vendredi 21 décembre 2012

La déconstruction sociétale, en continu...



La déconstruction sociétale, en continu... depuis Heidegger, puis vulgarisé par Derrida,  à nos jours...  

La déconstruction que je tente de dénoncer, l'est moins, contre tous ceux qui veulent obtenir des droits, que contre ceux cherchant à déstabiliser la société en détruisant les dogmes qui permettent de vivre en bonne intelligence, en dressant ses composantes, les unes contre les autres, en espérant en tirer un bénéfice...


La vie ne peut se résumer ni au sexe, ni à l'argent..., et il est illusoire de confondre la vie éternelle avec la vie sur terre, ce que doit être un homme qui sait résister à ses envies avec un homme qui se laisse aller, pour des raisons mythologiques ou religieuses, a ses plus vils  instincts.

Cette pratique d'analyse textuelle est employée pour décortiquer de nombreux écrits (philosophie, religion, littérature, journaux), afin de révéler leurs décalages et confusions de sens, par le moyen d'une lecture se focalisant sur les postulats sous-entendus et les omissions dévoilées par le texte lui-même.

La déconstruction est une méthode, voire une école, de la philosophie contemporaine. Si le terme « déconstruction » a d'abord été utilisé par Heidegger, c'est l'œuvre de Jaques Derrida qui en a systématisé l'usage et théorisé la pratique.

C'est ainsi que les élites juives, éclairés par les principes de Derrida, ont favorisé cette déconstruction. Les exemples ne manquent pas, parfois aussi anodins que les récentes déclaration de Mattieu Pigasse*, mais aussi tous les principes diffusées dans les médias signifiant dans ce contexte une opération portant sur la structure ou l’architecture traditionnelle des concepts fondateurs de l’ontologie ou de la métaphysique occidentale, favorisant insidieusement la déconstruction de ce qui justement construit l'homme, sa morale, ses principes...

La déconstruction n'est pas un acte ni une opération. C'est un démontage qu'on ne peut pas attribuer à un sujet individuel ou collectif qui en aurait eu l'initiative : elle a lieu, sans délibération ni organisation. La construction se perd, c'est ainsi. L'homogénéité se trouble, l'espace se brouille (comme chez Cézanne), les structures se délitent.
Il y a en elle quelque chose de passif. Il faut reconnaitre cependant que l'investissement de ceux qui sont favorables au sionisme à Israël, leur concours dans cette déconstruction, est évident. Israël est un État illégal, qui, pour se maintenir doit manipuler les populations mondiales, utiliser la force des armes pour se maintenir au Proche-Orient. Et c'est l'investissement de ceux qui lui sont favorables qui lui accordent l'impunité qui est la sienne. 


  1. Après l'avortement, un des dogmes de la chrétienté, est tombé avec Mme Simone Weil.*

    • Destruction des dogmes religieux, autres que ceux prônés par le judaïsme, comme par exemple la loi Weil sur l'avortement. Les dogmes et mythes de la religion israélite, restent intacts. On assassine, même, en leur nom.

Ø  La lutte des femmes pour la conquête des mêmes droits que les hommes est, de mon point de vue, légitime. Il y a cependant un point sur lequel je suis férocement contre, et la religion ou je ne sais quoi encore n’y sont pour rien. C’est l’avortement. Que l’avortement soit légalisé pour palier à une détresse ou dans un cas d’extrême urgence, cela pourrait se comprendre mais que cette légalisation soit l’équivalent de banalisation, n'est pas acceptable. Mme Weil s’est fait un nom sur une erreur grossière. 
Ø       En effet l’avortement est un acte traumatique laissant sans objection possible des séquelles, parfois physiques souvent psychiques. Il eut valu mieux banaliser la contraception, mais surtout se donner les moyens de l’information, de sorte que toute femme ayant accédée au cycle menstruel reçoive aussi l’information adéquate.
Ø    Ce que fait Mme Weil là, et l'acharnement qu'elle y consacra, me fait penser d'avantage à une volonté de lutter contre un dogme d'une religion qui n'est pas la sienne, que d'atteindre un quelconque droit.   


