dimanche 30 décembre 2012

L’Allemagne est-elle rattrapée par ses vieux démons ?



Le nazisme, ou national-socialisme (en allemand : Nationalsozialismus), est l'idéologie politique du NSDAP, parti politique fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et religieux. Cette vision du monde reprenait la division hiérarchique de l'espèce humaine en races, hiérarchie au sommet de laquelle elle situait la « race aryenne ». Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945 et connu sous les noms de Troisième Reich et d' « Allemagne nazie ».

Voila donc ce que c'est le nazisme.
Y voyez-vous une différence avec le sionisme ?




L’Allemagne est-elle rattrapée par ses vieux démons ?

Tuvia Tenenbom, un auteur américain né en Israël, explique dans un livre sortie en 2012 que l'antisémitisme reste très présent en Allemagne de nos jours.


Est-ce le retour des chemises brunes ? C'est ce que se demande l'hebdomadaire allemand Der Spiegel. Dans un très long article, l'hebdomadaire aborde de front la thématique de l'antisémitisme en Allemagne, concluant que – même plus de 70 ans après la fin de la seconde Guerre mondiale – "il n'y a rien qui intéresse plus les Allemands que leurs relations avec Hitler". Mais cela reste également le plus gros cliché vis à vis des Allemands, taxés de nazis dès qu'ils tentent d'imposer leur vision du monde, au niveau de l'Union européenne par exemple. "Cette année, beaucoup se sont demandés si la "mauvaise Allemagne" était de retour" continue ainsi le newsmagazine faisant référence aux manifestations des "Grecs ou des Espagnols – luttant contre la soi-disant dictature de l'Allemagne au sein de la zone euro – et dans lesquelles on a pu apercevoir des drapeaux nazis".
"Quand l'auteur américain Tuvia Tenebom a traversé le pays récemment, il y a vu énormément d'antisémitisme. On est de retour là où ne voulait pas retourner, ensorcelé par un passé nazi qui domine notre présent" écrit encore Der Spiegel. Dans son livre "Seul parmi les Allemands" ("Allein unter Deutschen"), Tuvia Tenebom défend l'idée que la plupart des Allemands méprisent profondément les Juifs malgré - ou à cause de - 70 ans d'expiation de l'Holocauste.
Tuvia Tenenbom, né à Tel-Aviv en 1957, a voyagé plusieurs semaines à travers l'Allemagne pendant l'été 2010. Il y a rencontré célébrités, gérants de magasin, professeurs et étudiants, militants d'extrême gauche ou néo-nazis. "Huit sur dix", voilà, selon lui, la proportion d'Allemands qui expriment "de manière latente ou inconsciente" des convictions antisémites. Des résultats pourtant très éloignés de ceux d'une étude parrainée par le Parlement et publiée en 2012 et qui évoque une proportion de deux sur dix. Très polémique - et très critiqué (en particulier par Der Spiegel) - cet auteur a été comparé en Allemagne à Woody Allen, Michael Moore, et surtout Sacha Baron Cohen et son personnage satirique Borat.
Peu importe ce que l'on pense du livre de Tenenbom, Der Spiegel écrit cette phrase assez assassine : "Nous n'avons pas besoin de l'avis des autres pour arriver à [la] conclusion" que le passé nazi est encore très présent en Allemagne. Le Spiegel en profite pour faire la liste des événements antisémites allemand de 2012 : "En avril le prix Nobel Günter Grass a été accusé d'antisémitisme après avoir écrit un poème très critique vis-à-vis d'Israël. Ensuite on a appris que la rameuse Nadja Drygalla fréquentait un cadre du parti d'extrême-droite allemand NPD", ce qui l'a obligé à quitter le Village olympique et à abandonner les Jeux. "On a passé l'autre moitié de l'été à débattre sur le fait de savoir si un chanteur d'opéra russe avec le tatouage d'une swastika devrait être autorisé à chanter au festival de Bayreuth." Et enfin "fin août, de nombreux médias, dont le Spiegel, a rapporté que des Neo-Nazis avaient infiltré un quartier de la ville de Dortmund, et qu'ils avaient même établi leur présence au sein des fans du club de football du Borussia Dortmund".
Der Spiegel de conclure qu'il semble ne rien rester de l'Allemagne multiculturelle de 2006 ou 2010 quand le jeune équipe de football avait impressionné le monde entier. "Même 70 ans après, ça fait une différence si un acte de xénophobie a lieu en Allemagne […] On reste un cas à part, car Hitler est un des nôtres."

Cet écrivain, fait là, ce que fait l'intelligentsia pro sioniste en France. Dresse le spectre de l'antisémitisme pour servir de pare-feu aux manquements au droit international et aux crimes israéliens.
L'antisémitisme est le reflet du racisme juif vis-à-vis des goïm. Tout comme, le terrorisme musulman est le reflet du terrorisme occidental en général, du terrorisme israélien en particulier.
Le nazisme et le sionisme sont les deux faces d'une même médaille, représentant l'élimination d'un peuple par une idéologie raciste et xénophobe.  

Cet auteur ne décrit pas des faits avérés, mais dépeint un cadre devant servir, à nouveau, les intérêts israéliens.   
En France, lors qu’Israël est coupable de crimes de guerre ou en "délicatesse" avec le droit international, surgit  de sa bauge l'esprit de l'antisémitisme.
Quelque soit l'acte dont un juif est en cause, est aussitôt qualifié d'acte antisémite. Pourtant neuf fois sur dix, il s'avère après enquête que l'acte qualifié d'antisémite, tout juste quelques jours auparavant, était une rixe entre bandes rivales ; une affaire criminelle de droit civil ; parfois pure invention d'une mythomane ou un acte commis par un juif lui-même...
Et les actes pouvant être qualifiés de terroristes, sont souvent motivés par le terrorisme israélien, quelquefois pris comme alibi à un crime de droit commun, mais c'est plus fructueux de le qualifier d'antisémite.

