jeudi 20 janvier 2011

A quand l'ONU en Palestine ?

A quand l'ONU en Palestine ?

Yasser Arafat avait demandé à plusieurs reprises que l’ONU s’interpose entre Palestiniens et Israéliens. Or, le gouvernement sioniste a toujours récusée cette proposition. Par conséquent ses arguments sécuritaires ne peuvent plus être des raisons acceptables à la politique, à  l'emprisonnement de citoyens palestiniens, à la construction du MUR de l’apartheid, à instaurer la loi martiale comme c'est le cas à Hébron et surtout au blocus de Gaza.
Israël est aujourd’hui un État voyou, un état pratiquant la rapine et la spoliation du Peuple originel, cela même si l’État Palestinien est en projet. Un projet réduit à néant par la « bantoustanisation » de son territoire. C'est-à-dire (Des enclaves sans continuité territorialité et sans accès au Jourdain, les privant d’une eau à laquelle ils ont droit). Israël refuse que les palestiniens creusent des puits artésiens. 

Dans ces conditions, pouvons-nous nous contenter simplement d’atténuer les souffrances du peuple Palestinien ?  Comment y mettre fin ? En dénonçant les véritables responsables, ceux, qui par leur soutient politique, financier, permettent au terrorisme d’état israélien d'exercer sur des populations largement sans défense une politique inique, comme les emprisonnements administratifs sur des motifs aussi apocryphes que les intentions qu’ils auraient pu avoir, les démolitions, les appropriations par le fait accompli des terres, les opération militaires de provocation...  

On ne peut comprendre réellement les conflits du Moyen-Orient si on fait abstraction de l’influence que l’Organisation Sioniste Mondiale exerce sur les États-Unis et en Europe.
Sans compter  la manipulation médiatique dont, nous-mêmes, sommes victimes.   Sans chercher à comparer, ni faire l’amalgame. Les grands de ce monde se sont mobilisés pour le récent conflit Russo-Géorgien où pourtant aucun peuple ne risquait l’anéantissement. A Gaza ce sont un million et demi d’êtres humains qui sont en danger d’extermination. Dans certaines contrées de Cisjordanie les colonies déversent leurs eaux usées à travers les terres arables palestiniennes. 

Et j’estime que nous dépassons ici, le cadre strict d’une société civilisée, de mon point de vue le sionisme est l’égal du nazisme. Et bien plus dangereux, puisqu'il phagocyte nos sociétés.

La lutte contre le terrorisme permet de déclarer un territoire hostile, à partir du simple fait que son intérêt est contraire aux notre. C’est ainsi que le gouvernement sioniste se permet  avec l’assentiment  des escrocs occidentaux, d’emprisonner un million et demi d’êtres humains dont des enfant succombent par privation du minimum vital, sans compter ceux qui meurent suite aux incursions de la valeureuse armé israélienne, qui les tue, j’ai nommé Gaza. 
Un autre exemple de la capacité nocive des USA : en 1972 lorsque le Général Bark nationalise le pétrole irakien, Richard Nixon non seulement invalide cette déclaration mais encore il arme les Kurdes pour qu’ils se retournent contre Bark, et comme par enchantement l’Irak fait son apparition sur la liste des nations qui soutiennent le terrorisme.   Henry Kissinger déclarera sur ce sujet : « Les opérations secrètes ne doivent pas être confondues avec le travail des missionnaires ». Pourtant ce « faucon » était le responsable de la politique américaine au Proche et Moyen-Orient,  il ne faut donc pas s’étonner de l’ascendant d’Israël sur la Palestine mais aussi sur tous les États Arabes. Mais la question reste posée : "Comment placer un juif a ce poste, lorsqu'il œuvre exclusivement dans l'intérêt d'Israël  ? ". 
Israël représente une puissance nucléaire de 50 mégatonnes l’équivalent de 3500 bombes  d'Hiroshima et ses ogives sont pointées sur les capitales arabes et Européennes. Comment dans ces conditions pouvons-nous croire aux appels hypocrites israéliens, cherchant à nous faire admettre le danger que court la communauté juive au Proche-Orient. Israël, nous prend pour des caves ignorants des réels enjeux qui se jouent en Palestine.

