Ce "post" d'importance incommensurable qui tente de
démontrer le caractère programmé et réfléchi d'un crime jusque-là inédit, non
par son modus-opérandi, c'est à dire s'approprier de terres (colonisation) et
procéder au génocide du peuple originel, ( car si les Juifs il y a 2000 ans ont fait un passage par une
terre qui ne s'appelait pas encore Palestine, puisque ce nom à été donné par
les Philistins, il y avait là des hommes qui y demeuraient, les Juifs d'Europe
n'avaient, donc, aucun droit sur ces terres.) comme par exemple, le génocide des "Indiens"
d'Amérique, cela avait déjà été fait, ce qui est ici inédit c'est l'impunité
que suscitent les crimes commis par le colonisateur ou l'acceptation par cet
Occident, dit démocratique, d'un génocide qui même lent semble inexorable.
Rien de ce que fait le sionisme en Palestine n'est laissé au
hasard. Pour qu'une communauté puisse commettre depuis si longtemps ses crimes,
sans qu'aucun de ces États qui se disent démocratiques n'intervienne, c'est
qu'il y a au sein de ces États des complicités ayant l'influence de leur faire
accepter et avaliser ses crimes.
Le monde dit démocratique va à volo depuis que son financement
est assuré par la finance privé. C'est à dire depuis que les États doivent
chercher ses financements sur le "marché". Aujourd'hui sur un média, un auditeur déclarait que le "Marché" c'est nous (les population) c'est un raccourci un peu puéril. En effet, nous savons que le Marché sont des gens argentés et gare à celui qui, méconnaissant le milieu, s'y aventurerait. Le Tunnel sous la manche, pour ne citer que cette affaire. Aujourd'hui les États enrichissent les bourses de privés, au détriment de leur populations. Derrière cette décision il y a En France: l'ex Président Georges Pompidou
(Ex Directeur de la banque Rothschild) et (ex-invité et exécutant du Groupe Bilderberg) (excusez du peu), c'est Dominique Strauss-Kahan (juif, ce qui ne regarde que
lui, sioniste, ce qui nous regarde) (excusez du peu), qui est à l'origine de
l'explosion de la dette française, sous le règne de François Mitterrand (pro israélien) [...]
Vous pensez que ce qui se passe en Palestine ne nous regarde pas
! Les imbéciles le pensent, ils pensent être loin des vicissitudes de ces
pauvres hères de l'autre coté de la Méditerranée. Les imbéciles, à cause de
cette décision les populations perdent leurs acquis les uns après les autres.
Chacun résiste plus ou moins bien en fonction de sa situation, cependant il est
certain que nous aurons tous à pâtir de cette décision. Les plus aisées
résisteront plus longtemps, mais le but est de réserver l'opulence à une
minorité d'entre-nous. Mais, soyez attentif, observez la société et vous verrez
que des gens favorables à Israël ne sont pas loin des décisionnaires.
Nos nations ne nous appartiennent plus..., nos dirigeants sont
des vendus à la mondialisation, dont le sionisme est la pierre angulaire et la
finance la clé de voute. A moins que ce ne soit le contraire...
Nous déstabilisons des Etats, nous fomentons des guerres, pour
défendre soi-disant la démocratie ! On est si cons que ça ?
Middle East Monitor
04-11-2013
Récemment le The
New York Times a publié un éditorial par Yuval Steinitz, un politicien
israélien et membre de la Knesset [parlement israélien] pour le Likoud,
intitulé «Comment la haine des Palestiniens empêche la paix." Pas besoin d'expliquer
dans le détail l'argument présenté dans cet article par Steinitz le titre parle
de lui-même.
Les sionistes répétées fréquemment cette étrange mantra qui
décrit un village occupé comme odieux, belligérant, et a une la puissance
militaire occupante comme pacifique et tolérante. Venu faire une critique
sérieuse de cette logique grossière à laquelle il voudrait donner une certaine
légitimité, il reste utile d'analyser sa finalité parce qu'il nous parle de la
société israélienne sur ce qui est dit au sujet des Palestiniens.
