samedi 19 mai 2012

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Pour ceux qui aiment l’histoire, je vous recommande le livre de l’hitorien israélien Ilan Pappé et son livre le Nettoyage Ethnique de la Palestine édité chez FAYARD, et dont voici un extrait :
Ben Gourion écrivait en 1937 : « si je suis un adepte enthousiaste de la création d’un Etat juif immédiatement, c’est parce que suis convaincu qu’un Etat juif partiel n’est pas une fin mais un début (…) nous rapprochant de l’acquisition du pays tout entier ».
Cette réalité du sionisme inclut tout naturellement le Dogme du « Transfert ». (Expulsion manu militari des Palestiniens et les spoliation de leurs terres et de leurs bien) Ce transfert aussi dramatique qu’il puisse être n’est pas aussi traumatisant qu’est le processus actuel […] C’est un processus en profondeur, un processus rampant qu’on ne voit pas […] Sa principale composante est la destruction graduelle des infrastructures de la vie de la population civile palestinienne les territoires : c’est l’étranglement progressif par les bouclages te les sièges, qui empêchent les gens d’aller au travail ou à l’école et d’avoir accès aux services médicaux, qui barrent la route aux camions comme aux ambulances, renvoyant ainsi les Palestiniens à l’époque des ânes et des charrettes […] Et ce que les bouclages de l’armée ne réussissent pas à faire, les colons y parviennent : « chaque nouvelle implantation ou avant-poste exige des mesures de sécurité, c’est-à-dire aux yeux des colons, l’expulsion des Palestiniens des zones environnantes et la transformation des terres agricoles en terres de mort – qui conque les travaille ou cueille des olives risque de le payer de sa vie », constataient en 2002 deux militants de l’association israélienne Ta’ayoush, dont le nom signifie « vivre ensemble » . Gadi Algazy et Azmi Bdeir évoquaient alors, notamment, le cas du village de Khirbet Yanoun, situé au sud de Naplouse, en Cisjordanie sous occupation militaire israélienne. Un village que les habitant harcelés par l’armée et la violence des colons, ont été contrains de quitter en octobre 2002, avant d’y retourner sous la protection des militants internationalistes et des pacifistes de Ta’ayoush. Et Gadi Algazy et Azmi Bdeir le soulignaient : « Khirbet Yanoun n’est pas un cas isolé ».
A ce constat de 2002 fait tragiquement écho la réalité de la stratégie actuelle de la puissance occupante, tandis que la population continue à résister, c’est-à-dire à vivre, à demeurer sur sa terre, à tenter, chaque jour, chaque heure, de poursuivre une ébauche de vie sociale. Comment dès lors ne pas interroger l’histoire citée en référence du projet politique israélien ?


