vendredi 30 mars 2012

Nous ne célébrons pas l’anniversaire d’Israël



« LA NAKBA », 
ou « Le nettoyage Ethnique de la Palestine »,  un plan mûrement réfléchi. 
Ainsi débute un crime contre l’humanité qui encore aujourd’hui est niée par les instances internationales.  A la honte d’hier on rajoute  le cynisme d’aujourd’hui. C’est immoral.


Le plan Daleth : preuve de la préméditation mûrement réfléchie des crimes sionistes et déclenche en 1948-.
531 Villages ; une population spolie ou massacrée ; 750 000 Palestiniens jetés hors de chez eux par les armes.
Que ces populations soient parties volontairement est un mythe, non seulement de plus, mais mensonger et déloyal, avec pour visée : de manipuler les citoyens occidentaux. Ses dirigeants avaient, depuis longtemps,  opté pour le sionisme.  

Le plan d’expulsion « Daleth » : dès le début des années 1940, la direction du Yichouv a préparé l’expulsion des Palestiniens, puis, en 1947-1948, l’a mise en œuvre, étape après étape. Un fait parmi bien d’autres, qui contredit la thèse de l’absence d’intention : la constitution, dès avant la seconde guerre mondiale, d’un fichier de tous les villages arabes. Recruté pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra de conduire une  inspection à l’aide de photographies aériennes ». A cette époque la Palestine était sous Administration  britannique. Le « Mandat » pouvait-il l’ignorer… ?
Ainsi furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine avec : « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources, les principales sources de revenu, la composition sociologique, les affiliations religieuses, le nom des muktars [chefs], les relations avec les autres villages, l’âge des habitants (hommes de 16 à 50 ans) et bien d’autres choses ». La plus importante était  « un index de l’"hostilité" [à l’égard du projet sioniste] à partir du niveau de participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un dans les combats contre les Britanniques. Une attention particulière était prêtée aux gens qui avaient prétendument tué de juifs ». En 1948, cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les villages, conduisant à des exécutions de masse. En 1943, Ezra Danin, qui jouera cinq ans plus tard un rôle de dirigeant dans l’épuration ethnique rédigea les dossiers et, « de manière explicitement militaire : le nombre de gardes (la plus part des villages n’en avaient aucunet les quantités et qualité des armes à la disposition du village (en général archaïques ou même absentes)  Source : Ilan Pappe Historien Israélien « Le nettoyage ethnique de la Palestine » Fayard.   

Les colonies contre la paix :
 « L’occident est le seul responsable du conflit du Proche-Orient. Dès le départ, de ce conflit et aujourd’hui, de sa durée.  Nos hommes politiques ne méritent la confiance que nous leur accordons, ce sont des êtres  sans état de conscience. Il n’y à pas pire forfaiture pour un homme politique que de trahir la confiance de ses électeurs.  Et en France nous n’élisons pas nos hommes politiques pour qu’ils aident Israël à commettre ses crimes. »
Raymond Aron Intellectuel français juif lui-même affirmait : « être juif n’est ni un titre de fierté ni un titre de honte »  aujourd’hui tous ces intellectuels juifs qui soutiennent Israël sont la honte de la communauté israélite. Quel homme sensé soutiendrait avec fierté et autant d’aplomb un Etat colonisateur et criminel.

Les colonies … :
En dépit du droit international Ehud Olmert Premier ministre israélien, l’a de nouveau réaffirmé le 26 mars 2008 : la colonisation en Cisjordanie se poursuivra et notamment à Jérusalem-est (partie arabe de Jérusalem). En désaccord aux   engagements pris (il y a quelques jours) à Annapolis. Je l’ai déjà dit mais je le répète tant cette vérité me parait essentielle : « pour un homme honnête gager sa parole c’est s’engager d’abord à la respecter pour un sioniste c’est un moyen d’arriver à ses fins après cela ne le concerne plus. »  Dans ces conditions comment se fait-il que depuis le temps, ces intelligences qui nous gouvernent n’en pas encore tirée tous les enseignements qui s’imposent ?

Les constructions de logements juifs n’a de toute façon cessé durant toute la dernière période y compris pendant les pourparlers de paix, la « Foundation for Middle-East Peace » la par ailleurs signalé dans un des ses rapports. Au-delà de Jérusalem, la colonisation de 260.000 à un plus de 275.000 en 2007. Représentant une augmentation de 5.78%, qui comparé à la population civile juive « intra muros » représente : le double.  Et par conséquent on ne peut pas la considérer  comme une « croissance naturelle » de la population. En plus de, suivant ce même rapport 78% de la colonisation réside dans la cinquantaine de colonies qui se trouveront  à l’ouest du mur –mais en territoire palestinien-. Ce procédé équivaut à une annexion de fait des grands blocs de colonies. C’est-à-dire que la majorité des colonies se trouve ou se trouvera à l’est du mur, mais la majorité des colons à l’ouest. Entre juin 2006 et juin 2007, on a dénombré près de 3.000 colons de plus à l’est du mur et un peu plus de 11.000 de plus à l’ouest.

 «  Nous ne célébrons pas l’anniversaire d’Israël »

Le 7 mai 2008 un groupe d’intellectuels britanniques juifs  ont fait publier une lettre dans le Guardian intitulé : «  Nous ne célébrons pas l’anniversaire d’Israël ». Parmi ceux qui affirment qu’Israël a forcé 70 000 Palestiniens à une marche à de la mort en 1948, il y a le professeur Haim Bresheeth, professeur à l’université de Londres-Est, qui à organisé l’appel au boycott universitaire d’Israël, il y a le dramaturge Harold Pinder, l’avocat Daniel Machover, qui a intenté un procès contre le major-général Doron Almog,  et Stephen Fry. 
« Nous ne pouvons pas célébrer l’anniversaire d’un Etat fondé sur le terrorisme, les massacres et la dépossession d’un autre peuple de sa propre terre » disent les auteurs de la lettre. « Nous ne pouvons pas célébrer l’anniversaire d’un Etat qui, même actuellement, se livre à une épuration ethnique, viole les lois internationales, un Etat qui est en train d’infliger une punition collective monstrueuse à la population civile de Gaza et qui continue de dénier aux Palestiniens leurs droits humains et leurs aspirations nationales. Nous commémorerons quand Arabes et Juifs vivront à égalité dans un Moyen-Orient pacifique. » En juillet 1948, 70 000 Palestiniens ont été chassés hors de leurs foyers à Lydda et Ramleh au cœur de l’été, sans nourriture et sans eau. Des centaines sont morts*. Cette marche fut appelée la Marche de la Mort. Nous ne célébrons pas. » Poursuit la lettre.
« Au total, 750 000 Palestiniens sont devenus des réfugiés. Quelques 400 villages ont été rayés de la carte. Cela n’a pas mis fin à l’épuration ethnique. Des milliers de Palestiniens on été expulsés de Galilée en 1956. Ders milliers d’autres quand Israël a occupée la Cisjordanie et Gaza. Selon le droit international et la résolution 194 votée par les Nations Unies, les réfugiés de guerre détiennent un droit au retour ou à une indemnisation. Israël n’a jamais reconnu ce droit.
Nous ne célébrons pas. » 
«  Israël est responsable des attaques contre Sderot »
Dans une interview avec Ynet, le professeur Haim Breheeth a rejeté toute allégation selon laquelle la lettre serait de toute manière antisémite. « Je ne comprends pas pourquoi les signataires sont accusées d’être antisémites et de soutenir le terrorisme. Aucun de ceux qui ont mis leur nom au bas de la lettre ne soutient le mal fait à des civils ou à des victimes innocentes, des deux côtés » dit-il.
 «  Nous voulons qu’Israël et les Palestiniens vivent côte à côte dans la paix, sans missiles, sans Qassam et sans avions de guerre à les survoler. Je veux vivre en Palestine, sans morts des deux côtés. »
« Israël n’est pas disposé à parler avec le Hamas qui a remporté des élections démocratiques. Le Hamas, de son côté, est prêt à parler avec Israël du moment qu’il se retire de tous les Territoires. »
Bresheeth a accusé Israël d’être le responsable de la situation dans les Territoires : « Le véritable terrorisme est celui qu’Israël inflige aux Palestiniens depuis 40 ans maintenant, le terrorisme d’un Etat fort contre une organisation relativement faible. Nous poussons les Palestiniens dans un retranchement où ils n’ont d’autres choix que d’attaquer. Nous ne devons pas agir ainsi, le fait que le gouvernement israélien ne soit pas en mesure d’assurer la sécurité de ses résidents et celle de Sderot est de sa propre faute. »
  
