samedi 28 avril 2012

"The Guardian" DSK


M Dominique Strauss-Kahn, accuse, dans le "The Guardian"  ses adversaires politiques d'avoir fomenté la cabale qui l'accable...

N'étant pas dans le secret des Dieux, peu de gens peuvent affirmer ou infirmer une telle accusation, il faut avouer cependant, que peu de personnes, ayant un peu d'honneur, mettraient leur propre comportement, sans conteste, "bestial", comme étant la responsabilité de ses adversaires politiques, en admettant qu'ils y soient pour quelque chose.

Comment peut-on croire que les français, en possession de la vérité,  auraient choisi, un homme incapable de résister à ses pulsion bestiales, comme président de la République.

La réponse est NON.




La seule question qui se pose à nous est de connaitre les raisons de l'omerta qui entourait DSK sur son incapacité a maitriser son penchant digne d'un "bonobo" et que la médiatisation des faits nous ont permis de savoir ce que tous les acteurs politiques et medias savaient depuis longtemps.

On peut remercier Dieu, s'il existe, de nous avoir épargné, que parvienne à la tête d'un Etat, un homme à la moralité douteuse.


En effet, la Présidence d'une nation ne peut cohabiter avec des principes immoraux.
Aux USA, si je prends cet exemple, un seul mensonge suffit à briser la carrière d'un homme politique. Pourquoi qu'en France, il en serait autrement...

Cela aurait la vertu de remplacer, à l'instant, 80% de la classe politique

Je me souvient quand Patrick Bruel (sioniste proclamé) déclarant : " regretter l'affaire DSK et qui a empêché au meilleur d'entre nous  d'être Président de la république."  C'est vrai qu'en Israël les Présidents sont souvent accusés d'harcèlement sexuel ou de détournements de fonds... 







La démocratie que les élites nous "vendent", n'est pas la démocratie, ne peut être la démocratie, ses origines étaient : "pour et par le peuple". L'oligarchie qui nous gouverne s'autorise à nous laisser croire a un engagement citoyen, quand, elle utilise nos voix comme un "chèque en blanc" et au lieu d'agir dans l'intérêt du peuple, c'est dans l'intérêt d'une minorité qu'ils œuvrent.
Dans la plupart des pays, la société semble avoir atteint un état de délitement, de déliquescence, sinon d’implosion plus qu’inquiétant, quels que soient les points de vue et outils de mesure. Egoïsme, xénophobie, intolérance, déresponsabilisation, violence sociale, matérialisme effréné, corruption, oligarchisme, « perte des valeurs, humaines et morales »… : tous les compteurs sont au rouge !

Comment, ces..., ont pu aliéner les Etats à la finance privé ? 
En France, le premier d'entre eux, ce DSK.


En imaginant la cité idéale, Platon voyait, dans la démocratie, l’instauration du désordre correspondant à la montée des classes populaires vers le pouvoir qu’elles n’ont pas appris à connaître et à exercer. Dans la cité idéale, gouverner apparaissait comme une activité réservée à ceux qui étaient aptes à gouverner, les meilleurs par la naissance; mais cette aptitude devait être renforcée par un long apprentissage scientifique. Seules des têtes « bien faites », pensantes, étaient appelées au pouvoir.
Cependant, dès cette époque, il n’y a pas de démocratie (régime politique) sans démocratisation (création d’un espace public démocratique). Dans la cité réelle, les sophistes accordent leur confiance à la rhétorique, ils mettent en scène les pouvoirs du mot qu’ils enseignent à leurs élèves. Ainsi contribuent-ils à la libération de la parole sur la place publique, l’agora. Leur apport à la démocratisation de la vie sociale est indéniable, puisqu’ils ne s’embarrassent pas, comme le fait remarquer Platon, d’être artisans le jour et, le soir venu, de se mêler de philosophie, de partager avec tous leurs savoir et savoir-faire, eux qui n’étaient pas nés pour être des philosophes.





  

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