Les colonies dites de peuplement, sont en fait des colonies d’occupation. Et comme si cela ne suffisait pas les permis de construire accordés aux colons sont refusés aux Palestiniens. Non seulement un jeune palestinien qui se marie et pour fonder sa famille veut construise sa petite maison la plus part du temps très petite, les forces d’occupation non seulement ne lui donnent pas l’autorisation mais encore démolissent celles que les palestiniens construisent soit pour y abriter sa famille soit pour reconstruire celle que l’armée israélienne à démolie.
Les majorité des colons sont des colons fanatiques et intransigeants ils harcèlent les villageois sous le regard des militaires qui sont là non pour veiller à la sécurité du secteur mais pour protéger ces colons. A Hébron par exemple c’est quotidiennement que les palestiniens se font agresser par des colons et dans le cas où un colon tue, comme c’est déjà arrivé à plusieurs reprises ce dernier n’est même pas inquiété.
Les colonies déversent leurs eaux usées à travers champs, polluant les cultures.
Des colons sous le regard de militaires arrachent ou détruisent des oliviers, très souvent la seule ressource de la famille.
Des Israéliens dits péjorativement « pacifistes », alors qu’ils ne cherchent qu’à vivre en bonne intelligence avec leurs voisins, aident les villageois à la cueillette des olives pour : qu’ils ne se fassent molester par les colon ou pire encore qu’ils ne se fassent tirer dessus par les soldats. En Cisjordanie cueillir des olives peut vous coûter la vie.
Le MUR dit de sécurité est en fait le « Mur de l’apartheid ». Il est trois fois plus long que la frontière séparant Israël de la Cisjordanie. En fait de sécurité il sert à séparer les villages palestiniens et même les villageois de leurs terres arables et ils ont besoin d’un permis spécial pour cultiver leurs terres. Permis très difficile à obtenir et que les autorités d’occupation ne leur délivrent pas toujours. On suppose que la délivrance du dit permis n’à rien à voir avec le titre de propriété mais avec des critères particuliers, très éloignés de la démocratie.
Comme si cela ne suffisait pas : le villageois qui ne cultive ses terres pendant plus d’un an perd d’ipso facto le titre de propriété.
Dans le désert du Néguev les Bédouins perdirent leurs terres ainsi même si leur cas fut légèrement différent en effet : « les Bédouins vivant là depuis des générations ont perdu la propriété de leurs terres suivant les mêmes dispositions que les villageois à la différence près qu’ils furent déplacés avec l’interdiction de retourner sur leurs terres sous le prétexte qu’elles étaient devenues terrain militaire. Aujourd’hui leurs villages n’existent plus à leur place des colonies. Les Bédouins ne comprennent d’autant pas qu’ils ne se sont jamais opposés à une coexistence avec les colons ils estiment Qu4il y a suffisamment de place.
Contrairement à la présentation des medias dominants, l’attaque israélienne de la bande de Gaza n’est pas une riposte aux tirs de roquettes ! ça c’est le “ cadre ” matraqué et imposé par la propagande gouvernementale israélienne qui à pour but de renverser les rôles, de pervertir la réalité en faisant passer l’agresseur pour la victime. Quand Israël bombarde la bande de Gaza ce n’est pas de l’autodéfense ou de la légitime défense, pas plus que ne l’était l’attaque du Liban en juillet 2006 par les mêmes israéliens, pas plus que ne l’était l’invasion de l’Irak par les USA en mars 2003.
Le Hamas qui avait respecté la trêve souhaitait la levée du blocus pour reconduire la trêve. Le Hamas qualifié trop légèrement de mouvement terroriste et Gaza d’entité hostile ne cherchait qu’a lever le blocus inhumain. Les “ experts ” israéliens déclarent qu’ils ne s’ont pas les ennemis de la population et qu’ils cherchent uniquement à éliminer le Hamas. Pourtant cette formation politico/religieuse a été élue démocratiquement. Qui sommes nous pour imposer au peuple Palestinien un autre chemin que celui qu’ils ont librement consenti de suivre ? Je le répète le Hamas ne cherchait qu’a lever le blocus qui les prive du minimum vital depuis deux ans.
Ce bombardement est la continuation logique du mur de l’apartheid en Cisjordanie, des exécutions extrajudiciaires, c’est la continuation des crimes de guerre de Jenine, Naplouse en 2002, C’est la continuation de nettoyage ethnique et de massacres commence en novembre 1947. A cette époque sur des villageois largement sans défense, aujourd’hui contre une formation politique qui n’a pas et de loin les moyens que Européens et Américains octroient à Israël.
Ce bombardement survient après la décision du conseil des 27 ministres des Affaires étrangères européens qui ont décidé contre l’avis des Députés Européens du “ rehaussement des accords d’association avec Israël ” Il est aujourd’hui de la responsabilité de tous et en premier des partis politiques de dénoncer ces crimes et les basses manœuvres de Bernard Kouchner. Coupable de prévarication à sa charge. Est-il au service de la France ou d’Israël ?


e milite dans une association Judéo-Arabe et citoyenne pour la paix au Proche Orient. Je suis donc bien placé, même si je ne suis pas juifs ni arabe, pour dire que le fonctionement népotique de la majorité de la communauté Hébreu de par lemonde a acquis une grande influence et participe dans presque tous les gouvernements occidentaux . c’est aini qu’en Amérique lèvent des fonds pour financer la campagne électorale du candidat à la Maison Blanche s’il fait allégeance à Israël. En France il n’y pas un parti où ils ne soient présents. La communauté Israélite maitrise ou a une grnade influence dans des pans entiers de notre économie. Cela dit pour les côtoyer qu’ils sont des gens très instruits et parmi eux il y en a de très frequentables.
Ils ne sont pas tous sionistes, ni pour le gouvernement israélien.
Malheureusement ils sont en nombre insuffisant y compris en Israël.

mardi 15 mai 2012

M Hollande Président de la France


Nombreux sont les citoyens qui pensent que la Droite ou la Gauche, c'est du pareil au même. Que ce soit M Sarkozy ou M Hollande, cela ne changera pas grand chose, même s'il faut l'avouer, avec un président de Gauche, les petits souffrirons un peu moins.
Cependant le nœud de la problématique est et restera le même. En effet, tant que les États seront aliènes à la finance privé, la souveraineté des États sera compromise par des intérêts qui ne sont pas les siens et  les citoyens seront pris au piège  de cette idéologie globalisante voulue par des escrocs sous couver de démocratie, oubliant que le vocable démocratie au sens fondateur du terme, veut dire : "pour et par le peuple", et non comme "ils" le voudraient : "se servir du peuple". 

Aliéner les États à des intérêts particuliers, sort de toute logique, non seulement démocratique, mais  de toute logique intelligente. Comment, dans ces conditions, a-t-on pu livrer des nations aux requins de la finance ?
La seule explication qui puisse être admise, c'est qu'il y a des intérêts particuliers, si puissants, qui en dehors de toute humanité, (y compris lorsqu'ils se réclament de cette humanité) sont  capables de phagocyter nos démocraties... 