L’ambassadeur d’Israël en Grande-Bretagne, a répondu à la lettre :
« Israël est une nation démocratique où chacun peut exprimer son opinion et ses critiques librement avec pratiquement aucune restriction, mais quand un groupe tel que celui-ci de Juifs et d’anciens Israéliens, résume 60 années de l’existence israélienne avec des slogans de haine comme ceux-ci, il méritent d’être dénoncées et même mis au ban de la société. »  « Nous sommes fiers des merveilleuses réalisations qu’Israël et le peuple juif ont accomplies au cours de nos 60 années d’existence et nous ne permettrons pas à ce groupe d’écervelés de gâcher notre célébration. »

L’ambassadeur d’Israël en Grande-Bretagne fait référence aux combats et pertes qu’Israël a pu subir, durant quelque temps, et voudrait s’en servir pour justifier toutes  les actions criminelles qu’il commet tous les jours depuis soixante années !

Des gens de bonne volonté, mais pas très au fait du conflit disent : «  il faut que chacun fasse un bout de chemin, que chacun y mette du sien pour arriver à la paix.  Mais oublient que les Palestiniens ne peuvent plus rien offrir, ne peuvent plus faire le moindre effort si ce n’est celui de disparaître. Ce que veut bien évidemment le sionisme. Mais c’est justement pour cela que tous les hommes de bonne volonté doivent agir, œuvrer à ce que ce peuple ne disparaisse pas.  


Le Sionisme détourne l’histoire  et usurpe l’identité des juifs pensant justifier, ainsi, les crimes qu’il commet. Le sionisme n'est ni innocent ni rédemptif. 

Nouvelles annoncées :
Les Palestiniens discutent de paix, Israël construit des colonies !
Pratiquement au lendemain de la rencontre d’Annapolis, le gouvernement israélien annonce de nouvelles constructions dans la zone du Jebel Abu-Ghneim devenue « Har Homa », sur la ceinture de colonies qui boucle Jérusalem. 750 nouvelles constructions sont également prévues à Givat Zeev. Fin mars, la mairie de Jérusalem annonce la construction à venir de 600 logements dans Jérusalem est.  (Partie arabe de Jérusalem) 
Le plan « fait partie d’une initiative globale du maire de Jérusalem (Uri Lupolianski …) pour la construction de 40.000 unités de logement dans la ville afin de faciliter à des jeunes couples l’accès à un logement », indique la municipalité israélienne dans un communiqué. 600 nouvelles « unités de logement » sont notamment prévues dans la colonie de Pisgat Zeev, au nord-est de Jérusalem. Une annonce qui intervient après la publication par « La Paix Maintenant » d’un nouveau rapport révélant entre autres qu’aucun projet de construction n’a été gelé, que les constructions se sont poursuivies sur les sites existants, que des centaines de bâtiments comptant des milliers de logements sont en chantier depuis janvier dans 101 colonies en Cisjordanie…Début mars, ajoute le rapport de l’organisation pacifiste israélienne, le ministre de l’intérieur approuve le changements de statut de Modi’in Illit qui, de Conseil local, devient une ville. Le gel de la colonisation, l’un des engagements clé d’Annapolis, est trahi au moment même de la signature, il subit, selon « La Paix Maintenant », plusieurs érosions : il ne concernerait ni les projets où la construction a déjà commencé ni Jérusalem-Est, ni les grands « blocs de colonies »…

