Les USA (CIA) et ses supplétifs en particulier, l'Occident
en général, prend appui sur les oppositions -intrinsèques à chaque pays- qu'il arme, finance et pousse au crime,
pour déstabiliser les Etat qui ne se plient aux exigences Américaines ou/et a
celle de ses vassaux et nous pouvons ajouter (considérant qu'une intelligentsia US pro-sioniste, considère Israël
comme le 51e. Etat US) : que les intérêts israéliens -par l'influence du
lobby juif- deviennent ceux des USA. L'impérialisme Américain, était et est,
une réalité incontournable, les USA concentrent, a eux seuls, 50% de l'armement
mondial.
Il n'est pas concevable de prétendre lutter contre le terrorisme ou encore œuvrer pour la paix et permettre l'impunité d'Israël, seul un être fourbe et sot peut le faire.
Même le premier président du premier Congrès sioniste savait que là, où, l'influence des juifs va au-delà de la "normale" les ennuis pour les goïm commencent. Dans ces conditions et nous le constatons, une nouvelle fois, que les juifs portent incontestablement une part de responsabilité dans leurs persécutions, pogroms y compris dans le génocide des Juifs par les nazis, la déclaration qui suit le fut en 1912 :
Chaïm Weizmann, futur président du Congrès Mondial puis premier Président de l’Etat d’Israel. (Cité par Lenni Brenner “Zionist in the Age of the Dictaors”)
Il n'est pas concevable de prétendre lutter contre le terrorisme ou encore œuvrer pour la paix et permettre l'impunité d'Israël, seul un être fourbe et sot peut le faire.
Même le premier président du premier Congrès sioniste savait que là, où, l'influence des juifs va au-delà de la "normale" les ennuis pour les goïm commencent. Dans ces conditions et nous le constatons, une nouvelle fois, que les juifs portent incontestablement une part de responsabilité dans leurs persécutions, pogroms y compris dans le génocide des Juifs par les nazis, la déclaration qui suit le fut en 1912 :
Chaïm Weizmann, futur président du Congrès Mondial puis premier Président de l’Etat d’Israel. (Cité par Lenni Brenner “Zionist in the Age of the Dictaors”)
Ainsi : Nous
avons dit à un public Berlinois en mars 1912 que « chaque pays ne peut
absorber qu’un nombre limité de Juifs, s’il ne veut pas de maux d’estomac. L'Allemagne à déjà trop de juifs. »
Le Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) qui devait s'opposer
à l'URSS, n'a plus l'utilité pour laquelle il a été crée, il sert aujourd'hui
de gendarme aux intérêts occidentaux et plus que jamais, ceux d'Israël,
n'est-il pas devenu un de ses membres les plus influents ! La lutte contre le
"terrorisme" entamée après le
11/09 par G.W. Bush a permis de légitimer la politique des USA, d'Israël et
aujourd'hui de la France, qui pourrait être acceptée y compris le concept
d'attaque préventive, si ces pays - USA,
Israël, France - n'étaient pas à l'origine du terrorisme dit islamique, parfois
salafiste, quelquefois djihadiste. Terrorisme
qui prend son comburant dans le conflit que le sionisme impose aux pays
musulmans, en Palestine bien entendu où les populations autochtones souffrent
d'un inexorable et lent génocide.
Lutte contre le terrorisme rendu de facto illicite, par
l'utilisation que l'Occident en fait, car en effet, elle sert :
- Pour Israël, à justifier ses crimes, la spoliation des populations natives, les arrestations arbitraires, le bombardement de populations civiles.
- Pour les USA, à assoir son impérialisme et satisfaire ses "faucons" pro israéliens.
- Pour la France, apporter la preuve de son soutien au sionisme et sous le prétexte d'y apporter la sécurité, faire main-basse sur les richesses du pays, ici le Mali, à l'aune du néocolonialisme.
Il n'est pas, humainement et intellectuellement,
raisonnable de prétendre lutter contre le terrorisme dit musulman et cautionner
le terrorisme d’État israélien à l'encontre les palestiniens à majorité
musulmans.