Le traité de Maastricht et ceux qui suivirent, en sont l'exemple parfait. La majeur partie de la population européenne a refusé ces traites.  Les uns, l'ont soumis a référendum. Référendum refusé par le peuple, puis, le texte est représenté pour tenter de le faire tout-de-même accepter "démocratiquement" au voté des députés. Où est la démocratie lorsqu'on passe outre le vote des populations avec autant de duplicité ? D'autres, l'ont d'office présenté au Parlement, esquivant ainsi le risque que pouvait présenter un référendum.
En effet, le traite de Maastricht à permis d'aliéner nos États à la finance privé. Comment un être responsable, élu ou non, peut ainsi hypothéquer l'avenir de millions de ses compatriotes et se soumettre à une idéologie qui a pour but d'assujettir les populations mondiales a d'une minorité de privilégiés ?

La classe politique européenne, à part leur soumission  à la globalisation, se comporte comme l'avait fait la la "noblesse" créant de fait une nouvelle aristocratie, qui n'œuvre nullement pour la Nation, pour le Peuple, mais, prennent nos bulletins pour des "chèques-en-blanc" qu'ils utilisent à leur enrichissement...  (Le cas de la Grèce est, aussi, un exemple parlant. On demande au peuple de faire des sacrifices, quand les députés grecs sont parmi les mieux payés d'Europe...) -
D'autres réclament la réductions des fonctionnaires, initient le désengagement de l’État de la solidarité nationale, mais aucun ne demande la réduction des parlementaires, sénateurs et que sais-je encore. L'exemple de l'Europe est aussi parlant : les politiques européens se sont ajoutés aux politiques nationaux, au lieu, comme il aurait été intelligent de procéder,  d'utiliser les "vases communicants" pour que l'Europe remplisse les mission qui étaient les siennes.
Aux USA il y a un nombre équivalent de responsables politiques qu'en France, pour une population six fois plus importante. Rien que ce fait, devrait permettre d'alimenter les neurones de gens intelligents. 

Je ne vois qu'une seule réponse à tant de prévarication de la part de nos élus. Ces élites que nous élisons, doivent espérer faire partie de cette minorité de privilégiés se donnant les moyens d'assujettir les populations. Comment croire, autrement, que des responsables politiques intelligents, accepteraient d'abandonner des prérogatives en accordant aux tenant de la finance privé le droit de financer les États et comble de la stupidité, la finance privé emprunte auprès des Banques Centrales, pour ensuite prêter aux États à des taux qui varieront en fonction de critères privés*, au lieu d'avoir recours au système, qui à fait ses preuves, c'est-a-dire : que les États empruntassent directement à leur Banque Centrale.  On est, actuellement, dans la démarche la plus stupide qu'un homme puisse imaginer. Et, soit nos élus sont totalement ineptes à l'exercice de la politique, soit ils "roulent" pour des intérêts inavouables qui nous dépassent. Il faut donc reconnaitre que, et cela mise à part  le jeu de "loterie" auxquels se livrent les banques, soutenir ce système relève de la prévarication la plus extrême, d'un système qui hypothèque l'avenir du peuple et de la nation et par conséquent celui de nos enfants, pour que des escrocs aient, eux, un avenir radieux... 

Les responsables politiques, vivent grâce au peuple, c'est un fait. Comment dans ces conditions peuvent-ils scier la branche dans la quelle ils sont "couchées" ?
Parce qu'ils espèrent faire partie de cette fameuse élite...  et oublient que tout escroc vit au dépends de celui qui l'écoute...

(*) Les taux dit variables, sont en soi une escroquerie, mais encore ils sont illégaux. Illégaux au sens noble de l'équité. En effet, quelque soit le contrat, le traité, pour être légal, les parties en présence doivent être informés de toutes les données techniques du contrat, du traité. Dans le cas où une donné variable y est incluse, les parties en présence ne maitrisent plus toutes les données techniques, en résumé : "l'emprunteur sait la somme qu'il emprunte, il se sait pas la somme qu'il va devoir rembourser", un contrat dont une des parties ne sait pas à quoi elle s'engage, ne peut, en toute intelligence être légal, et comble de la stupidité pour les uns, de la fourberie pour les autres, ces taux peuvent être révisés/fixés  sur des critères subjectifs par de gens qui ont tout intérêt à ce qu'il soient le plus élevés possible. (les supprimes, à l'origine de la crise mondiale, n'ont pas d'autre genèse)


