Le nazisme,
ou national-socialisme (en allemand : Nationalsozialismus),
est l'idéologie politique du NSDAP, parti politique fondé en Allemagne en 1920
et dirigé par Adolf Hitler. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme
biologique et religieux. Cette vision du monde reprenait la division
hiérarchique de l'espèce humaine en races, hiérarchie au sommet de laquelle
elle situait la « race aryenne ». Par extension, le terme nazisme
désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dirigé par Adolf Hitler
de 1933 à 1945 et connu sous les noms de Troisième Reich et d' « Allemagne nazie ».
Voila
donc ce que c'est le nazisme.
Y
voyez-vous une différence avec le sionisme ?
L’Allemagne est-elle rattrapée par ses vieux démons ?
Tuvia
Tenenbom, un auteur américain né en Israël, explique dans un livre sortie en
2012 que l'antisémitisme reste très présent en Allemagne de nos jours.
Est-ce le
retour des chemises brunes ? C'est ce que se demande l'hebdomadaire allemand Der Spiegel. Dans un très long article, l'hebdomadaire aborde de front la
thématique de l'antisémitisme en Allemagne, concluant que – même plus de 70 ans
après la fin de la seconde Guerre mondiale – "il n'y a rien qui intéresse
plus les Allemands que leurs relations avec Hitler". Mais cela reste également
le plus gros cliché vis à vis des Allemands, taxés de nazis dès qu'ils tentent
d'imposer leur vision du monde, au niveau de l'Union européenne par exemple.
"Cette année, beaucoup se sont demandés si la "mauvaise
Allemagne" était de retour" continue ainsi le newsmagazine faisant
référence aux manifestations des "Grecs ou des Espagnols – luttant contre
la soi-disant dictature de l'Allemagne au sein de la zone euro – et dans
lesquelles on a pu apercevoir des drapeaux nazis".
"Quand
l'auteur américain Tuvia Tenebom a traversé le pays récemment, il y a vu
énormément d'antisémitisme. On est de retour là où ne voulait pas retourner,
ensorcelé par un passé nazi qui domine notre présent" écrit encore Der Spiegel. Dans son livre "Seul parmi les
Allemands" ("Allein unter Deutschen"), Tuvia Tenebom défend
l'idée que la plupart des Allemands méprisent profondément les Juifs malgré -
ou à cause de - 70 ans d'expiation de l'Holocauste.
Tuvia
Tenenbom, né à Tel-Aviv en 1957, a voyagé plusieurs semaines à travers
l'Allemagne pendant l'été 2010. Il y a rencontré célébrités, gérants de
magasin, professeurs et étudiants, militants d'extrême gauche ou néo-nazis.
"Huit sur dix", voilà, selon lui, la proportion d'Allemands qui
expriment "de manière latente ou inconsciente" des convictions
antisémites. Des résultats pourtant très éloignés de ceux d'une étude parrainée
par le Parlement et publiée en 2012 et qui évoque une proportion de deux sur
dix. Très polémique - et très critiqué (en particulier par Der Spiegel) - cet
auteur a été comparé en Allemagne à Woody Allen, Michael Moore, et surtout
Sacha Baron Cohen et son personnage satirique Borat.
Peu
importe ce que l'on pense du livre de Tenenbom, Der Spiegel écrit cette phrase
assez assassine : "Nous n'avons pas besoin de l'avis des autres pour
arriver à [la] conclusion" que le passé nazi est encore très présent en
Allemagne. Le Spiegel en profite pour faire la liste des événements antisémites
allemand de 2012 : "En avril le prix Nobel Günter Grass a été accusé
d'antisémitisme après avoir écrit un poème très critique vis-à-vis d'Israël.
Ensuite on a appris que la rameuse Nadja Drygalla fréquentait un cadre du parti
d'extrême-droite allemand NPD", ce qui l'a obligé à quitter le Village
olympique et à abandonner les Jeux. "On a passé l'autre moitié de l'été à
débattre sur le fait de savoir si un chanteur d'opéra russe avec le tatouage
d'une swastika devrait être autorisé à chanter au festival de Bayreuth."
