La guerre
de Six jours.
Le
président Johnson a mis à exécution le plan NORTHWOODS (plan dit "false-flags" ou
attaque de son propre camp pour accuser son opposant ou ennemi politique) le 8 juin 1967, lors de la
guerre des Six jours.
Pendant
la guerre des Six jours entre Israël et les Nations Arabes le U.S.S. LIBERTY,
commandée par Williams McGonagle, fut envoyé par le Président Johnson pour une
mission de renseignement en Méditerranée.
Le bateau
américain portant ostensiblement ses couleurs, stationnait à 20 km. des côtes
israéliennes dans les eaux internationales.
Peu de
temps après que l'attaque aérienne eut cessé, les torpilleurs ont avancé vers
nous à grande vitesse dans une attitude apparente de tir de torpille. Un avion
de reconnaissance israélien fit un passage à basse altitude identifiant
clairement le navire américain. A 14h.
ce-jour là, le Liberty fut attaqué par trois mirages III. (dont Marcel Dassault -juif converti- avait donné les plans des avions contre l'avis
du Général de Gaulle suite à l'embargo français de ne
pas fournir des avions de combat à Israël)
Dès le début
de l'attaque, les bombardiers ont brouillé les signaux américains. En plus de
brouiller les signaux, ils n'avaient aucun marquage. Les seuls avions sans
marquage de l'armée israélienne. Les chasseurs bombardiers ont mitraillé le
bateau, ont largué des munitions conventionnelles et du napalm, sans discontinuer
de la proue à la poupe.
Quand les
mirages III en eurent fini, le navire fut touché par un bombardier Dassault larguant
du napalm et des munitions telles que du phosphore blanc. (Le phosphore blanc fut utilisé aussi sur les populations à gaza, alors même que ces munitions
sont, par convention internationale, interdites sur les sites peuplés, c'est
dire si les dirigeants israélien sont des criminels.)
Les
torpilleurs ont ensuite tiré sur les radeaux de survie ce qui constitue un
crime de guerre. Pendant toute la durée de l'attaque, un grand drapeau
américain flottait en haut du navire.
L'attaque
contre le LIBERTY a durée pendant des heures. Pendant toute l'attaque, le U.S.S
LIBERTY a continuellement réclamé de l'aide à la sixième flotte stationné non
loin, pour un support aérien. Deux porte-avions américains ont répondu en envoyant
des chasseurs. Aussi incroyable que cela
puisse paraître, ils ont été rappelés par la Maison-Blanche.
L'Amiral
Geis, qui commandait les porte-avions de la sixième flotte, a appelé lui-même
Washington pour avoir confirmation du contre-ordre. Le secrétaire à la Défense
Robert Mc Namara prit l'appel, puis le Président Johnson lui-même répondit à
Geis : "Je veux que ce foutu bateau passe par le fond. "Pas d'aide rappelez
les avions".
Mettez-vous
à la place de l'Amiral Geis, implorant le président de le laisser secourir le
vaisseau américain attaqué, et s'entendre répondre qu'il "voulait voir le
bateau par le fond."
Mais en même
temps que les porte-avions retiraient leurs renforts, un bateau de
reconnaissance russe apparut et assista à une partie de l'attaque.
Après
trois heures d'attaque, les israéliens se retiraient devant ces témoins
gênants, permettant a l'U.S.S. LIBERTY ravagé de se mettre à l'abri.
Quarante
(40) années après les faits, on sait exactement ce qui s'est passé.
L'ancien Chef
d'Etat-major interrogé par Alex Jones l'Amiral Thomas Moorer, il a interrogé
aussi les amiraux qui ont entendu ce que Jonhson a dit, il a aussi parlé à
l'officier en chef du J.A.G. de la Navy, qui a reçu l'ordre de falsifier les
rapports, et de cacher la réalité de l'attaque. Un des pilotes israéliens a
aussi reconnu avoir par trois fois refusé d'attaquer signalant que le bateau
était américain et situé dans les eaux internationales.
En résumé
voici ce qui s'est passé : Le président
Johson avait le LIBERTY sous son contrôle personnel, il l'a& fait
stationner en Méditerranée, puis il a conclu un deal avec les israéliens qui
devaient l'attaquer et tuer tout le monde à bord. L'attaque devait être mise
sur le dos de l'Egypte afin de justifier une intervention américaine et la
prise de contrôle du Moyen-Orient. A la suite de l'attaque sur le navire le
plus décoré des Etats-Unis, le capitaine et son équipage se sont vus menacés de
prison à vie et de mort s'ils parlaient à qui conque de ce qui s'était passé.
Le capitaine
Williams L. McGonagle a reçu la médaille d'honneur du Congrès en secret sans
pouvoir dire à personne qu'il l'avait reçue.
Après le
attaques du 7 juillet et du 21 juillet de Madrid et Londres, des preuves ont
surgi prouvant que ces attaques étaient aussi des "false-flag"...
L’Occident en général, les USA et Israël dans ce cas précis, apportent la preuve de la
nocivité de nos dirigeants, incapables de résister au Nouvel Ordre Mondial qui
assassine ses propres concitoyens pour parvenir a ses fins.
Depuis
plus de dix ans je me demande comment est-il possible que nos dirigeants nous
méprisent autant, mais aussi comment est-il possible que les médias se
taisent ou se laissent manipuler ainsi ?
La
réalité de l'histoire nous parvient malgré les oppositions rencontrées y
compris petit à petit, mais il est clair que aucun homme sensé ne peut, ne
pourra se fier à un homme favorable à Israël, au sionisme. L'idéologie sioniste
est a l'égal du nazisme, et sachons-le, avait la bénédiction du N.O.M. dont le sionisme
en est la "clé de voute", pour commettre ses crimes.
Les
population du Monde sont face a des êtres qu'il faudra un jour, faire en sorte
qu'ils ne puissent plus nuire. Il faudra que la société civile prenne toutes ses responsabilités pour que cessent les manipulations des citoyens et les détournements de biens sociaux des élites dirigeantes.
Lire : Le Nouvel Ordre Mondial -02-
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