  1. Avec l'abolition de la peine de mort, un dogme sociétal est annihilé, avec Mr Robert Badinter*, Ministre de la Justice de Français Mitterrand.

    • Destruction de la structure sociétale, présenté comme un bien, celui d'éviter l'erreur judicaire. La loyauté, la droiture, l'honnête, ce qui enfin de compte fait l'homme, s'émiette.  
Ø    Si pour prévenir une erreur judiciaire, nous pouvons admettre que la peine de mort ne soit pas appliquée, sauf conditions irréfutables, comme par exemple ; les crimes de guerre ; les crimes contre l'humanité, les crimes d'enfants lorsque la culpabilité ne fait aucun doute ; ou encore les crimes où  la férocité dépasse l'entendement humain, l'abolition pure et simple de cette loi envoie un message au criminel qui lui assure que quelque fusse son crime il ne sera exécuté.
Ø    Je ne vois pas là une quelconque avance humaine,  ce que j'y vois c'est une exonération  pour les grands criminels, criminels de guerre ou contre l'humanité.  
Ø     Laisser croire qu'un homme n'a pas le droit de tuer un autre homme, est une manipulation. Il faudrait que M Badinter s'applique cette règle à lui même, au lieu d'absoudre les crimes que d'autres juifs commettent en Palestine.

  1. Après le "pacs" les socialistes nous dévoilent le mariage pour tous. présenté en conseil des ministres le 7 novembre et qui sera examiné à partir du 29 janvier à l’Assemblée nationale.
  2. La procréation Médicalement Assistée. Pour des raisons médicales oui, pour faire comme les hétérosexuels, non.


    • C'est moins l'union de deux personnes du même sexe qui est dérangeante, que le mot employé pour désigner cette union. Je ne vois pas où est la perte d'avantages, juridiques, fiscaux, humains, pour les homosexuels, dans le fait de  réserver le vocable "mariage" a ce qui a toujours été le fondement de la famille. A moins de chercher à détruire la cellule familiale. Y compris si c'est présente par le Gouvernement Hollande* comme une avancée humaine, ce sont les repères familiaux qui volent en éclats.
Ø     Pourtant le dogme familial de la société occidentale est un père une mère, qui en procréant créent ce que l'on appelle une famille.
Ø      Ce qui ne veut pas dire qu'il faille négliger les droits de tous ceux qui, pour des raisons qui leur sont propres, décident de mener une autre manière d'existence.
Ø    Les droits de l'homme sont aliénables à tous les hommes, quel que soit le choix de vie qu'ils aient décide de mener.  Cependant, vouloir pour un homosexuel les mêmes droits qu'un Hétérosexuel est parfaitement légitime, mais la famille n'est pas un droit, c'est un fait naturel. Deux homosexuels (hommes ou femmes) ne peuvent créer une famille du fait même que pour procréer doivent faire appel à un artifice.  
Ø     Le mariage est le fondement de la famille : un père, une mère, des enfants. Détruire ce fondement est mètre en péril les générations à venir. L'histoire des enfants adoptés pullule d'exemples où ces derniers on voulu connaitre leur géniteurs, pour qu'enfin, y compris sans renier les parents adoptifs, puissent trouver un équilibre psychologique. Allez donc expliquer à un enfant, qu'il est issu d'une paillette surgelée venue de je sais où, d'un embryon anonyme, d'une mère porteuse etc... Quelle image aura cet enfant de ses mères adoptives ou de sa mère porteuse ?
Ø   Quel drame et quel message plus clair que celui d'un couple qui ne peut avoir d'enfants et a qui on refuse, pour la bonne sante psychologique de l'enfant, l'adoption.
Ø  La famille c'est un père une mère des enfants. Mais comment les enfants des ces nouveau couples doivent parler de leurs parents : maman et maman ou papa et papa !  
Ø   Non c'est ridicule. Que les homosexuels aient les mêmes droits que tout en chacun, est une avancée humaine. Qu'ils puissent adopter, pourquoi pas mais de grâce ne laissez pas croire à l'enfant qu'il est issu de deux mamans ou de deux papas..., qu'il est le fruit naturel de l'amour que se portaient ses parents. Le laisser croire est une manipulation, c'est un détournement de la signification des mots.
Ø   Le mariage est une union fondée sur la famille, il ne peut pas être fondé sur la filiation par l'adoption. Même si des parents font appel à l'adoption ou à l'assistance médicalisé, pour des raisons médicales.  


