Un ami me fait parvenir l'article
de Djamila Sonzogni, que je transmets in extenso. Il va de soi que non seulement,
je trouve son intervention pertinente et tout a fait intelligente, mais je pense aussi, qu'elle devrait nous permettre de voir un peu plus loin que le bout de notre nez.
En effet, il n'y a que les escrocs de la pensée ou ceux qui, élus politiques par carriérisme ou par cupidité soutiennent un État qui par l’intermédiaire des sionistes, juifs ou non, phagocytent nos institutions. Institutions qui, il n'y a pas si longtemps étaient encore démocratiques et le mot justice avait une signification morale* qui n'était pas, obligatoirement, celle du plus fort...
Les États où pour faire appliquer la justice il faille en avoir les moyens de la faire appliquer, sont les États où la justice est un vocable vidé de son sens.
* Je ne me refaire pas a une référence religieuse, mais a cette morale que nous dicte notre fort intérieur, lorsque, naturellement on possède un état de conscience.
Si je prends l'exemple des criminels, la quasi totalité de ces êtres trouvent des justifications à leur crime, on dit d'eux : "qu'ils n'ont pas d'état de conscience". C'est a cette morale que je me réfère, à celle qui nous permet d'être en paix avec notre conscience y compris au détriment de nos propres intérêts. Mais, allez faire comprendre cela à ces êtres cupides pour qui, seul compte l'intérêt personnel, communautaire, y compris au détriment d'autrui, comme le sionisme et ses souteneurs l'ont toujours fait. C'est de mon point de vue, le principal facteur générateur des inégalités en expansion de notre monde. En effet il faut être aveugle, pour ne pas s’apercevoir qu'Israël, État illégal, doive déployer tant d’ingéniosité pour faire croire à la légalité de sa création et à l'innocence de ses actes.
Il est clair que nous sommes là, devant une mafia que nous pensons d'un nouveau style, dans les faits : Israël, le sionisme, fait là, ce que Théodore Herzl a toujours préconisé : "s'attacher la bienveillance des États forts et influents, par tous les moyens, pour parvenir aux fins sionistes". Aujourd'hui ils font beaucoup mieux, attendu qu'ils se donnent les moyens de faire voter les lois, qui, comme pour la résolution 181 voté à l'ONU en novembre 1947, sont entachées de chantage, qu'il soit par crainte, hier, par cupidité ou communautarisme, aujourd'hui.
En effet, il n'y a que les escrocs de la pensée ou ceux qui, élus politiques par carriérisme ou par cupidité soutiennent un État qui par l’intermédiaire des sionistes, juifs ou non, phagocytent nos institutions. Institutions qui, il n'y a pas si longtemps étaient encore démocratiques et le mot justice avait une signification morale* qui n'était pas, obligatoirement, celle du plus fort...
Les États où pour faire appliquer la justice il faille en avoir les moyens de la faire appliquer, sont les États où la justice est un vocable vidé de son sens.
* Je ne me refaire pas a une référence religieuse, mais a cette morale que nous dicte notre fort intérieur, lorsque, naturellement on possède un état de conscience.
Si je prends l'exemple des criminels, la quasi totalité de ces êtres trouvent des justifications à leur crime, on dit d'eux : "qu'ils n'ont pas d'état de conscience". C'est a cette morale que je me réfère, à celle qui nous permet d'être en paix avec notre conscience y compris au détriment de nos propres intérêts. Mais, allez faire comprendre cela à ces êtres cupides pour qui, seul compte l'intérêt personnel, communautaire, y compris au détriment d'autrui, comme le sionisme et ses souteneurs l'ont toujours fait. C'est de mon point de vue, le principal facteur générateur des inégalités en expansion de notre monde. En effet il faut être aveugle, pour ne pas s’apercevoir qu'Israël, État illégal, doive déployer tant d’ingéniosité pour faire croire à la légalité de sa création et à l'innocence de ses actes.
Il est clair que nous sommes là, devant une mafia que nous pensons d'un nouveau style, dans les faits : Israël, le sionisme, fait là, ce que Théodore Herzl a toujours préconisé : "s'attacher la bienveillance des États forts et influents, par tous les moyens, pour parvenir aux fins sionistes". Aujourd'hui ils font beaucoup mieux, attendu qu'ils se donnent les moyens de faire voter les lois, qui, comme pour la résolution 181 voté à l'ONU en novembre 1947, sont entachées de chantage, qu'il soit par crainte, hier, par cupidité ou communautarisme, aujourd'hui.
23
octobre 2012
ACAA – Accord UE-Israël
Les élus EELV dénoncent un vote indigne du prix Nobel de la paix
23
octobre 2012
Le 23
octobre 2012, le parlement européen vient d’approuver ACAA, le protocole
relatif à l’évaluation de la conformité et l’acceptation des produits
industriels entre l’UE et Israël .
Pour
Yannick Jadot, député européen membre de la commission du commerce
international:
»
L’accord tel qu’adopté par le Parlement européen ne garantie pas que les
produits qui arriveront sur notre marché ne soient pas fabriqués, pour partie,
dans les colonies, contrairement aux dispositions du droit européen. Au moment
où le chef du gouvernement, Netanyahu vient d’annoncer un projet de
légalisation des colonies sauvages et d’extension des implantations en
Cisjordanie dans la perspective des élections du 22 janvier 2013, le Parlement
européen vient d’envoyer un mauvais signal qui va évidemment être perçu pendant
cette campagne comme un soutien à la politique de Nétanyahu. «
Retrouvez
l’intervention de Yannick Jadot en cliquant ICI
Nicole
Kiil-Nielsen, députée européenne, membre de la Commission des Affaires
étrangères a exprimé son indignation :
»
ACAA n’est pas un simple accord technique, c’est le renforcement des relations
UE/Israël. Donner notre consentement à ACAA c’est admettre et encourager la
colonisation illégale des territoires palestiniens, c’est admettre et
encourager le blocus illégal et inhumain de Gaza. L’UE ayant déclaré que la
colonisation israélienne est un obstacle à la paix, l’adoption de ACAA devra
par soucis de cohérence nous amener à refuser le prix Nobel de la paix. «
L’ensemble
des élus EELV au parlement européen a voté contre l’accord ACAA.
