Que le sionisme ait caché la vérité aux Juifs immigrant en
Palestine, que le sionisme ait travesti la réalité de l'histoire, que le
sionisme ait corrompu et corrompe nos dirigeants, on veut bien le croire, mais,
que encore de nos jours, où l'histoire la vrai se fait jour, chaque jour
un peu plus, des Juifs soutiennent les dirigeants israéliens, on ne peux pas l'admettre. Comment admettre, comment comprendre, que aussi bien les Juifs que
nos dirigeants, continuent pour leur majorité à soutenir cet État raciste,
criminel, qui doit le territoire où il est implanté a un chantage. Que le
sionisme corrompe nos dirigeants, cela nous le comprenons ils sont tous,
presque tous, des êtres ambitieux qu'aucune bassesse répugne, mais les Juifs
qui passent pour des êtres instruits et qui se disent inventeurs des Droits de
l'homme, s’abandonnent à tant de stupidités, j'avoue mon incompréhension... Comment peut-on se dire Juifs sans
rougir ?
La Shoah n'est peut-être
arrivée que pour punir des êtres malsains que la communauté juive abritait. Le
drame et c'est là le véritable drame, c'est que l'ensemble de la communauté a
payé pour les errements d'une secte qui s'y abritait. Quant à nos dirigeants
économiques ou politiques sont des êtres par lesquels commencent toutes les
guerres. Des êtres méprisables.
Et je dois ajouter que la quasi totalité, disons les 8/10es., des
articles sur Internet sont mensongers ou inexacts (des articles, qui malgré
tout et sans contradiction restent sur -Wikipédia- les plus fiables).
A Barcelone, le mont qui domine le port est nommé Montjuic.
L'article sur Wikipedia.fr affirmait que l'étymologie du mot Montjuic, était: "Mont
des juifs". J'ai donc contesté cette affirmation et donné
l'affirmation historique, que l'origine
soit dérivé de Mont des juifs est une idée moderne et qu'aucun ouvrage ancien
n'y fait référence. Il y a quelques jours j’eus la surprise de voir l'article
modifié. Cependant, l'article en anglais n'a pas été modifié !
Sur Internet: Montjuic.fr vous pourrez constater mon affirmation.
10-06-2013
Avec le passage du temps, le massacre de Deir Yassin est
devenu le symbole de la lutte palestinienne pour l'indépendance. Heureusement
témoins oculaires de l'événement tragique survivent et nous disent à haute voix
ce qui s'est passé ce jour-là, le 9 Avril 1948. Les morts parlent à travers
leurs familles, leurs enfants, leurs petits-enfants. Ils ont essayé
d'exterminer leur lignée et de les supprimer à jamais de la surface de la
terre, mais maintenant, plus que jamais, ces morts ressuscitent dans nos
consciences pour que jamais nous les oubliions.
Lors de la guerre israélo-arabe et au cours du
développement de l'opération Naasón, imaginée
et conçue par Ben Gourion, des recommandations ont été confiés aux bandes paramilitaires
sionistes de l'Argon (commandée par Menaghen Beguin) Tsfai Leumi, la Haganah et
Shteren (à la tête de Yitzhak Shamir) la mission de conquérir la colline stratégique
sur laquelle était implanté le village de Deir Yassin. De là, on domine la
route entre Jérusalem à Tel Aviv qui ouvre la porte de la ville trois fois
sainte. Armés de mitraillettes, de grenades et de couteaux les paramilitaires exécutèrent
de sang froid environ 150 habitants, principalement des femmes, des personnes âgées
et des enfants. Les témoins nous décrivent les détails de cet horrible crime, dans lequel n'ont pas manqués,
les viols, les tortures et égorgements. Quelques faits sur dantesques commis
contre des civils non armés qui démontrent un haut degré de bassesse et de
lâcheté. Au moins, les tueurs se sont montrés indulgents lorsqu'ils
abandonnèrent les 55 enfants devenus orphelins à la Porte de Jaffa, pour qu'ils
puissent être pris en charge par le gouvernement jordanien.
Deir Yassin reste malgré tout un endroit magnifique et
maintenant que les amandiers en fleur parfument les champs imprimant une
étrange sensation de mélancolie. Nous avons cherché en vain un indice qui nous révélerait
les traces du passé, mais le sous-bois laisse tout juste entrevoir quelque
vestige de l'ancien cimetière dont les tombes ont été profanées. Peut-être que la
seule consolation, soient les beaux jardins de coquelicots que le printemps
nous donne.