On croirait parfois, que le conflit du Proche-Orient,
atrophie les neurones de nos dirigeants. Hier encore le Président de la
République française M François Hollande commémorant le 1r anniversaire de la
tuerie de Toulouse, déclarait en substance que tout acte antisémite à
l'encontre d'un juif, l'était à l'encontre de tous les citoyens français. Il
est évident que les actes, où des innocents sont assassinés, n'est pas
acceptable. Mais n'est pas acceptable, non plus, la caution et l'absolution
qu'offrent les juifs pro-sionistes, aux crimes et manquements au Droit
international des israéliens. Faut-il encore être juste et loyal pour
l'admettre, contrairement à ces êtres qui prétendent nous gouverner et qui se
révèlent à nous tel de véritables escrocs, au sens le plus large du terme.
Que les Juifs favorables au sionisme, qui grâce à la
Déclaration Balfour, ont gardé leurs prérogatives dans leurs pays d'origine, parviennent
a des hautes fonctions, comme Dominique Strauss-Kahn, François Hollande,
Laurent Fabius, François Copé [...] trompent l'électeur français et qu'ils servent de l'influence que procure la fonction pour la sauvegarde d'Israël - un Etat va-t-en-guerre
à l'origine de la révolte des musulmans -, n'est pas acceptable.
Les jeunes juifs n'ayant pas eux mêmes souffert de
persécutions, pogroms ou génocide, -par exemple pendants la Seconde guerre
mondiale-, sont victimes d'un "bourrage de crane" de la part de schlihim* où la réalité décrite
voudrait servir d'alibi aux crimes commis par des juifs aujourd'hui.
*- shlihim [émissaires] sionistes qui sont envoyés d’Israël pour travailler
dans les communautés juives de Diaspora et qui s’investissent dans le travail
éducatif et culturel, peuvent réussir seulement jusqu’à un certain point. Il
est cependant remarquable que les juifs séfarades (ignorants des persécution et pogroms) adoptent d'avantage la vision partisane des ces shlihim que les juifs
ashkénazes, victimes du nazisme. »
Et je rappellerais le mot d'Albert Einstein : " l'esprit
qui est à l'origine d'un problème ne peut pas être celui qui le résoudra.
"
C'est donc que le sionisme ou ses adeptes, juifs ou non,
ne pourront pas prévenir l'antisémitisme puisqu'ils en sont à l'origine.
En effet, si le racisme est de vouloir faire du tort à
quelqu'un du seul fait d'être ce qu'il est, l'antisémitisme se développe moins,
pour ce que sont les juifs, que pour ce qu'ils font.
Rien de ce qui se
passe en Palestine et des conflits à travers le monde, ne peut être compris si
nous ignorons la déclaration de Georges Kennan, au sortir de la Seconde guerre
mondiale.
Georges
Kennan : « les USA représentent 50% de la richesse mondiale et
6.3% seulement de sa population. Etant donné cette situation, nous ne pouvons
qu’être l’objet d’envie et de ressentiment. Notre véritable tâche sera à
l’avenir de concevoir un mode de relations nous autorisant à conserver cette
position d’inégalité sans que soit entamée notre sécurité. Pour cela, il faut
nous départir de tout sentimentalisme et de toute chimère, afin de concentrer
partout notre attention sur les objectifs nationaux immédiats. Ne croyons pas
pouvoir nous offrir le luxe de nous poser en altruistes et bienfaiteurs de
l’humanité. Il faut cesser de tenir des propos aussi vagues et irréalistes que
le sont les droits de l’homme, l’accroissement du niveau de vie ou la
démocratisation. Le jour n’est pas loin où il faudra traiter en termes de
pouvoir au sens strict. Moins nous serons alors gênés par des déclarations
idéalistes, et mieux cela vaudra. »
La France n'échappe pas à cette réalité, remarquable sous
Sarkozy et qui se perpétue sous Hollande. C'est à dire, que sous ces hommes, la
France mène une politique étrangère favorable à Israël y compris si elle est
contraire à nos intérêts.
Nous prétendons amener la démocratie en faisant la guerre
! C'est une vision qui masque les réels objectifs poursuivis par nos
dirigeants. Ce sont des hommes "vendus" à des intérêts contraires a
ceux des populations qu'ils cherchent à secourir et à celle des populations qui
les ont élus.
Ces élus engagent, non leur nation, mais la nation
qui satisfait leurs ambitions, dans des
dépenses précieuses, qui bénéficient d'avantage à une puissance étrangère qu'à
un idéal pur de cohérence nationale, remettant en cause les principes de la solidarité
inhérente à tout élu, au prétexte apocryphe de difficultés financières.