Je ne suis pas un universitaire qui vous exposerait ses point de vue avec moult détails, plus ou moins avérés d’ailleurs, qui rendraient son récit crédible. Non, ma seule ambition est de vous faire participer aux déductions que les événements nous imposent.
Il vous suffirait d’aller sur le site du Gouvernement israélien, pour que vous compreniez les manipulations qui s’y exercent. Ou encore allez dans les Blogs sionistes, que je ne qualifie nullement, c’est ainsi qu’ouvertement ils se nomment. Et vous comprendrez immédiatement le fanatisme de ces gens. Ils vont jusqu'à utiliser les conventions de Genève pour justifier les crimes sionistes en Palestine. C’est ainsi qu’ils affirment qu’Israël a le droit de coloniser la Palestine du seul fait que la Palestine n’est pas un État et n’est, par conséquent, pas régi par les conventions de Genève ! Ce que ces criminels en puissance oublient de dire c’est qu’Israël  étant un état il est, lui, régi par les conventions de Genève.[ Conventions qu'il n'a jamais respecté.]

L’influence qu’exerce l’Organisation sioniste mondiale : 
Le candidat à la présidence des États-Unis doit faire allégeance au lobby pro israélien, s’il veut recevoir tout ou partie des fonds que cette organisation lève. Même s’il faut reconnaître qu’elle n’est pas la seule, comme par exemple le lobby Mitliaro-industriel ou encore celui du Pétrole. 
    Qui oserait critiques Israël en connaissance de cause ? Cependant sachez que le pire des criminels trouve des justifications à ses actes.

    Selon George Bush et les faucons « pousse au crime »  (le vice-président Dick Cheney, le secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, et son secrétaire adjoint, Paul Wolfowitz, ainsi que Richard Perle [...])  affirmaient que le déroulement des hostilités en Irak seraient la simplicité même. Souvenons-nous de la guerre du Golfe.
    Le Directeur Général de la CIA devenu secrétaire adjoint à la Défense  puis pour une courte période Président de la Banque Mondiale, excusez du peu. Pourtant rien ne prédestiné cet homme, employé de la CIA, à la finance internationale. J’ai nommé Paul Wolffowitz «faucon» et sioniste notoire.

    C’est David Froom, faucon» et sioniste notoire, inventeur du concept « Axe du Mal », a fait partie des conseillers exigeant ce qui fut appelé « Le droit à la défense préventive ». Ce droit est possible en s’appuyant sur l’article 51 de la charte des Nation Unies. Si l’on suit cette logique, les alliés auraient pu attaquer l’Allemagne préventivement, et peut-être sauver des millions de vies. Cela se tient. Mais c’est précisément ce prétexte qu’à, bien entendu, invoqué l’Allemagne pour lancer une offensive contre la Pologne et dans un certain nombre d’autres pays. Ce raisonnement est souvent utile. Israël s’en est, par exemple, servi à maintes occasions et s’en sert encore aujourd’hui à chaque fois que s’est nécessaire. 

    La politique américaine au Moyen-Orient qui se prolonge, après Kissinger, jusqu’à l’heure actuelle et qui joue un rôle capital dans l’histoire récente de cette région peut se résumer selon les termes du Célèbre fonctionnaire du Département d’Etat américain, George Kennan, lorsqu’il déclarait en 1948 :
    « Les États Unis représentent 50% environs de la richesse de la planète mais 6.3% seulement de sa population. Étant donné cette situation, nous ne pouvons qu’être l’objet d’envie et de ressentiment. Notre véritable tâche sera à l’avenir de concevoir un mode de relation nous autorisant à conserver cette position d’inégalité sans que soit entamée notre sécurité. Pour cela, il faut nous départir de tout sentimentalisme et de toute chimère, afin de concentrer partout notre attention sur les objectifs nationaux immédiats. Ne croyons pas pouvoir nous offrir le luxe de nous poser en altruistes et en bienfaiteurs de l’humanité. Il faut cesser de tenir des propos aussi vagues et irréalistes que le sont les droits de l’homme, l’accroissement du niveau de vie ou la démocratisation. Le jour n’est pas loin où il faudra traiter en termes de pouvoir au sens strict. Moins nous serons alors gênés par des déclarations idéalistes, et mieux cela vaudra. .  »

