dimanche 15 avril 2012

Deux Palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat israélien


Libération de deux Palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat israélien
[ 14/04/2012 - 21:34 ]

Nazareth – CPI

Les deux palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat des forces armées de l'occupation israélienne ont été libéré, aujourd'hui samedi 14/4, après la déclaration du soldat et avoué s'être poignardé lui-même.

La deuxième chaîne à la télévision hébreu a révélé que les enquêtes menées par la police militaire israélienne ont confirmé qu'un soldat israélien, qui travaille aux unités des milices "Gardes-frontières", s'est poignardé lui-même, le jeudi dernier, pour des raisons qui ne sont pas connues, où il prétendait que des Palestiniens l'avaient attaqué.

La chaîne a ajouté que le soldat a été poignardé, le jeudi dernier, dans un champ d'oliviers près d'une station du transfert gratuit au carrefour de Taifek en Galilée dans le nord de la Palestine occupée en 1948, mais les enquêtes indiquent que le soldat qui a 19 ans a fabriqué cette histoire.


De prime abord, nous pouvons croire qu'invoquer des agressions fictives, par les juifs, est exceptionnel.
Non : - Déjà le samedi 3 janvier 2003, un rabbin s'auto agressait et accusait les musulmans.

Le rabbin Gabriel Farhi (accusé par ailleurs de pédophilie) appartenant au Mouvement juif libéral de France a été poignardé vendredi vers 16H30, dans sa synagogue située au 23 rue Pétion dans le XIème arrondissement de Paris où il officie depuis 7 ans.
Blessé au ventre, il a pu quitter l'hôpital Saint-Antoine où il avait été transporté, vers 21h30. Gabriel Farhi explique qu'il avait reçu le matin même des menaces écrites faisant référence au jihad et à la guerre en Palestine.


Nouvel Observateur :
Le 3 janvier 2003, Gabriel Farhi est blessé par un coup de couteau dans l'abdomen devant sa synagogue rue Pétion à Paris. L'agresseur selon la victime porte un casque et crie « Allahu Akbar ». Quelques jours plus tard, plusieurs responsables politiques participent à une cérémonie pour dénoncer l'« intolérable agression ».


L'enquête prend une nouvelle direction quand la police établit que le couteau utilisé provient de la cuisine de la synagogue. La thèse de l'auto-mutilation fait alors partie des possibilités évoquées. Plusieurs expertises, sur la chemise déchirée et sur la voiture de Gabriel Farhi incendiée quelques jours plus tard, donnent des résultats contradictoires, pouvant confirmer en partie les affirmations du rabbin. La brigade criminelle de Paris est chargée du dossier. Dans son numéro du 3 juin 2004, l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur remarque que « sans jamais avoir été mis en examen pour se défendre, [le rabbin Farhi] est insidieusement passé du statut de la victime à celui du suspect ». Une ordonnance de non-lieu a été rendue le 4 septembre 2008, mettant un terme à la rumeur sur la réalité de l'agression.

Cet exemple avec des légères différences, où y sont impliqués des rabbins ou des juifs lambda, est un atavisme caractéristique des adeptes du sionisme. Dès sa création, le sionisme à toujours instrumentalisé la communauté juive, prétendant l'impossibilité pur les juifs de s'adapter dans la société qui les abrite.
C'est ainsi que :  Les déclarations "pousse-au-crime" du premier Président d'Israël, Chaïm Weismann, dénigraient les juifs. Nullement par racisme antijuif, mais pour "semer" l'insécurité dans la communauté et les forcer, pour ne pas dire : les obliger, à immigrer en Palestine grossir les rangs sionistes. En effet : « Tout Etat ne peut absorber qu’un nombre limité de juifs, s’il ne veut avoir des maux d’estomac. L’Allemagne a déjà trop de juifs. » Cette déclaration au demeurant jamais dénoncé par les juifs, à menée, n'en doutons pas, au génocide des juifs par les nazis. Bien entendu d'autres facteurs y on contribué, cependant personne de sensé ne peut écarter que ce dénigrement systématisé par le sionisme en Europe, mais aussi au Moyen-Orient, ait pu influencer des êtres, racistes dès le départ.

Sacrifier des juifs pour la cause sioniste, les sionistes l'on toujours pratiquée. Au Maghreb, au Proche et Moyen-Orient où les juifs, pro sionistes, habitant ces régions aidés par le Mossad, ont commis des attentats terroristes, contre leurs propres coreligionnaires, pour attiser les peurs des juifs et apporter la preuve, comme le disait Théodore Herzl, assurant que les juifs ne peuvent être assimilables.
Pourtant si je prends l'exemple de l'Iran. Il existe en Iran la plus ancienne communauté juive du monde, et si quelques-uns ont immigrée en "Palestine" la grande majorité reste en Iran et ne veulent en aucun cas immigrer, aujourd'hui, en Israël. En Iran, pays que le sionisme dénigre tant, la communauté juive y vit comme toute autre citoyen, ni plus ni moins.
En tout état de cause les juifs iraniens vivent bien plus libres que ne le sont les palestiniens.   Qu'on se le dise.         

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