En 1948, le village de Deir Yassin situé à 5 kilomètres à
l'ouest de Jérusalem comptait 800 habitants, qui se dédiaient à l'exploitation
d'une carrière de calcaire et aux traveaux agricoles (culture de l'olive,
amande, pomme et figue). Après la défaite arabe [*1] la région a été rebaptisé
Givat Shaul, (toponyme extrait de la Torah, Samuel 15,34) appartenant au
district Mezuzah de Jerushalayim, dans lequel résidaient beaucoup de juifs
orthodoxes. Sur ce même site siège il y a le siège social du centre de Yad
Vashem dédié à la mémoire et l'étude de l'Holocauste nazi. [*2] Un peu plus au
nord se distingue cimetière juif Hamenuhot Har (la "montagne du repos"
décrite dans la Torah). La plupart des maisons anciennes de Deir Yassin sont
conserves intactes et accueillent l'hôpital psychiatrique de
Kfar Shaul dont les locaux sont protégés par une clôture métallique et des
caméras de sécurité. Dans les années 50 le gouvernement israélien repeupla ces
montagnes, que les Hébreux nomment Har Nof, avec des milliers de pins qui
composent actuellement le parc naturel "La forêt de Jérusalem".
Compte tenu de son extraordinaire beauté naturelle attire les spéculateurs immobiliers
puisque le prix de la terre et des logements atteignent les nuées. Parmi les projets
en plein essor il faut mentionner celui de la communauté juive du Venezuela,
qui prétend construire un grand condominium de luxe du nom de Pninat Har Nof.
Qui selon ses promoteurs, abritera un supermarché, gymnase, spa, aire de jeux,
piscine et salle de fête. Avec la
bénédiction des escrocs que nous avons élus...
[*1] Le sionisme estime que cette défaite les
autorise à mener sa politique, que les Arabes n'avaient qu'accepter la
résolution Onusienne, sur la partition de la Palestine, au lieu de leur faire
la guerre. Dans les faits la Palestine et les Etats arabes refusèrent la
résolution 181 du 26 novembre 1947 sur la partition de la Palestine. Ils
estimèrent que des immigrés venus d'Europe ne pouvaient pas disposer à leur
place de leur pays. Et s'ils sont entrés en guerre contre les Juifs, c'était du
aux massacres de palestiniens et destructions des villages en Palestine, au
total 351 villages détruits plus des quartiers de grandes villes, comme par
exemple Saint Jean d'Acre, à la dynamite dans un premiers temps, au bulldozer ensuite,
c'est dire si se fut une drôle de guerre où l'ennemi avait le temps de détruire
les villages à au bulldozer...
[*2] Apparemment l'étude de l'Holocauste nazi ne leur
a pas appris grand chose, si ce n'est peut-être d'y apporter quelques
améliorations, comme corrompre nos dirigeants politiques économiques, nos
médias, pour que leurs crimes ne puissent être contestés.
Depuis 1937, Ben Gourion et l'Agence juive avaient élaboré les plans du nettoyage ethnique qui s'appliqueraient
en l'état futur d'Israël. Suivant les conseils de visionnaire Théodore Herzl décidèrent qu'il était nécessaire d'expulser les Arabes du territoire
conquis pour les colons juifs de
l'aliyah survivants de l'Holocauste et des persécutions antisémites. Même s'ils voulaient obtenir
la première victoire ils devaient se préparer militairement et
d'acquérir un armement moderne. Grace
à l'appui des banquiers et des millionnaires juifs tels que le baron de Rothschild et la complicité des puissances mondiales ont
atteint cet objectif. Avant le début de
la Seconde Guerre mondiale des vagues de Juifs ashkénazes
d'Europe de l'Est et d'Union soviétique
et les Juifs séfarades ont commencé à émigrer vers la Palestine
disposés à fonder des colonies et kibutzines. Ils sont
venus avec la volonté d'imposer leur
culture, une autre langue, une autre
philosophie de vie dans une terre où la paysannerie autochtone dont les racines remontent à des milliers d'années d'histoire. Ils ont prétendu déplacer
les agriculteurs palestiniens qualifiés
d'êtres archaïques et primitifs, et implanter un modèle de société occidentale au Moyen-Orient. Fini l'âge de l'obscurantisme pour faire le
passage au progrès et la modernité.
Le massacre de Deir
Yassin comme ceux de Zeitoun,
Tantura, Lydda, Al Dawayima faisait partie d'un plan visant à semer la terreur dans le but d'expulser des
civils palestiniens de leurs maisons. Le lendemain de l'abattage consommé par les milices sionistes, pour effacer toutes les traces qui les incriminaient, ont
transporté les 150 corps des
victimes à la périphérie de la ville où ils les ont jetées dans une
fosse commune. -fosse qui semble aujourd'hui
serait située juste en dessous d'un gigantesque réservoir d'eau
qui alimente Ghivat Shaul. Selon le
commandement de la Haganah cette
«victoire glorieuse» a ouvert la voie à la création du nouvel Etat d'Israël.
La version sioniste de l'histoire nie catégoriquement que ce massacre a eu lieu et préfère l'appeler "un
affrontement armé avec des dommages
collatéraux malheureux" parce
que la mission des les paramilitaires
se limitait à neutraliser un bataillon
de soldats irakiens stationnés
dans le centre du village.
C'est à dire, un objectif militaire
légitime. "La propagande sioniste a exagéré les faits déclarant que les irakiens déguisés avec des burkas ont utilisés des enfants et des femmes comme
boucliers humains." L'Agence juive et la Haganah à
la fin des combats ont envoyé des
lettres d'excuses au Roi Abdullah de Jordanie en
reconnaissant l '"erreur tragique".
Pour beaucoup de juifs ultranationalistes le jour de la commémoration
Deir Yassin signifie une offense contre l'État d'Israël. Certains exaltés répliquent
qu'ils étaient eux aussi victimes de
crimes horribles commis par les Arabes comme le
meurtre de 70 médecins et
infirmières au mont Scopus.
Le gouvernement israélien insiste sur le
fait que les Palestiniens ont été
invités à rester dans leurs maisons et qu'ils seront intégrés en tant que citoyens de plein droit de l'état naissant. [En réalité des citoyens de 3e zone, tel les
palestiniens d'Israël, ayant perdu leurs origines ethniques et sont devenus
"les Arabes d'Israël"] Mais la majorité a rejeté la proposition
parce qu'ils préféraient obéir à l'ordre
d'expulsion temporaire lancée par la Ligue arabe. Qui avait annoncé une contre-offensive pour récupérer le terrain perdu et jeter les Juifs à la
mer. Mais cela ne s'est jamais réalisé, en 1949, l'Egypte, la Jordanie, le Liban et la Syrie
ont décidé, chacun de son coté, la signature de l'armistice de Rhodes
fixant les termes du cessez-le-feu, à savoir la reconnaissance
de la défaite. [*3]
Ce qui s'est passé à Deir Yassin, des chercheurs israéliens soutiennent, ne sont pas conformes à la vérité. Les pays arabes sont eux qui ont provoqué le conflit en n'acceptant pas la résolution 181 des Nations unies publié par l'Assemblée générale en 1947 qui a décrété la partition de la Palestine. Israël n'était pas l'agresseur agressé comme a cru à tort.
Ce qui s'est passé à Deir Yassin, des chercheurs israéliens soutiennent, ne sont pas conformes à la vérité. Les pays arabes sont eux qui ont provoqué le conflit en n'acceptant pas la résolution 181 des Nations unies publié par l'Assemblée générale en 1947 qui a décrété la partition de la Palestine. Israël n'était pas l'agresseur agressé comme a cru à tort.
[*3] Il
faut ajouter pour être exact que la défaite Arabe, fut la victoire du sionisme
mais aussi des USA qui aidèrent Israël par un pont aérien depuis la
Tchécoslovaquie, contribuèrent, aussi, à la victoire. L'anéantissement d'Israël
tel que le sionisme le fit répandre fut une énième manipulation. Israël n'a
jamais depuis sa création été en danger, ce qui l'affirme s'amusent avec
l'histoire. Le but sioniste à faire "courir" de telles craintes
n'avaient d'autre but que de faire participer la communauté juive mondiale à
leur besoin d'argent. Depuis, les détournements de biens sociaux par les
dirigeants sionistes se succèdent en Israël.
Ce qui s'est passé à Deir Yassin, les chercheurs israéliens soutiennent,
que
ce n'est pas conforme à la vérité. Les
pays arabes sont eux qui ont provoqué
le conflit en n'acceptant pas la
résolution 181 des Nations unies publié par l'Assemblée générale en 1947 qui a décrété la partition
de la Palestine. Israël a été l'agressé et non l'agresseur comme a l'à cru à tort.