Et enfin "fin août, de nombreux médias, dont le Spiegel, a rapporté que
des Neo-Nazis avaient infiltré un quartier de la ville de Dortmund, et qu'ils
avaient même établi leur présence au sein des fans du club de football du
Borussia Dortmund".
Der
Spiegel de conclure qu'il semble ne rien rester de l'Allemagne multiculturelle
de 2006 ou 2010 quand le jeune équipe de football avait impressionné le monde
entier. "Même 70 ans après, ça fait une différence si un acte de
xénophobie a lieu en Allemagne […] On reste un cas à part, car Hitler est un
des nôtres."
Cet écrivain,
fait là, ce que fait l'intelligentsia pro sioniste en France. Dresse le spectre
de l'antisémitisme pour servir de pare-feu aux manquements au droit
international et aux crimes israéliens.
L'antisémitisme
est le reflet du racisme juif vis-à-vis des goïm. Tout comme, le terrorisme
musulman est le reflet du terrorisme occidental en général, du terrorisme
israélien en particulier.
Le nazisme et le sionisme sont les deux faces d'une même
médaille, représentant l'élimination d'un peuple par une idéologie raciste et
xénophobe.
Cet auteur ne
décrit pas des faits avérés, mais dépeint un cadre devant servir, à nouveau, les
intérêts israéliens.
En France, lors qu’Israël est coupable de crimes de guerre ou en "délicatesse"
avec le droit international, surgit de
sa bauge l'esprit de l'antisémitisme.
Quelque soit
l'acte dont un juif est en cause, est aussitôt qualifié d'acte antisémite.
Pourtant neuf fois sur dix, il s'avère après enquête que l'acte qualifié
d'antisémite, tout juste quelques jours auparavant, était une rixe entre bandes
rivales ; une affaire criminelle de droit civil ; parfois pure invention d'une
mythomane ou un acte commis par un juif lui-même...
Et les actes
pouvant être qualifiés de terroristes, sont souvent motivés par le terrorisme
israélien, quelquefois pris comme alibi à un crime de droit commun, mais c'est
plus fructueux de le qualifier d'antisémite.
Se servir de
l'antisémitisme comme d'un pare-feu est une technique maintes fois éprouvée par
cette intelligentsia occidentale pro-sioniste remarquable par son népotisme et sa
capacité à manipuler les populations.
La technique du
pare-feu reste un moyen très sur pour
tromper les citoyens, rappelant le crime commis à l'encontre des Juifs, sans
faire référence aux crimes que ces derniers commettent en Palestine.
Le soutient,
non-seulement à la cause sioniste, mais aussi, l'absolution des crimes israéliens, de la part de la quasi totalité de la Communauté juive, fait d'elle
une cible pour ceux qui, au nom de l'Islam, commettent des actes que nous
qualifions, à tort ou à raison, de terroristes. Tuer des innocents est un acte
terroriste, mais Israël, ne tue-t-il pas tous les jours des innocents ? Qualifions-nous ses crimes
de terroristes ?
Mais, il y a aussi, tous ceux qui au nom de leur liberté
combattent un occupant qui les tue, qui vole leur terre, qui les spolie, qui
leur vole leur existence, qui les empêche de vivre, ceux-là ne sont pas des
terroristes, quelque soit la forme de leur résistance. Il n'y a que la poltronnerie ambiante, comme le fait,
l'Occident, les USA, l'Europe pour qualifier la résistance palestinienne de terrorisme.
Il y a eu en
France la tuerie de Toulouse où des militaires et des juifs, parmi eux des
enfants, ont été victimes d'un homme se réclamant de la mouvance terroriste
islamiste. Toutes ses victimes n'étaient pas juives et la question des réelles
motivations du criminel reste posée. L'antisémitisme à lui tout seul ne peut
expliquer l'assassinat des militaires...
L'intelligence
voudrait que l'on se penche sur les raisons qu'a eues cet homme pour assassiner
des enfants juifs..., le terrorisme musulman ne serait-il pas l'autre face de
notre propre terrorisme ?