Ces mariages impliquent l’adoption, mais le projet ne résout pas toutes les questions relatives à la filiation. «Le gouvernement aurait peut-être préféré ne rénover, dans un premier temps du moins, que le mariage. Mais, c'est impossible car celui-ci ouvre automatiquement à l'adoption», rappelle Irène Théry, sociologue du droit, de la famille et directrice d’étude à l’EHESS. Selon elle, «le débat se focalise sur la filiation et c'est logique car la loi propose un véritable changement symbolique: un enfant pourra avoir deux pères ou deux mères. Lors du Pacs, en 1999, le pas symbolique portait sur le couple, puisque la loi instituait le couple de même sexe».

En conclusion quel est l'intérêt pour cette intelligentsia là, a ce que l'être humain développe une schizophrénie dès son plus jeune âge ?
Un monde sans repères, sans limites, sans le minium de respect nécessaire entre les hommes, toutes ces avancées que l'on nous présente comme étant des libertés, ne sont en fin de compte que les outils, pour que certains d'entre-nous tirent bénéfice de cette déconstruction.

Je vais cependant émettre une crainte. Aujourd'hui le divorce est passé dans les mœurs, pourtant nous savions que le mariage passe par trois stades. La passion ; l'admiration ; la tendresse. Ce sont ces trois stades qui permettaient aux couples de vieillir ensemble.
Ce qui ne veut pas dire qu'un couple arrivé à l'incompréhension, mieux veut en effet divorcer que de souffrir et faire souffrir. Mais aujourd'hui on divorce parce que l'on a vu passer une canne à pêche en jupon, on se demande même si l'homme en se mariant connaissant toutes les implications que représente de fonder une famille.
La crainte que je voudrais émettre, c'est que ce n'est pas la durée des unions qui caractérise la communauté homosexuelle. Que vont devenir tous ces enfants adoptés ou médicalement procrées ?  
Nos enfants de divorcés, jugent sévèrement, très souvent, leurs parents. Que va-t-il en être de ces enfants adoptés par des parents homosexuels ?
C'est une grande responsabilité de mettre des enfants au monde, surtout par l'inconséquence et la cupidité des élites mondiales, capables de faire la guerre pour des intérêts économiques.

Le statut de coparent et du beau-parent !
«Le statut de coparent est revendiqué par les gays car du fait de la façon dont ils font famille, l’autre est inexistant», résume Caroline Mécary, avocate et co-présidente de la fondation Copernic.
Qu’est-ce que ce «coparent»? «C’est le terme inventé par les associations gay et lesbiennes pour désigner le compagnon qui est là au moment du projet» d’avoir un enfant, explique Irène Théry.

* M Mathieu Pigasse, directeur de la Banque Lazzard, chargé de faire le lien entre la dette Grecque et les banques ! (Banque privé à laquelle la France verse des dividendes). 
* Mme Simone Weil est juive.
* M Robert Badinter est juif.
* Nous savons tous, que dans le Parti Socialiste (PS) il n'y a pas que des Juifs. Cependant dans le gouvernement Hollande les Ministres régaliens sont juifs.
[A l'UMP, Jacob et Copé, respectivement Président du groupe UMP à l'Assemblée et Président de l'UMP, n'a rien à envier au PS, en ce sens les principaux partis français, sont bien ferrés...] Israël peut continuer ses crimes, la "France" les absoudra. 

Comment peut-on croire que nous sommes dans le vraie ?
Que la société qui nous est présentée suit le bon chemin ?
La France a emprunté en 2012, 178 milliards, sur les marchés financiers.
En 2013 elle escompte emprunter un peu moins.
Comment peut-on continuer d'emprunter quand les intérêts de la dette sont passés en 2012, au premier poste de dépenses français, devant l’Éducation Nationale et l'Armée, c'est à dire qu'un pourcentage important de français  travaillent pour engraisser les actionnaires des banques privés.