L'exemple de la Libye, du Mali est symptomatique d'une
lutte contre un islamisme révolutionnaire que nous, occidentaux, avons financé
et armé. La Syrie est un cas typique de la soumission de la France de Hollande et
du le Ministre Laurent Fabius (juifs, ce qui ne regarde que lui, pro sioniste,
ce qui nous regarde) engage ou voudrait engager la France dans un conflit qui
ne nous concerne pas. A moins d'admettre, que "dégommer" l'autocrate
actuel est bénéficiaire à Israël, au risque d'y installer ces révolutionnaires
islamiques, qu'ils faudra "dégommer" a leur tour et que nous qualifierons
de terroristes, parce que combattre des
terroristes est plus acceptable -pour les
populations occidentales- que d'avouer, que nous les combattons parce que leur
vision du monde n'est pas compatible avec la notre et en premier lieu: "De remettre en cause la résolution 181 vote
par l'ONU le 29 novembre 1947 sur la partition de la Palestine, qui a accordé
(par le chantage exercée par les USA sur les pays du tiers-monde, poussés au
crime par le lobby juif) un territoire à
une organisation politico/religieuse internationale". (*) Car s'est
une évidence, pour celui qui n'a pas une vision obstrué par le fanatisme, que
le "terrorisme" islamiste est né à la suite du terrorisme que le
sionisme à imposé aux musulmans, sous le prétexte pour illuminées, qu'est celui
du mythe :"de la terre promise". Car le sionisme s'est un fait, ne
voulait un "foyer juif en Palestine" mais une terre à partir de
laquelle imposer sa vision de ce que doit être le monde. La Palestine est le
terrain de manouvres pour les tenants du Nouvel Ordre Mondial, (N.O.M.) où ils
font l'expérience -grandeur nature- des politiques à mener, comme le parcage
des populations inutiles ou rendues indigentes, par exemple. N.O.M. dont lord
Rothschild fut un des principaux instigateurs et le principal acteur, pour le
compte du sionisme, de la Déclaration Balfour,
L'Organisation sioniste mondiale fut cette organisation
internationale.
Le caractère va-t-en-guerre des USA poussé au crime par le
lobby pro-israélien -avec les supplétifs cités plus haut- ou celui de la France
n'a pas d'autre explication intelligible que celle de combattre au sens, le
plus large, toute vision du monde qui peut remettre-en-cause l'Etat illégal,
qu'est Israël.
Pour
solutionner l’avenir de la Palestine sous mandat britannique, l’Assemblée
générale de l’ONU décida le 29 novembre 1947 par sa résolution 181 de diviser
le territoire entre :
* un
Etat juif sur 56,47% de la Palestine du mandat (hors Jérusalem), avec 498.000
habitants juifs et 325.000 habitants arabes ; * un Etat arabe sur 43,53%
de la Palestine, avec 807.000 habitants arabes et 10.000 habitants juifs ;
* un régime de tutelle internationale pour Jérusalem, avec 100.000 habitants
juifs et 105.000 habitants arabes.
Le
plan de partage prévoyait également :
* la
garantie de droits des minorités et des droits religieux, y compris le libre
accès aux Lieux saints et leur préservation ; * la constitution d’une
Union économique entre les deux Etats : union douanière, système monétaire
commun, administration unique des principaux services, accès légal aux eaux et
sources d’énergie,...
L’Assemblée
prévoyait enfin :
* une
période de transition de deux mois à compter du 1er août 1948, date ultime pour
la fin du mandat et l’évacuation des troupes britanniques, une zone comprenant
un port de mer sur le territoire de l’Etat juif devant être évacuée avant le
1er février ; * une commission de cinq pays (Bolivie, Danemark, Panama,
Philippines, Tchécoslovaquie) chargée d’administrer les régions évacuées par la
Grande-Bretagne, de fixer précisément les frontières des deux Etats et
d’établir, dans chacun, un Conseil provisoire de gouvernement ;
* la
prise en charge progressive de l’administration de chaque Etat par ce conseil
et l’organisation dans les deux mois d’élections démocratiques pour une
Assemblée constituante.
Adoptée
par 33 votes favorables, 13 défavorables et 10 abstentions.