Les Juifs ont
été accueillis comme des frères au début de leur immigration, ce n'est que lorsque
les palestiniens on vu dans les sionistes leurs futur bourreau, que les
affrontements on débuté.
Les juifs
immigrés en Palestine ont employé la ruse et la collusion (le mot complot
convient mieux) pour faire d'un mythe, celui de la Terre promise une réalité.
Or si l'Intelligence fait admettre un concept, la ruse berne celui qui accepte.
Voila donc "planté" le décor du principe originel de la lutte
islamique.
Le "Foyer
juif" est devenu et Théodore Herzl le savait un Etat qui a du et doit
s'imposer par la ruse et la violence. Violence que lui permet la puissance des
armes mais aussi les êtres cupides et sans caractère que nous avons placé à la
tête de nos États.
Ce que fait-là
Tuvia Tenenbom, est, ni plus ni moins, que de tenter de rallier la communauté,
ici Allemande, à la vision juive de ce conflit, par le remords qu'a pu
engendrer le génocide juifs par les Allemands. Pourtant Angela Merkel, vend des
sous-marins à Israël, qu'il équipe de têtes nucléaires. Et ses ogives sont
pointées sur les capitales arabes, mais aussi européennes..., les dirigeants
allemands se sont mis au service du nazisme en 1939, le gouvernement allemand
de Mme Merkel se met au service du sionisme, l'autre face d'une même pièce.
Aujourd'hui plus que jamais Israël
a besoin du soutient de tous ceux qui, juifs ou non, absolvent ses crimes.
La Palestine par la voix de Mahmoud
Abbas (Président de l'Autorité palestinienne, non élu, mais reconnu par
l'Occident) a présenté un projet de résolution. Demandant la
reconnaissance de la Palestine comme Etat non membre de l'ONU.
Malgré la reconnaissance par la Communauté internationale
de la Palestine comme Etat, Israël défie l'ONU et la Communautés internationale
en accélérant la construction dans les colonies en territoire occupé, et
continue à détruite l'habitat autochtone, assassine et emprisonne des
palestiniens.
Trop souvent
les juifs trouvent immoral un concept qui les désavantage, mais il leur semble
parfaitement moral tout concept politique, militaire ou sociétal, lorsqu'un
bénéfice est à réaliser.
En Palestine,
les juifs européens y ayant immigré trouvent moral leurs rapines, mais trouvent
immorale la résistance des palestiniens.
C'est aussi cette
vision des rapports humains qui créent les conditions de ce que certains juifs
appellent antisémitisme et qui n'est, dans les faits, un désaccord à leur
manière de concevoir les rapports avec les autres.
Trois questions à Alfred Grosser,
historien, sociologue et politologue franco-allemand et à Stéphane François,
historien des idées et politologue :
La crise
économique a t-elle ravivé certaines tendances extrémistes ?
Alfred Grosser
: La crise économique frappe beaucoup moins l'Allemagne que la France, le
chômage n'augmente pas et le nombre de postes occupés augmente. Il n'y a pas de
paupérisation. La crise ne ravive donc en aucun cas les tentations extrémistes.
