Bruxelles vient d'exclure les Territoires occupés de
ses partenariats avec l'État israélien.
Pour mieux comprendre cette
décision, il me semble qu'il est nécessaire de préciser que: au moment de la
Présidente française de l'Europe, Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner respectivement,
Président de la France et Ministre des Affaires étrangères, ces personnages
"immensément démocratiques" et pour qui le mot justice n'est pas synonyme de
légalité mais d'arrangement, firent le forcing, au forceps, (pour les
plus perspicaces d'entre nous) pour le rehaussement des accords de coopération
économique et sécuritaire entre l'Europe et Israël. Accords qui ne concernaient pas le
produit des colonies fabriqués en territoire palestinien. Cependant les
autorités européennes promptes à ponctionner les européens et garnir leur bas
de laine avec leurs économies, comme le font d'ailleurs les élus nationaux,
fermaient les yeux. Aujourd'hui il semblerait que sous la pression du droit
elles respectent ces accords conclus, qu'ils plaisent ou non à M Netanyahou.
Cela dit, il faut réellement quel'Europe ait à sa tête un ramassis de voyous, pour conclure des accords avec des nazis. Ho pardon des sionistes, mais où est la différence ?
D'autre part il faut reconnaitre, aussi, qu'Israël est le seul pays au monde à ne pas avoir délimité ses frontières. Le cas contraire signifierait de s'y conformer. Et là la contradiction sioniste éclate au grand jour. Le sionisme voulait un foyer juif en Palestine, il avait caché le fait qu'il voulait un état a la place de la Palestine. Le sionisme à déclaré que les Juifs (Communauté Ethnique je le rappelle, mais passons) devaient avoir une patrie qu'ils devaient reconquérir ce qu'ils n'ont jamais eu, Eretz Israël (le Grand Israël) pour ce faire il faut "conquérir" le plus de territoires possible: de la Méditerranée au Jourdain ; du Sinaï au Litani. (Fleuve du Sud Liban) Déclarer ses frontières, représente pour Israël de renoncer à Eretz Israël un des dogmes énoncées par Theodore Herzl. Il faut être un dirigeants occidental, c'est-a-dire un truand, pour l'ignorer ou feindre l'ignorer.
D'autre part il faut reconnaitre, aussi, qu'Israël est le seul pays au monde à ne pas avoir délimité ses frontières. Le cas contraire signifierait de s'y conformer. Et là la contradiction sioniste éclate au grand jour. Le sionisme voulait un foyer juif en Palestine, il avait caché le fait qu'il voulait un état a la place de la Palestine. Le sionisme à déclaré que les Juifs (Communauté Ethnique je le rappelle, mais passons) devaient avoir une patrie qu'ils devaient reconquérir ce qu'ils n'ont jamais eu, Eretz Israël (le Grand Israël) pour ce faire il faut "conquérir" le plus de territoires possible: de la Méditerranée au Jourdain ; du Sinaï au Litani. (Fleuve du Sud Liban) Déclarer ses frontières, représente pour Israël de renoncer à Eretz Israël un des dogmes énoncées par Theodore Herzl. Il faut être un dirigeants occidental, c'est-a-dire un truand, pour l'ignorer ou feindre l'ignorer.
17/07/2013
Les autorités israéliennes sont furieuses de la nouvelle
directive de Bruxelles excluant les Territoires occupés des accords de
coopération entre l'Union
européenne et Israël.
Selon cette décision de la Commission, les colonies israéliennes ne pourront
dorénavant plus bénéficier des nouveaux projets de coopération économique,
financements, bourses, programmes de recherches ou prix, émanant de l'Union ou
de ses États membres.
Benyamin
Nétanyahou a dénoncé cette mesure comme une ingérence étrangère visant à
imposer par la force des frontières à Israël: «Nous n'acceptons aucun diktat
extérieur sur nos frontières», a déclaré mardi le premier ministre israélien
après une réunion d'urgence de son cabinet. «Cette question ne pourra être
décidée que par des négociations directes.»
«Un mur de Berlin politique et économique»
Dans un entretien à paraître accordé au quotidien allemand
Die Welt, Nétanyahou a comparé la mesure à «un mur de Berlin politique et
économique au centre de Jérusalem», susceptible de faire «perdre la confiance
d'Israël dans la neutralité de l'Europe». Le ministre de l'Économie, Naftali Bennett, a,
quant à lui, qualifié la décision de l'Union européenne «d'attaque terroriste
contre toutes les chances de paix».
Tzipi
Livni, qui avait mis en garde à plusieurs reprises son gouvernement contre
la probabilité de telles actions, a été la seule personnalité à rappeler que
cette mesure était largement prévisible: «Cette décision sonne comme un rappel.
Il est regrettable que nous en soyons arrivés à une telle situation, a déclaré
le ministre de la Justice, mais j'espère à présent que tous ceux qui pensaient
que nous pouvions continuer dans une voie sans issue, et qui disaient que la
situation actuelle n'avait jamais été aussi bonne, vont réaliser que nous
devons agir et entamer des négociations.»
Sortir de l'ambiguïté
La délégation de l'Union européenne à Jérusalem s'est
étonnée de la surprise des Israéliens. En faisant le distinguo entre l'État
d'Israël dans ses frontières de 1967 et les territoires occupés pendant la
guerre des Six-Jours (Cisjordanie, Jérusalem-Est, bande de Gaza et plateau du
Golan), la nouvelle directive est conforme à la politique officielle de l'Union
et celle de ses États membres, qui ne reconnaissent pas l'annexion unilatérale
israélienne de Jérusalem-Est et du Golan, et considèrent comme illégales les
colonies de Cisjordanie.
L'Union européenne s'abstenait déjà tacitement de financer
des projets de l'autre côté de la Ligne verte. Mais c'est la première fois que
l'Union européenne prend une mesure aussi claire et introduit un distinguo
entre Israël et les Territoires occupés en 1967. Politiquement, cela va obliger
le gouvernement israélien à sortir de l'ambiguïté et à stipuler par écrit pour
chaque accord passé avec l'UE ou un État membre que les colonies de Cisjordanie
mais aussi Jérusalem-Est ne font pas partie d'Israël.
Les Israéliens craignent que cette mesure ne soit que le
début d'un processus qui pourrait déboucher sur des sanctions économiques,
portant notamment sur la production des colonies. Même si Nétanyahou est
officiellement toujours en faveur de la solution à deux États, plusieurs de ses
ministres n'ont pas hésité à multiplier ces derniers mois les déclarations
provocatrices, jugeant que la création d'un État palestinien était
dépassée.
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