samedi 14 septembre 2013

Les Chevaliers du Fiel au Zénith






13/09/2013
France4, diffusait le spectacle humoristique des "Chevaliers du fiel", spectacle réussi dans son ensemble avec quelques sketchs nouveaux dans un "alliage" bien amusant. Spectacle où les religions en prenaient "plein la gueule" (Bouddhisme, Islam et principalement, et bien entendu, les catholiques) et si les mythes du Christianisme (pas ceux du judaïsme) étaient pris pour "argent comptant", on sentait bien que la salle, la majorité de la salle, ne réagissait pas comme les concepteurs  de la scène auraient, sans doute, voulu qu'ils réagissent. Et s'est dommage, finalement ce n'est que de l'humour -mais, ce sempiternel dénigrement est-il encore de l'humour ?-. Car si les "Chevaliers du fiel ne sont pas les seuls à jouer de cette "corde", la ficelle commence à sentir aussi mauvais que les gros-mots qui y sont, la plupart du temps, employés.

C'est au générique de fin où les noms de Levy, Cohen... y figuraient qui m'ont fait comprendre que: se n'était pas seulement de l'humour. Si l'on admet qu'il n'y a pas de limité à l'humour pourquoi les tares des Juifs et les absurdités de leur religion ne sont-elles pas dénoncées, aussi ? Pourquoi ne sont-elles aussi "humoristiquement" mises en scène ?

Bien entendu, à part les mythes brocardés comme il se doit, il y a eu assurément le curé pédophile. Il va de soit qu'il n'est pas question d'occulter cette tare humaine, que l'on soit simple citoyen où quelqu'un qui par sa position devrait donner l'exemple comme un curé ou un édile. Non, ce qui m'exaspère c'est qu'il y a, aussi, des rabbins pédophiles et là on ne les dénonce pas ! Il y a même qui s'adonnent au trafic d'organes et ce n'est, presque, jamais dénoncé. Et lorsqu'un journaliste dénonce un rabbin pour pédophilie ou toute autre exaction, non seulement l'information n'est pas reprise par les autres médias, mais encore elle n'est plus rediffusée, ni par le journaliste, ni par le média qui à l'origine avait osé sortir le scoop, qui pour les personnes informées n'en est pas un.

C'est en toute amitié que je dis aux Juifs :"Qu'ils jouent-là un jeu dangereux pour les personnes ou communauté dénigré, mais surtout pour eux-mêmes. Il n'est pas besoin d'être devin pour admettre que le mal que l'on répand se retourne, à plus ou moins longue échéance, contre soi".
Un ami me disait, il n'y a pas si longtemps: "Ho! Ils feront le nécessaire pour que cette situation d'inégalité perdure", je lui répondis: "Oui, mais jusqu'à quand ?

Je trouve dommage que les vicissitudes qui émaillent leur parcours, n'aient pas fait comprendre que: l'on ne peut pas abuser quelqu'un infiniment sans qu'un jour il se révolte ou te rende la monnaie de ta pièce. 




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