Nos responsables politiques qui demandent des efforts aux populations, ont comme principe premier la déloyauté, ils dépensent des sommes pharaoniques pour combattre le terrorisme, a ces montants s'ajoutent les sommes  pour soutenir l'Etat qui en est à l'origine. Et là est le "Nœud gordien" car en Occident siègent au sein de nos parlement, de nos gouvernements, des gens qui soutiennent et ouvrent à rendre pérenne cet Etat illégal, qui se maintien par la force des armes.  Si nos "démocraties" ne soutenaient plus cet Etat, j'ai nommé Israël, il devrait s'intégrer dans son environnement au lieu de le combattre. Et le terrorisme dit musulman ne trouverait plus, du moins aussi facilement, les jeunes musulmans s'engageant dans le Djihad, par solidarité ou conviction, et tenter de nous faire comprendre le crime que représente la colonisation juive en Palestine.  Car rappelons-nous, le terrorisme, avants d'être "musulman" il était allemand (bande à Bader), français (action directe), italien (brigades rouges)..., les motifs de leur révolte étaient, que l'on le veuille ou non, semblables : ils refusaient l'exploitation des uns pas les autres.

La nomination de Laurent Fabius  aux Affaires étrangères, est sans conteste une erreur. En effet, comment un homme qui ne maîtrise pas  les affaires du monde, qui à une vue partisane et sectaire des affaires de ce monde, peut-il être un homme pour qui son engagement serait d'œuvrer pour la bonne entente entre les habitants de ce monde ? 
Cette nomination fait suite au "voyage" de membres du PS en Israël où il ont pris contact avec un responsable politique d'un extrémisme des plus fanatique...
Prendrions-nous les ordres de Tel-Aviv ?  A constater, les déclarations de M Fabius, dénigrant l'Iran, on pourrait le croire. Pourtant nous avons en France le meilleur diplomate de ces trente dernières années. Hubert Védrine n'est ni le représentant d'une caste, ni celui d'un parti, d'une grande finesse d'analyse, maitrisant parfaitement les rouages diplomatiques. Pourquoi dans ces conditions on nomme un personnage sectaire et incompétent à ce poste ?  Sa déclaration le prouve... 

Vendredi 31 août 2012 :
 S'il fallait apporter la preuve des accointances du parti socialiste français et le sionisme, la nomination   de la Banque Lazzard, dirigé par Mattieu Pigase, fidèle soutien de François Hollande, en est une  infaillible. Le népotisme de cette décision est assimilable à celui de M  Sarkozy nommant ses proches aux postes "clés". Le sionisme place là, ses "pions", et comme aux USA, la France, l'Europe dans un second temps, seront la soubrette des intérêts israéliens. 

Après la création d'une commission confié à Lionel Jospin, la décision de confier la stratégie économique à un homme autant impliqué dans les intérêts juifs dans le monde, est inapproprié et dangereuse pour notre indépendance.   


Arnaud Montebourg a "regretté", vendredi 31 août, que Bercy ait confié un mandat à la banque d'affaires Lazard France, dirigée par Matthieu Pigasse, pour conseiller le gouvernement pour la création de la future Banque publique d'investissement.
"Je regrette que cette décision ait été prise", a déclaré Arnaud Montebourg lors de l'Université d'été du Medef. "Je ne la connaissais pas, je l'ai découverte, donc vous comprenez que je ne suis pas très content", a-t-il ajouté.
"Moi, je pense que c'est une très mauvaise idée", a-t-il poursuivi en rappelant que la décision avait été prise par le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici.
D'autant, a-t-il poursuivi, que la Banque publique d'investissement, je trouve qu'elle ne peut pas être réalisée par des banquiers, parce que faire une banque qui ressemblerait à d'autres banques, c'est vraiment pas ce que l'on cherche à faire".
 

Dans ces conditions comment faire confiance à un élu favorable à Israël. La plupart des élus favorables au sionisme, juifs ou non, n'agissent pas pour la nation, dont ils ont normalement la charge, mais se servent d'elle. Pour un enrichissement personnel ou pour pérenniser Israël dont ils ont la plupart du temps la nationalité, y compris si elle est double...

N'importe quel économiste sensible aux difficultés économiques de notre pays verrait à la colonne "CRÉDIT" de notre bilan, qui le poste dépenses de personnel est trop important. Principalement celui des "cadres dirigeants". Que les élus politiques représentent a eux seuls la plus grande partie de cette dépense. 
Mais que pouvons-nous attendre de ces êtres entrés en politique, pour les avantages que la fonction procure et éventuellement se laisser corrompre intellectuellement ou/et physiquement pour satisfaite leur "égo" ou/et le caractère cupide de la plupart de nos dirigeants politiques    
  

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs “décisifs” de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une “race supérieure” spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.
Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout “réussi” avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet. Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de “racisme” ou d’”antisémitisme”, en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse “maladie criminelle” passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste. Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Davantage de pouvoir aux Juifs.
Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger. Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires. Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.