Stéphane
François : Le contexte économique joue un rôle très important dans la
recrudescence de mouvements extrémistes, que ce soit en Allemagne ou dans
d’autres pays. Ceux-ci réapparaissent dans les périodes de crises économiques
profondes : l’Angleterre des années 1970, l’Allemagne de l’Est des années 1990,
la Russie de la même période… Sinon, ils restent marginaux, violents certes,
mais marginaux (comme en Scandinavie par exemple). Ces tendances extrémistes
relèvent d’une idéologie du ressentiment, qui n’existe que par la volonté de se
créer un bouc émissaire : les Juifs dans l’Allemagne des 1930, les populations
de couleurs à partir des années 1970 (en plus des Juifs). Ceux qui
sombrent dans cet extrémisme, ne sentant pas leurs revendications sociales
prises en compte par les politiques, ont donc investi le champ idéologique du
racisme comme une thématique de compensation…
Il y a en effet un lien très net entre la montée des extrémismes et les ravages de la mondialisation. De façon générale, les périodes de crise, et les situations de détresse sociale qui en découlent, favorisent le repli et les discours identitaires, en particulier dans la dérive radicale de certains groupuscules. En France par exemple, la montée en puissance de l’extrême droite commence avec les contrecoups de crise de 1973, c’est-à-dire au début des années 1980. La peur de l’avenir entraîne la peur de l’autre, la volonté de revenir à une société fermée…
Il y a en effet un lien très net entre la montée des extrémismes et les ravages de la mondialisation. De façon générale, les périodes de crise, et les situations de détresse sociale qui en découlent, favorisent le repli et les discours identitaires, en particulier dans la dérive radicale de certains groupuscules. En France par exemple, la montée en puissance de l’extrême droite commence avec les contrecoups de crise de 1973, c’est-à-dire au début des années 1980. La peur de l’avenir entraîne la peur de l’autre, la volonté de revenir à une société fermée…
Les
jeunes sont-ils les plus touchés ?
Alfred
Grosser : Un nombre important de jeunes se demandent que faire face à cette
mémoire du passé. Certains s'engagent alors en faveur de causes pour aider les
opprimés dans le monde. Nous en sommes déjà à la troisième ou quatrième
génération depuis la fin de la guerre.
Il n'y a
pas de mouvements extrémistes nazis, si ce n'est des actes de violences dans
l'ancienne Allemagne de l'est où la police n'a peut-être
pas suffisamment surveillé. Le parti d'extrême droite, le NPD - le
parti national-démocrate - ne fait aucun résultat suffisant pour peser aux
élections. S'il y a parfois des mouvements de violences de jeunes portant des
croix gammées tout comme au Danemark par exemple, ils sont beaucoup moins
nombreux que dans les autres pays.
Stéphane
François : Il est vrai que le néonazisme attire plutôt des populations
jeunes, plutôt fragiles, venant d’un milieu défavorisé, avec un niveau scolaire
assez bas. Ceci dit, il faut aussi tenir compte que ces milieux extrémistes
sont très volatiles : les populations/militants se renouvellent, avec un
turnover assez fort. Chez eux, le refus de l’autre (racisme/antisémitisme) est
peu réfléchi, peu conceptualisé. Le discours relève plutôt du ressentiment. On
trouve fréquemment les tags suivants dans les zones où se trouvent des néonazis
: « mort aux youpins » ; « mort aux négros » ; « mort aux arabes », « mort aux
bougnoules » ; «power », « SS », « HH », etc. Cela dit, il existe différentes
générations depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, les plus anciens
éduquant idéologiquement les plus jeunes…
Quel est
le rapport des Allemands de 2012 à cette période noire de l'histoire allemande
?
Alfred
Grosser : Cette période de l'Histoire est très gênante. Le traumatisme
continue notamment dans la politique menée par rapport à Israël... Il y a un
nombre important de commémorations, notamment au mois de janvier avec
une commémoration nationale où des pavés sont posés devant les
maisons pour rappeler que des juifs déportés y ont vécu.
Stéphane
François : L’histoire du nazisme allemand (1933-1945) reste problématique.
Signe à la fois d'un problème d’identité et d'un passé qui ne passe pas, les
Allemands, et les médias allemands, observent à la loupe le moindre signe de
renouveau du nazisme. Ils n’arrivent toujours pas à assumer cet épisode très
sensible, il est vrai. Pourtant, d’un point de vue universitaire, il y a
beaucoup d’études et de publications sur cette période, sur les différents
aspects du nazisme, ainsi que sur les facteurs qui ont permis son émergence.
Cela montre que les chercheurs n’hésitent pas à regarder en face le passé de l’Allemagne.