Se servir de l'antisémitisme comme d'un pare-feu est une technique maintes fois éprouvée par cette intelligentsia occidentale pro-sioniste remarquable par son népotisme et sa capacité à manipuler les populations.
La technique du pare-feu  reste un moyen très sur pour tromper les citoyens, rappelant le crime commis à l'encontre des Juifs, sans faire référence aux crimes que ces derniers commettent en Palestine.
Le soutient, non-seulement à la cause sioniste, mais aussi, l'absolution des crimes israéliens, de la part de la quasi totalité de la Communauté juive, fait d'elle une cible pour ceux qui, au nom de l'Islam, commettent des actes que nous qualifions, à tort ou à raison, de terroristes. Tuer des innocents est un acte terroriste, mais Israël, ne tue-t-il pas tous les jours des innocents ? Qualifions-nous ses crimes de terroristes ? 
Mais, il y a aussi, tous ceux qui au nom de leur liberté combattent un occupant qui les tue, qui vole leur terre, qui les spolie, qui leur vole leur existence, qui les empêche de vivre, ceux-là ne sont pas des terroristes, quelque soit la forme de leur résistance. Il n'y a que la poltronnerie ambiante, comme le fait, l'Occident, les USA, l'Europe pour qualifier la résistance palestinienne de terrorisme.

Il y a eu en France la tuerie de Toulouse où des militaires et des juifs, parmi eux des enfants, ont été victimes d'un homme se réclamant de la mouvance terroriste islamiste. Toutes ses victimes n'étaient pas juives et la question des réelles motivations du criminel reste posée. L'antisémitisme à lui tout seul ne peut expliquer l'assassinat des militaires...
L'intelligence voudrait que l'on se penche sur les raisons qu'a eues cet homme pour assassiner des enfants juifs..., le terrorisme musulman ne serait-il pas l'autre face de notre propre terrorisme ?

Les Juifs ont été accueillis comme des frères au début de leur immigration, ce n'est que lorsque les palestiniens on vu dans les sionistes leurs futur bourreau, que les affrontements on débuté. 
Les juifs immigrés en Palestine ont employé la ruse et la collusion (le mot complot convient mieux) pour faire d'un mythe, celui de la Terre promise une réalité. Or si l'Intelligence fait admettre un concept, la ruse berne celui qui accepte. Voila donc "planté" le décor du principe originel de la lutte islamique.
Le "Foyer juif" est devenu et Théodore Herzl le savait un Etat qui a du et doit s'imposer par la ruse et la violence. Violence que lui permet la puissance des armes mais aussi les êtres cupides et sans caractère que nous avons placé à la tête de nos États.  
            



Ce que fait-là Tuvia Tenenbom, est, ni plus ni moins, que de tenter de rallier la communauté, ici Allemande, à la vision juive de ce conflit, par le remords qu'a pu engendrer le génocide juifs par les Allemands. Pourtant Angela Merkel, vend des sous-marins à Israël, qu'il équipe de têtes nucléaires. Et ses ogives sont pointées sur les capitales arabes, mais aussi européennes..., les dirigeants allemands se sont mis au service du nazisme en 1939, le gouvernement allemand de Mme Merkel se met au service du sionisme, l'autre face d'une même pièce.           
Aujourd'hui plus que jamais Israël a besoin du soutient de tous ceux qui, juifs ou non, absolvent ses crimes.
La Palestine par la voix de Mahmoud Abbas (Président de l'Autorité palestinienne, non élu, mais reconnu par l'Occident) a présenté un projet de résolution. Demandant la reconnaissance de la Palestine comme Etat non membre de l'ONU.
Malgré la reconnaissance par la Communauté internationale de la Palestine comme Etat, Israël défie l'ONU et la Communautés internationale en accélérant la construction dans les colonies en territoire occupé, et continue à détruite l'habitat autochtone, assassine et emprisonne des palestiniens.

Trop souvent les juifs trouvent immoral un concept qui les désavantage, mais il leur semble parfaitement moral tout concept politique, militaire ou sociétal, lorsqu'un bénéfice est à réaliser.
En Palestine, les juifs européens y ayant immigré trouvent moral leurs rapines, mais trouvent immorale la résistance des palestiniens.
C'est aussi cette vision des rapports humains qui créent les conditions de ce que certains juifs appellent antisémitisme et qui n'est, dans les faits, un désaccord à leur manière de concevoir les rapports avec les autres.

Trois questions à Alfred Grosser, historien, sociologue et politologue franco-allemand et à Stéphane François, historien des idées et politologue :

La crise économique a t-elle ravivé certaines tendances extrémistes ?
Alfred Grosser : La crise économique frappe beaucoup moins l'Allemagne que la France, le chômage n'augmente pas et le nombre de postes occupés augmente. Il n'y a pas de paupérisation. La crise ne ravive donc en aucun cas les tentations extrémistes.
Stéphane François : Le contexte économique joue un rôle très important dans la recrudescence de mouvements extrémistes, que ce soit en Allemagne ou dans d’autres pays. Ceux-ci réapparaissent dans les périodes de crises économiques profondes : l’Angleterre des années 1970, l’Allemagne de l’Est des années 1990, la Russie de la même période… Sinon, ils restent marginaux, violents certes, mais marginaux (comme en Scandinavie par exemple). Ces tendances extrémistes relèvent d’une idéologie du ressentiment, qui n’existe que par la volonté de se créer un bouc émissaire : les Juifs dans l’Allemagne des 1930, les populations de couleurs à partir des années 1970 (en plus des Juifs). Ceux qui sombrent dans cet extrémisme, ne sentant pas leurs revendications sociales prises en compte par les politiques, ont donc investi le champ idéologique du racisme comme une thématique de compensation…

Il y a en effet un lien très net entre la montée des extrémismes et les ravages de la mondialisation. De façon générale, les périodes de crise, et les situations de détresse sociale qui en découlent, favorisent le repli et les discours identitaires, en particulier dans la dérive radicale de certains groupuscules. En France par exemple, la montée en puissance de l’extrême droite commence avec les contrecoups de crise de 1973, c’est-à-dire au début des années 1980. La peur de l’avenir entraîne la peur de l’autre, la volonté de revenir à une société fermée…
Les jeunes sont-ils les plus touchés ?
Alfred Grosser : Un nombre important de jeunes se demandent que faire face à cette mémoire du passé. Certains s'engagent alors en faveur de causes pour aider les opprimés dans le monde. Nous en sommes déjà à la troisième ou quatrième génération depuis la fin de la guerre.
Il n'y a pas de mouvements extrémistes nazis, si ce n'est des actes de violences dans l'ancienne Allemagne de l'est où la police n'a peut-être pas suffisamment surveillé. Le parti d'extrême droite, le NPD - le parti national-démocrate - ne fait aucun résultat suffisant pour peser aux élections. S'il y a parfois des mouvements de violences de jeunes portant des croix gammées tout comme au Danemark par exemple, ils sont beaucoup moins nombreux que dans les autres pays.
Stéphane François : Il est vrai que le néonazisme attire plutôt des populations jeunes, plutôt fragiles, venant d’un milieu défavorisé, avec un niveau scolaire assez bas. Ceci dit, il faut aussi tenir compte que ces milieux extrémistes sont très volatiles : les populations/militants se renouvellent, avec un turnover assez fort. Chez eux, le refus de l’autre (racisme/antisémitisme) est peu réfléchi, peu conceptualisé. Le discours relève plutôt du ressentiment. On trouve fréquemment les tags suivants dans les zones où se trouvent des néonazis : « mort aux youpins » ; « mort aux négros » ; « mort aux arabes », « mort aux bougnoules » ; «power », « SS », « HH », etc. Cela dit, il existe différentes générations depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, les plus anciens éduquant idéologiquement les plus jeunes…
Quel est le rapport des Allemands de 2012 à cette période noire de l'histoire allemande ?
Alfred Grosser : Cette période de l'Histoire est très gênante. Le traumatisme continue notamment dans la politique menée par rapport à Israël... Il y a un nombre important de commémorations, notamment au mois de janvier avec une commémoration nationale où des pavés sont posés devant les maisons pour rappeler que des juifs déportés y ont vécu.
Stéphane François : L’histoire du nazisme allemand (1933-1945) reste problématique. Signe à la fois d'un problème d’identité et d'un passé qui ne passe pas, les Allemands, et les médias allemands, observent à la loupe le moindre signe de renouveau du nazisme. Ils n’arrivent toujours pas à assumer cet épisode très sensible, il est vrai. Pourtant, d’un point de vue universitaire, il y a beaucoup d’études et de publications sur cette période, sur les différents aspects du nazisme, ainsi que sur les facteurs qui ont permis son émergence. Cela montre que les chercheurs n’hésitent pas à regarder en face le passé de l’Allemagne.

En outre, il y a toujours eu des nostalgiques du régime national-socialiste en Allemagne, ainsi que des personnes ayant une vision raciale du monde. Ces personnes sont la mauvaise conscience de l’Allemagne. Ce sont elles qui sont surveillées, scrutées par les médias. Il suffit qu’une personne passe à l’acte pour que les médias allemands et une partie des politiques ou militants antifascistes voient le renouveau du spectre nazi. Ce qui est intéressant, c’est ce que cette attitude, par une construction en miroir, conforte ces groupes néonazis, en renforçant leur cohésion…

Malgré ce que l’on peut lire, il n’y a pas, comme l’ont suggéré des articles allemands, de « Brigades Brunes » (calquées sur les Brigades Rouges des années 1970). Il s’agit, simplement, mais c’est déjà beaucoup, de passages à l’actes, très violents, puisqu’il y a eu des morts, d’individus (et non de groupes). Pour rester dans le cas allemand qui a défrayé la chronique il y a un an, le passage à l’acte visait des personnes issues des minorités de couleurs. Ceci dit, la violence antisémite n’a pas disparue, mais on ne peut pas dire que la population allemande est foncièrement antisémite, comme le fait Tuvia Tenenbom. S’il reste des nostalgiques du nazisme, ceux-ci ne composent pas les 8/10ème de la population allemande comme il l’affirme. 


Le problème qui se présente à nous, est moins la difficulté auxquelles nous devons faire face, que le fonctionnement népotique de la majorité de la Communauté juive. Israël est, qu'on le veuille ou non, un État illégal, va-t-en-guerre, qui se maintient par la force des armes et par le soutien des juifs pro-sionistes et par les dirigeants, politiques ou/et économiques qu'ils ont corrompu.  

