mercredi 16 janvier 2013

L'Espagne porte l'assaut du Mavi Marmara devant le TPI



Le procureur accuse Israël de Crime de guerre pour l'assaut de la Flottille de la Liberté.
PÚBLICO Madrid 14/01/2013 17:43 Actualisé : 14/01/2013 19:19


Et demande au Tribunal Pénal International qu'il enquête sur les responsables de l'assaut dans lequel 9 personnes ont été tués et 38 blessés
Le bureau de la Cour nationale a qualifié de Crime de guerre et de lèse humanité l'asaaut des forces spéciales israéliennes contre la Flottille de la Liberté en mai de 2010 cherchant à rompre le blocus de Gaza et y apporter de l'aide humanitaire.

La requête du Procureur Martinez Torrijos envoyée au Juge Pablo Ruiz considère que le massacre est soumis à la compétence universelle et répond aux exigences prévues par la loi, et malgré l'amendement effectué par le précédent Gouvernement socialiste avec l'appui di PP,  pour avoir violé la IV Convention de Genève, dont l'Espagne et Israël sont signataires, et dont des citoyens espagnols ont été emprisonnés et transférés par la force jusqu'au port de Ashdot, en territoire, israélien.      

"Les faits dénoncés sont constitutifs de délits de Lèse Humanité et Crimes de Guerre et répertoriés par le Tribunal Pénal International (TPI), ont été commis sous l'effet de cette loi, les personnes prétendument responsables sont soumises à la juridiction du TPI et enfin le lieu de la commission peut  être situé dans un pays ayant ratifié la Convention  de Rome ce qui permet d'affirmer la compétence du Tribunal Pénal International pour enquêter sur les événements intervenus au large de Gaza", indique le texte.

Le procès intenté par les trois activistes espagnols, Laura Arau, David Segarra et Manuel Tapial, qui voyageaient accrédités entant que journalistes sur le  Mavi Mármara, (où se sont produits les assassinats et les faits les plus graves de l'assaut israélien) avec l'Association Culture et Paix et le Comité de Solidarité avec la Cause Arabe, portent plainte contre le premier israélien, Benjamin Netanyahu, six autres membres de son gouvernement, le Haut commandement militaire pour "crimes, délit de lèse humanité, détention illégale et torture"

Le chef de la Cour centrale de l'Instruction à envoyé la commission rogatoire à la Turquie et Israël et la demande de renseignements à la CPI pour leur demander qu'ils étaient disposés d'enquêter sur ces incidents.
Il a également demandé à l'ONU de lui envoyer un rapport de la commission internationale chargée d'enquêter sur l'attaque contre le convoi transportant de l'aide humanitaire à la bande de Gaza.

Comment se fait-il que l'Espagne cherche à comprendre ce qui s'est passé au large de Gaza et que la France, l'Angleterre, l'Allemagne, l'Italie... non seulement se  sont tus, mais encore ont justifié ces crimes ?
Et enfin pour ajouter un peu de "sel" : je ferais remarquer que la Grèce, l'Irlande, pour ne citer queux, affichent ouvertement y compris l'Espagne, leur désaccord avec la politique israélienne, sont ceux qui ont le plus de difficultés économiques et que celui qui a fait exploser la dette française soit DSK. Un français, comme tants d'autres, pro israélien.   




PÚBLICO.ES Istanbul 31/05/2010 08:30 Actualisé : 31/05/2010 20:06



, ainsi que Manuel Espinar, président le l'ONG Culture, Paix et Solidarité. 

Israël à qualifié la Flottille comme faisant partie du terrorisme international et dénonce les liens avec Al-Qaeda, Hamas et le Djihad islamique.
Ben voyons...
Le vice-ministre des Affaires étrangères israélien, Danny Ayalon, dans une locution arrogante à justifié le massacre, affirmant que les activistes avaient des liens avec Al-Qaeda, les organisations Palestiniennes et avec le Djihad islamique.  Haussant le ton, il a souligné que l'initiative, centrée uniquement dans le transport d'aide humanitaire, "était violente, ses méthodes étaient violentes et le résultat, fut violent". "Les organisateurs n'ont pas entendu les appels de nos forces pour une inspection pacifique et permettre un final pacifique". Pour avoir prétendument ignoré ces exigences, Israël a opté pour l'assassinat presque une vingtaine de personnes.

La version des activistes est diamétralement opposée. En contact direct avec les bateaux, des membres du convoi humanitaire ont assuré que les commandos israéliens ont abordé les bateaux turcs depuis les hélicoptères et ont tiré à balles réelles pour suprimer l'équipage malgré les drapeaux blancs.
  
Les médias turcs ont montré des images prises depuis le bateau turc le Mavi Marmara où l'on voyait les soldats israéliens ouvrant le feu. Les témoins, depuis le bateau, parlaient de soldats israéliens descendant couverts depuis les hélicoptères ouvrant le feu, tandis que des images télévisés diffusaient l'évacuation de quelque cadavre, une civière ensanglantée et des taches de sang sur le pont et aussi les soldats israéliens à l'abordage.

Dans les premières heures de la matinée l'armée israélienne a dénoncé dans un communiqué : "que les activistes voyageaient à bord de la Flottille de la solidarité ont tiré à balles réelles, couteaux et pierres sur les soldats. Selon le Magen David Adom (l'équivalent israélien de la Croix Rouge), il y a eu 6 blessés parmi les soldats hébreux.

"Les bateaux seront dirigés au petit-matin vers le port d'Ashdod (au Nord de Gaza), tandis que lmes forces navales effectuent des vérifications de sécurité pour identifier les personnes à bord et leur équipement" a déclaré l'armée dans un communiqué. 

Rejet généralisé :
 L'assaut a été à l'origine d'une très grande perplexité et indignation d'une majorité de la communauté internationale. Plusieurs pays, dont la Turquie, l'Espagne, la Grèce, ont convoqué les ambassadeurs d'Israël sur leur territoire pour leur demander des explications.

Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a décrété trois jours de deuil, tandis que le premier ministre du Gouvernement de Gaza, Ismail Haniye, a qualifié l'assaut de "brutal". La secrétaire général du groupe de Damas assure qu'il s'agit de : "un crime contre l'humanité".
La Syrie a demandé une réunion urgente de la Ligue Arabe et l'ONU à dénoncé l'assaut. Le président du Gouvernement espagnol, José-Louis Rodriguez Zapatero l'à qualifié de :"faits graves et préoccupants".    

Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a convoqué ce matin une réunion à Tel-Aviv, de son cabinet face au tôle qui déclara : "que l'assaut aurait du se dérouler sans victimes".
   
Réponse forte :
Les autorités turques intentèrent de se mettre en contact avec le bateau Mavi Marmara mais la communication fut impossible à établir a cause des interférences.
Le ministère des Affaires Extérieures turc tenta plusieurs fois de contacter Israël depuis le départ de la flotte  depuis la Turquie pour leur demander de ne pas interférer dans objectif de la flottille.


La France au Mali



Nous avons cru que l'abolition de la conscription, était une avancée sociétale. (La Nation ne ferait plus appel à ses fils pour assurer la défense de la Patrie). C'est ainsi que cela nous a été présenté, mais les tenants des "rênes" de la mondialisation, n'est pas, exactement ainsi, qu'ils l'entendaient.

Il est aisé de comprendre que la Nation n'accepterait pas que ses fils meurent pour une autre cause que celle de la défense de la Patrie et de la Justice. La "donne" avait changée, désormais il faudra se battre pour la sauvegarde, non de la Patrie ou de la justice, mais pour des intérêts partisans y compris s'ils sont présentés comme un bien faisant partie de l'intérêt National ou Occidental. Intérêts qui se révèlent enfin de compte comme étant une lutte pour la sauvegarde des libertés partisanes, des intérêts économiques sectaires ou encore favorisant l'idéologie mondialiste, qui opprime les Peuples.

La lutte contre le terrorisme suit exactement cette ligne. Il fallait donc une armée de métier, payée pour obéir à un commandement intéressé pour d'autres causes que celle de la défense de la Patrie ou la défense de la justice. Aujourd'hui notre armée ne se bat pas pour la défense de la Patrie mais pour la défense de l'idéologie mondialiste qui doit préserver les intérêts d'une minorité y compris au prix le plus lourd. Et l'asservissement des peuples est la résultante la plus palpable.


Aux informations de midi sur la radio RTL,  Valery Giscard d'Estain (Membre du Conseil d'Etat), déclarait que la France, si elle pouvait opérer au Mali ponctuellement pour secourir les français résidents, elle ne pouvait pas, n'avait pas le droit, d'y aller pour y faire la guerre qui plus-est, sans une résolution de l'ONU. Et estime que la France est isolée au sein de l'Europe.



On se plaint du Djihad islamique et pendant ce temps le mur de l'apartheid est modifié pour annexer la partie Arabe (islamique) de Jérusalem à Israël.
Sommes-nous aussi cons que ça ?
Sommes-nous si stupides, que nous pensons pouvoir faire aux autres ce que nous ne voulons pas qu'ils nous fassent ?

Ce qui se passe au Mali, au prétexte de lutter contre l'islamisme, ce sont dans les faits : les nouvelles croisades. Croisades qui ne se présentent comme une lute inter religions, mais une lutte inter civilisations, que l'Occident a toujours préconisé, pour favoriser une religion, un communauté. Israël ne pourra se maintenir au Proche-Orient que le jour où les musulmans auront renoncé a tous leurs droits. L’occident lutte pour la sauve-garde d'une bande de criminels.


HEMINGWAY (Ernest Miller)
| Bio express : Écrivain américain (1899-1961)
<< 
La première panacée d’une nation mal gouvernée est l’inflation monétaire ; la seconde, c’est la guerre. Toutes deux apportent une prospérité temporaire ; toutes deux apportent une ruine permanente. Mais toutes deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques. >>




Il me parait évident que le citoyen lambda est trompé  et n'a pas les moyens d'une vision juste dans ce type d'interventions. Le Président Hollande dans sa déclaration a privilégié l'argument de la lutte contre le terroriste pour justifier son intervention au Mali.


Pourtant la lutte contre le terrorisme
de l'Occident  est une manipulation éhontée,
qui n'est utile qu'a étendre notre influence
et imposer notre volonté au reste du monde.
Que notre liberté se joue au Mali est un mensonge, 
le  seul bénéficiaire réel de cette lutte est Israël !

Et concernant ce terrorisme que nous combattons tant :
Nous opposons trop souvent les accusations des juges aux actions de ceux qui sont jugés, au lieu d'opposer les accusations des juges aux raisons des accusés. Les gouvernements ne maitrisent pas l'inflation,  ne maitrisent pas l'économie mondialisée, trouvent logique que les populations perdent tous leurs acquis, mais nos élus savent faire la guerre ! Sans parler de tous ces experts autoproclamés déversant leur science rudérale, fiers comme peuvent l'être les êtres ahuris, de savoir que la France sait faire la guerre.
   

L'humanité serait depuis longtemps heureuse, si tout le génie que les hommes mettent à réparer leurs bêtises, ils 'employaient à ne pas les commettre.

L'ordre conduit à toutes les vertus, mais qu'est-ce qui conduit à l'ordre ?      
(Georg Christoph Lichtenberg)





a) En Afghanistan, les Taliban n'ont jamais menacé la sécurité de l'Occident.
b)   Ce qu'ils veulent, c'est imposer leur vision de la charria, leur lecture du Coran. [C'est la CIA qui a armé les Talibans dans leur lutte contre l'armée Russe. Ces derniers forts de leur victoire sur le "communisme" tel que l'Occident ce n'est satisfait, n'ont pas voulu se soumettre. Et les aides demandées par le Commandant Massoud (sorte de Gaulle afghan, laïque et indépendant) à l'Europe (la France ; l'Angleterre ; l'Allemagne) n'a pas été exaucée et fut renvoyé dans ces pénates, sans autre forme de procès.]

c)     Pourquoi dans ces conditions importons-nous la lutte contre le terrorisme en Afghanistan ? : Au Nord-est de Afghanistan il y a le riche sous-sol du Turkménistan. Il s'agissait donc de pacifier la région afin d'y faire passer le pipe-line qui devait transporter le pétrole jusqu'en mer d'Oman via le Pakistan. Mais les Taliban ne l'on pas entendu ainsi et les USA n'ont pas été d'accord par plus que leur valets européens. Voila pourquoi des militaires français (Sarkozy) sont morts en Afghanistan. Quand à la régression de la société afghane est due, principalement, à la cupidité occidentale, car il me parait évident que si la CIA n'avait armé ces étudiants en "religion", ils n'auraient jamais eu les moyens de s'opposer à une armée.
d)     En guise de démocratie nous y avons installé un fantoche...     


  1. Je ne parlerais pas du 11 septembre 2001, les interrogations qu'a suscitées par le WTC ne sont un secret que pour les plus stupides d'entre-nous. En tout état de cause, cette attaque a permis d'imposer la lutte contre le terrorisme en Irak. Car, l'attaque du WTC à permis aux "faucons" américains de parvenir à leurs fins, et comme pour Perl-Arbor, exiger du Sénat américain, les fond nécessaires pour entrer en guerre.
  2. L'argument voulu par les "faucons" avec Paul Wolfowitz ; Donald Rumsfeld, en tête (tous deux juifs) consistant à apporter la démocratie en Irak, était un mensonge grossier. Ce que le lobby juif américain voulait, c'était punir Saddam Hussein pour l'aide qu'il apportait aux familles de kamikazes palestiniens, et pour convaincre le Président le plus stupide de l'histoire américaine, le pétrole fut un argument de poids. [C'est ainsi que Bagdad fut mis à sac, et le seul bâtiment d'état resté entier, fut le Ministère du pétrole !]
  3. En guise de démocratie nous y avons installé un fantoche...



