mercredi 2 novembre 2011

Comment l'Amérique a participé à la guerre des Six jours


La guerre de Six jours.

Le président Johnson a mis à exécution le plan NORTHWOODS (plan  dit "false-flags" ou attaque de son propre camp pour accuser son opposant ou ennemi politique) le 8 juin 1967, lors de la guerre des Six jours.

Pendant la guerre des Six jours entre Israël et les Nations Arabes le U.S.S. LIBERTY, commandée par Williams McGonagle, fut envoyé par le Président Johnson pour une mission de renseignement en Méditerranée.

Le bateau américain portant ostensiblement ses couleurs, stationnait à 20 km. des côtes israéliennes dans les eaux internationales.

Peu de temps après que l'attaque aérienne eut cessé, les torpilleurs ont avancé vers nous à grande vitesse dans une attitude apparente de tir de torpille. Un avion de reconnaissance israélien fit un passage à basse altitude identifiant clairement le navire américain.  A 14h. ce-jour là, le Liberty fut attaqué par trois mirages III. (dont Marcel Dassault -juif converti- avait donné  les plans des avions contre l'avis du Général de Gaulle suite à l'embargo français de ne pas fournir des avions de combat à Israël)

Dès le début de l'attaque, les bombardiers ont brouillé les signaux américains. En plus de brouiller les signaux, ils n'avaient aucun marquage. Les seuls avions sans marquage de l'armée israélienne. Les chasseurs bombardiers ont mitraillé le bateau, ont largué des munitions conventionnelles et du napalm, sans discontinuer de la proue à la poupe.

Quand les mirages III en eurent fini, le navire fut touché par un bombardier Dassault larguant du napalm et des munitions telles que du phosphore blanc. (Le phosphore blanc fut utilisé aussi sur les populations à gaza, alors même que ces munitions sont, par convention internationale, interdites sur les sites peuplés, c'est dire si les dirigeants israélien sont des criminels.)  
Les torpilleurs ont ensuite tiré sur les radeaux de survie ce qui constitue un crime de guerre. Pendant toute la durée de l'attaque, un grand drapeau américain flottait en haut du navire.

L'attaque contre le LIBERTY a durée pendant des heures. Pendant toute l'attaque, le U.S.S LIBERTY a continuellement réclamé de l'aide à la sixième flotte stationné non loin, pour un support aérien. Deux porte-avions américains ont répondu en envoyant des chasseurs.  Aussi incroyable que cela puisse paraître, ils ont été rappelés par la Maison-Blanche.
L'Amiral Geis, qui commandait les porte-avions de la sixième flotte, a appelé lui-même Washington pour avoir confirmation du contre-ordre. Le secrétaire à la Défense Robert Mc Namara prit l'appel, puis le Président Johnson lui-même répondit à Geis : "Je veux que ce foutu bateau passe par le fond. "Pas d'aide rappelez les avions".
Mettez-vous à la place de l'Amiral Geis, implorant le président de le laisser secourir le vaisseau américain attaqué, et s'entendre répondre qu'il "voulait voir le bateau par le fond."
Mais en même temps que les porte-avions retiraient leurs renforts, un bateau de reconnaissance russe apparut et assista à une partie de l'attaque.
Après trois heures d'attaque, les israéliens se retiraient devant ces témoins gênants, permettant a l'U.S.S. LIBERTY ravagé de se mettre à l'abri.

Quarante (40) années après les faits, on sait exactement ce qui s'est passé.
L'ancien Chef d'Etat-major interrogé par Alex Jones l'Amiral Thomas Moorer, il a interrogé aussi les amiraux qui ont entendu ce que Jonhson a dit, il a aussi parlé à l'officier en chef du J.A.G. de la Navy, qui a reçu l'ordre de falsifier les rapports, et de cacher la réalité de l'attaque. Un des pilotes israéliens a aussi reconnu avoir par trois fois refusé d'attaquer signalant que le bateau était américain et situé dans les eaux internationales.

En résumé voici ce qui s'est passé :  Le président Johson avait le LIBERTY sous son contrôle personnel, il l'a& fait stationner en Méditerranée, puis il a conclu un deal avec les israéliens qui devaient l'attaquer et tuer tout le monde à bord. L'attaque devait être mise sur le dos de l'Egypte afin de justifier une intervention américaine et la prise de contrôle du Moyen-Orient. A la suite de l'attaque sur le navire le plus décoré des Etats-Unis, le capitaine et son équipage se sont vus menacés de prison à vie et de mort s'ils parlaient à qui conque de ce qui s'était passé.
Le capitaine Williams L. McGonagle a reçu la médaille d'honneur du Congrès en secret sans pouvoir dire à personne qu'il l'avait reçue.

Après le attaques du 7 juillet et du 21 juillet de Madrid et Londres, des preuves ont surgi prouvant que ces attaques étaient aussi des "false-flag"...

L’Occident en général, les USA et Israël dans ce cas précis, apportent la preuve de la nocivité de nos dirigeants, incapables de résister au Nouvel Ordre Mondial qui assassine ses propres concitoyens  pour parvenir a ses fins. 
Depuis plus de dix ans je me demande comment est-il possible que nos dirigeants nous méprisent autant, mais aussi comment est-il possible que les médias se taisent ou se laissent manipuler ainsi ?
La réalité de l'histoire nous parvient malgré les oppositions rencontrées y compris petit à petit, mais il est clair que aucun homme sensé ne peut, ne pourra se fier à un homme favorable à Israël, au sionisme. L'idéologie sioniste est a l'égal du nazisme, et sachons-le, avait la bénédiction du N.O.M. dont le sionisme en est la "clé de voute", pour commettre ses crimes.    
Les population du Monde sont face a des êtres qu'il faudra un jour, faire en sorte qu'ils ne puissent plus nuire. Il faudra que la société civile prenne toutes ses responsabilités pour que cessent les manipulations des citoyens et les détournements de biens sociaux des élites dirigeantes.     




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