Israël et l'intelligentsia pro sioniste dénigre le Pape, l'Islam, tous les sujets son bons pour brocarder la religion Catholique, le Pape, qualifier la religion musulmane d'islamiste,  laissant croire qu'elle fait partie de la nébuleuse terroriste. Or si  les factions résistantes sont fondamentalistes, comme les Frères musulmans*, le Hezbollah, ou le Hamas, aucun acte de terrorisme, hormis des faits de résistance, ne peut leur être imputé. L'intelligence voudrait qu'elles ne fussent confondues avec Al-Qaïda. la propagande pro sioniste est si manipulatrice qu'en France des "citoyens" assimilent les palestiniens au terrorisme. Or, ce que les palestiniens subissent, la politique israélienne est si injuste, si inique, si criminelle, que n"importe lequel d'entre-nous préférerait, somme le font les palestiniens, donner sa vie pour que d'autres en aient une meilleure. Et les Attentats kamikazes sont des actes de résistance, même si l'Occident par ignorance ou stupidité les qualifie d'actes terroristes. En Palestine il n'y a pas de juif rédemptif ou innocent.   
J'aimerais que cette intelligentsia, pro sioniste, répandant la pensée unique, nous dise : "qui sommes nous pour imposer aux Etats Arabes ou quel que fusse l’État, dans quelle société ils doivent vivre.
Leur radicalisme est dû à notre propre terrorisme. Ho, c'est un terrorisme qui use d'artifices, fomente des guerres appelés : ethniques ; de religion ; politiques, et ne sont que des guerres politiques pour étendre notre influence..., on s'accoquine avec celui qui nous rapporte, on fait la guerre à celui qui nous en empêche...

Si la Constitution proposé par l'actuel Président élu d’Égypte, issu des Frères musulmans, est voté, nous assisterons à une levée de boucliers des la part de tous les, soi-disant- démocrates occidentaux -"journalistes" et "politiques"-. 
Pourtant lorsqu'on les entend, la démocratie se limiterait à  : "la loi du plus grand nombre". C'est ainsi que depuis trente ans, des décisions, soi-disant démocratiques sont prises au plan national comme international qui s’avèrent être de véritables pièges pour les citoyens. Où ils y perdent un à un leur acquis, au profit de véritables escrocs. Escrocs qui s'auto-accordent des avantages en même temps, que les citoyens perdent les leurs. 
Dans ces conditions, (même si je considère que l'aliénation d'un peuple à une idéologie, qu'elle soit politique ou religieuse, est un recul) pourquoi les partis fondamentalistes ne feraient pas ce que, par ailleurs, nous faisons ? 
Pensez-vous un seul instant que l'idéologie mondialiste du "marché", même présenté comme une avancée, n'est pas un recul qui nous amène à l’esclavage ?



Oscar Wilde : " je pense à la platitude intellectuelle et au convivialisme vulgaire qui règnent dons notre médiocratie, le mépris et l’indifférence semblent être de plus en plus la seule attitude de base possible."


Oscar Wilde, emploi le mot « médiocratie » pour désigner une caricature de la démocratie où le médiocre est la valeur de référence.

Ces réflexions il ne les adresse à des partisans mais a des individus qui, partagés entre dégoût et désir, recherchent une aire d’existence plus dense et plus ouverte.

Israël défie la communauté internationale et malgré la résolution onusienne, cet État, au demeurant illégal, continue  la colonisation en Cisjordanie, les médias occidentaux l’annoncent mais c'est du "bout des lèvres" qu'ils dénoncent ce manquement au Droit international et à la 4e Convention de Genève. Quand aux États, c'est la même configuration que devant Hitler, c'est principalement la poltronnerie, l’obéissance à une idéologie infâme et la cupidité qui permet au gouvernement sioniste de perpétrer ses crimes.     



Nous vivons dans un monde d'imposture universelle, 
où 
dire la vérité est un acte révolutionnaire.
 

  

    

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