  1. Aujourd'hui la France par son Président François Hollande se lance dans la lutte contre le terrorisme au Mali. Or comme pour George W. Bush, M Hollande le fait sans une résolution de l'ONU et de manière isolé.
  2. La quasi totalité des medias associent le terrorisme et l'islamisme. Dans ces conditions quel est l'intérêt d'une telle association ? Au mali il s'agit moins de terrorisme et encore moins d'islamisme que d'une bande de malfrats prenant des otages contre rançon.
  3. Comme le dit Valeri Giscard d'Estain, s'il s'agit d'un but humanitaire pour protéger ou rapatrier des populations, cela pourrait se comprendre. Mais quel intérêt à la France à aller faire la guerre à ces malfrats sans l'accord du conseil de sécurité ? L'urgence humanitaire, nous sommes d'accord, mais M Hollande n'a pas été élu pour intervenir dans une révolution !
  4. Quelque fois ces groupes se prévalent de l'islam et déclarent vouloir imposer la charria. Mais a-t-on besoin des otages pour cela ? Non, ils sont des malfrats, qu'il, faut distinguer des islamistes.   
  5. Quel est l'intérêt véritable ? Les intérêts sont multiples et variés, c'est vrai. Pourtant la lutte islamiste (Djihad) contre l'occident, que nous qualifions, par ailleurs, aussi de terroriste, prend son comburant dans le conflit du Proche-Orient, c'est une évidence que seul ceux qui ont intérêt à l'occulter, refuseront.
  6. Assimiler la mouvance d'Al-Qaeda ou des Taliban, par exemple à l'islamisme, au Djihad, permet de justifier la lutte d'Israël contre, par exemple ; le Hamas ; le Hezbollah ; l'Iran..., qui par le bourrage de crâne des médias occidentaux nous assimilons au terrorisme d'Al-Qaeda, par exemple. Israël ne se prend-t-il pas pour le fer-de-lance de la lutte occidentale contre le terrorisme.   
  7. Pourtant Israël n'a pas face à lui des terroristes, mais des populations ou organisations qui résistent à son terrorisme d’État. Terrorisme justifié et absous par cet Occident qui se donne tant de mal à éradiquer. Il y aurait donc plusieurs terrorismes ? Un qu'il faut combattre, parce qu'il nous résiste et un autre qu'il faut préserver parce qu'il a phagocyté nos États ?
  8. Les Juifs ne peuvent pas pour préserver leur "terre promise" absoudre les crimes israéliens, faire tuer nos enfants et M Hollande ou l'Occident ne peut pas faire la guerre à tous ceux qui ont une vision sociétale différente de la sienne et permettre à un État, qui parce que gouverné par des coreligionnaires, se comporte en véritable pirate, assassins d'un peuple qui ne leur avait rien fait. 


Le mensonge de l'Occident est de laisser croire qu'au Nord du Mali il n'y a que des "terroristes", malfrats conviendrait mieux. 
Au Nord du Mali  il y a des gens qui ne sont pas d'accord avec le gouvernement en place, ils sont de tous bords, ils se révoltent.
La France "court" au secours du Gouvernement en place, c'est pourtant une révolution qui est en marche. En Syrie c'est la même révolution ou presque qui est en marche, mais l'à France "court" au secours des révoltés. 
Qu'est-ce qui fait que, dans le premier cas on soutienne le gouvernement en place et de l'autre on soutienne les révoltés ?

La réponse est simple d'un coté une Autorité qui nous est plutôt favorable (qui se tait sur les crimes israéliens), de l'autre une Autorité qui est en désaccord avec la politique israélienne...Voila donc où nous occidentaux plaçons la justice. 
Soit, nous sommes des truands, exclusivement intéressés par notre petite existence, soit, nous sommes des imbéciles, des moutons de Panurge.
    
Boris Boillon (Ambassadeur, sous le gouvernement Sarkozy, de la France en Tunisie) n’a, par exemple, jamais caché qu’il défendait l’intervention américaine en Irak, légitimant en tant qu’ambassadeur la stratégie de George W Bush : « L'Irak est le vrai laboratoire de la démocratie dans le monde arabe, c'est là que se joue l'avenir de la démocratie dans la région. Potentiellement, l'Irak peut devenir un modèle politique pour ses voisins et qu'on le veuille ou non, tout cela a été obtenu grâce à l'intervention américaine de 2003 »  


Il-y-a-t-il quelque chose à ajouter ?

 

Ce soir, jeudi 17 janvier sur RTL M Herve Morin déclare : 
"Que la France devait intervenir, que la liberté de la France, la liberté de l'occident se joue  au Mali. Que si la France n'avait pas intervenu il y aurait un gouvernement islamiste à Bamako."
Permettez-moi de pouffer, la liberté de la France comme celle de l'Occident se joue dans notre comportement, au respect envers les aspirations des autres pays, dans notre capacité à inspirer la confiance. Au lieu de piller leurs richesses à fomenter des guerres pour étendre notre influence, à soutenir et absoudre les crimes d'Israël, qui tue tous les jours des musulmans et leur montre le chemin a suivre. Mais nous sommes trop intelligents pour le comprendre...
Quel être est assez stupide pour croire que notre indépendance, notre liberté se joue au Mali !

