres groupes anti-torture, révèle que sur un échantillon de 100 enfants arrêtés l’an dernier par les forces israéliennes, 69% avaient été tabassés, battus à coups de pieds et 12% avaient été victimes de menaces de viols et autres formes d’agression sexuelle.
Kassis ne manque de rappeler que le processus de transfert de détenus de la Cisjordanie occupée jusqu’à Israël, à travers les bus de Merkavim, constitue une violation du droit humain international. Dans cette optique, la Quatrième Convention de Genève de 1949 stipule que les personnes déclarées coupables de délits ou infractions dans un territoire occupé ne peuvent être incarcérées que dans ce même territoire.
A ce sujet, un représentant de Merkavim m’a fait savoir que la société « ne désire pas parler avec les journalistes ». Sur le site internet de la firme, on peut lire que le Bus de Prisonniers Mars est « la solution optimale pour le transport sous escorte des prisonniers ». Les bus est composé de six compartiments séparés et offre « une surveillance complète et totale pendant les transferts délicats et à hauts risques reliant une infrastructure protégée à une autre ». Outre ces atouts, le bus dispose de larges fenêtres « encastrées avec des verres blindés, conçues pour éviter d’éventuelles évasions » ainsi qu’un « système d’interphone et de vidéosurveillance de pointe ».
Un porte-parole de Volvo-Bus, Per-Martin Johansson a déclaré que la société suédoise « ne peut pas contrôler » les activités de ses filiales. Il ajoute que les véhicules destinés à transporter les prisonniers se trouvent dans tous les pays à travers le monde entier, et de conclure : « Ce modèle de bus n’est pas conçu spécialement pour Israël ; il est requis dans chaque pays soucieux de prévenir l’évasion de prisonniers ».
Or, il est évident que la déclaration de Johansson s’oppose aux normes d’éthique auxquelles Volvo s’est théoriquement engagé. Pour rappel, le Conseil d’Administration de Volvo avait, en 2003, entériné « un code de conduite » de la société qui stipule que cette dernière soutient « les droits humains proclamés à l’échelle internationale et garantit sa non implication dans toute sorte d’agression ou d’atteinte aux droits de l’homme ».
Mais en dépit de la présence de ce code, Volvo avait été exposé à moult critiques accusant ses produits d’être utilisés dans l’oppression que conduit Israël. En effet, au mois d’avril de l’année en cours, les forces israéliennes ont été photographiées pendant qu’elles manipulaient des bulldozers Volvo dans le village palestinien d’Al-Walaja, effectuant ainsi des travaux liés au mur de séparation. Pour rappel, la Cour Internationale de Justice avait certes émis, en 2004, un avis déclarant le projet illégal mais Israël a quand même poursuivi la construction dans le territoire occupé de la Cisjordanie.
L’utilisation des bulldozers de marque Volvo pour la démolition des maisons palestiniennes à Jérusalem-Est et dans toute la Cisjordanie a également été documentée, avec la participation d’Adri Nieuwhof, collaboratrice de The Electronic Intifada. Il s’agit donc de preuves mettant en évidence les bénéfices que tire Volvo de l’occupation.
S’agissant de Merkavim, ce dernier fabrique également le Mars Defender Bus qui, à l’instar du Mars Prisoner Bus contient un châssis Volvo. Le parc de véhicules de ce dernier (Mars Defender Bus) est géré par la société de transport public israélienne Egged qui fournit des services aux colonies israéliennes de la Cisjordanie.
Ainsi, Mauricio Lazala, chercheur dans le Centre de Ressources sur les Entreprises & les Droits de l’Homme à Londres a souligné l’importance pour que les grandes compagnies comme Volvo étudient l’impact de leurs activités d’entreprise, principalement dans les zones de conflits. Il ajoute : « Dans les zones de conflits, les abus peuvent avoir des retombées très fâcheuses. C’est pourquoi, les entreprises doivent être doublement vigilantes ».
Dans la même optique, Londres a abrité le mois de novembre une session du Tribunal Russell sur la Palestine qui a conclu que bon nombre d’entreprises privées « jouent un rôle décisif permettant à Israël de perpétrer des crimes contre l’humanit ».
Certes, Volvo ne figure pas dans la liste des entreprises identifiées par le Tribunal, mais il facilite les délits jugés « répréhensibles » par cette institution, notamment la fourniture de services aux colonies israéliennes et l’assistance à la construction du « mur de l’apartheid » en Cisjordanie.
Le tribunal a publié une déclaration dans laquelle il note que les entreprises complices avec les agissements qui transgressent les droits de l’homme ont mal choisi leur camp et ont pris le parti d’un ensemble « d’opinions, de moralités et de lois internationales erronées ». Par voie de conséquence, ils sont en train « de nuire à l’intégrité même et à la crédibilité de la loi internationale et des institutions qui la soutiennent », ajoute la déclaration qui a été approuvée par l’ancien ministre sud-africain Ronnie Kasrils, l’ancien diplomate français Stéphane Hassel, la lauréate irlandaise du Prix Nobel de la paix Mairead Corrigan Maguire et l’ancienne membre du Congrès, l’américaine Cynthia McKinney.
Pour sa part, le coordinateur auprès du tribunal, Frank Barat a reconnu que lorsqu’il s’avère difficile de poursuivre en justice ces sociétés, des campagnes publiques peuvent les forcer à changer leur comportement. En effet, l’apport des gens peut se traduire par l’action de pousser leurs gouvernements respectifs à se défaire de ces entreprises. Il conclut : « Si une société apporte son aide à la construction du mur [en Cisjordanie], cela ne veut dire qu’une seule chose : elle contribue à un acte illégal et c’est pourquoi elle doit être sanctionnée ».
Ainsi, que Volvo tente de justifier ses investissement en Israël relève de la duplicité. Il est inconcevable que la société prétende que les activités des filiales ne dépendent pas du siège à Gothenburg, ou que les bus de Merkavim ressemblent à tous les bus pour prisonniers, disponibles à travers le monde entier. Il est donc clair que ces véhicules ont été spécialement adaptés et conçus pour satisfaire les « besoins » sadiques de l’occupation israélienne ; et c’est là où réside, en effet, leur argument de vente.
Toutefois, il y a une grande différence entre le concept d’approvisionner les services pénitentiaires israéliens et les services pénitentiaires d’autres pays. Et pour cause, Israël conduit des opérations massives d’emprisonnement et de torture à l’encontre des Palestiniens pour leur interdire toute forme de résistance contre l’occupation.
Pour argumenter ce fait, il suffit de consulter les chiffres avancés par Adameer, un groupe de soutien aux prisonniers qui recense le nombre alarmant de 650.000 palestiniens, incarcérés depuis le début de l’occupation en 1967. Ce chiffre représente le un cinquième - 1/5 - de la population vivant des les territoires occupés.
En fin de compte, quoique Volvo puisse dire, la réalité est que la firme est devenue un sous-traitant de l’occupation israélienne. La marque est la même mais l’impact est totalement différent. En Europe et en Amérique, les conducteurs pourraient se sentir en sécurité en se glissant sur le siège bien rembourré de leur voiture Volvo, tandis qu’en Palestine, la même entreprise contribue à la torture des enfants.

* David Cronin a publié Europe’s Alliance With Israel : Aiding the Occupation [l’Alliance de l’Europe avec Israël : Aider l’Occupation] chez Pluto Press
24 novembre 2010 - The Electronic Intifada - Vous pouvez consulter cet article à :
http://electronicintifada.net/v2/ar...
Traduction de l’anglais : Niha