Le népotisme n'est pas, ne peut pas être, un modèle de gouvernance,ne peut pas être la valeur de référence des États  que nous voulons démocratiques.

Des français en visite à Gaza 
Si vous doutez encore du caractère criminels des gouvernements israéliens :



le 28 décembre 2012

Nous n’avons pas trouvé les "terroristes" sous les décombres du plus grand stade de foot de la bande de Gaza. Toutes les destructions dont nous sommes témoins à Gaza, des multiples maisons, jusqu’au service de l’Etat civil du ministère de l’intérieur, montrent en revanche la volonté israélienne de cibler des infrastructures civiles.


le 28 décembre 2012

Vendredi, jour de congé à Gaza. Mais pas dans les hôpitaux et encore moins à l’hôpital Shifa, plus grand hôpital de la bande de Gaza et hôpital de référence réunissant toutes les spécialités médicales et chirurgicales.
le 28 décembre 2012
C’est avec beaucoup d’émotion que nous sommes entrés dans la bande de Gaza jeudi soir, accueillis avec enthousiasme dès Rafah par les journalistes, les autorités et nos amis Amir Hassan et Ayman Qwayder.
 

vendredi 21 décembre 2012

La déconstruction sociétale, en continu...



La déconstruction sociétale, en continu... depuis Heidegger, puis vulgarisé par Derrida,  à nos jours...  

La déconstruction que je tente de dénoncer, l'est moins, contre tous ceux qui veulent obtenir des droits, que contre ceux cherchant à déstabiliser la société en détruisant les dogmes qui permettent de vivre en bonne intelligence, en dressant ses composantes, les unes contre les autres, en espérant en tirer un bénéfice...


La vie ne peut se résumer ni au sexe, ni à l'argent..., et il est illusoire de confondre la vie éternelle avec la vie sur terre, ce que doit être un homme qui sait résister à ses envies avec un homme qui se laisse aller, pour des raisons mythologiques ou religieuses, a ses plus vils  instincts.

Cette pratique d'analyse textuelle est employée pour décortiquer de nombreux écrits (philosophie, religion, littérature, journaux), afin de révéler leurs décalages et confusions de sens, par le moyen d'une lecture se focalisant sur les postulats sous-entendus et les omissions dévoilées par le texte lui-même.

La déconstruction est une méthode, voire une école, de la philosophie contemporaine. Si le terme « déconstruction » a d'abord été utilisé par Heidegger, c'est l'œuvre de Jaques Derrida qui en a systématisé l'usage et théorisé la pratique.

C'est ainsi que les élites juives, éclairés par les principes de Derrida, ont favorisé cette déconstruction. Les exemples ne manquent pas, parfois aussi anodins que les récentes déclaration de Mattieu Pigasse*, mais aussi tous les principes diffusées dans les médias signifiant dans ce contexte une opération portant sur la structure ou l’architecture traditionnelle des concepts fondateurs de l’ontologie ou de la métaphysique occidentale, favorisant insidieusement la déconstruction de ce qui justement construit l'homme, sa morale, ses principes...

La déconstruction n'est pas un acte ni une opération. C'est un démontage qu'on ne peut pas attribuer à un sujet individuel ou collectif qui en aurait eu l'initiative : elle a lieu, sans délibération ni organisation. La construction se perd, c'est ainsi. L'homogénéité se trouble, l'espace se brouille (comme chez Cézanne), les structures se délitent.
Il y a en elle quelque chose de passif. Il faut reconnaitre cependant que l'investissement de ceux qui sont favorables au sionisme à Israël, leur concours dans cette déconstruction, est évident. Israël est un État illégal, qui, pour se maintenir doit manipuler les populations mondiales, utiliser la force des armes pour se maintenir au Proche-Orient. Et c'est l'investissement de ceux qui lui sont favorables qui lui accordent l'impunité qui est la sienne. 


  1. Après l'avortement, un des dogmes de la chrétienté, est tombé avec Mme Simone Weil.*

    • Destruction des dogmes religieux, autres que ceux prônés par le judaïsme, comme par exemple la loi Weil sur l'avortement. Les dogmes et mythes de la religion israélite, restent intacts. On assassine, même, en leur nom.

Ø  La lutte des femmes pour la conquête des mêmes droits que les hommes est, de mon point de vue, légitime. Il y a cependant un point sur lequel je suis férocement contre, et la religion ou je ne sais quoi encore n’y sont pour rien. C’est l’avortement. Que l’avortement soit légalisé pour palier à une détresse ou dans un cas d’extrême urgence, cela pourrait se comprendre mais que cette légalisation soit l’équivalent de banalisation, n'est pas acceptable. Mme Weil s’est fait un nom sur une erreur grossière. 
Ø       En effet l’avortement est un acte traumatique laissant sans objection possible des séquelles, parfois physiques souvent psychiques. Il eut valu mieux banaliser la contraception, mais surtout se donner les moyens de l’information, de sorte que toute femme ayant accédée au cycle menstruel reçoive aussi l’information adéquate.
Ø    Ce que fait Mme Weil là, et l'acharnement qu'elle y consacra, me fait penser d'avantage à une volonté de lutter contre un dogme d'une religion qui n'est pas la sienne, que d'atteindre un quelconque droit.   


  1. Avec l'abolition de la peine de mort, un dogme sociétal est annihilé, avec Mr Robert Badinter*, Ministre de la Justice de Français Mitterrand.

