Ce "post" est d'importance capitale pour comprendre le
mode d'emploi d'un Occident, manipulateur, cupide, va-t-en-guerre [...]. C'est
un Occident qui utilise la Technique et la manipulation pour soumettre les
peuples et les nations, non seulement, qui risquent de s'opposer a ses intérêts
mais surtout qui n'ont pas la même philosophie de vie.
Si nous prenons l'exemple de la Syrie, l'Occident veut détruire son arsenal chimique, sans que les inspections aient fait la preuve de sa culpabilité, mais en Occident des pays y compris Israël possèdent des armes chimiques...
Cet Occident, pour ânes bâtés, s’élève contre les gouvernants islamistes les accusant de vouloir imposer la "charria" à leur peuple, mais l'Occident se tait face à l'Arabie Saoudite, -par exemple- qui pratique la "charria" la plus dure. Dans les faits, à moins d'être un imbécile, nous voyons bien que cet Occident s'en prend aux pays qui n’agréent pas sa politique, cet Occident défenseur, souteneur, -au sens le plus bas du terme- de l’état illégal qu'est Israël.
Autrement dit: un mande sans cet Occident, serait un monde où
les différentes cultures pourraient éventuellement coexister, loin de sa
rapacité.
Global
Research
22-10-2013
Le Prix Nobel de la paix nous apporte-t-il une autre
surprise ou une autre farce? Tout dépend du point de vue de chacun.
Dans l'histoire relativement récente il y a eu Henry
Kissinger (1973), architecte suprême des
attaques assassines contre des nations souveraines ou les Nations Unies (2001),
avec son activisme belliciste et ses holocaustes passifs et silencieux (pensez aux
embargos de l'ONU). C'est lui qui a façonné la politique sioniste des ces
années où il était responsable de la politique Etrangère des USA au
Moyen-Orient. Et permis à Israël de devenir un Etat "légal" y compris
contre les fondements même, des Droits de l'Homme, et du Droit International.
Comment les
hommes peuvent-ils être aussi naïfs et confier à un homme qui, par son
appartenance au sionisme, est juge et partie de l'action qui devait mener Juifs
et Palestiniens, à la réconciliation ? Il est évident, que même pour un homme
honnête, il y avait conflit d'intérêt. Et il faut s'appeler Henry Kissinger,
c'est à dire que: comme un escroc,
porter tort aux populations qu'il devait
considérer avec justice et loyauté. [Dire qu'il y
avait un complot juif est excessif, mais affirmer qu'il y a un complot sioniste
contre la Palestine soutenue -principalement après la Deuxième guerre mondiale
et l'Holocauste- par une majorité de
Juifs et de tous ceux qui pensent bénéficier de leur influence, est tout à fait
judicieux..., comprenons, aussi, que cela se réalise également à notre propre
détriment.]
En 2002, ce fut Jimmy Carter, dont sa toxique
"Doctrine Carter» de 1980 qui incluyait la déclaration de l'objectif de
contrôle par les USA du Golfe Persique comme un «intérêt vital américain"
justifiée "par tous les moyens nécessaires". En 2005, le prix a été
décerné à l'Agence internationale de l'énergie atomique [AIEA], qui fait la
promotion de l'énergie nucléaire, créant les polluants les plus meurtriers de
la planète. Les déchets nucléaires de l'industrie promue par l'AIEA sont
convertis maintenant en déchets "classiques", mais pas moins
nucléaires et chimiques moyennant la tromperie qui saute aux yeux d'étonnantes
proportions historiques.
Barack Obama (2009) qui s'est révélé à postériori un bourreau,
au moyen d'assassinat sur toutes ses formes, à tout moment, quelque fut le
lieu, quelque fut l'endroit, quelque soit sa considération (et non par un juge
ou un jury) imposant désormais le mot joker " terrorisme " à la
moitié du monde.
Le camp de concentration de Guantanamo dont la fermeture avait
été clairement promise par Obama (en 60 Minutes du 17 Novembre, 2008), déclarait:
- "Je l'ai dit à plusieurs reprises que je
vais fermer Guantanamo et je m'y conformerai. Je l'ai dit à plusieurs
reprises que les Etats-Unis ne pratiquent pas la torture. Et je vais
m'assurer que nous ne torturons pas... cela fait partie intégrante d'un
effort pour retrouver la stature morale des USA dans le monde".
Le goulag de Guantanamo poursuit avec ses prisonniers,
pathétique, désespérés, non jugés, ou ceux dont la libération a été ordonnée, et
qui se languissent année après année. La « stature morale " US est tombé
plus bas que dans les années Nixon. La Libye est en ruine, la Syrie survit à
peine avec les sponsors terroristes aidés par la myriade de portes arrières de
Washington, et dans des bases étrangères globales prospère la torture incité ou
soutenue par les États-Unis
Evidement ces mensonges, ces
crimes nous sont présentés comme un bien par les médias aux "ordres".
Je disais médias mais aussi tous ces dirigeants cupides et parvenus qui pour un
peu d'aisance maltraitent la Nation et les populations dont ils ont la charge,
trahissant la confiance de ceux qui les ont élus. En une phrase: ce sont des hommes indignes.
C'est le problème du
terrorisme, de la Palestine, mais aussi très largement celui de nos sociétés où
les populations perdent leur acquis les uns après les autres sous des arguments
apocryphes au bénéfice de ces êtres indignes.
L'Union européenne, primée avec le prix Nobel de 2012, qui
depuis sa création a gâté les économies commerciales plus petites, a établi des
barrières, conditions irréalisables, qui peuvent être, presque, qualifiées d'extorsions
commerciales avec les pays les plus pauvres (souvent d'anciennes colonies).
Les États membres de l'UE ont également imposé des
embargos punitives nations sans défense ont soutenu avec enthousiasme la nation
dernier objectif est réduit à une ère préindustrielle (correction: est libéré
pour accueillir la démocratie et l'Etat de despotes se complaît impôts, ou une
longue, meurtrière, l'occupation étrangère irresponsable et d'appropriation des
ressources.) l'éminent expert en droit international le professeur Francis
Boyle, a décrit le Prix européen de "une plaisanterie malade et un fou de
la fraude".
L'Union européenne, primée avec le prix Nobel 2012, qui
depuis sa création a détruit tant d'économies plus petites, a mis en place des
barrières et des conditions irréalisables, ou bien, des quasi extorsions commerciales
avec les pays les plus pauvres (souvent d'anciennes colonies).
Les États membres de l'UE ont également imposé des
embargos punitifs aux nations sans défense militaire et ont soutenu avec
enthousiasme, que ces nations objectifs soient réduites à une ère préindustrielle
(correction: que ces nations soient libérés pour accueillir la démocratie et les
délices d'un gouvernement se complaisant dans les impositions despotiques et
une longue, et très souvent meurtrière, occupation étrangère s'appropriant les
ressources naturelles du pays.) l'éminent expert en droit international le
professeur Francis Boyle, a qualifié le Prix décerné à l' Europe de: "une
plaisanterie malade et de fraude démentielle".
Le prix de la paix a été décerné cette année, le vendredi
11 Octobre, à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC),
l'organisation basée aux Pays-Bas, fondée seulement en 1997, inconnue de la
plupart, ayant la responsabilité de débarrasser le monde d'armes chimiques.
L'OIAC a reçu le prix quelques jours après l'arrivée de
son équipe en Syrie pour éliminer arsenal d'armes chimiques du pays. Une brève
visite en Août qui a mis fin à la lâcheté jusque-là elle avait preuve. En
effet, le président Assad avait sollicité leur intervention en Mars, après qu'il
a été affirmé que les factions terroristes avaient utilisé des armes chimiques,
les insurgés que nous croyons syriens, viennent d'environ 83 pays, soutenus principalement
par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Qatar et Arabie saoudite.
Le retour de l'OIAC, le premier octobre, se vante
maintenant d'une réalisation face à un régime intransigeant qui l'avait
précédemment toujours bloqué -régime qui avait pourtant ouvert la porte en Mars-
une équipe présentée maintenant comme une âme courageuse travaillant dans une
zone de guerre, dans une insurrection qui baigné dans le sang par cette fameuse
«communauté internationale».
Est-ce que cela justifie le prix Nobel à un organisme qui,
malgré les dangers pour l'ensemble de la population, a accepté de détruire
1.000 tonnes de produits chimiques extrêmement dangereux (si nous croyons ce qui
avait été dit) en quelques mois?
Dans ce contexte, les États-Unis possède encore le triple
d'armes chimiques (estimé à plus de 3.100 tonnes) et a contesté la période
spécifiée d'avril 2012 pour l'élimination, sur la base que les dangers sont si
grands qu'il ne peut pas terminer la construction d'installations appropriées avants
2020 (certains rapports parlent de 2023). Pour les mêmes raisons de sécurité et
des obstacles techniques, on croit que la Russie devrait détruire cinq fois la
quantité des États-Unis (1). Les honteux doubles standards dominent toujours.
Là, nous sommes
de nouveaux face aux manipulations exercées par les nations les mieux armées,
mais aussi, face à des manipulations que l'on peut qualifier de méprisables.
Comment peut-on exiger d'un autre pays ce que l'on refuse de faire soi-même? L'Amérique,
c'est un secret de polichinelle, est assujettie aux lobbys, qui aidés par les
néoconservateurs (neocons) [groupe d'hommes politiques
américains cherchant à régler les problèmes de ce monde par la manière forte] favorisent et absolvent les crimes des gouvernements israéliens.]
La bouclée est boucle.
Wade Mathews, qui a travaillé sur le dossier de la
destruction de l'arsenal chimique américain, n'est pas sûr que la Syrie puisse
respecter l'échéance. Il souligne que l'élimination de ces armes a couté à
l'Amérique des milliards de dollars, la coopération des différents niveaux de
gouvernement, y compris l'armée et un environnement sécurisé, afin de s'assurer
que la destruction a été exécutée en toute sécurité. (Voir 1)
Naturellement,
tous les bellicistes imbéciles de la planète vont se ruer sur la Syrie, parce
que cet Etat n'aura pas pu respecter les engagements qu'on lui a imposés.
Pour un observateur, il peut sembler que l'OIAC s'est chargé
d'une entreprise de haut niveau, de manière précipité, imprudente, sous la
pression américaine et l'ONU, qui pourrait prendre le risque d'empoisonner les
gens et l'environnement de la Syrie à une plus grande échelle que les supposées
horreurs qui se sont déchainés, avec une sécurité quasi absolue, par les
insurgés.
Alors, quelle est la raison éventuelle d'avoir décerné le
prix Nobel à l'OIAC et pourquoi maintenant? Fait intéressant, le directeur
général de l'OIAC, Ahmet Üzümcü, est Turc, ex-consul à Alep, en Syrie, ancien
ambassadeur en Israël, ex-représentant permanent de la Turquie à l'OTAN et à
l'ONU à Genève.
Mis à part le fait que le PDG Üzümcü a évidemment certains
contacts internes remarquablement utiles, la Turquie, voisine de la Syrie, est
le seul Etat membre de l'OTAN au Moyen-Orient (peu importe qu'il n'ait pas de
connexion avec l'Atlantique Nord, puisqu'il se trouve entre la Méditerranée, la
mer Egée, la mer Noire, la mer de Marmara, le Bosphore et les Dardanelles).
L'OTAN ne va pas rester les bras croisés lorsqu'il s'agit de
la Syrie, ni l'Union européenne, que la Turquie, en dépit d'être le «porte de
l'Orient» à laquelle appartient la majorité du pays, aspire à l'adhésion.
Grande-Bretagne et la France sont, bien sûr, des membres de l'UE, unies avec la
Turquie et son interférence en Syrie.
Il y a longtemps que l'OTAN recherche des points d'appui plus
à l'est. Dans une lettre cité fréquemment dans ses colonnes, le 26 Juin 1969,
le général Alexander Haig, retraité du poste de Commandant suprême allié de
l'OTAN en Europe, a écrit au Secrétaire général Joseph Luns.
La mise au point des tactiques s'est réalisé dans un
contexte de guerre froide, cependant la géographie régionale et l'habilité
diplomatique du président Poutine et du ministre des Affaires étrangères Lavrov
sur la crise syrienne font que les tactiques délimitées sont à nouveau très pertinentes,
en particulier puisque l'on peut dire
que le président Obama et la secrétaire d'Etat Kerry ont été éclipsés
diplomatiquement jusqu'à devenir presque hors de propos.
Les aspirations des États-Unis-UE-OTAN pour la route Bagdad-Damas
qui mènerait à Téhéran (avec ou sans «percée» diplomatique) ne doit jamais être
sous-estimé. Ni, d'ailleurs, comment il a été démontré depuis la chute du mur
de Berlin en 1989, le désir d'encercler la Russie comme l'a confirmé la mise en
place de bases US-OTAN à une vitesse surprenante et avec une égale audace (2).
On peut dire que la tactique de la lettre à l'OTAN sont
aussi pertinentes pour les objectifs actuels que quand il a été écrit, même si
les objectifs, les circonstances, le terrain (ou guerre planifiée) ont été
élargies. L'avant-dernier paragraphe dit:
"Nous devrions toujours prendre en compte la
nécessité de diriger continuellement attention la... menace et a activer
d'avantage notre collaboration avec les mass-médias.
«Si les arguments, la persuasion et l'impact des médias
échoue, nous n'avons pas d'autre alternative que secouer dirigeants
pusillanimes en Europe, moyennant la création de situations, pays après pays, tel
que se considère nécessaire, pour les convaincre de l'endroit où sont leurs
intérêts.
«Le plan des action
auxquelles nous pensons peuvent se convertir dans le seul moyen sûr de garantir
les intérêts de l'Occident».
Autrement
dit: c'est la fuite en avant, nous devons faire la guerre assujettir les
peuples pour espérer garantir nos intérêts. C'est-a-dire: la loi du plus fort. On ne peut continuer ainsi, si l'on veut vivre
dans un monde apaisé. Il faudra un jour juger ces criminels qui nous dirigent,
de leur vivant ou par contumace et exiger de leur descendance qu'ils payent
pour leurs crimes...
Retournons au Prix Nobel de la Paix de 2013. Le norvégien
Fredrik Heffermehl, avocat, écrivain, traducteur, ancien vice-président de l'Association
internationale des juristes contre les armes nucléaires, parmi beaucoup
d'autres charges internationales prestigieuses, a été depuis longtemps une
épine clouée au sein du Comité Nobel, basée en Norvège (3).
Heffermehl a fait valoir dans son étude publiée : "
Le Prix Nobel de la Paix. Que ce Nobel voulait vraiment ", le Parlement
norvégien a détournée l'intention d'Alfred Nobel pour attribuer le Prix. Ses
recherches ont révélé de nombreuses études académiques qui ont soutenu ses
thèses. Le Parlement norvégien et le Comité Nobel l'on énergiquement refusé.
Cependant, sa thèse a été publié et a été divulgué en chinois, suédois, finnois,
russe..., et en Décembre 2011 a été soutenue par Michael Nobel, de l'Association
des familles Nobel, qui soutiennent Heffermehl dans son affirmation selon
laquelle le chemin actuel, les politiciens norvégiens pourraient perdre le
contrôle du Prix de la Paix.
La Norvège est, en effet, dans la «famille» de l'OTAN.
Fait intéressant, les critères de nomination au Prix Nobel de la Paix. Le site
précise:
«Délais de propositions. Le Comité fonde son évaluation
sur les propositions enregistrées avant le 1er Février de chaque année... Au
cours des dernières années, le Comité a reçu près de 200 candidatures provenant
de différents candidats pour le Prix Nobel de la Paix. Les quantités des
lettres de candidatures est beaucoup plus élevé, car beaucoup sont pour les
mêmes candidats. "
Qui, donc, s'est précipité lors de l'exercice précédent du
1 Février 2013, de proposer l'OIAC presque inconnue? Et il est concevable qu'il
pourrait y avoir eu une certaine date d'ajustement (à Dieu ne plaise).
Eh bien, sauf si vous êtes très jeune, vous ne pouvez
jamais savoir, il faudra attendre un certain temps:
«Les noms des candidats et d'autres renseignements sur les
nominations ne peuvent pas être révélés pendant encore 50 ans", fait
remarquer le site Nobel.
Il pourrait être intéressant de noter que les membres du
Conseil exécutif de l'OIAC pour 2012-2013 comprennent des pays qui ont
interféré plus qu'un peu dans les affaires de la Syrie, dont la France, le
Royaume-Uni, Etats-Unis, le Qatar et l'Arabie saoudite. La Norvège a également
siégé au conseil cette année.
Autrement dit; le Prix Nobel de la Paix est une imposture a
destination des laissés pourcompte que nous sommes... (Matière négligeable
indigne de réflexion).
Le Ministre des Affaires étrangères de Grande-Bretagne,
Hugh Robertson, a envoyé ses félicitations enthousiastes à l'OPAC pour le prix
et a ajouté:
"Le Royaume-Uni fournit une contribution initiale de
2 millions de livres sterling pour soutenir le travail de l'OIAC en Syrie, et
nous sommes prêts à fournir plus d'aide" (4).
Robertson fait aussi l'éloge de l'OPAC, se référent à:
"L'utilisation récente d'armes chimiques par le régime syrien...», une
déclaration sans preuves et que l'on peut qualifier encore de diffamatoire.
En effet, aucune preuve n'a été apporté, ni par l'OPAC, ni par
la Commission de l'ONU, par plus que par la France ou les USA, ni par qui
conque, de la culpabilité du régime syrien actuel.
C'est à dire, que depuis quelque temps déjà, les pays musulmans
qui sont, soit, en guerre avec Israël ou qui refusent le dictat sioniste sont déstabilisés
par l'Occident. Autrement dit: "lorsqu'un Etat, communauté ou groupe de
personnes dénonce la politique hégémonique occidentale, dont, il faut le
reconnaitre, bénéficie à Israël, à tout
a craindre de cet Occident.
Néanmoins, tel qu'a eu lieu le surprenant Prix Nobel de la
paix n'a pas de sens. Cependant, il est intéressant de parier que d'ici
cinquante ans, les historiens honnêtes vont secouer leurs têtes, avec le doute
qui s'impose.
Autre prix Nobel, Autre
farce.
Oh, au cas où vous ne le saviez pas: Monsanto et Syngenta,
ont remporté, ce mois-ci, le Prix
mondial de l'alimentation, connu comme "le prix Nobel de l'agriculture»
(5).
Or, nous sommes tous d'accord pour dire que Monsanto empoisonne
le monde...!
Nous vivons des temps très étranges...
Notes