Dans les écoles israéliennes
est enseignée aux élèves que la guerre d'indépendance en 1948 était une "victoire héroïque" réalisés par les survivants de l'Holocauste et les Juifs de la diaspora. Après 2000 ans d'exil, le peuple
juif, le peuple élu par l'Éternel
était de retour à la terre promise. "Les réfugiés palestiniens rencontreront
leur place dans la diaspora. Ceux qui ne peuvent résister survivront grâce à la sélection
naturelle, les autres simplement mourront.
Certains persisteront, mais la plupart d'entre eux deviendront des déchets humains, la scorie de la terre et s'enfonceront dans les niveaux les plus bas
du monde arabe. Les prévisions du
ministère israélien des Affaires
étrangères à la fin des années
soixante-dix.
Que les Juifs
après l'holocauste veuillent immigrer dans ce qui est pour eux la "terre
promise", qui les blâmerait ? Mais pour l'amour de Dieu, avec les
palestiniens et non à leur place. Nom de Dieu.
J'ai eu la chance de rencontrer plusieurs habitants de Deir Yassin
résidant dans le camp de réfugiés
de Djabal Hussein à Amman, en Jordanie. Il s'agit d'un
hameau hideux et honteux complètement opposé à leur
idyllique demeure ancienne. C'est sûr que ces personnes
subissent une punition imméritée à laquelle se conforment avec
stoïcisme au nom d'Allah.
J'ai me suis liée d'amitié avec la
famille d'Abu Sharif Samur,
Abu Muhammad et Abu
Ahmed qui ont été
expulsés de Ramallah et de
Jérusalem-Est à la fin de la guerre des Six Jours en 1967. C'est incroyable, mais leur seul désir est de retourner dès que possible à Deir Yassin ou au moins
que l'on leur
permette de mourir dans la mère patrie la Palestine.
Bien que
65 années se soient écoulées depuis le massacre de Deir
Yassin les plaies restent ouvertes parce que la mémoire de la tragédie est encore très récente. Beaucoup ont perdu leurs parents, mères, frères, oncles,
cousins et grands-parents.
C'est pour cela
que c'est un devoir sacré que de défendre la mémoire des morts. Le
contraire signifierait de
donner raison à la sentence prononcée par Golda Meir,
qui a déclara: "les vieux mourront et les jeunes oublieront."
[*4] De là a que soit tant importante la solidarité
internationale, les collectifs sociétaux et les
associations pour soutenir la
cause palestinienne, pour maintenir très haut l'esprit
de résistance...
[*4] Cette déclaration est à elle seule un crime
contre l'humanité. Comment les Juifs peuvent-ils faire référence à la Shoah,
quand ils sont les mêmes criminels, et je me pose la question du décompte des 6
millions de Juifs morts pendant la Seconde guerre mondiale.
Je dois dire qu'un seul mort du seul
fait d'être Juifs, aurait été un mort de trop, mais à, l'aune des mensonges
sionistes, je me pose la question du décompte.
Comme c'est le cas de l'organisation
Zochrot (mémoire en hébreu), fondée à Tel Aviv en 2002 par Eitan
Bronstein. Ce projet a émergé au sein des organisations de la société civile juive qui s'est engagée à ouvrir
des chemins de réconciliation avec les
Palestiniens. Sa philosophie se
définit en "commémorer, reconnaître témoigner et réparer." Son but principal est de faire a Deir Yassin une école
dédiée à la paix et à la mémoire.
Il n'y a pas d'avenir sans reconstruction des relations entre Arabes et Juifs. Il
est nécessaire d'ouvrir des canaux de dialogue,
en marge des organes officiels avant que
la haine et de vengeance empoisonnent les cœurs.
C'est une bonne chose à la condition
expresse que les responsables et criminels sionistes soient jugés par la
Tribunal Pénal International.
Les envahisseurs savent que
tout ce qu'ils ont est le résultat d'un
vol et du pillage, ils sont des intrus qui ont soulevé une nation sur une
terre qui ne leur appartient pas, une terre qui a des propriétaires
avec des prénoms et des noms. Leur
pouvoir est fondé sur la terreur et la puissance de son arsenal sophistiqué,
leur seule garantie de survie.
Là je suis aussi d'accord.
Rébellion à posté cet article avec la permission de
l'auteur moyenna la licence
de Creative Commons, en respectant la liberté d'être publié par d'autres
sources.