Les accords de paix sont trahis au moment même de leur signature.  « Il y a un consensus en Israël sur le fait que des secteurs comme le Gush Etzion, Ariel et les quartiers juifs de Jérusalem resteront sous notre contrôle », va même jusqu’à postuler Benjamin Ben Eliezer, ministre des infrastructures, le 11 mars dernier. Et tel est bien l’enjeu de ces nouvelles constructions : annexer, annexer, annexer.  Obtenue -in extremis- par George W. Bush en Condoleezza Rice  avant la rencontre, la déclaration israélo-palestinienne d’Annapolis n’est qu’une déclaration d’intention où rien n’est dit sur les dossiers centraux du conflit. Mais les participants s’y engagent à œuvrer pour l’établissement d’un Etat palestiniens indépendant d’ici fin 2008 aux cotés d’Israël, dans cette affaire on à confondu « feuille de route » et « feuille de choux » et la feuille de route en constitue l’un des termes de référence. Or la feuille de route, élaborée par le quartette pour le Proche-Orient, acceptée d’entrée de jeu par la partie palestinienne, fait l’objet de quatorze réserves israéliennes  qui la vident d’une grande part de sa substance mais a cependant un mérite : la concomitance des exigences faites aux « protagonistes ». Israël doit geler la colonisation, en même temps que les Palestiniens mettent un terme aux actions de type « terroristes »  - les dirigeants israéliens ayant toujours érigé cette seconde exigence en préalable.  Mais enfin le quartette est-il composé d’hommes intelligents ?  
Le Droit international ce sont les frontières de 1967.  
Pour leur plan de colonisation massive, les dirigeants israéliens ne mettent pas seulement en cause les engagements pris. Ils entendent surtout rendre caducs les espoirs d’édification d’un Etat palestinien indépendant dans les frontières attribués par l’ONU (1967). On conçoit qu’à l’instar des bombardements israéliens contre la bande de Gaza assiégée, l’intensification de la colonisation israélienne en Cisjordanie et particulièrement à Jérusalem-Est constitue une pierre d’achoppement des pourparlers, dénoncée par la partie palestinienne.
Mais aucune condamnation ni aucune mesure coercitive, américaine, européennes,  n’intervient et les instances internationales, comme par exemple l'ONU, restent impuissantes face a cet Etat, déterminé, c'est vrai, mais surtout cautionné par par les USA et dans une large mesure par l'Europe, qui absolvent ses crimes. Le porte-parole du département américain Sean Mc Cormak se contente d’un rappel à l’ordre : « l’annonce du gouvernement israélien (sur les colonies) est elle utile au processus de paix ? Non elle est inopportune »« En tant qu’amije vous dis que la sécurité d’Israël passe par l’arrêt des colonisations »,  Insiste pour sa part Nicolas Sarkozy. Mais l’ami se contente de mots, quand sur le terrain il y a urgence.  (La sécurité d’Israël est le respect du droit, la paix se déconstruit, les murs s’érigent.) 
Nous sommes en 2009 et non seulement rien n’a changé, bien au contraire, la colonisation se poursuit avec d’avantage de ardeur comme si le droit international ne concernait que les Palestiniens.

« Bien sûr, j’aimerais conclure un accord de paix. Mais il ne peut y avoir de paix entre occupant et occupé ; c’est comme si on demandait qu’il y en ait une entre le violeur et sa victime pendant le viol même.  L’occupation doit d’abord prendre fin parce que c’est un crime moral.  Ensuite nous pourrons discuter d’arrangement à long terme ». (Shamai Leibowitz, Avocat et petit-fils du célèbre philosophe du même nom.)

Mme Leila Shahid, déléguée générale de la Palestine auprès de la Belgique, du Luxembourg et de l’Union Européenne, dans son article N° 58 de «Pour la Palestine ».
Déclare en substance : «  que la paix ne se fera sans une décision politique. Mais elle s’étonne aussi que, depuis plus d’un an maintenant, des négociations entre l’Union Européenne et Israël  sont entamés pour l’amélioration du Statut  d’Israël  par un statut spécial qui lui serait octroyé dans le cadre de son propre accord de politique de voisinage ; lorsque l’on voit que l’octroi d’un statut spécial d’Israël au sein de l’OTAN est à l’étude, on à le sentiment que les Européens refusent les structures que l’Europe a elle-même construites : celles de la conditionnalité politique des rapports économiques.
Comment se fait-il que, lorsqu’il s’agit de la Syrie, ou du Maroc, de l’Algérie, ces conditions soient celles des rapports économiques et commerciaux et des échanges entre l’Union européenne et l’Etat partenaire, et dès qu’il s’agit d’Israël, il y a comme un statut au dessus du droit, un statut presque « hors la loi » ? Je crois ajoute Mme Shahid que cela ne sert ni le peuple israélien, ni le peuple palestinien parce que la clef de la solution est la coexistence des deux Etats. »