ACAA en
bref
Une fois approuvé par le parlement européen et entré en vigueur, ACAA – « le protocole relatif à l’évaluation de la conformité et l’acceptation des produits industriels » – va être annexé à l’accord d’Association UE-Israël.
Malgré son aspect technique, ce protocole représente une intensification importante des relations de l’Union européenne avec Israël, et marque un premier pas vers l’intégration d’Israël au sein du marché unique européen en prévoyant le libre accès des produits industriels sur les marchés respectifs des deux parties.
Il n’existe aucune garantie que cet accord ne concernera pas les produits des colonies. Lors de ses interventions devant la commission INTA et devant la plénière du Parlement juillet, le commissaire européen au commerce M. De Gucht n’a pas donné des garanties suffisantes qui limiteraient le champ de compétence de l’autorité certificatrice israélienne au territoire israélien reconnu internationalement (frontières de 1967). Cela signifie clairement qu’aussi longtemps que cette grave lacune juridique ne sera pas prise en compte, l’accord ACAA couvrira aussi les territoires occupés.
Cela est en contradiction avec le droit international, avec la position de l’Union qui condamne la politique israélienne de colonisation, la qualifiant d’illégale et enfin, avec la décision de l’UE de 2009 de geler le rehaussement de ses relations avec Israël (après l’opération Plomb durci contre Gaza).
Une fois approuvé par le parlement européen et entré en vigueur, ACAA – « le protocole relatif à l’évaluation de la conformité et l’acceptation des produits industriels » – va être annexé à l’accord d’Association UE-Israël.
Malgré son aspect technique, ce protocole représente une intensification importante des relations de l’Union européenne avec Israël, et marque un premier pas vers l’intégration d’Israël au sein du marché unique européen en prévoyant le libre accès des produits industriels sur les marchés respectifs des deux parties.
Il n’existe aucune garantie que cet accord ne concernera pas les produits des colonies. Lors de ses interventions devant la commission INTA et devant la plénière du Parlement juillet, le commissaire européen au commerce M. De Gucht n’a pas donné des garanties suffisantes qui limiteraient le champ de compétence de l’autorité certificatrice israélienne au territoire israélien reconnu internationalement (frontières de 1967). Cela signifie clairement qu’aussi longtemps que cette grave lacune juridique ne sera pas prise en compte, l’accord ACAA couvrira aussi les territoires occupés.
Cela est en contradiction avec le droit international, avec la position de l’Union qui condamne la politique israélienne de colonisation, la qualifiant d’illégale et enfin, avec la décision de l’UE de 2009 de geler le rehaussement de ses relations avec Israël (après l’opération Plomb durci contre Gaza).
Accord de
libre-échange UE-Etats-Unis :
un risque pour le modèle européen
un risque pour le modèle européen
23
octobre 2012
Strasbourg,
le 23 octobre 2012
Le
Parlement européen a adopté ce mardi 23 octobre 2012 sa position en vue des
négociations d’un futur accord de libre-échange entre l’Union européenne et les
Etats-Unis.
Pour
Yannick JADOT, député européen et vice-président de la commission du commerce
international:
« Le vote du parlement européen donne malheureusement un mandat très large à la Commission européenne pour négocier avec les Etats-Unis alors qu’un tel accord pourrait mettre en cause des éléments essentiels de notre cadre réglementaire. En effet, des divergences profondes existent entre les deux blocs commerciaux, sur la notion de service public, les questions liées à l’agriculture, à l’alimentation et à la santé (bœuf aux hormones, OGM, Indications géographiques protégées etc.) ainsi que sur les services culturels et l’audiovisuel. Ces divergences renvoient à des préférences collectives et des choix de société qui ne peuvent être ni ignorés ni rabaissés afin de faciliter ces négociations.
« Le vote du parlement européen donne malheureusement un mandat très large à la Commission européenne pour négocier avec les Etats-Unis alors qu’un tel accord pourrait mettre en cause des éléments essentiels de notre cadre réglementaire. En effet, des divergences profondes existent entre les deux blocs commerciaux, sur la notion de service public, les questions liées à l’agriculture, à l’alimentation et à la santé (bœuf aux hormones, OGM, Indications géographiques protégées etc.) ainsi que sur les services culturels et l’audiovisuel. Ces divergences renvoient à des préférences collectives et des choix de société qui ne peuvent être ni ignorés ni rabaissés afin de faciliter ces négociations.
Au moment
où l’Europe connaît une crise économique et sociale sans précédent, qu’elle
peine terriblement à se doter d’une politique industrielle ambitieuse, une
telle précipitation constitue un danger pour le modèle européen.
Enfin, un
futur accord avec les Etats-Unis n’est pas un accord comme les autres : ses
promoteurs arguent qu’il s’agit là de créer la plus faste zone de libre-échange
du monde. Quid alors du multilatéralisme et de l’OMC comme cadre des
négociations internationales ? Pour toutes ces raisons, les Verts au Parlement
européen ont choisi de rejeter la position votée aujourd’hui ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire