samedi 10 décembre 2011

Supprimes



Les Agences de notation c'est quoi ?
Taux variables, c'est quoi ?


Aux USA, vers le milieu de l'année 2007, les prêts hypothécaires dits à risque -subprimes- sont considérés, à partir de juillet, comme étant des prêts insolvables. Et si effectivement une petite partie de ces prêts pouvaient être considérés et cela  dès le départ comme étant des prêts à risque (c'est donc que les banquiers n'ont pas évalué le risque avec professionnalisme ) la grande majorité des emprunteurs contractant ces prêts étaient, eux, parfaitement solvables au moment où le prêt à été contracté.
Et cela quoi que les escrocs de l'information veuillent nous faire avaler.

Qu'est-ce qui s'est passé ?
Les aléas de la vie ont  pu effectivement contrarier les prévisions de certains emprunteurs qui en difficulté se sont trouvés insolvables. Mais la réalité n'est pas celle-là. La crise des subprimes est né surtout à partir du moment où les taux variables  ont doublé parfois même triplé, amenant les remboursements des mensualités au-delà de ce que ces emprunteurs pouvaient rembourser. (Je me souviens de l'interview d'un employé, pompier de son état, qui ne pouvait plus payer les primes d'assurance maladie. Il devait choisir : ou payer les mensualités de son emprunt qui avait triplé ou payer son assurance maladie) Voila donc un exemple d'emprunteur rendu insolvable par l'augmentation inconsidéré des taux variables.

La Haute finance américaine, consciente du risque que représentent ces subprimes ces prêts hypothécaires à risque, s'est empressée de céder une partie de ces créances titrisées au reste du monde entrainant une récession en Europe mais aussi sur l'ensemble de la planète, quand je dis touchant l'ensemble de la planète, je désigne tous ces êtres cupides pensant que l'on peut gagner facilement de l'argent avec de l'argent qui se sont laissés happer par l'appât !

Quelle est la relation avec les crises touchant les États ?

De la même manière que les banquiers évaluaient les taux d'intérêts variables, non en fonction d'un risque potentiel, mais en fonction de l'exigence de gagner un maximum d'argent. (faire de l'argent avec l'argent) Les Agences de notation font fluctuer le taux des crédits contractés par les États, non en fonction d'un risque accru, mais d'un besoin de gagner d'avantage d'argent (gagner de l'argent avec l'argent).
Comment ne pas admettre que l'augmentation du taux d'une créance, ne fragilise d'avantage l'emprunteur, aggravant de fait le risque du banquier !
Les banquiers se tireraient une-balle-dans-le-pied ? Leur cupidité de ces "argentiers" serait a ce point aliénante qu'ils ne s'en rendraient compte ?
Il doit y avoir écrit "gogo" sur le front des citoyens.

Non, Non  et Non, ces Agences de notation, ces banquiers, tous ces dirigeants politiques, économiques cupides, sont les porte-flingues d'une élite autoproclamée capable de décider :" a qui on va faire la guerre, le prix du pétrole, les conditions du libéralisme aveugle actuel, de l'économie, de la mondialisation."

Le but de ces crises est de nous faire admettre ce que normalement nous aurions refusés, aussi bien en matière d'acquis sociaux que le fait de privatiser des pans entiers de l'économie, dont les États endettés ne pourraient plus maitriser.  
En ce qui nous concerne, les difficultés dans lesquelles  nous nous trouvons aujourd'hui on été très largement programmées.

M Nicolas Sarkozy, s'est rendu compte de la possibilité qu'il avait de remporter l'élection Présidentielle française a partir du moment où les sondages lui ont été favorables à Washington et à Tel-Aviv. Vous avez dit bizarre ? N'a-t-il pas dit juste après : "cette élection je la sens bien". N'a-t-il pas déclaré au début de son quinquennat : "après la politique je vais me consacrer à faire des sous, des gros sous." C'est donc qu'il avait trouvé le moyen d'en faire des gros sous !  Vous avez dit bizarre ?