Albert Memmi, écrivain juif tunisien et activiste post-colonial, a essayé de comprendre l'impact psychologique de la colonisation
à la fois de l'occupé et de l'occupant. Dans son livre Portrait du colonisé,
précédé du portrait du colonisateur* publié en 1957 notait: " Ayant choisi
de maintenir le système colonial, [le colonisateur] nécessite plus d'énergie à
le défendre qu'il en aurait fallu pour en finir avec lui. Être conscient de la
relation inéquitable qui le lie au colonisé, il doit constamment tenter de
s'absoudre. Ne jamais oublier d'afficher publiquement ses propres vertus et
argumenter avec véhémence pour être vu héroïque et grand. " Cela signifie
que la représentation est plus importante pour l'acteur que pour l'audience.
Tous les projets de colonisation sont fondés sur des
principes racistes qui tentent de justifier la domination d'un peuple sur un autre,
et ces principes racistes sont systématiquement entretenus avec le régime au pouvoir qui en résulte. Comme
l'argumente Memmi: «Le racisme est ancré dans les actes, les institutions et la
nature des méthodes coloniales de production et d'échange. Les régulations politiques
et sociales se renforcent mutuellement ".
Et ce racisme peut prendre plusieurs formes et opprimer
les autres en fonction de ce qui est perçu comme leur couleur de peau, la culture,
la religion, la langue, l'origine ethnique, etc. Peu importe le facteur
discriminant dans tous ces cas, le racisme est profondément ancré dans le
système social et politique, souvent de façon subtile. Toutefois, lorsque l'indigène
résiste ou le projet colonial est menacée, alors ce racisme est plus visible et
important, ce qui pourrait expliquer le problème croissant du racisme en
Israël.
Pendant les élections en Israël au début de cette semaine
le racisme a été omniprésent dans la vie politique locale. Tel que rapporté par
Jonathan Cook, Al-Jazeera
English, "Partis juifs, y compris les succursales locales de la
décision du Likoud, ont adopté un langage ouvertement raciste et alarmiste dans
une tentative de gagner des voix suggérant que musulmans vont s'approprier
immensément des communautés juives». **
"Selon Mohammed Zeidan, responsable de l'Association
des droits de l'homme de Nazareth", la société israélienne est devenu de
plus en plus raciste et les candidats retournent simplement aux électeurs le reflet
de ce racisme sachant que cela leur fera gagner beaucoup de soutien." Puisque
ce soutien populaire est basé sur un compromis d'avantage envers le sionisme qu'avec
n'importe quel politicien ou un parti, ce qui aide à fleurir le racisme dans un
cadre nationaliste.
[Tiens, tiens, on se croirait en
France avec le double avantage que dénigrer les musulmans est tout bénéfice
pour le sionisme et ses souteneurs, de gauche comme de droite.] Mais
rappelez-vous: "derrière cela il y a votre soumission à des gens qui ne
nous veulent pas du bien".
Par exemple, le journal Los
Angeles Times a rapporté en Août que Shimon Gapso, le maire de Nazareth,
une ville juive qui a été planifiée pour dominer depuis les hauteurs la plus
grande ville arabe en territoire israélien, il a même organisé une campagne
d'affichage contre de sa propre réélection dans lequel on pouvait voir des
"photos d'éminents membres arabes de la Knesset et des politiques de
gauche israéliens avec des slogans comment expulser le maire» et «Nous devons
nous libérer de Shimon Gapso» pour justifier sa participation a une
contre-campagne raciste avec un pancarte qui disait: «Nazareth Haute sera toujours
juive. Fini de fermer les yeux, fini de profiter de la loi qui permet à chaque
citoyen de vivre où il veut. Il est temps de défendre notre maison ".
Un autre exemple: le Likoud a tenu une plate-forme qui promettait
d'interdire l'appel à la prière musulmane de Jaffa. Les affiches électorales du
Likoud ont également promis " le retour de Jaffa à Israël," une menace
pas si subtile de nettoyage ethnique. Le jeune Ahmed Abu Ajwa, un imam de
Jaffa, a répondu à la menace en disant: «Nous tout comme nos mosquées étaient
ici bien avant la création d'Israël. Si vous n'aimez pas être ici, vous êtes
invités à partir ".