Ce soir mardi 5 février 2013 lors de l’émission X:enius sur Arte, un de ces experts autoproclamés déclarait, au sujet de la guerre au Mali, que le budget de l'armée française étant de plieurs milliards d'euros, les quelques centaines de millions d'euros, malgré des dons internationaux, (là on nous prends pour des cons) que couterait l'intervention française au Mali, ne représentait que 1% du budget de l'armée. Et trouvait normal cette interversion. 

En France, les retraités perdent du pouvoir d'achat, les populations perdent leurs acquis sociaux, les médicaments sont de plus en plus de-remboursés ou de moins moins remboursés,  mais cet espèce d'ignare de la condition humaine trouve que tout va bien dans le meilleur des mondes...  

lundi 14 janvier 2013

Israël confisque les impôts qui reviennent aux palestiniens




Le Gouvernement israéliens bloque les fonds.
PÚBLICO / EFE Ramala 02/12/2012 17:02





Il est clair qu'Israël va faire payer très cher sa défaite diplomatique à l'ONU. Les Nations Unies ont accepté la Palestine entant qu'Etat observateur et, comme représailles et après des semaines de menaces, le Gouvernement israélien a confisqué l'allocation mensuelle qui transfère les taxes perçues pour le compte des Palestiniens.

Ce sont quelque 92 millions d'euros, plus de la moitié du total exigible, qui doivent revenir à l'Autorité Nationale Palestinienne (ANP) et au Gouvernement du Premier ministre Salam Fayad.
Ce n'est pas l'unique châtiment qu'Israël impose après la reconnaissance par l'ONU de Palestine. Vendredi les autorités israéliennes approuvé la construction de 3.000 nouvelles résidences dans les colonies juives de Cisjordanie et Jérusalem-Este, c'est une zone connue sous la dénomination E1 et qui bloque la continuité territoriale du futur Etat de Palestine, mesure censuré par los palestiniens, et aussi par les USA.

Cette mesure unilatérale est dans la droite ligne des menaces faites par les autorités israélienne si les palestiniens persistaient dans leur volonté de reconnaissance internationale à l'ONU, demande que les israéliens considèrent comme violant les Accords d'Oslo.
(Accords, non seulement léonins mais encore rompus par Israël le lendemain même de la signature)


Face à la situation en Palestine :
L’urgence des citoyens du monde.

La campagne Civile Internationale pour la protection du Peuple Palestinien (CCIPPP) est née en juin 2001, au moment où l’offensive répressive israélienne passait à une nouvelle étape dont les objectifs étaient explicitement déclarés : « terminer 1948 ».
En effet l’arrivé au pouvoir d’Ariel Sharon, largement plébiscité, mettait un terme définitif aux Accords d’Oslo que Sharon qualifiait « d’erreur historique ». Les gouvernements d’unité nationale qui s’en suivirent marquent la reprise franche de la « vocation » expansionniste et guerrière d’Israël.
Auparavant, et durant dix ans, le processus de paix à souffert d’ajournements répétés de ces plans d’applications et de remise en cause des résultats des négociations. (Processus de paix qui avaient comme but premier d’aliéner l’indépendance  palestinienne aux exigences israéliennes.) Cette conduite était accompagnée par la création de nouvelles colonies et l’extension de celles existantes (ce qui ne pouvait se faire qu’au détriment des terres et des ressources palestiniennes) par la généralisation des check-points qui morcellent les terres arables et l’espace palestinien, des humiliations froidement calculées et les assassinats sans conséquences judiciaires, ni pour les forces de sécurité ni pour les colons fanatiques. 
(Mais nos médias, nous informent au jour le jour dès qu’un Palestinien désespérée commet un attentat, qualifié par ailleurs, de terroriste.)
Ces pratiques ont caractérisé la politique des gouvernements israéliens successifs, tant du parti travailliste que du Likoud, ont fini par venir à bout des « Accords d’Oslo », et avec eux la possibilité d’une paix, si non juste au moins négocié, et plus ou moins viable.
La seconde Intifada a éclaté dans le contexte de l’effondrement du « du processus de paix » et de la provocation  d’Ariel Sharon où il tirait, sur l’Esplanade des mosquées, sur une foule mécontente.   
 
La Direction des finances israéliennes perçoit des frais mensuels et les droits de douane sur les produits entrant dans le territoire palestinien sous son contrôle.
Tel-Aviv à décrété que les droit devant être transférés à l'Exécutif palestinien, collectés en novembre,  seront employés pour payer la dette représentant quelque 700 millions shékels (141 millions de euros) que la ANP a accumulé ces dernières années avec la compagnie électrique israélienne.

Cette méthode est typique du "savoir-faire" juif en général et plus précisément israélien, qui fait valoir ses droits sous un argumentaire, sorti de son contexte ou qui n'est pas en rapport avec l'objet, s'autorisent la transgression des lois ou/et des engagements pris. Aujourd'hui les juifs immigrés en Palestine défient la communauté internationale, l'ONU, mais comme cela ne peut être un argumentaire acceptable, c'est l'argutie de la dette (si dette il-y-a) par laquelle ces êtres à l'"intelligence supérieure" châtient les palestiniens.
[Accorder des avantages visant à subordonner quelqu'un, au moment où on en a besoin, est une tactique connue de tous les truands. Généralement les avantages ainsi concédés sont de moindre importance, comparés à ceux que l'on en attend.]   
Ce n'est pas la première fois que les gouvernements israéliens bloquent les avoir palestiniens. Israël détruit les infrastructures palestiniennes et oblige ces dernier, sous le silence assourdissant de la communauté internationale, à la soumission a l'occupant.
Comment, nous occidentaux qui nous prévalons de la lutte contre le terrorisme islamiste, pour assoir notre domination, n'avons pas encore compris que le "Djihad contre l'infidèle" prend son comburant dans le terrorisme que les juifs immigrés en Palestine imposent aux musulmans !
L'arrogance que nous leur témoignions, juifs ou non, est la principale raison de leur résistance. Résistance qualifié de terrorisme parce qu'il fait des victimes innocentes. Mais les habitants de la Palestine (juifs, musulmans, chrétiens) ne sont ils pas, aussi, innocents des crimes que les Juifs peuvent reprocher aux européens ?



Car le "Foyer juif" en Palestine, réclamé par le sionisme est une argutie de plus, basé sur la Shoah, mais qui, par la référence qui est faite de l'époque romaine, voudraient s'emparer aujourd'hui d'un territoire qui ne leur a jamais appartenu. En effet, la Palestine appartient a ceux qui ne l'on jamais quitté et si les rescapées des camps de la mort voulaient vivre en paix sur la "terre promise" il fallait le faire avec sa population et non à sa place. Surtout après avoir été accueilli, pour les premiers immigrants, comme des frères, ce n'est qu'une fois le constat fait, des intentions sionistes, que les palestiniens ont vu dans ces derniers leur futur bourreau et n'ont plus été d'accord. Seul la pusillanimité, l'indignité occidentale, à permis au sionisme de perpétrer ses crimes encore de nos jours.         

Des sources diplomatiques israéliennes ont expliqué que le Ministre des finances, Yuvan Steinitz, n'encaissait pas les factures d'électricité par un geste de bonne volonté envers l'ANP, mais après le vote onusien, il n'y a plus de raisons pour le faire.
Qui peut croire de telles sornettes ? Que les juifs en général, les israéliens en particulier, prennent les goïm pour des gogos, cela nous le savions. Cette "facilité de payement" n'a d'autre but d'existence que de s'en servir comme argument légitime à tout comportement palestinien que les représailles habituelles ne pourraient justifier.      


L'armée israélienne deloge les manifestants




Pour ne pas faire l'amalgame avec les juifs assimilables, nous nommons très souvent israéliens ou sionistes, les membres de la communauté juive favorable au sionisme à Israël, pourtant nombreux sont les juifs en France, en Europe ou encore aux États-Unis qui soutiennent Israël du seul fait d'être juifs et cela quelque soit son crime ou manquement au droit international ou encore aux droits humains les plus élémentaires. Il y a aussi ceux qui par cupidité, carriérisme ou stupidité abondent dans le sens sioniste, mais ils seront, a coup sur, les premiers à dénoncer les Juifs dès que le "vent" tournera.

Très souvent on se pose la question et nous nous interrogeons sur les motivations racistes ou/et antisémites qui ont mené aux pogroms, aux persécutions des Juifs, à la Shoah, et là il faut reconnaitre que le comportement coutumier à l'intelligentsia ou politiques juifs, se livrant à la propagande pro sioniste dans les médias -ou à chaque fois que la parole leur est donnée- des arguments apocryphes et contrevérités sont assénés trompant le "chaland". Les arguments développés le sont, sortis de leur contexte, de leur époque, occultant la vérité. Et quand je dis vérité c'est toute la vérité, [une vérité partielle n'est plus la vérité]. C'est une propagande étudié, choisie, consciente, c'est une propagande digne de Goebbels. Ces atavismes, qu'on le veuille ou non, porte une grande responsabilité dans l'historiographie mouvementée de l'ensemble de la communauté.
L'inacceptable réside, je l'admets, dans le fait que c'est l'ensemble de la communauté qui subit les conséquences des errements de quelques-uns. Mais aujourd'hui à constater le quasi unanimité du soutien à Israël de la communauté juive, on est en droit de se poser la question de la partialité de l'engagement et de l'absolution que les Juifs apportent à Israël au sionisme. Il en résulte une vérité occulté par les autorités religieuses et politiques dans les pays accueillant des Juifs assimilant les actes violents à l'encontre des Juifs comme étant des actes antisémites, alors qu'il serait plus juste de parler des représailles, au vu justement de ce soutient, de cette absolution. Car il me parait évident, bien que je reconnaisse le caractère criminel de ces actes, que leurs auteurs les commettent moins contre les Juifs, que contre ceux qui soutiennent un État, une idéologie qui soutient les crimes que d'autres Juifs commettent contre leurs coreligionnaires... [Je regrette également l'amalgame qui est fait entre les actes dits antisémites et qui relèvent d'avantage du droit commun que d'antisémitisme.]
   

Des Palestiniens s'installent sur le site d'un projet de colonie israélienne
De Ahmed GHARABLI (AFP) – Il y a 1 jour 


ZAÏM (Territoires palestiniens) — Des dizaines de Palestiniens ont dressé vendredi un campement sur le site d'un projet de colonisation très controversé en Cisjordanie, dans le cadre de leur stratégie de résistance non violente aux implantations et à l'occupation israélienne.

"Nous avons installé 20 tentes et nous avons assez d'équipements pour rester longtemps", a déclaré à l'AFP l'une des organisatrices, Abir Kopty, précisant que ce camp, installé sur le site du projet E1, au nord-est de Jérusalem, était baptisé "Village de Bab al-Chams" ("Les Portes du Soleil" en arabe) et rassemblait plus de 200 personnes.

"Nous sommes déterminés à rester ici pour faire respecter le droit des propriétaires (palestiniens) de construire sur leurs terres. C'est un message que nous ne resterons plus silencieux face à l'expansion des colonies", a-t-elle affirmé.

Le campement, établi dans la zone ultra-sensible E1, entre Jérusalem-Est occupée et la colonie israélienne de Maalé Adoumim, se veut une réplique palestinienne des colonies sauvages israéliennes.

Les militants ont copié la stratégie des colons israéliens qui installent en quelques heures, souvent de nuit, des campements dans des zones palestiniennes, qui leur servent ensuite de bases --baptisées "avant-postes"-- pour l'établissement de colonies sauvages.

Dans la soirée, ils cuisaient de la nourriture sur des feux de camp après avoir installé une vingtaine de grandes tentes sur le site, où des drapeaux palestiniens flottaient, a constaté un correspondant de l'AFP.

La police israélienne leur avait auparavant distribué des ordres d'expulsion stipulant qu'ils devaient quitter la zone, déclarée "zone militaire interdite" aux civils.


Une tactique "innovante"
Un porte-parole de l'administration militaire israélienne a confirmé ces ordres d'expulsion, en estimant que l'initiative relevait de la "provocation".

Mais Abir Kopty a précisé dans un message sur Twitter que les militants avaient réussi à obtenir une injonction de la Cour suprême israélienne gelant l'ordre d'expulsion.
"Cette initiative est très innovante et constitue un moyen légitime et non violent de protéger notre terre contre les plans coloniaux israéliens", s'est félicitée Hanane Achraoui, membre de la direction de l'OLP, dans un communiqué.

"Il s'agit d'un effort collectif initié par la société civile, comprenant des organisations de jeunesse, sociales et politiques, qui se sont unies pour défendre les droits des propriétaires de cette terre de l'utiliser comme bon leur semble", a-t-elle relevé.

"Nous soutenons totalement et encourageons la résistance populaire non violente contre l'occupation israélienne dans l'ensemble de l'Etat de Palestine", a-t-elle ajouté.

Une stratégie palestinienne de résistance non violente à l'occupation et à la colonisation israélienne --sous la forme notamment de manifestations pacifiques et d'appels au boycott des produits israéliens-- s'est développée ces dernières années.

Elle s'est exprimée également via l'offensive diplomatique internationale du président palestinien Mahmoud Abbas qui a permis l'accès de la Palestine au statut d'Etat observateur à l'ONU en novembre dernier.
C'est en représailles à cette démarche que le gouvernement israélien a annoncé la relance de son projet de construction dans la zone E1, gelé depuis 2005 sous pression américaine.