    • Destruction de la structure sociétale, présenté comme un bien, celui d'éviter l'erreur judicaire. La loyauté, la droiture, l'honnête, ce qui enfin de compte fait l'homme, s'émiette.  
Ø    Si pour prévenir une erreur judiciaire, nous pouvons admettre que la peine de mort ne soit pas appliquée, sauf conditions irréfutables, comme par exemple ; les crimes de guerre ; les crimes contre l'humanité, les crimes d'enfants lorsque la culpabilité ne fait aucun doute ; ou encore les crimes où  la férocité dépasse l'entendement humain, l'abolition pure et simple de cette loi envoie un message au criminel qui lui assure que quelque fusse son crime il ne sera exécuté.
Ø    Je ne vois pas là une quelconque avance humaine,  ce que j'y vois c'est une exonération  pour les grands criminels, criminels de guerre ou contre l'humanité.  
Ø     Laisser croire qu'un homme n'a pas le droit de tuer un autre homme, est une manipulation. Il faudrait que M Badinter s'applique cette règle à lui même, au lieu d'absoudre les crimes que d'autres juifs commettent en Palestine.

  1. Après le "pacs" les socialistes nous dévoilent le mariage pour tous. présenté en conseil des ministres le 7 novembre et qui sera examiné à partir du 29 janvier à l’Assemblée nationale.
  2. La procréation Médicalement Assistée. Pour des raisons médicales oui, pour faire comme les hétérosexuels, non.


    • C'est moins l'union de deux personnes du même sexe qui est dérangeante, que le mot employé pour désigner cette union. Je ne vois pas où est la perte d'avantages, juridiques, fiscaux, humains, pour les homosexuels, dans le fait de  réserver le vocable "mariage" a ce qui a toujours été le fondement de la famille. A moins de chercher à détruire la cellule familiale. Y compris si c'est présente par le Gouvernement Hollande* comme une avancée humaine, ce sont les repères familiaux qui volent en éclats.
Ø     Pourtant le dogme familial de la société occidentale est un père une mère, qui en procréant créent ce que l'on appelle une famille.
Ø      Ce qui ne veut pas dire qu'il faille négliger les droits de tous ceux qui, pour des raisons qui leur sont propres, décident de mener une autre manière d'existence.
Ø    Les droits de l'homme sont aliénables à tous les hommes, quel que soit le choix de vie qu'ils aient décide de mener.  Cependant, vouloir pour un homosexuel les mêmes droits qu'un Hétérosexuel est parfaitement légitime, mais la famille n'est pas un droit, c'est un fait naturel. Deux homosexuels (hommes ou femmes) ne peuvent créer une famille du fait même que pour procréer doivent faire appel à un artifice.  
Ø     Le mariage est le fondement de la famille : un père, une mère, des enfants. Détruire ce fondement est mètre en péril les générations à venir. L'histoire des enfants adoptés pullule d'exemples où ces derniers on voulu connaitre leur géniteurs, pour qu'enfin, y compris sans renier les parents adoptifs, puissent trouver un équilibre psychologique. Allez donc expliquer à un enfant, qu'il est issu d'une paillette surgelée venue de je sais où, d'un embryon anonyme, d'une mère porteuse etc... Quelle image aura cet enfant de ses mères adoptives ou de sa mère porteuse ?
Ø   Quel drame et quel message plus clair que celui d'un couple qui ne peut avoir d'enfants et a qui on refuse, pour la bonne sante psychologique de l'enfant, l'adoption.
Ø  La famille c'est un père une mère des enfants. Mais comment les enfants des ces nouveau couples doivent parler de leurs parents : maman et maman ou papa et papa !  
Ø   Non c'est ridicule. Que les homosexuels aient les mêmes droits que tout en chacun, est une avancée humaine. Qu'ils puissent adopter, pourquoi pas mais de grâce ne laissez pas croire à l'enfant qu'il est issu de deux mamans ou de deux papas..., qu'il est le fruit naturel de l'amour que se portaient ses parents. Le laisser croire est une manipulation, c'est un détournement de la signification des mots.
Ø   Le mariage est une union fondée sur la famille, il ne peut pas être fondé sur la filiation par l'adoption. Même si des parents font appel à l'adoption ou à l'assistance médicalisé, pour des raisons médicales.  


Ces mariages impliquent l’adoption, mais le projet ne résout pas toutes les questions relatives à la filiation. «Le gouvernement aurait peut-être préféré ne rénover, dans un premier temps du moins, que le mariage. Mais, c'est impossible car celui-ci ouvre automatiquement à l'adoption», rappelle Irène Théry, sociologue du droit, de la famille et directrice d’étude à l’EHESS. Selon elle, «le débat se focalise sur la filiation et c'est logique car la loi propose un véritable changement symbolique: un enfant pourra avoir deux pères ou deux mères. Lors du Pacs, en 1999, le pas symbolique portait sur le couple, puisque la loi instituait le couple de même sexe».

En conclusion quel est l'intérêt pour cette intelligentsia là, a ce que l'être humain développe une schizophrénie dès son plus jeune âge ?
Un monde sans repères, sans limites, sans le minium de respect nécessaire entre les hommes, toutes ces avancées que l'on nous présente comme étant des libertés, ne sont en fin de compte que les outils, pour que certains d'entre-nous tirent bénéfice de cette déconstruction.