Sans oublier que la dette française fut initie, après que le gouvernement Barre, sous Giscard ait assaini les finances, par Dominique Strauss-Kahn (pro israélien, n'a-t-il pas déclaré : "je me lève tous les matins en me demandant, ce que je peux faire pour Israël")  sous le septennat de Mitterrand (pro israélien).
Le gouvernement Fillon ne fait pas mieux, au sein de ce gouvernement mais aussi au sein de l'UMP il y a manifestement des gens qui ne veulent pas du bien aux français. Mais ne croyez pas qu'ils sont les seuls. Je l'ai dit et je le répète votez pour des hommes/femmes politiques honnêtes, honnêteté physique (ne pas voler) mais aussi intellectuelle (ne pas mentir, ne pas manipuler) c'est a ce prix que nous sortirons de cette crise voulue et programmée. Il y a aussi un aspect important c'est le courage de celui pour qui vous soulez voter, s'il louvoie ou élude les questions, s'il est un clientéliste, il ya de fortes chances qu'il renie les promesses qu'il vous aura faites.


Néanmoins une question  me semble encore floue, comment on a pu faire appel au crédit pour financer nos Etats, qui plus est aux financement privés. Nos responsables ont fait preuve de prévarication à moins qu'ils ne soient tel qu'il se révèlent à nous, des escrocs. Comment ne pas l'imaginer lorsqu'ils distribuent des sommes "faramineuses" en crédit d'impôt et autres "niches" aux plus nantis, qu'ils s'octroient des indemnités de non réélection, quand en même temps diminuent la durée d'indemnisation des chômeurs. [...]

Autre amendement que ces... voudraient faire passer, tel que le "patron" du groupe UMP à l'assemblée Christian Jacob  demandait conjointement avec le "patron" de l'UMP François Copé (sionistes notoire) : "la suppression de l'incrimination pénale pour les députés qui omettraient sciemment de déclarer une partie de leur patrimoine".  De quel droit ces voyous sans vergogne réclament des passe-droit, eux qui devraient nos donner l'exemple.  Amendement que ces deux voyous ont du retirer. Ces français là ne "roulent" pas pour la France mais pour une mouvance qui ne veut pas du bien au genre humain, ne sont-ils pas le Peuple élu !  Comment est-il possible que des êtres a qui les français ont fait confiance, sans distinction de race ou de religion peuvent ils, parce qu'ils sont juifs, nous trahir ainsi. Trahir quelqu'un qui vous fait confiance est le dernier degré de la bassesse humaine. L'histoire du sionisme est remplie de ce type de trahisons, mais passons. 
Berner quelqu'un qui se méfie de vous, c'est abuser de sa confiance. Mais abuser quelqu'un qui vous fait confiance est non seulement à la porté du premier imbécile venu, mais est surtout indigne d'un être en possession de toute ses facultés humaines. C'est un animal prédateur en maraude. Comment dans ces condition ne pas admettre que nous élisons, la plupart du temps, des escrocs. 

Je dois avouer que le refus de cet amendement par l'Assemblé me redonne un peu d'espoir, mais quand je vois encore les escrocs qui virevoltent autour du leur Président -même s'il y a des ministres très acceptables- je me dis que si les français n'ont pas l'intelligence de les déloger, nous avons encore des soucis à nous faire pour nos enfants et petits-enfants.
J'accepte les difficultés rencontrées, mon engagement le vaut bien. 
Oui moi aussi, nous devons résister, nous battre contre ces politiques qui se prennent pour la noblesse ou voudraient avoir les mêmes privilèges aujourd’hui que la noblesse avait hier et pour lesquels, cette élite par leur naissance et aujourd'hui autoproclame, furent "pendus". Car il est clair qu'ils n'ont pas été élus pour qu'ils s'enrichissent sur le dos de la population.   

Il y a deux jours aux information, j'ai entendu qu'en Israël deux "français" responsables d'un accident de la circulation où une israélienne a succombé a ses blessures, se sont empressés d'aller à l'aéroport pour revenir en France, fuyant ainsi leur responsabilités.
Leurs avocats français estiment leur attitude humaine, comment est-il possible que des hommes fussent-ils juifs, puissent se comporter de la sorte sans être qualifies de "petites frappes" de "malotrus" de "voyous" et que leur avocat soit juif, n'enlève rien à la gravité de l'acte commis.
Le gouvernement israélien réclame les deux individus pour les juger. (la France  n'extrade pas ses ressortissants) qu'ils aient, apparemment, ou qu'il n'aient pas la double nationalité.

C'est exemple ne sert qu'a souligner, que le gouvernement israélien oublie bien vite, que lors de la "cavale" (émission de traites non honorées au détriment des banque et des entreprises) du sentier à Paris il y a 15/12 ans, ( peu importe c'est le cas d'espèce qui est significatif) ne pouvait pas extrader l'escroc. En effet, la "tête pensante" de cette escroquerie s'est réfugié en Israël.


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