En outre, il y a toujours eu des nostalgiques du régime national-socialiste en Allemagne, ainsi que des personnes ayant une vision raciale du monde. Ces personnes sont la mauvaise conscience de l’Allemagne. Ce sont elles qui sont surveillées, scrutées par les médias. Il suffit qu’une personne passe à l’acte pour que les médias allemands et une partie des politiques ou militants antifascistes voient le renouveau du spectre nazi. Ce qui est intéressant, c’est ce que cette attitude, par une construction en miroir, conforte ces groupes néonazis, en renforçant leur cohésion…
Malgré ce que l’on peut lire, il n’y a pas, comme l’ont suggéré des articles allemands, de « Brigades Brunes » (calquées sur les Brigades Rouges des années 1970). Il s’agit, simplement, mais c’est déjà beaucoup, de passages à l’actes, très violents, puisqu’il y a eu des morts, d’individus (et non de groupes). Pour rester dans le cas allemand qui a défrayé la chronique il y a un an, le passage à l’acte visait des personnes issues des minorités de couleurs. Ceci dit, la violence antisémite n’a pas disparue, mais on ne peut pas dire que la population allemande est foncièrement antisémite, comme le fait Tuvia Tenenbom. S’il reste des nostalgiques du nazisme, ceux-ci ne composent pas les 8/10ème de la population allemande comme il l’affirme.
En outre, il y a toujours eu des nostalgiques du régime national-socialiste en Allemagne, ainsi que des personnes ayant une vision raciale du monde. Ces personnes sont la mauvaise conscience de l’Allemagne. Ce sont elles qui sont surveillées, scrutées par les médias. Il suffit qu’une personne passe à l’acte pour que les médias allemands et une partie des politiques ou militants antifascistes voient le renouveau du spectre nazi. Ce qui est intéressant, c’est ce que cette attitude, par une construction en miroir, conforte ces groupes néonazis, en renforçant leur cohésion…
Malgré ce que l’on peut lire, il n’y a pas, comme l’ont suggéré des articles allemands, de « Brigades Brunes » (calquées sur les Brigades Rouges des années 1970). Il s’agit, simplement, mais c’est déjà beaucoup, de passages à l’actes, très violents, puisqu’il y a eu des morts, d’individus (et non de groupes). Pour rester dans le cas allemand qui a défrayé la chronique il y a un an, le passage à l’acte visait des personnes issues des minorités de couleurs. Ceci dit, la violence antisémite n’a pas disparue, mais on ne peut pas dire que la population allemande est foncièrement antisémite, comme le fait Tuvia Tenenbom. S’il reste des nostalgiques du nazisme, ceux-ci ne composent pas les 8/10ème de la population allemande comme il l’affirme.
Le
problème qui se présente à nous, est moins la difficulté auxquelles nous devons
faire face, que le fonctionnement népotique de la majorité de la Communauté
juive. Israël est, qu'on le veuille ou non, un État illégal, va-t-en-guerre,
qui se maintient par la force des armes et par le soutien des juifs pro-sionistes
et par les dirigeants, politiques ou/et économiques qu'ils ont corrompu.
Le népotisme n'est pas, ne peut pas
être, un modèle de gouvernance,ne peut pas être la valeur de référence des États que nous voulons démocratiques.
Des français en visite à Gaza
Si vous doutez encore du caractère criminels des gouvernements israéliens :
Des français en visite à Gaza
Si vous doutez encore du caractère criminels des gouvernements israéliens :
le 28
décembre 2012
Nous
n’avons pas trouvé les "terroristes" sous les décombres du plus grand
stade de foot de la bande de Gaza. Toutes les destructions dont nous sommes
témoins à Gaza, des multiples maisons, jusqu’au service de l’Etat civil du
ministère de l’intérieur, montrent en revanche la volonté israélienne de cibler
des infrastructures civiles.
le 28
décembre 2012
Vendredi,
jour de congé à Gaza. Mais pas dans les hôpitaux et encore moins à l’hôpital Shifa,
plus grand hôpital de la bande de Gaza et hôpital de référence réunissant
toutes les spécialités médicales et chirurgicales.
le 28
décembre 2012
C’est
avec beaucoup d’émotion que nous sommes entrés dans la bande de Gaza jeudi
soir, accueillis avec enthousiasme dès Rafah par les journalistes, les
autorités et nos amis Amir Hassan et Ayman Qwayder.