Je vais cependant émettre une crainte. Aujourd'hui le divorce est passé dans les mœurs, pourtant nous savions que le mariage passe par trois stades. La passion ; l'admiration ; la tendresse. Ce sont ces trois stades qui permettaient aux couples de vieillir ensemble.
Ce qui ne veut pas dire qu'un couple arrivé à l'incompréhension, mieux veut en effet divorcer que de souffrir et faire souffrir. Mais aujourd'hui on divorce parce que l'on a vu passer une canne à pêche en jupon, on se demande même si l'homme en se mariant connaissant toutes les implications que représente de fonder une famille.
La crainte que je voudrais émettre, c'est que ce n'est pas la durée des unions qui caractérise la communauté homosexuelle. Que vont devenir tous ces enfants adoptés ou médicalement procrées ?  
Nos enfants de divorcés, jugent sévèrement, très souvent, leurs parents. Que va-t-il en être de ces enfants adoptés par des parents homosexuels ?
C'est une grande responsabilité de mettre des enfants au monde, surtout par l'inconséquence et la cupidité des élites mondiales, capables de faire la guerre pour des intérêts économiques.

Le statut de coparent et du beau-parent !
«Le statut de coparent est revendiqué par les gays car du fait de la façon dont ils font famille, l’autre est inexistant», résume Caroline Mécary, avocate et co-présidente de la fondation Copernic.
Qu’est-ce que ce «coparent»? «C’est le terme inventé par les associations gay et lesbiennes pour désigner le compagnon qui est là au moment du projet» d’avoir un enfant, explique Irène Théry.

* M Mathieu Pigasse, directeur de la Banque Lazzard, chargé de faire le lien entre la dette Grecque et les banques ! (Banque privé à laquelle la France verse des dividendes). 
* Mme Simone Weil est juive.
* M Robert Badinter est juif.
* Nous savons tous, que dans le Parti Socialiste (PS) il n'y a pas que des Juifs. Cependant dans le gouvernement Hollande les Ministres régaliens sont juifs.
[A l'UMP, Jacob et Copé, respectivement Président du groupe UMP à l'Assemblée et Président de l'UMP, n'a rien à envier au PS, en ce sens les principaux partis français, sont bien ferrés...] Israël peut continuer ses crimes, la "France" les absoudra. 

Comment peut-on croire que nous sommes dans le vraie ?
Que la société qui nous est présentée suit le bon chemin ?
La France a emprunté en 2012, 178 milliards, sur les marchés financiers.
En 2013 elle escompte emprunter un peu moins.
Comment peut-on continuer d'emprunter quand les intérêts de la dette sont passés en 2012, au premier poste de dépenses français, devant l’Éducation Nationale et l'Armée, c'est à dire qu'un pourcentage important de français  travaillent pour engraisser les actionnaires des banques privés.

Israël et l'intelligentsia pro sioniste dénigre le Pape, l'Islam, tous les sujets son bons pour brocarder la religion Catholique, le Pape, qualifier la religion musulmane d'islamiste,  laissant croire qu'elle fait partie de la nébuleuse terroriste. Or si  les factions résistantes sont fondamentalistes, comme les Frères musulmans*, le Hezbollah, ou le Hamas, aucun acte de terrorisme, hormis des faits de résistance, ne peut leur être imputé. L'intelligence voudrait qu'elles ne fussent confondues avec Al-Qaïda. la propagande pro sioniste est si manipulatrice qu'en France des "citoyens" assimilent les palestiniens au terrorisme. Or, ce que les palestiniens subissent, la politique israélienne est si injuste, si inique, si criminelle, que n"importe lequel d'entre-nous préférerait, somme le font les palestiniens, donner sa vie pour que d'autres en aient une meilleure. Et les Attentats kamikazes sont des actes de résistance, même si l'Occident par ignorance ou stupidité les qualifie d'actes terroristes. En Palestine il n'y a pas de juif rédemptif ou innocent.   
J'aimerais que cette intelligentsia, pro sioniste, répandant la pensée unique, nous dise : "qui sommes nous pour imposer aux Etats Arabes ou quel que fusse l’État, dans quelle société ils doivent vivre.
Leur radicalisme est dû à notre propre terrorisme. Ho, c'est un terrorisme qui use d'artifices, fomente des guerres appelés : ethniques ; de religion ; politiques, et ne sont que des guerres politiques pour étendre notre influence..., on s'accoquine avec celui qui nous rapporte, on fait la guerre à celui qui nous en empêche...

Si la Constitution proposé par l'actuel Président élu d’Égypte, issu des Frères musulmans, est voté, nous assisterons à une levée de boucliers des la part de tous les, soi-disant- démocrates occidentaux -"journalistes" et "politiques"-. 
Pourtant lorsqu'on les entend, la démocratie se limiterait à  : "la loi du plus grand nombre". C'est ainsi que depuis trente ans, des décisions, soi-disant démocratiques sont prises au plan national comme international qui s’avèrent être de véritables pièges pour les citoyens. Où ils y perdent un à un leur acquis, au profit de véritables escrocs. Escrocs qui s'auto-accordent des avantages en même temps, que les citoyens perdent les leurs. 
Dans ces conditions, (même si je considère que l'aliénation d'un peuple à une idéologie, qu'elle soit politique ou religieuse, est un recul) pourquoi les partis fondamentalistes ne feraient pas ce que, par ailleurs, nous faisons ? 
Pensez-vous un seul instant que l'idéologie mondialiste du "marché", même présenté comme une avancée, n'est pas un recul qui nous amène à l’esclavage ?



Oscar Wilde : " je pense à la platitude intellectuelle et au convivialisme vulgaire qui règnent dons notre médiocratie, le mépris et l’indifférence semblent être de plus en plus la seule attitude de base possible."


Oscar Wilde, emploi le mot « médiocratie » pour désigner une caricature de la démocratie où le médiocre est la valeur de référence.