Position
des pays de l’UE à l’égard du Plan de Partition en 1947(*) :
Ont
voté pour : Belgique, Danemark, France, Grèce, Luxembourg, Pays-Bas,
Suède,
A voté
contre : Royaume-Uni
(*)
L’Autriche, l’Allemagne, la Finlande, l’Irlande, l’Italie, la Portugal et
l’Espagne n’étaient pas encore membres des Nations Unies en 1947
IL va
sans dire que rien de ce qui avait été décidé, aussi bien dans la Déclaration
Balfour, que dans la Conférence de San-Remo ou encore par l'ONU, à part
l'entrée en possession du territoire palestinien, n'a été respecté par
l'’ragnisation sioniste mondiale, par les juifs, par Israël aujourd'hui.
Si les
Juifs avaient respecté ne serais-ce que la Déclaration Balfour, non seulement
cela aurait été un moindre mal, mais encore le Proche-Orient serait en paix et
nous ne risquerions pas de redevenir les esclaves des puissants sans foi, ni
loi.
Déclaration Balfour :
["Le gouvernement
de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer
national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la
réalisation de cet objectif, étant clairement entendu, que rien ne sera fait
qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités
non juives existant en Palestine, ni aux droit et au statut politique dont
les juifs jouissent dans tout autre pays."]
La
déclaration Balfour, est un arrangement entre lord Balfour, représentant du
Gouvernement de sa Majesté et lord Rothschild, représentant de l'organisation
sioniste mondiale. C'est-à-dire entre deux entités privées, qui n'ont aucun
mandat international, pour décider à la place du Peuple de Palestine.
Cela,
qu'on le veuille ou non, s'appelle
COMPLOT.
2e "
prévarication " :
La
déclaration Balfour à été ajouté aux
accords Sykes-Picot lors de la Conférence
de San Remo. Le sort final de la Palestine est
décidé par le Conseil Suprême des Alliés. Un rapport du Royal Institute of
International Affairs (RIIA) donne le compte rendu suivant :
"Pour reconnaître la
validité des arrangements Sykes-Picot il fallait l’accord franco-anglais
concernant l’ensemble des territoires turcs, à la suite d’un compromis
intervenu entre Clemenceau et Lloyd Georg, la Palestine, qui devait être
d’après le plan Sykes-Picot placée sous administration internationale, passa
finalement d’un commun accord sous tutelle britannique." Sans
la Société des Nation (SDN) eut son mot à dire.
3e "
prévarication " :
Résolution
sur la partition de la Palestine. Au terme de pressions scandaleuses sur
les pays du Tiers Monde, les USA font adopter un plan de partage de la
Palestine (29 novembre 1947).
Les Juifs, qui possèdent 6,5% du sol et constituent 35% de
la population, recevront les 56% de la Palestine et ses terres les plus
fertiles.
4e "
prévarication "
Si les
juifs ont gardé leur statut dans leur pays d'Origine, les palestiniens sont
devenu des parias dans leur propre pays. Parce que cela arrange les juifs ; les sionistes ; la communauté
occidentale : la résistance du Peuple palestinien est qualifié par ces êtres à
l'état de conscience douteux, de terrorisme. Et a ce titre les criminels
sionistes, absous par les criminels par procuration que sont les dirigeants
occidentaux, s'autorisent à les assassiner ; les bombarder ; araser leurs terres arables ; détruire leur
habitat ; les emprisonner sous le régime dit : "arrestation
administrative" que le très "démocratique" gouvernement de
salauds limité à six mois, mais il s'empresse de dire qu'il peut être
renouvelle indéfiniment. C'est ainsi qu'il y a dans les geôles, juives
d'Israël, des prisonniers sans acte d'accusation, sans preuves, sans procès, en
prison en point c'est tout, depuis plus de trente ans. Sans parler des
incendies d'oliviers, j'en passe et des meilleures.
Et il se
trouve encore aujourd'hui une intelligentsia remarquable par sa stupidité qui
dit : "Israël à le droit de se défendre" ou des journalistes pour adeptes de panurge
qui estiment légitime, la présence sioniste en Palestine !!!
C'est la
vision guerrière du néolibéralisme qui broie des règles internationales et sape
les liens entre les citoyens et les Etats où la rationalité que nous présente
la mondialisation est un rapport de forces à tous les niveaux. Remarquable par
le caractère "constructif" du néolibéralisme en réalité non seulement
destructrice, mais insistant sur le fait que l'ordre résultera de ces
destructions.
C'est
ainsi que sus l'argument d'une crise minutieusement orchestrée les populations
acceptent, ce que normalement elles auraient refuse, perdant leurs prérogatives
au profit même des instigateurs de ces crises...
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