mardi 1 février 2011

Israël, un soutient pour Moubarak


Israël reste le seul soutient pour Moubarak
et demande à la communauté internationale de modérer ses jugements.
Zapatero traite la situation en Egypte avec tiédeur...
PÚBLICO.ES/AGENCIAS - Le Caire 31/01/2011 12:30

Les manifestations contre Moubarak se succèdent dans les communautés musulmanes à travers le monde. Image prise ce lundi lors d'une manifestation en Malaisie. Reuters/STRINGER.

Israël est une des rares voix qui se lèvent apportant un appui inconditionnel au régime de Hosni Moubarak.  Malgré les condamnations des USA à la répression contre les manifestants, Shimon Pères, le président israélien, qui compte sur Moubarak comme allié et c'est pour cela qu'il à demandé ce lundi à la communauté internationale qu'elle modère ses jugements cotre le président en exercice égyptien.  
"Nous avons toujours eu et nous avons un grand respect pour le président Moubarak. Nous ne disons pas que tout ce qu'il fait est correct, mais il fit une chose pour laquelle nous lui sommes reconnaissants : maintenir la paix au Proche-Orient", ajouta-t-il.
M Shimon Peres, comme à son habitude nous prend pour des cons, Moubarak n'a nullement œuvré pour la paix , mais il s'est allié à l'État israélien pour au moins deux raisons:
  1. pour continuer à percevoir le financement US.
  2. pour lutter contre  les frères musulmans, qui menacent sa suprématie et qui se son ouvertement déclarés contre la politique israélienne.
Voila les vrais raisons du soutient que le criminel et le fantoche se portent. Les sionistes ont si stupides qui, comme l'avait recommandé Herzl, voudraient faire passer leurs crimes pour un bien ! Il n'y a que les escrocs pensant tirer avantage des crimes israéliens, pour les croire.    

Moubarak est le principal partenaire d'Israël dans la région et sa collaboration est essentielle pour maintenir le blocus sur la Bande de Gaza et isoler le mouvement islamiste Hamas, Gouvernement légitime palestinien. Par conséquent Peres, insista dans le fait qu' "un régime fondamentaliste religieux en Egypte n'est pas mieux que le manque de démocratie". 
Bien sur Shimon Peres, comme nos gouvernant cupides, pensent aux Frères Musulmans a qui nous attribuons une vision sectaire de la société. Mais en aucun cas nous nous obligeons à penser que c'est la politique occidentale de colonisation et d'expropriation à l'encontre, principalement du monde musulman, ou la politique inique de l'État israélien, qui serait à la base de cette radicalisation. Les peuples musulmans aspirent à la liberté mais en Occident aussi les peuples aspirent à plus d'honnêteté de la part de nos élus... 

Ses déclarations (Shimon Peres), contrastent avec celles du premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui hier se limita a déclarer : le nécessaire est de garantir le maintien de la paix avec l'Egypte, quelque soit le gouvernement du Caire. "Nos efforts sont centrés a maintenir  la stabilité dans notre région", a dit le chef de l'Exécutif, qui ajouta que la paix entre Israël et Egypte " ha durée plus de trois décennies et notre objectif est de garantir que ces relations continuent quelque soit l'événement".
Bien entendu la stabilité dans la région passe par le soutient du futur Gouvernement égyptien à Israël et   a participer à l'embargo contre la Bande de Gaza. A par cela les sionistes veulent la paix, mais si l'Égypte ne se couche pas devant la politique israélienne, ils (Israël) lui feront la guerre...


Les Etats-Unis critique la répression.
La déclaration de Peres va dans la direction de l'information que publie aujiourd'hui le journal israélien, Haaretz, qui assure qu'Israël fait pression sur les USA, China, Russie et  autres pays Européens à mettre une sourdine aux critiques.
"Ce qui est nécessaire maintenant ce sont des faits concrets qui élargissent les droits du peuple Egyptien". Durant la fin de semaine, les USA  ont sévèrement critiqué la politique répressive de Moubarak. Et ce lundi le premier minitre britanique, David Cameron, a suivi la même ligne,  alors que le président espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, ha préféré utiliser un discours aussi timoré que celui de l'Union Européenne. 

"Ce qui est nécessaire maintenant sont des fait concrets qui élargissent les droits du peuple égyptien, un dialogue significatif entre le Gouvernement et ses citoyens, une nouvelle politique  qui amènera une plus grande liberté, de plus grandes opportunités et une plus grande justice pour le peuple égyptien", déclara Obama. 
Le président des USA avertit que "je veux être très clair à l'intention des autorités égyptiennes et quelles évitent toute violence contre les manifestations pacifiques", souligna Obama.
Le président américains a totalement, mille fois, raison, l'Occident fomente des guerres pour exporter sa démocratie et lorsque ce sont les populations qui la réclament, nous leur ferions la guerre !  Madame Aliot Marie, n'est pas cohérente.

Cameron dit avoir parlé "avec le président Moubarak et a eu une conversation avec Obama la nuit dernière,  et nous étions d'accord sur le fait que nous voulions que la réponse du Gouvernement égyptien soit la nécessité d'une transition ordonnée vers une situation plus démocratique, dans laquelle il y ait plus de droits, plus  libertés,  une meilleure  politique publique et ces types de reformes, pour monter au peuple en Egypte que ses préoccupations et aspirations son écoutées".  à souligné le chef du Gouvernement britannique.
Je me demande réellement si ce Cameron est un être stupide ou s'il a bu un peu trop de bière. Ce que réclament les égyptiens c'est que le dictateur Moubarak "foute le camp" et non qu'il modifie sa politique dans le sens que le voudraient les nains-intellectuels occidentaux, ou encore comme le fait Tony Blair d'ailleurs, il n'est pas possible d'être aussi niais...
"Ce que veulent les gens c'est un changement mais pas le chaos", déclare Blair pour sa part,  l'envoyé spécial pour le Moyen-Orient. Il y aura un changement sans aucun doute.
Il y aura un changement, je crois, vers des élections libres et justes.  Mais il faudra que les partis politiques aient l'opportunité de concourir de manière adéquate dans ces élections.   

Tony Blair enfonce là une porte ouverte, ce n'est pas la peine de faire des conférences qui lui rapportent des millions de dollars, pour dire ce que tout le monde sait depuis que la démocratie existe, ce sont les ambitions de "nos cupides" qui changé la donne

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