Quel
est le rapport de ce "post" avec la Palestine, le sionisme ?
Il
me parait évident, c'est vrai que j'étudie le sionisme, depuis plus de dix ans,
à partir du premier Congres sioniste mondial qui eut lieu à Bâle en 1897.
Les
exemples étayant les accointances entre le sionisme et la finance
internationale ne manquent pas, je vais donc donner un seul exemple :
" M
Georges Pompidou, élu président de la République française en 1969, ancien
Directeur général de la Banque Rothschild,
c'est lui qui décida du changement de financement de la France, désormais
l'Etat français ne serait plus financé par sa Banque centrale -Banque de
France- mais par la finance privé. C'est
Dominique Strauss-Kahn, sous la présidence de François Mitterrand, qui fit exploser la dette en finançant la
politique de l’État en faisant appel à la finance privé.
La
branche anglaise des Rothschild, établie aux USA, qui négocia avec lord Balfour
la déclaration du même nom pour le compte de l'organisation sioniste
internationale, est un des membres éminents du groupe Bilderberg et un des
principaux chantres de la globalisation qui opprime les peuples et fait partie
intégrante de la finance internationale, a laquelle les États versent des
intérêts pharaoniques que les populations pour y faire face abandonnent leur
acquis sociaux les uns après les autres ainsi que les fondements qui ont construits et régi nos sociétés, la déconstruction sociétale est un
des dogmes sionistes pour parvenir à son but.
Nous
sommes à l'aune de l'esclavage moderne, il n'y a plus de fouet, de droit de
cuissage..., il y a l'obligation de verser des intérêts pour que ces êtres
improductifs aient plus que le nécessaire.
Canada:
Présidente
du Public Banking Institute, Etats-Unis
le 5 avril 2012
le 5 avril 2012
Traduit
et publié le 11 mai 2013
Même le pays le plus riche au monde en ressources est
tombé dans le piège de la dette. Ses programmes gouvernementaux qui faisaient
autrefois sa fierté sont sujets à des coupes budgétaires drastiques -des coupes
qui auraient pu être évitées si le gouvernement n'avait pas abandonné la
possibilité d'emprunter à sa propre banque centrale dans les années 70.
La semaine dernière à Ottawa, la Chambre des Communes du
Canada a voté la dernière vague de coupes budgétaires et de mesures
d'austérité. Pour l'essentiel elle consiste en la perte de 19.200 emplois du
secteur public, une réduction du budget des programmes fédéraux de 5,2 milliards
de $ par an, et le recul de l'âge de la retraite de 65 à 67 ans. Ceci au nom
d'une dette qui se monte à présent à plus de 581 milliards de dollar canadiens,
soit 84% du PIB.
Rappel:
Un jeu en ligne publié par le journal local "the
Globe and Mail" donnait aux lecteurs la possibilité de faire eux-mêmes des
simulations d'équilibre budgétaire. Les paramètres incluaient la réduction
drastique des versements aux fonds d'aide aux personnes âgées, aux caisses de
retraite, aux frais de santé, et à l'éducation, aux transports, à la défense, à
l'aide aux pays en voie de développement et aux aides internationales plus
généralement. Et bien sûr la hausse des impôts. Un article publié sur la même
page titrait:"Le gouvernement n'a en fait pas beaucoup de leviers à sa
disposition pour boucler un déficit budgétaire abyssal. Il peut soit augmenter
les impôts, soit réduire les dépenses ministérielles."
Il semble qu'aucun participant à ce jeu, ni les
concepteurs ni qui que ce soit n'ait été en mesure de jouer sur le paramètre
principal du budget: les intérêts versés aux détenteurs de la dette. Un
graphique sur le site web du ministère des finances canadien intitulé "Où
vont vos impôts" indique que le paiement de ces intérêts se montent à 15%
du budget -plus que la santé, la sécurité sociale et les autres formes de
salaire différé réunies. La page date de 2006 et a été mise à jour en 2008,
mais les montants sont vraisemblablement peut différents aujourd'hui.
Futé pour un penny, idiot pour une livre
Parmi les autres coupes en 2012 le gouvernement a annoncé
qu'il pourrait cesser la production de penny canadiens, qui coûte aujourd'hui
plus cher à frapper que leur valeur propre. Le gouvernement se concentre sur
les penny et ignore les livres -la part massive de la dette qui aurait pu être
épargnée en empruntant directement à la Banque du Canada.
Entre 1939 et 1974, le gouvernement empruntait en effet à
sa banque centrale. Ce qui, en fait, rendait sa dette dépourvue d'intérêt, dès
lors que le gouvernement possédait la banque et en percevait les intérêts.
D'après des chiffres fournis par Jack Biddell, ancien inspecteur des finances
du gouvernement, la dette fédéral restait à un niveau peu élevé, n'évoluait
quasiment pas et était parfaitement supportable durant ces années (voir graphique
plus bas). Le gouvernement a pu ainsi financer simplement sur le crédit de la
nation et avec succès plusieurs projets publics d'envergure, y compris la
production d'avions de combat durant et après la seconde guerre mondiale, des
aides à l'éducation pour les soldats de retour, les allocations familiales, les
retraites pour les personnes agées, l'autoroute transcanadienne, le projet de
route de navigation sur le St. Laurent et une couverture maladie universelle
pour tous les canadiens.
(cliquez sur l'image pour agrandir)
La dette a explosé à partir de 1974, lorsque le Comité de
Bâle fut mis en place par les gouverneurs des banques centrales des 10 pays
membres de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), dont le Canada. Un
objectif clef du comité était de "maintenir la stabilité monétaire et
financière". Pour atteindre ce but, le Comité déconseilla le financement
direct d'une nation auprès de sa propre banque centrale sans intérêts, et
encouragea à la place le financement auprès des créanciers privés, tout cela au
nom "du maintien de la stabilité de la monnaie":
Le présupposé était que le fait d'emprunter à une banque
centrale ayant le pouvoir de créer de l'argent sur ses livres conduirait à
l'augmentation de la masse monétaire et des prix. Emprunter à des créanciers
privés par ailleurs était considéré comme ne favorisant pas de tendance
inflationnaire, puisque cela revenait à recycler de l'argent existant déjà. Ce
que les banquiers se sont bien gardés de révéler, bien qu'ils le savaient
eux-mêmes de longue date, c'était que les banques privées créent l'argent
qu'elles prêtent, exactement de la même que les banques publiques. La
différence restant qu'une banque publique restitue les intérêts au gouvernement
et à la communauté nationale, tandis qu'une banque privée transfert les
intérêts dans son capital, pour être ensuite réinvesti, de nouveau avec
intérêts, attirant progressivement l'argent hors de l'économie productive.
La courbe de la dette, qui commença son ascension
exponentielle en 1974, évolua jusqu'à la verticale en 1981, date à laquelle les
taux d'intérêts de la réserve fédérale US furent portés à 20%. Aggravée de 20%
chaque année, la dette double sous les quatre ans. Les taux canadiens ont
grimpé jusqu'à 22% durant cette période. Le Canada a maintenant réglé plus de
1000 milliards de dollar canadiens pour sa dette -près de deux fois le montant
de la dette elle-même. S'il avait emprunté auprès de sa propre banque tout au
long, il serait non seulement libéré de la dette mais disposerait même d'un
surplus conséquent aujourd'hui. C'est vrai aussi pour les autres pays.
Le coup en douce des banquiers
Pourquoi les gouvernements paient-ils des financiers
privés pour générer une créance qu'ils auraient pu eux-mêmes émettre, et ce
sans intérêts? D'après le professeur Carroll Quigley, le mentor de Bill Clinton
à l'université de Georgetown, tout cela faisait partie d'un plan concerté et
mis au point par une clique de financiers internationaux. Il écrivit en 1964
dans "Tragédie et Espoir":
Le pouvoirs du capitalisme financier ont un autre but à
long terme, rien moins que de créer un système mondial de contrôle financier
dans des mains privées capable de dominer le système politique de chaque pays
et l'économie de l'ensemble du monde. Ce système devait être contrôlé de
manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert, par des
accords secrets fruits de nombreuses réunions privées et conférences. Le sommet
de système devait être la Banque des Règlements Internationaux à Bâle en Suisse,
une banque privée détenue et contrôlée par les banques centrales mondiales qui
étaient elles-mêmes des sociétés privées.
Chaque banque centrale...cherchait à dominer son
gouvernement par sa capacité à contrôler les prêts du Trésor, à manipuler les
taux de changes, à influencer le niveau de l'activité économique dans le pays,
et à influencer des politiciens coopératifs au travers de récompenses sous
forme économique dans le monde des affaires.
En décembre 2011, cette accusation a été répercutée dans
un recours porté auprès de la Cour Fédérale Canadienne par deux citoyens et un
think tank en économie canadiens. Le juge constitutionnel Rocco Galati a mené
une action pour le compte de William Krehm, Ann Emmett, et COMER (le Comité
pour une Réforme Monétaire et Economique) afin de revenir au rôle original de
la Banque du Canada, y compris concéder des prêts sans intérêts aux structures
municipales, régionales et fédérales pour des dépenses liées au "capital
humain" (èducation, santé, et autres services sociaux) et aux
infrastructures. La plainte stipule que, depuis 1974, la Banque du Canada et
les politiques financières et monétaires du Canada ont été dictées par des
banques privées étrangères et des intérêts financiers menés par la BRI, le
Forum pour la Stabilité Financière (FSF) et le Fond Monétaire International
(FMI), outrepassant la souverainité du Canada représentée par son parlement.
Aujourd'hui ce coup en douce a été si bien dissimulé que
les gouvernements et les joueurs eux-mêmes sont convaincus que les seules
alternatives pour résoudre la crise de la dette sont lever d'impôts, réduire
drastiquement les services publics, ou bien vendre les biens publics. Nous
avons oublier qu'il reste encore une autre option: réduire la dette en
empruntant directement à la banque du gouvernement lui-même, qui rend ses
profits aux caisses publiques. Supprimer les intérêts s'est avéré réduire le
coût moyen des projets publics d'environ 40%.
Ellen Brown est avocate et présidente du Public Banking
Institute, http://publicbankinginstitute.org.
Dans "Toile de Dettes" (Web of Debt) le dernier de ses onze livres,
elle démontre comment un cartel privé a usurpé le pouvoir de créer l'argent au
peuple et comment nous, le peuple. pouvons reprendre ce pouvoir. Elle a deux
sites web http://www.webofdebt.com
et http://ellenbrown.com.
copyright: Courtesy Ellen Brown
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire