vendredi 15 février 2013

Les républicains bloquent la nomination de M. Hagel au Pentagone.


Comme tant d'autres citoyens du monde se laissant "happer" par les l'information manipulatrice émise par les épandeurs de la pensée unique, vont se demander ce que, les Juifs, Israël, le sionisme vient faire là.
Cela parait pourtant une évidence, tant que directeur de la CIA, le secrétaire d’État à la Défense, le secrétaire d’État aux Affaires extérieures, était juif ou pro israélien, s'il était "faucon" ou/et néoconservateur va-t-en-guerre, tout allait bien dans le "meilleur des mondes", mais dès qu'il s'agit de nommer quelqu'un qui ne serait pas du sérail pro-israélien, rien ne va plus.
Les USA se croient un État indépendant, mais sont soumis à la loi des lobbys en général, au lobby juif en particulier, et c'est dommage pour nous qui considérons l'Amérique comme une très grande démocratie. Si je la compare à la France actuelle, un ramassis d’intérêts particuliers, par rapport à celle de l'après Guerre et du Général de Gaulle.

Vous pensez c'est aux USA que cela se passe. En Europe en général, en France ne particulier c'est encore pire. Car en effet, contrairement à l'Amérique où agir contre ses intérêts est rédhibitoire et peut vous amener à la chaise électrique, en France assujettir la NATION ou ses POPULATIONS au marché à la finance prive, alors même que notre culture est aux antipodes des escrocs de la finance, devrait être un crime passible de la "chaise électrique".
En effet ; c'est Georges Pompidou (ancien directeur de la Banque Rothschild)  qui imposa le système qui voulait que les Etats, devaient s'adresser à la finance mondiale (Marché) pour leur investissements. C'est Dominique Strauss-Khan qui plomba la "DETTE" pour financer sa politique sous le règne de Mitterrand, (tous deux pro-israéliens convaincus) dette à laquelle se référent tous les escrocs pour justifier leur politique, celle du nanisme intellectuel.

En France, le conflit israélo-palestinien est occulté sans vergogne, la quasi totalité des informations émises en France concernant ce conflit sont apocryphes, incomplètes ou mensongères. Les médias sont phagocytés outrageusement, c'est à croire que les français sont des gogos,   


C'est un camouflet pour l'administration Obama, qui voit avec inquiétude se délabrer la candidature d'un homme que le président continue de juger "éminemment qualifié" pour le poste. Ancien marine, décoré pendant la guerre du Vietnam, Chuck Hagel serait le premier ministre de la défense à avoir combattu dans l'armée.


"MANŒUVRE D'OBSTRUCTION"
La journée restera dans les annales comme l'illustration des jeux de dupes dans lesquels se délectent les responsables politiques ("un cirque", a commenté le représentant démocrate Peter Welch). Contre l'évidence, les sénateurs républicains ont assuré qu'il n'était pas question de flibuster (il faut 60 voix pour briser cette manœuvre d'obstruction) et qu'ils demandaient simplement un complément d'informations sur les positions de M. Hagel. Au lieu de leur accorder un délai, le démocrate Harry Reid, qui contrôle la procédure parce que son parti a la majorité au Sénat, a poussé à un vote dit de "clôture du débat", ne serait-ce que pour mettre le projecteur sur les républicains obstructionnistes. "C'est une honte, a-t-il estimé. Pour la première fois dans l'histoire de ce pays, un secrétaire à la défense fait l'objet d'une manœuvre d'obstruction."
Secrétaire à la Défense

En janvier 2013, il est désigné par Barack Obama, un démocrate, afin de devenir secrétaire à la Défense des États-Unis et succéder à Leon Panetta1. Sa nomination suscite de nombreuses réserves au Sénat (notamment chez ses anciens collègues républicains) qui doit valider sa nomination. Si certains démocrates lui reprochent des propos « politiquement incorrects » sur les homosexuels2, plusieurs de ses anciens collègues lui reprochent des opinions supposées trop pacifistes, trop anti-israéliennes ou favorables à la dénucléarisation du monde. Il a cependant le soutien de plusieurs personnalités républicaines comme John Warner, ancien sénateur et membre de la commission des forces armées3.

Cependant vous allez m'opposer : "mais pourquoi le sionisme à l'impérieuse nécessité de contrôler ainsi les États dits démocratiques et la majeur partie de ses médias."

La politique de spoliation du peuple palestinien à toujours été une constante, c'est une des quatre recommandations prôné par Théodore Herzl au premier Congrès sioniste qui eut leu à Bâle en 1897. La politique israélienne est la conséquence directe de cette recommandation. Aucun dirigeant sioniste n'y peut déroger au péril de sa vie. C'est ainsi que quelque soit le parti au pouvoir en Israël, quelque soit le dirigeant politique, la politique de spoliation du peuple autochtone reste identique, ou alors comme Yitzhak Rabin se voir assassiné...
Une autre des raison est le caractère illégal d'Israël et par conséquent l'éveil des consciences des dirigeants des États dit démocratiques est un danger. En effet : Israël a obtenu son statut grâce au chantage des USA sur les pays du tiers-monde, poussé au crime par le lobby juif américain, lors du vote de la résolution 181 du 29 novembre 1947 sur la partition de la Palestine. 
Le Droit est très clair la dessus : "tout avantage obtenu par chantage, est de facto caduc". Il est don clair que le sionisme doit phagocyter toute idée ou personnalité qui éveillerait les conciences.
Car si les dirigeants d'avant la Deuxième guerre mondiale se sont comportés tel des poltrons et complices d'un des plus grands crimes contre l'humanité, les palestiniens en sont innocents...    

jeudi 14 février 2013

L’effacement d’un patrimoine



L’effacement d’un patrimoine : Par Saleh ABDEL-JAWAD

L’auteur, professeur à l’université de Birzeit, s’interroge sur les raisons de l’échec de l’historiographie arabe et palestinienne face à la narration historique israélienne, et sur l’occupation de la réalité de la Nakba pendant si longtemps. Il identifie trois causes majeures : la perte du patrimoine écrit, le rôle prédominant de la tradition orale dans la culture arabe et la supériorité de fait de l’historiographie israélienne due à un héritage européen moderne. Cet extrait aborde la question des sources palestiniennes et de leur accessibilité.

La résolution de partage du territoire de la Palestine votée par les Nations Unies le 29 novembre 1947 a déclenché des accrochages qui ont mené à la guerre de 1948, une guerre totale qui à durée plus d’un an. A l’issue de cette guerre, il y avait clairement un vainqueur et un vaincu. Mais cette victoire n’est pas une victoire comme les autres, car elle cache une tragédie immense, qui a un impact direct sur la capacité du vaincu à écrire son propre récit historique.


Jusqu’aux nom des villages rayés de la carte.
La victoire israélienne de 1948 n’est pas une victoire classique. Elle a suivi une guerre d’autodéfense entraînant l’expulsion « quelques centaines de milliers de Palestiniens », selon l’expression convenue, et l’avortement d’un Etat palestinien.
1948, c’est avant tout une tragédie humaine de premier plan : 80 à 85 % des villages arabes passées sous contrôle israélien on été tout simplement rasés, leur population chassé, et ce en dehors de tout faut de guerre. Parmi les onze villes palestiniennes tombées, cinq on connu une dépopulation et une expulsion totale ; il s’agit de Tibériade, Safad, Bir Sabaa (Bersheva), Bissan, Majdal. Dans cinq autres villes, seule une petite minorité de la population a pu subsister. Une seule petite ville, Nazareth, qui ressemblait plutôt à un gros village, a été épargnée, ceci pour éviter de provoquer le Vatican et l’opinion publique occidentale et chrétienne. Ces villages, comme la plupart des quartiers arabes des villes, ont été rasés pour effacer toute trace ou tout signe d’un passé arabe. L’historien Meron Benvenisti a écrit en détail le processus systématique qui a permis de rayer jusqu’au nom de ces villages de la carte.

Un patrimoine dévalisé.
Cette destruction socioculturelle a privé les Palestiniens de ce qui représente l’incubateur du patrimoine culturel : c’est dans les villes de Jaffa et Haïfa et les quartiers arabes de Jérusalem-Ouest que se trouvaient les bibliothèques, les archives, la presse et les imprimeries, les registres du cadastre, mes maisons d’édition et les centres culturels, les cinémas et les théâtres. Entre les mois d’avril et mai 1948, la presse palestinienne, source de première importance, a été confisque et détruite, les événements de la guerre n’ont plus été couverts à partir de cette date.

La totalité du patrimoine culturel écrit a été dévalisée, les archives des conseils locaux, celles des hôpitaux, des écoles, les bibliothèques privés, les papiers de famille et les mémoires personnels. Je citerai ici les archives et documents de grands intellectuels ou romanciers palestiniens tels que Georges Antonius, Aouni Abdel Hadi, Henri Cattan, Mustapha Mourad Eddbagh, et bien d’autres…

Enfin les archives de la seule organisation militaire palestinienne, le « Jihad El Mougaddas », ont également été confisquées. Une partie de ces archives est tombée aux mains des israéliens, tandis que la partie la plus importante à été confisquée par l’armée jordanienne, lors de l’attaque du quartier général de l’armée palestinienne dans les deux villages voisins de Birzeit et de Ain Sinia, en juillet 1948. Personne ne sait jusqu'à aujourd’hui où ont disparu ces archives. Lorsque les forces israéliennes sont entrées à Jérusalem en 1967, la famille Husseini a brûlé un certain nombre de papiers par crainte de représailles de l’armée. Enfin tout ce qui restait de ces archives, conservé à la Maison de l’Orient, a été confisqué le 1er juin 2001.
Le problème de la perte des archives et des documents palestiniens n’est pas spécifique à la guerre de 1948. L’héritage politique et culturel des Palestiniens a, comme leur terre, toujours été l’objet d’usurpations. Ainsi Israël a confisqué les documents du mouvement national et de la société palestinienne qui se trouvaient dans les locaux des administrations jordanienne en Cisjordanie et Egyptienne dans la bande de Gaza. Ces documents ont été transférés en Israël  où ils sont devenus partie intégrante des archives de l’État hébreu (State Archives) conservées dans les souterrains de l’immeuble qui abrite le gouvernement israélien. Les chercheurs palestiniens, et les Palestiniens en général, propriétaires de ces documents, n’y ont pas accès.

Des archives confisquées ou interdits d’accès.
En tant qu’historien palestinien, il me faut évoquer les problèmes rencontrés et les dangers courus par les chercheurs palestiniens pour préserver les documents du mouvement national palestinien sous occupation israélienne, comme les documents de l’Intifada. A plusieurs reprises en outre, les forces d’occupation ont incendié intentionnellement et criminellement les bureaux des registres et des tribunaux (à Naplouse et à Jérusalem). Rappelons aussi que l’un des objectifs de l’occupation de Beyrouth était de confisquer les archives du Centre d’Etudes Palestiniennes. Les chercheurs palestiniens et arabes sont d’ailleurs confrontés au fait que les archives arabes, militaires ou politiques, concernant la guerre de 1948, sont strictement interdites dans les pays arabes qui ont participé à la guerre.

Destruction, confiscation et inaccessibilité des sources écrites : cette situation d’impasse ne laisse d’autre issue au chercheur que de se tourner vers les sources orales. Cela explique partiellement l’échec des historiens palestiniens qui n’ont pas eu recours aux témoignages pour écrire l’histoire de la Nakba. Ce n’est pas par hasard que le livre volumineux de l’historien palestinien « Aref el Aref » qui à travaillé en s’appuyant sur des sources orales, reste encore le meilleur ouvrage palestinien sur cette guerre, malgré ses lacunes et ses faiblesses. Il ne disposait en effet que des moyens très simples, et a publié son livre bien avant l’ouverture des archives en 1970, bien avant que ne paraissent les nombreux livres disponibles sur la question.

En plus de la perte de leurs archives, des sources écrites et de leurs bibliothèques, les historiens palestiniens ont vécu les contraintes d’un quotidien de survie qui a paralysé la vie intellectuelle durant des années.
Les historiens ont souligné la singularité de ce phénomène d’effacement. L’étendue de la destruction subie par le peuple palestinien en 1948, une destruction multiforme, a toujours été sous-estimée, y compris du côté des historiens palestiniens et arabes. 




mercredi 13 février 2013

Le Pape "démissionne"



 
Aujourd'hui, mercredi 13 février 2013, un auditeur s'exprimait dans un média et déclarait, en parlant de  l'attitude des femmes aux seins nus ayant fait irruption dans Notre Dame scandant : "on baise Jésus Christ", n'apportait rien à la cause de femmes. Un autre allait plus loin et se demandait qui avait financé le voyage de ces mêmes femmes venues des pays de l'est. Et faisait la comparaison entre le blasphème que cette action représente pour les Catholiques avec le blasphème que représentaient les caricatures de Charlie-Hebdo pour les Musulmans, en se demandant à qui profitait le crime et sans nommer le judaïsme il "pointait du doigt" ces juifs extrémistes souteneurs (au propre comme au figuré) du sionisme et de l’État d'Israël.      

Hier, des historiens des religions s'accordent pour dire que le Pape Benoît XVI est un théologien avisé et un intellectuel authentique.

Cependant il se trouve encore des êtres pour répandre la pensée unique et faire en sorte que les communautés religieuses ou ethniques s'opposent. En ce sens les juifs extrémistes ou fanatiques, à qui l'on permet de s'exprimer dans nos médias si aisément, répandent la pensée unique que le sionisme voudrait universelle. La manière dont des contre-vérités sont  explicités dans les médias français est incompréhensible, si l'on part du principe que le Homme est un être intelligent.   Je pense pour ma part,  qu'il est dans sa grande majorité un mouton de  Panurge, qui pense à sa rédemption et absout les comportements des colons juifs, des gouvernements sionistes et de l’État d'Israël en Palestine.

On se demande même quel est l'intérêt ? Il y-a-t-il quelque chose de répugnant à préserver ? Il y-a-t-il quelque chose de criminel à faire passer inaperçu, pour que ces êtres arrogants s'adonnant à tant de perfidie ? 

Sur RTL Stéphane Bern en "maitre de cérémonie" anime l'émission, somme toute, de "main de maitre" mais quelle tristesse ce matin mardi 12 février 2012, quant une de ses intervenantes (je n'ai pas bien entendu son nom, mais je crois qu'elle s'appelle Étienne) remarquable par sa mauvaise foi, s'est mis à déblatérer sur le Pape, c'est d'autant plus affligeant quelle croyait faire de l'humour..., les rires de l'assistance apportaient la preuve du manque de culture de ces professionnels faisant la révérence au népotisme juif.



 
Le dénigrement était perfide et vomissait des contre vérités, car si le Pape  à fait partie des "Jeunesses Hitlériennes" à 13 ans,  à cette époque les jeunes allemands entraient aux "J.H." comme tous les jeunes européens entraient chez les Scouts, après que leurs parents les-y-aient inscrits. Cette dame, manifestement partie prenante, déclarait aussi  que le Pape avait assisté à l'assassinat de juif polonais. La portée du dénigrement sur l'affaire des "jeunesses hitlériennes" n'a pas apparemment suffi, il fallait donc inventer quelque chose de plus fort (mensonge ou pas). Déclarer que le Pape aurait assassiné des juifs, est peu crédible, qui sans preuves irréfutables, aurait été très grave. Dire : "Que le Pape a assisté à l'assassinat de Juifs" est quelque chose dans l'ordre du possible, à partir du moment où il fut militaire. C'est peut être cette barbarie, ou les barbaries commises par les nazis,  qui mirent le Pape sur le chemin des "Ordres" ?  Contrairement à ces êtres pro israéliens (juifs ou non) qui soutiènent et absolvent la politique criminelle de l’État d’Israël. C'est apparemment sur le chemin de l'inculture de ces personnes se sont engagés.  

Si je prends mon exemple, ce que je fais jamais : à 12/13 ans, je ne sais plus exactement, notre professeur choisit 8 élèves de notre classe, soi-disant les plus méritants,  pour passer 15 jours pendant les vacances d'été dans un camp de la "OJE" (jeunesses franquistes). Je ne suis pas devenu franquiste pour autant, bien au contraire,  c'est peut-être d'avoir vécu sous une dictature qui m'a donne le gout de l'honnêteté et l'aversion pour l'injustice. Et je haï, tous ces escrocs de la pensée qui dénigrent quelqu'un ou quelque chose, croyant justifier leur propre attitude, leurs propres crimes, ou encore, font référence aux crimes subis, ici la Shoah, pour masquer ceux de leurs propres coreligionnaires, comme ceux que d'autres Juifs commettent en Palestine. Car si cette dame dénonce  les turpitudes ou crimes ça et là, c'est, n'en doutons pas, pour mieux faire passer inaperçu d'autres crimes tout aussi inavouables.

Elle (la "perroquette") dénonça aussi la déclaration du Pape concernant le préservatif (en Afrique). Ce genre de personnes sont incapables de respecter les croyances des autres. En effet : "La religion catholique n'accepte les rapports que dans un but de procréation", c'est un Dogme de cette religion, le Pape en tant chef religieux, ne peut pas dire autre chose que de prôner l'abstinence ou l'absence de protection. Il s'adresse, je le rappelle, aux catholiques. Mais la religion Catholique dit aussi que nous devons agir en fonction de notre conscience, en fonction de ce que nous croyons être bien ou mal, (c'est ce que l'on appelle état de conscience) en conséquence si un catholique estime, dans ce cas précis, qu'il doit se protéger, il se protégera malgré le dogme de sa religion.

Ces êtres mal intentionnés, à l'état de conscience nul,  disent OUI mais la parole du Pape a une influence universelle. (Merci pour lui) Bien alors, il faut faire comme il dit et s'abstenir, ne faire l'amour qu'avec la personne que l'on aime et non au premier cul qui passe et  le SIDA, comme l'avait déclaré la "passionaria"  ne passera pas... Personnellement je ne vois pas où est l'avancée humaine à prendre le cul des hommes ou des femmes comme nous le ferions dans un self-service..., a moins quelle se fasse payer ?
Le libertinage à toujours fait partie de l'humanité y compris dans les époques les plus reculés, mais ils avaient l'intelligence de vivre et laisser vivre, car je ne suis pas sur que cette dame, croyant faire de l'humour, sache qu'a l'origine du génocide des Juifs par le nazisme il y avait Chaïm Weismann. -premier président du premier Congrès sioniste qui eut lieu a Bâle en 1897 et premier président d'Israël- Qui déclara : (Cité par Lenni Brenner “Zionist in the Age of the Dictaors”)
Ainsi : Nous avons dit à un public Berlinois en mars 1912 que « chaque pays ne peut absorber qu’un nombre limité de Juifs, s’il ne veut pas de maux d’estomac. L’Allemagne à déjà trop de juifs. »
Des juifs fanatiques diront : "ce n'est pas vrai, pour aurait-il fait cela ?" Pour l'unique et simple raison d'instrumentaliser l'antisémitisme, comme le sionisme l'à toujours fait, pour apeurer le juif assimilable, pour qu'il immigre en Palestine grossir les rangs sionistes.
Aujourd’hui c'est le CRIF qui "joue" sur cette corde" et cette organisation y ajoute la corruption de nos élus  non juif, en effet, les élus juifs n'ont pas besoin d'être corrompus, il sont au sein de nos démocraties des agents doubles, dormants ou actifs... 

Mais certainement que ce genre de personnage préfère, comme les autruches, se fermer les yeux à moins que ce ne soit l'anus.

Elle pesta aussi contre la pédophilie faisant l'amalgame avec le Pape et la religion Catholique et s'il y a eu des prêtres pédophiles ils n'ont rien de commun avec la Pape ou avec la religion catholique. En effet il y a des rabbins pédophiles, des rabbins trafiquants d'organes, des rabbins qui en Israël haranguent les cons pour qu'ils tuent les arabes.

C'est grâce au communautarisme népotique que ces êtres incultes vivent d'un art rudéral que l'on trouve sur les perrons des synagogues. Ces êtres incultes au possible jetant l'anathème sur les autres communautés  ne se rendent pas compte qu'ils sèment les graines d'un futur génocide, ils sont les premiers racistes et ont la bêtise de croire qu'ils sont intelligents, quand leur seule réalité est la répétition de vérités qui n'en sont pas, mais l'intelligence ce n'est pas cela.
          

De Martin Buber, philosophe juif, s’adressant à Ben Gourion, mars 1949.
 « Nous devrons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédemptif. Et qu’à sa création et dans son expansion, nous, en tant que Juifs, avons crée ce dont ce dont nous avons historiquement souffert, une population de réfugiés en Diaspora. »


(Ah’ad Ha-am, écrivain et philosophe juif russe, dans une lettre écrite en 1913).
« En dehors du danger politique, je ne peux supporter l’idée que nos camarades soient moralement capables de se comporter d’une telle manière envers des humains d’un autre peuple, et involontairement cette pensée me vient à l’esprit : s’il es est ainsi maintenant, quelle sera notre relation avec les autres si en vérité nous remportons à la fin des temps le pouvoir en Eretz Israël ? Et si c’est cela le ‘Messie’ : Je ne veux pas voir son avènement. »

De Theodor Herzl, parlant des Arabes de Palestine, Notes complètes, 12 uin 1895.
« Inciter la population démunie à traverser la frontière en la privant d’emploi… Le processus d’expropriation et de retrait des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection. »

Ce que je pense, c'est que cette dame ou tous ceux qui lui permettent de manipuler les populations en guise d'humour, feraient bien de ne pas faire aux autres que ce qu'ils ne voudraient pas qu'ils leur fassent. Ça s'est ma religion... 

Aujourd'hui, les médias à capitaux juifs déblatèrent à leur tour, même Philippe Buvard dans l'émission les "Grosses têtes" afirme que François Hollande, président de la république française je le rappelle, aurait plaisanté sur la question en déclarant : "nous ne présenterons de candidat".  Il ne faut donc par s'étonner si l'armé française, a ses ordres, fait la guerre aux révolutionnaires maliens. Il obéit là , à l'arrangement conclu lors de la visite de Benjamin Nétanyahu en France. Le seul bénéficiaire de cette guerre c'est l'’État illégal et voyou qu'est Israël. Mais alors nous élisons des gens qui œuvrent pour des puissances étrangères ? Si nous n'acceptons pas l'idée, qu'il y a dans nos démocraties des agents dormants, des juifs mais aussi des êtres qui pensent qu'en rendant service au sionisme, facilitent leur réussite professionnelle ou politique, nous n'avions rien compris.

Ces juifs fanatiques et pour le moins arrogants, sont entrain de justifier les raisons qui ont amenée aux persécutions et pogroms, le génocide des Juifs par les nazis, nous l'avons vu précédemment, que les juifs pro sionistes ne sont exempt de responsabilité dans ce crime contre l'humanité.

lundi 11 février 2013

Israël démolit des ouvrages islamiques...



Jérusalem - 7 février 2013
Israël démolit des ouvrages islamiques antiques à Jérusalem
Par Wafa

Le monde fut scandalisé lorsque les Talibans firent exploser les Boudas géants d'Afghanistan. 
Aujourd'hui Israël détruit des ouvrages antiques dans un des lieux saints de l'Islam, sans que ce même monde exprime la moindre plainte devant tant d'inculture. 


La destruction des Bouddhas géants de Bâmiyân en Afghanistan par les talibans afghans en mars 2001 avait été considérée internationalement comme un acte de vandalisme. Celle des mausolées de saints musumans par les "islamistes" d'Ansar Dine, au Mali en 2012 avait été qualifiée de "furie destructrice". Les deux événements avaient suscité l'indignation générale et ont fait partie des raisons invoquées pour justifier les interventions étrangères armées. En Palestine occupée, la destruction du patrimoine musulman va bon train, jour après jour, sans que s'émeuve outre mesure cette soi-disant "communauté internationale", si prompte à regarder ailleurs pendant que l'entité sioniste se livre à un nettoyage ethnique systématique, planifié et organisé de la population arabe indigène. ISM-France

La Fondation Al-Aqsa pour le Waqf et le patrimoine a rapporté que les autorités d'occupation ont démoli mercredi 6 février d'anciennes structures islamiques sur la place du mur occidental, dans le quartier juif de la Vieille Ville d'Al-Qods, à quelques mètres de la mosquée Al-Aqsa, l'un des lieux les plus saints de l'Islam. La Fondation a déclaré dans un communiqué que des bâtiments historiques ont été détruits dans la Vieille Ville.
Les autorités israéliennes ont l'intention de construire une synagogue, une salle de réception, un poste avancé de surveillance et de police, un musée, plusieurs toilettes et une nouvelle entrée qui conduira aux tunnels creusés à l'ouest du mur de la Vieille Ville, a déclaré la Fondation.


Photos de  Afif Emera pour Wafa ici.
D'autres photos ici.