La communauté internationale a condamné ce projet, qui relierait l'implantation israélienne de Maalé Adoumim à des quartiers de colonisation juive à Jérusalem-Est et couperait en deux la Cisjordanie, compromettant la viabilité d'un Etat palestinien.
La communauté internationale considère comme illégales toutes les colonies israéliennes et ne reconnaît pas l'annexion en 1967 de Jérusalem-Est, où les Palestiniens veulent établir la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.





Les Palestiniens s'étaient installés à cet endroit avant que des soldats israéliens ne les évacuent de force

Photo: AFP
Shatha YAISH

Agence France-Presse
JERUSALEM

L'installation médiatisée d'un campement palestinien sur le site même d'un projet de colonisation israélien controversé illustre une nouvelle tactique de «résistance non violente» de la part des Palestiniens et augure d'actions de lutte similaires en Cisjordanie.
Réplique palestinienne des colonies sauvages juives, l'édification surprise d'un camp de toile sur le site du projet E1, entre la Cisjordanie et Jérusalem-Est, évacué dimanche par la police, servira de modèle à d'autres initiatives pacifiques contre l'occupation israélienne, selon les organisateurs.

«Ce n'est pas la fin du combat, il va continuer de façon puissante», a promis le Comité de coordination de lutte populaire, qui regroupe des militants indépendants très actifs contre la barrière de séparation israélienne en Cisjordanie, à l'origine de l'initiative.
Quelque 500 policiers israéliens ont expulsé tôt dimanche quelque 150 activistes palestiniens qui refusaient depuis vendredi de quitter leur campement baptisé «village de Bab al-Chams» («La porte du soleil»).

«Même si nous avons été chassés, notre force est évidente, car la police a dû recourir à des centaines et des centaines d'agents des forces spéciales», ont affirmé les organisateurs.

Le recours à «la résistance non armée» contre la colonisation et l'occupation israéliennes n'est pas nouveau: depuis des années, les Palestiniens militent pour le boycottage économique et culturel d'Israël et organisent des manifestations hebdomadaires, parfois musclées, contre «le mur de l'apartheid» qui sépare Israël de la Cisjordanie.
Défi à l'extrémisme en Israël
Mais la tactique, elle, est innovante, relève Mohammed al-Khatib, un des dirigeants du Comité de coordination. «Le secret de notre succès a été le facteur +choc+, la surprise», a-t-il expliqué dimanche à l'AFP.

Il a raconté que la discrétion qui avait entouré l'opération avait permis de prendre au dépourvu les autorités israéliennes --et à de nombreux journalistes de rejoindre le site avant qu'il ne soit décrété «zone militaire interdite».
Soulignant l'aspect non violent de la protestation, il a noté que même durant leur expulsion les militants palestiniens avaient résisté de façon passive --en se laissant traîner sur le sol-- et qu'aucun membre des forces de sécurité israéliennes n'avait été blessé ou pris à partie.

«Nous ne devons donner aucun argument ou excuse à l'occupant», a-t-il argué, avant d'ajouter: «Il ne s'agit pas de deux armées qui s'affrontent. Nous, nous sommes des citoyens qui réclament nos droits à la liberté, à l'indépendance et à la dignité».
Pour Abdel Majid Souweilim, professeur de sciences politiques à l'université palestinienne Al-Quds, l'initiative de «Bab al-Chams» constitue «un défi direct au virage vers l'extrême droite de la politique israélienne».

«Le message des militants est que cela ne vaut plus la peine de parler de négociations ou de pressions internationales, et que sur le terrain il devrait y avoir une résistance populaire, pacifique, déterminée et démocratique», a-t-il dit à l'AFP.
Le politologue a aussi noté que seuls des militants de base étaient à l'origine de l'opération, preuve que «les Palestiniens ont commencé à prendre des décisions politiques par eux-mêmes, sans se reposer sur leurs dirigeants».
Interrogée par l'AFP, Nour Odeh, porte-parole du gouvernement de l'Autorité palestinienne, remarque cependant que le premier ministre Salam Fayyad appelle depuis longtemps à un mouvement de résistance non violent.
«Le fait que la lutte se focalise maintenant sur le développement délirant et sans précédent de la construction dans les colonies va probablement devenir la principale motivation derrière l'expression de la résistance populaire», prédit Nour Odeh.
«C'est la raison pour laquelle "Bab al-Chams" est né. Et c'est la raison pour laquelle ce type de protestation pourrait bien continuer», conclut-elle.




[Le nazisme, ou national-socialisme (en allemand : Nationalsozialismus), est l'idéologie politique du NSDAP, parti politique fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et religieux. Cette vision du monde reprenait la division hiérarchique de l'espèce humaine en races, hiérarchie au sommet de laquelle elle situait la « race aryenne ». Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945 et connu sous les noms de Troisième Reich et d' « Allemagne nazie ».]

Voila donc ce que c'est le nazisme.
Y voyez-vous une différence avec le sionisme ?