Ces réflexions il ne les adresse à des partisans mais a des individus qui, partagés entre dégoût et désir, recherchent une aire d’existence plus dense et plus ouverte.

Israël défie la communauté internationale et malgré la résolution onusienne, cet État, au demeurant illégal, continue  la colonisation en Cisjordanie, les médias occidentaux l’annoncent mais c'est du "bout des lèvres" qu'ils dénoncent ce manquement au Droit international et à la 4e Convention de Genève. Quand aux États, c'est la même configuration que devant Hitler, c'est principalement la poltronnerie, l’obéissance à une idéologie infâme et la cupidité qui permet au gouvernement sioniste de perpétrer ses crimes.     



Nous vivons dans un monde d'imposture universelle, 
où 
dire la vérité est un acte révolutionnaire.
 

  

    

lundi 17 décembre 2012

L'idéologie sioniste depasse l'entendement humain.



Hébron - 13 décembre 2012
Les forces israéliennes tuent un adolescent le jour de son 17ème anniversaire à AlKhalil/Hébron
Témoignage de l'équipe Khalil d'ISM

Vers 19h30 mercredi 12 décembre, un soldat de l'armée israélienne d'occupation a assassiné Mohammed Salayme de deux balles dans le corps et la tête dans le quartier Salayme d'Al-Khalil, près de la mosquée Ibrahimi. Mohammed revenait de l'école et, en rentrant chez lui, il allait acheter un gâteau pour fêter son anniversaire en famille, lorsque soudain, sa vie s'est brutalement arrêtée. Un autre Palestinien a été blessé par des balles réelles et il a été transporté à l'hôpital de la ville. L'armée israélienne a prétendu que Mohammed portait un "faux fusil", raison pour laquelle elle lui aurait tiré dessus. Son père, qui s'est précipité sur les lieux pour donner les premiers soins à son fils, a affirmé qu'il n'avait pas de "faux fusil" sur lui. L'armée a tiré des bombes assourdissantes, des grenades lacrymogènes et des balles caoutchouc-acier sur les Palestiniens qui essayaient d'aider l'adolescent mourant.


Mohammad Salayme fêtant son anniversaire dans son école, 
quelques heures avant d'être assassiné par les forces sionistes


L'armée d'occupation a bouclé toutes les rues menant à la scène pour empêcher les journalistes d'approcher. Une voiture transportant quatre journalistes a été touchée par plusieurs rounds de balles réelles, le véhicule a dû s'arrêter et les journalistes obligés de le quitter. Ces quatre journalistes, deux du groupe Youth Against Settlements, un de Reuters et un de Palmedia ont été contraints de se déshabiller en pleine rue, dans le froid. Les soldats ont pris leurs caméras et les ont tabassés avec une telle brutalité qu'ils ont dû être soignés à l'hôpital. Un réalisateur qui travaille pour le groupe B'Tselem et qui vit près des lieux des tirs a été encerclé par 12 soldats, tabassé et arrêté. Les officiers du Bureau de coordination de district pour les affaires militaires ont dit aux activistes locaux que les caméras leur seraient rendues aujourd'hui.

Nofar Mizrahi', l'officier responsable de l'assassinat de Mohammad Salayme, 
"contente de la façon dont elle a rempli son devoir" 
(Jerusalem Post, 13.12.2012)



Aujourd'hui, la politique des gouvernements israéliens, mais aussi l'attitude des militaires israéliens ou des colons juifs, justifient les crimes commis à leur encontre, Un temps passé, pas si lointain, l'arrogance et supériorité supposée d'une partie de la communauté, voyait dans le goï, un homme, à berner, les persécution les pogromes, s'ensuivirent. Cependant ces atavismes ne suffisent pas à expliquer le génocide  des Allemands pronazis à l'encontre de la communauté israélite toute entière, ils y ont contribué en dénigrant d'autres juifs, comme le Fit Chaïm Weismann (premier président sioniste et Premier président d'Israël)  pour faire immigrer les juifs en Palestine grossir les rangs sionistes. Malheureusement, ces dénigrements et les crimes de l'entre deux guerres, que des juifs avaient commis en Palestine, un fou, un illuminé, s'est cru  autoriser à faire payer à l'ensemble de la communauté, les crimes de quelques-uns.
Il suffit de voir la mine réjouit de cette "soldate", qui comme quelqu'un satisfait du travail accompli vient de tuer un jeune-homme sans défense.
 

Un nombre impressionnant de soldats de l'occupation se sont déployés dans la ville, tentant violemment de faire rentrer chez eux les manifestants, avec des tirs des grenades lacrymogènes et des balles caoutchouc-acier. Des affrontements ont éclaté entre les habitants d'Al-Khalil et les occupants dans toute la ville. Jusque tard dans la nuit, on a entendu les bruits des tirs de balles réelles, grenades assourdissantes, grenades lacrymogènes et balles caoutchouc-acier dans les quartiers Salayme, Bab Al-Zawiya, Qtoun et Dar Al-Binzaid. Il y a eu également des affrontements dans les villes voisines de Yatta et Dura.

Un blessé évacué en ambulance hier soir à Al-Khalil

Les Allemands, cautionnant l'idéologie nazie, avaient, au moins, le courage de ne pas chercher des fausses excuses à leurs crimes.
Le sionisme a la même volonté que le nazisme, celle d'éradiquer un Peuple.
Seul les criminels, les pires, les veules, ceux par procuration peuvent  continuer à cautionner les Gouvernements israéliens.

Israël veut attaquer l'Iran pour son programme nucléaire... Pourtant :


 « (...) Adopté par 174 voix pour, 6 abstentions et 6 voix contre, dont celle d’Israël, le texte prévoit que l’Assemblée générale de l'ONU, demande notamment à Israël de placer ses installations nucléaires sous le contrôle de l’AIEA pour renforcer la confiance entre tous les États de la région. (...) »
En fait ce sont : Les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, la Fédération de Russie, la Chine, l’Inde, le Pakistan et Israël, qui ont voté contre le texte ou se sont abstenus. 
 






Dans la plupart des pays occidentaux les nombre de familles, avec père, mère, enfants, sont sans logement. On vante nos richesses, mais nous ne sommes pas capable de leur donner un abri. Des familles entières se retrouvent à la rue. Cette précarité on la trouve chez les citoyens qui ne se prennent pas en charge. Cependant on la trouve aussi chez des gens parfaitement assimilés, instruits, qui ont du faire face à un accident de la vie, maladie, divorce, chômage. C'est donc que nos sociétés ne sont prévues pour protéger ses citoyens.
A contrario, nous offrons notre soutien, notre caution aux crimes que commet Israël. L’Europe accorde à Israël des avantages qu'elle refuse à ses propres citoyens. L’Europe ne vient-elle de rehausser, pour la seconde fois, les accords de coopération et commerciaux, acceptant, illégalement, de faire entrer en Europe des marchandises fabriqués dans les colonies comme étant fabriqués en Israël, enfreignant ainsi le droit du commerce international, sans autre état d'âme.
Dans ces conditions : comment se fait-il qu'Israël n'a pas de déficit, malgré les sommes colossales englobés par son armée, comment peut-il construire autant de logement dans les colonies, souvent pour des résidences de vacances pour juifs américains ou européens ?  
Et comme si cela ne suffisait pas, l'Europe (Bruxelles) vient de décréter qu'à partir de l'année prochaine, elle ne financera plus les associations (comme par exemple les "Restos du Cœur") qui viennent en aide aux familles qui se trouvent en état de précarité, suite la plupart du temps à un licenciement.
Dans ces conditions élisons-nous des dirigeants honnêtes ou des êtres qui par communautarisme ou cupidité, font de leur engagement une trahison.

Nous sommes face, et cela nous est démontré tous les jours, à une communauté (disons un pourcentage élevé)  qui parce qu'ils en ont les moyens, pensent en avoir le droit... On est-là dans la dictature intellectuelle la plus aiguë. Dans un terrorisme communautariste le plus acéré. Et ce sont pourtant, ceux qui tentent de résister à cette vague criminelle, qui sont qualifiés de terroristes. C'est dire si notre société est phagocytée par cette caste supranationale.  
Cela nous emmène à méditer sur les raisons qui font que historiographie de la communauté juive (disons un pourcentage élevé) est une suite de malheurs.

Il suffit de regarder ces cowboys, protégés par l'armée bien entendu, pour s’apercevoir du courage qu'ils déploient, à partir du moment où il y a quelque chose à prendre, sans bourse déployer...    







Le "courage" de l'armée israélienne...
Comment ces êtres que l'on dit intelligents, peuvent ils croire :
Que l'on peut imposer la soumission ? 
Que l'on peut soumettre un peuple par la violence ? 
Que, acheter les consciences  des élus occidentaux peut permettre de transgresser les lois impunément ?

Naplouse - 17 décembre 2012
Attaque de colons et de soldats israéliens à Madama, près de Naplouse
17.12.2012 - Des colons israéliens, puis l'armée israélienne, ont attaqué aujourd'hui le village de Madama, près de Naplouse, en Cisjordanie occupée. Trois personnes ont été blessées par des balles réelles et une autre a été kidnappée par les colons. Tout à commencé ce matin vers 10h30 lorsque deux frères et leur sœur, tous trois âgés de 20 à 30 ans, ont été attaqués par un groupe de colons de la colonie illégale de Yitzhar. Les trois Palestiniens faisaient paître leurs moutons dans les collines qui surplombent Madama lorsque les colons armés ont surgi. Deux Palestiniens ont été blessés par balle et ont été transférés à l'hôpital Rafidia à Naplouse. Un des frères a été frappé à la tête par les colons et kidnappé. Il est toujours actuellement dans la colonie.


Les jeunes du village ont couru à l'aide des trois frères et sœur et l'armée israélienne d'occupation les attendaient. Pendant près de 5 heures, les soldats ont tiré des balles réelles, des grenades lacrymogènes et incapacitantes sur les jeunes Palestiniens seulement armés de pierres. Deux autres Palestiniens ont été grièvement blessés pendant les affrontements, un par balle réelle à une jambe et l'autre par un tir de grenade lacrymogène. L'armée a également arrêté un villageois.


Un secouriste du Croissant Rouge a constaté une augmentation spectaculaire du nombre de blessés par tirs à balles réelles depuis le rehaussement du statut de la Palestine aux Nations-Unies.

Les habitants de Madama subissent quotidiennement, et depuis longtemps, les attaques des colons d'Yitzhar, qui incendient et détruisent les oliviers, terrorisent les villageois et souvent les blessent. Le village est situé dans une vallée, entre les colonies sionistes illégales d'Yitzhar et de Bracha, et ses terres s'étendent jusqu'aux clôtures de ces colonies construites sur des terres appartenant aux villages palestiniens du secteur.




 Évacuation d'un blessé

(*) Photos : JAAFAR ASHTIYEH/AFP/Getty Images 2012 AFP