    En Europe c’est moins flagrant, mais admettre que des criminels de guerre sionistes assistent à des cérémonies commémoratives de la Shoah, c’est faire injure aux victimes de la barbarie nazi.
    Où encore qu’un français pro sioniste, devienne directeur du FMI ! Là encore on est droit de se demander quelles sont les qualités de cet avocat pour diriger une instance économique  internationale ? Vous allez dire : il était Ministre de l’économie et des finances de François Mitterrand, je vous rappellerais simplement que c’est sous son égide que la France à fait appel au CREDIT pour assurer ses frais de fonctionnement. Or le plus médiocre des gestionnaires sait : « que s’il peut et dans certaines circonstances doit faire appel au crédit pour financer des investissements, il ne peut pas sous peine de mauvaise gestion utiliser un crédit pour financer des frais fixes ou frais de fonctionnement.  Et avants que la catastrophe n’arrive, je m’étais déjà dit à cette époque, que pour ruiner un pays, il ne fallait pas s’y prendre autrement.
    La définition « gestion en bon père de famille » a disparu du vocabulaire des entreprises, de l’économie et de la finance. Il ne faut pas s’étonner, dans ces conditions, que nous devions régulièrement faire face à l’incurie des aigrefins internationaux. Que les gouvernements s’érigent d’avantage en coteries qu’en gestionnaires d’un état.

    Bien, revenons au sujet du Proche-Orient :
    Eut Barak Ministre israélien de la défense affirme que l’étau sur Gaza ne peut être desserré, même si le territoire israélien n’a pas été atteint par des roquettes du Hamas depuis des semaines.
    Argument par lequel le sionisme voudrait justifier l’anéantissement d’un million et demi d’êtres humain.
    Israël à déporté durant des années les résistants les plus actifs vers Gaza et cela même s’ils résidaient en Cisjordanie. Aujourd’hui Israël voudrait nous faire croire que Gaza est une entité hostile. Qui selon la nouvelle idéologie americano-sioniste  justifierait le terrorisme d’état de l’armée israélienne ! Pourtant…

    La majorité de dirigeants israéliens sont issus de la mouvance sioniste ou des groupes armés comme la Haganah y compris les groupes terroristes  Stern et Irgoun ayant semé la terreur  en Palestine responsables de la plupart des massacres de 1947/48. Sachant que ces massacres n’ont rient à voir avec la guerre ou la reconquête de la terre promise, mais belle et bien d’un plan mûrement réfléchi entre les deux guerres, le plan « Daleth ».

    J’aimerais déclarer ici que : les américains pro-israéliens et conseillers des administrations américaines sont, de par leur origines, juges et partie dans le conflit du Proche-Orient. Par conséquent il est nécessaire que les populations conscientes du drame Palestinien admettent, que les USA ou les personnalités pro sionistes, ne peuvent prétendre appliquer leur justice. Tout plan de paix élaboré par eux ou négocié aux USA est une imposture.
    La section 7 de la charte des Nation Unies induit à désarmer tout état constituant une menace pour la paix. C’est ainsi que la résolution 687, adopté en avril 1991, crée l’USCOM (Commission pour le désarmement de l’Irak). Pourtant en 2004, un sondage prescrit par l’Union Européenne auprès d’un échantillon de la population mondiale, faisait ressortir que les États les plus dangereux pour la paix mondiale étaient les USA et Israël. A-t-on pour autant cherché à désarmer ces États ? Personne ne le peut !  Si. Les citoyens.

    Scott Ritter ;  Ancien Marine et Inspecteur de l’USCOM pour le désarmement en Irak sous l’égide de l’ONU pendant huit années, affirme que lorsqu’ils ont terminé leur mission, l’Irak non seulement n’était plus en possession d’armes de destruction massive mais encore l’outil industriel pour les fabriquer avait été détruit à 100%. Si Saddam avait escamoté des produits chimiques mortels, ils auraient de toute façon été inertes après trois ou cinq années. Par conséquent les arguments de Bush et du lobby pro sioniste non seulement n’étaient pas justifiés mais encore elles étaient mensongères. Et il faut admettre que la finalité de cette guerre était autre que celle que les dirigeants occidentaux voulaient nous faire croire.
    Je rappelle ici : que la majorité des personnalités françaises critiquant le président   Jacques Chirac pour son opposition à l’agression irakienne étaient des juifs pro sionistes y compris le Grand Rabbin de France qui lui en l’absence d’informations précises: était plutôt pour. (Sic)

    Bush et son administration ont investi beaucoup de leur capital politique dans la guerre avec l’Irak. Richard Perle, président du Conseil consultatif de la Défense et l’un des artisans de ce conflit, a carrément déclaré que George W Bush devait faire la guerre à l’Irak pour préserver sa réputation politique. En août, Perle indiquait dans le New York Times que « ne pas attaquer Saddam Hussein après ce que le président avait dit provoquerait un effondrement de sa confiance qui ferait reculer la guerre contre le terrorisme.

    L’Irak un fiasco.
    L’Afghanistan un fiasco. 
    Surtout que les USA avaient armée Ben Laden et les Talibans  dans leur lutte contre la Russie. Le Comandant Massoud prit également par dans cette lutte, mais n’aurait pas été un fantoche. Et lorsqu’il il entreprit de libérer son pays de la dictature des Talibans, il entreprit un voyage en Europe afin de demander une aide logistique. Aide que aussi bien la France, que l’Allemagne ou encore l’Europe lui refusèrent. Quelques semaines après son voyage, il fut assassiné…

    - En plein conflit Iran/Irak, l’administration Reagan entreprend de traiter en secret avec l’Iran, afin d’obtenir la libération des otages de l’ambassade américaine détenus par le gouvernement de l’ayatollah Khomeiny et lui fournit des armes, au nombre des quelles mille missiles TOW, sont cédées à L’Iran. Le produit de cette vente est versé aux Contras du Nicaragua pour financer leur insurrection contre un régime socialiste dont l’administration Reagan ne veut pas. Le Congrès s’étant opposé formellement à toute aide aux Contras. Et là nous avons l’indice qui nous permet de supposer que pour entraîner le Congrès Américain à accepter une agression contre l’Irak, il fallait un attentant tel que le fut celui contre le WTC. Justifiant par la suite la lutte sans concession contre le terrorisme avéré ou supposé.

    - Le bien-fondé de la guerre en Irak n’a pas été établi. Que le 11 septembre 2001 l’ai permis. Cela est un fait. Et c’est pour cela qu’aujourd’hui constatant l’escobarderie de nos dirigeants, j’ai les plus grands doutes sur les instigateurs de ces attentats.
    A cette époque les Américains sont traumatisés, et l’idée que Saddam puisse entretenir des liens avec les fondamentalistes islamistes est inacceptable et justifie l’engagement des USA dans une guerre.
    - Bush et les « faucons », (Américains favorables aux règlements des conflits par la manière forte, font tous parti du Lobby pro sioniste), et ont décidé unilatéralement d’attaquer l’Irak en violation de la loi internationale. 

    Nous ne pouvons plus continuer à faire confiance à ces hommes que nous élisons et qui nous mènent à la guerre pour un peu plus d'aisance, au détriment de leurs  propre population.

    Citation d’ERNEST HEMINGWAY
    « La première panacée pour une nation mal gouvernée est l’inflation de sa monnaie ; la seconde est la guerre. L’une et l’autre apportent une prospérité passagère ; l’une et l’autre créent des pertes durables. Mais elles sont toutes deux le refuge des opportunistes de la politique et de l’économie. »

    Jeff Goldberg prétend dans le New Yorker  qu’Al-Ansar a  été fondé par les services de renseignements irakiens. C’est en fait, l’exact opposé : les irakiens combattent Al-Ansar dans la guerre qu’ils menait contre l’intégrisme islamique. Et Scott Ritter conclut en affirmant qu’il est par conséquent ridicule de prétendre que l’Irak soutienne Al-Qaida.
    Comme déclarait jadis John Adams  défendant les soldats britanniques dans le massacre de Boston. Si les faits ne peuvent étayer avec clarté et précision la crainte ou la haine, s’ils ne justifient pas l’action que l’on entend mener, alors il faut chercher ailleurs les raisons de la peur ou de la haine. Il est parallèlement nécessaire d’analyser cet entêtement des faits, et de comprendre en quoi ils constituent la réalité et non pas le discours.

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