Le devoir de réserve que lui impose  sa fonction, Mme Leila Shahid ne peu pas dire, mais cela est évident que  comme aux USA où ce n’est un secret pour personne que lobbying des associations pro israéliennes et le poids électoral qu’elles représentent influent incontestablement sur la politique étrangère de cet Etat, l’Europe rejoint le club très fermé de la politique spectacle et contrairement à ce que pourrait croire, l’antisémitisme ou la Shoah son absents des motivations. 
En Europe le lobbying pro israélien exercée auprès des personnalités politiques européens est purement scandaleux ! Il n’est pas, humainement parlant, souhaitable que ces atavismes puissent proliférer. C’est un cancer.
Si l’histoire est écrite objectivement  -ce que je doute tant l’influence de l’organisation sioniste mondiale est grande- fera ressortir le caractère ignominieux et méprisable du « lobbying » exercé à travers le monde.

Avant d’organiser  les « entretien » ou d’établir une « feuille de route » il me semble essentiel démocratiquement parlant et d’un point de vue de justice, qu’il faille d’abord rétablir le Droit International.  Cela sert à quoi de prôner la justice dans un Etat de non droit ?    Les anciens disaient : « mettre charrue avants les bœufs». En Palestine s'il y a un semblant de démocratie, elle concerne les juif, mais en aucun cas les non juifs. 

« Nous nous comportons déjà dans les territoires occupés de la rive ouest du Jourdain ? Dans la bande de Gaza, et du Liban, comme se sont comportés les Nazis dans les territoires occupées de Tchécoslovaquie et de l’Ouest. Nous n’avons pas établi de camp d’extermination comme ils l’ont fait à l’est. Voila où nous en sommes, avec cette seule différence qui nous distingue des nazis. »  Yeshaiyahu Leibowitz 1987 philosophe juif.
C’est aussi lui qui disait, concernant les entretien de paix : « que vouloir faire la paix sans respecter le droit,  c’est comme  demander à une femme de vous pardonner au moment même ou vous la violez. » 

Une fois le droit rétabli, il est alors possible en toute intelligence de s’entretenir de la société dans laquelle on souhaite vivre. Cela parait logique, pourtant cela ne l'est apparemment pas, pour toute cette intelligentsia déloyale qui préfèrent imposer un modèle de société dans laquelle : elle se taille la part du lion
   
Des français affirment qu’Israël fait tout pour parvenir à la paix, que se sont les Palestiniens qui ne veulent pas la paix !
Mensonge de flibustier. Ces français ont soit des accointances avec Israël soit ils se laissent absorber par la propagande qu'une grande partie des média distille. Je préfère croire qu’ils parlent par ignorance, pour ne pas penser qu’ils sont simplement des racistes à la vue écourtée de leur simplisme. Comment peut-on vouloir la paix et balayer d’un revers de manche le droit des Palestiniens, le Droit International ?  J’ai bien dit le Droit International, je n’ai pas dit leurs envies ou leurs desideratas, non le Droit International. Ce droit devant régir la société humaine et permettre une coexistence pacifique.  De deux choses l’une : Israël respecte ce droit International et il n’y a plus a y revenir ou Israël ne respecte pas le Droit international et dans ce cas il faut de manière coercitive le ramener à la raison.  Ce sont nos atermoiements assassins qui permettent à ce conflit d’exister. Isoler Israël est un moyen sans violence d’y parvenir.


C’est terrible de constater que des colons fanatiques se prévalent du mythe de la "Terre promise" pour justifier leurs actes. Il y en a même dont je ne suis pas sur qu’ils considèrent les palestiniens comme des êtres humains. Cela prouve uniquement le reflet qu’ils ont d’eux-mêmes.
Ce que je crois c’est que le Proche-Orient est l’incubateur de la société de demain dans le monde. Où les Palestiniens seront remplaces par les gens de basse condition ou que l’on aura rendus de basse condition. Si Israël est la pierre angulaire du désordre au Proche-Orient, l’Organisation sioniste mondiale est la clé de voûte du désordre mondial. 


La politique criminelle israélienne "alimente" tous les apprentis dictateurs de la planète. C'est une certitude. Les uns pour sauvegarder leur opposition à Israël à l'Occident, les autres pour exprimer leur peuple. 

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