Mais si les Palestiniens accepteraient de vivre avec des
voisins juifs plus respectueux, Cook affirme que l'Indice de Démocratique
d'Israël, publié ce mois-ci, a révélé que 48% des Juifs israéliens ne veulent
pas du tout un voisin arabe et "44 % sont en faveur de politiques qui
encouragent les citoyens palestiniens à émigrer en dehors d'Israël".
Cependant, le problème du racisme en Israël ne se limite
pas uniquement à la haine des Palestiniens. La semaine dernière The Nation a publié un
documentaire explosif produit par David Sheen et Max Blumenthal intitulée "
nouveau racisme d'Israël : La persécution des migrants africains en Terre
Sainte " *** qui décrit comment les gens en provenance d'Afrique demandant
l'asile sont confrontés à la discrimination et la haine d'Israël. Beaucoup de
ces réfugiés sont soit déportés ou emprisonnés dans une prison secrète que l'on
croit être le plus grand centre de détention d'immigrants du monde
industrialisé. Dans le documentaire un israélien se dirige aux personnes
assistant à une manifestation contre les immigrés et dit: "Commencez à
faire des raids contre les infiltrés", tandis qu'un autre crie: "Nous
avons le droit d'être raciste". Le documentaire comporte également ce qui arrive
aux israéliens qui font face à ce préjudice. Dans un autre exemple, un homme israélien
dit une femme israélienne : " Vous pourriez être violées". Crie un
autre israélien : « Vous êtes marié à un noir, sortez ! ". Un ancien
membre de la Knesset du parti "centriste" Kadima est venu à dire que
ces Israéliens qui défendent les Africains en quête d'asile doivent également
être enfermés dans des centres de détention.
Bien sûr, le racisme en Israël n'a rien de nouveau. Alors
que le sionisme politique est une réponse à l'antisémitisme (1) qui a dominé le
paysage européen au cours du XIXe et XXe siècles, la haine qui malheureusement
entraîné la mort de millions de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, le
projet sioniste était finalement installés dans un pays qui était déjà peuplé
par des êtres humains, ce qui était nécessaire logique raciste pour justifier
le meurtre de Palestiniens, le les déposséder de leurs terres et le nettoyage
ethnique de sa présence.
(1) ça c'est un mensonge, le sionisme a été crée lors du premier Congrès sioniste mondial a Bâle (en Suisse) en 1897, après le
pamphlet de Theodore Hertz: "l’État des Juifs" où il demandait un
"foyer pour les juifs en Palestine" un euphémisme pour un Etat
militairement puissant. Théodore Hertz, haut fonctionnaire de l'Empire
Austro-hongrois voulait se débarrasser des Juifs fuyant les persécutions en
Europe de l'Est et transitant par l'Empire et dont-il voulait se débarrasser,
il tenait à la différence des classes. Quand au génocide des Juifs par les
nazis, est-il la cause du sionisme ou le sionisme est la cause de la Shoah ?
Car déjà en ces temps on pouvait remarquer les prémices de ce qu'allait devenir
la Palestine...
Le sionisme a de tous temps
instrumentalisé le racisme anti Juif, de mon point de vue expliqué, par
l'arrogance et les pratiques d'une minorité d'entre eux, le drame, car c'est un
drame, c'est que c'est la communauté israélite toute entière qui paye le
comportement malsain de quelques-uns. C'est cela que les Juifs doivent
comprendre, admettre et agir en conséquence. On ne peut pas parce que l'on est
Juifs, minimiser, nier ou absoudre les crimes que d'autres Juifs commettent.
[Pas
plus tard que cet après-midi dans les médias. la chroniqueuse Elisabeth Levy -une dame qui pense que hausser le ton
équivaut à avoir raison- fustigeât un autre intervenant, au sujet du
racisme français, parce qu'il comparait Dieudonné à Finkielkraut. Pourtant le
racisme de cet homme est indéniable, son lyrisme fanatique et tremblotant
dénote que son aversion pour les musulmans incontestable. Et si Finkielkraut
défend le sionisme, Dieudonné défend les palestiniens et si l'un prend ses
références dans la Shoah, l'autre les prend dans la traite des Noirs et
l'esclavagisme subi.]
Il y a naturellement des Juifs pratiquant
la religion israélite tout à fait acceptables et assimilables, des gens
honnêtes comme vous et moi, mais je leur reproche, cependant, d'avoir les yeux
de Chimène pour les criminels sionistes, et parce qu'ils en ont les moyens,
acheter les consciences de nos dirigeants qui font la guerre, a tout concept
contraire à leurs intérêts.
Et cette peur et haine qui a exacerbé le projet
d'implantation coloniale sioniste n'est pas seulement dirigées contre les
chrétiens et les musulmans palestiniens, mais aussi contre les juifs arabes qui
avaient émigré en Israël, soit volontairement ou par nécessité politique après
l'achèvement du projet sioniste qui perturba leurs identités: dans les
communautés arabes qui ne leur ont plus faire confiance, et pourtant ils ne
sont pas désirés par l'Etat qui prétend être la patrie de tous les Juifs.
Autrement
dit: le projet sionisme à fait de ces Juifs des êtres indésirables dans leur
propre pays, pays dans lequel ils ont "toujours" vécu où leurs aïeuls
sont nés. Mais nous savons, que ce voulait Theodore Herzl s'était pas que les Juifs
de Tunisie, d'Irak, d'Iran, de Syrie [...] émigrent en "Terre promise"
et lorsqu'ils y ont émigré s'était pour justifier la politique de rapine et
criminelle des dirigeants sionistes du
moment.
Vous
savez ou vous ne savez pas: que de la Tunisie à l'Iran les sionistes locaux appuyés
par le Mossad ont commis des attentats
contre des synagogues, pour faire peur aux Juifs pour qu'ils viennent grossir
les rangs sionistes en Palestine. La suite vous à été expliquée par Ella
Shohat. Ils ont donnée un argument justifiant le vol des terres et la
construction des colonies, mais les Séfarades (désargentés) n'étaient pas les
bienvenus...
Pendant les années 1950, les juifs arabes qui ont immigré
en Israël ont été traités de façon inhumaine par rapport aux Juifs d'Europe
étaient même détenus dans des camps construits par les sionistes, ce qui est
assez surprenant étant donné l'expérience des Juifs d'Europe seulement en une décennie.
Dans son livre: Séfarades
en Israël, le sionisme du point de vue de ses victimes juives Ella Shohat,
une professeure d'université américaine d'origine irakienne juive, explique que
de nombreux enfants de Juifs arabes sont morts de leur migration difficile en
Israël, citant les paroles d'un médecin "Je n'arrive pas à comprendre pourquoi, dans tous les pays européens est
prévu des vêtements pour les migrants, tandis qu'aux migrants d'Afrique du Nord
rien ne leur a été donné." Le dur
voyage des Juifs arabes du Yémen et l'expérience dans les camps ont causé des morts
généralisés et des maladies chroniques, qui ont conduit à un sioniste de
conclure: "Ne craignez pas l'arrivée
d'un nombre énorme de personnes qui souffrent de maladies chroniques puisqu'ils
doivent marcher deux semaines en quête de nourriture. Ceux qui sont gravement
malades ne peuvent pas marcher ".
Une fois que les Juifs arabes arrivèrent enfin en Israël, la
discrimination ethnique se poursuivait. Selon Shohat, certains rapports
suggèrent que les médecins, les infirmières et les travailleurs sociaux se sont
dédié au trafic de milliers de bébés Juifs arabes destinés à l'adoption aux
Etats-Unis et en Israël », tandis qu'on disait aux parents que leur bébé était mort." Aujourd'hui, des militaires israéliens y compris des rabbins,
s'adonnent au trafic d'organes, dans les pays de l'actuel est européen..., Rappelant l'expérience de sa
propre famille dans Coming to America: Reflections on hair and memory loss, Shohat note que "en Israël on nous appelait sale Irakiens". Je peux
encore aujourd'hui entendre les mots en Hébreu de "Erakit Masrihi!" (Iraqi puant) que m'a jeté un jeune blond
dont ses parents en Europe ont été
changés en «sabonim» (savon) par les nazis".
Shohat décrit également comment "dans les années 1950
ont été reçu en Israël des réfugiés irakiens, yéménites et marocains, ils ont
été lavés avec de la poudre DDT, tel que le suggérait le discours officiel
euro-israélien, des« maladies tropicales ». Dans les camps de transit ont rasait
les cheveux pour les débarrasser des poux. Ils soupçonnaient que les enfants,
dont certains en bonne santé, avaient la teigne et ont été traités avec des
doses massives de radiation. Vous pourriez dire qui avait reçu ce traitement
par les foulards qui couvraient leur tête pour couvrir la honte d'avoir perdu
ses cheveux". Certains de ces enfants ont a nouveau perdu leurs cheveux
des décennies après avoir subi des traitements de radiothérapie en raison de
tumeurs cérébrales provoquées par le nettoyage chimique d'origine.
Finalement nous
sommes dans la réalité, lorsqu'on avance que l'idéologie sioniste est l'autre
face d'une même pièce.
Une fois «propre» des identités arabes et africaines, "les Juifs Arabes ont été installés dans des
villages reculés dans les colonies agricoles et les quartiers des villes",
souvent dans des logements surpeuplés parce que les autorités sionistes considéraient
qu'ils y étaient "habitués" à ces conditions de vie. Par la suite,
l'État a marginalisé ces nouveaux
migrants israéliens en termes de services sociaux. Aujourd'hui se poursuit
cette ségrégation ethnique puisque beaucoup de Juifs arabes se trouvent dans
les régions du sud tandis que les immigrants européens, qui sont plus riches,
vivant dans le nord.
Et on oublie de
dire: que beaucoup de logements dans les colonies sont des résidences secondaires
des riches Juifs européens.
Une série de documentaires diffusés à la télévision
israélienne cet été illustre comment prévaut, encore aujourd'hui, dans la
société israélienne le racisme contre les juifs arabes. La série, appelé True
face: The ethnic demon, met en lumière quelques statistiques surprenantes:
alors que les Juifs Arabes représentent plus de la moitié de la population
juive israélienne, seul un étudiant sur quatre et seulement 9% des effectifs
enseignant des Universités est d'origine Arabe. Et tandis qu'environ 90% des
juges sont des Juifs européens, la plupart des détenus juifs sont des juifs
arabes. Les médias sont également dominés par les Juifs d'Europe. Le
journaliste qui a fait le documentaire, Amnon Levy, lui-même d'origine
syrienne, suggère que la seule façon pour les Juifs arabes de
"réussir" en Israël aujourd'hui, c'est épouser un Juif européen et sacrifier
sa propre culture.
Par conséquent, étant donné que le racisme en Israël ne
s'adresse pas seulement aux juifs, chrétiens et musulmans arabes, mais aussi aux
juifs Africains, aux personnes Africaines demandeurs d'asile ainsi qu'aux Israéliens
qui les soutiennent, il est assez évident ce sont les Israéliens qui ont un
problème de haine qui empêche toute paix durable. Et les Israéliens savent,
c'est pourquoi nous allons continuer a faire des véhémentes déclarations
publiques sur son caractère pacifique, d'ouverture et de tolérance, tout en
restant derrière leurs tanks, les check-points et les murs de l'apartheid.
Notes de la traduction:
* Retrato del colonizado: precedido por Retrato del
colonizador, Madrid, Cuadernos para el Diálogo, 1974 [Traducción de Carlos
Rodríguez Sanz, título original en francés Portrait du colonisé, précédé du
portrait du colonisateur].
** Véase “Las elecciones en Israel sacan a relucir el
racismo”,
*** “El nuevo racismo de Israel: la persecución de los
emigrantes africanos a Tierra Santa”. Este documental se puede ver, en inglés,
en
Israël n'est pas seulement un État raciste, il est aussi un État
criminel.
Un ami m'informe:
Cher(e)s ami(e)s,
La population de Gaza, qui comprend 1,6 million de Palestiniens, est privée d’eau potable. La seule ressource d’eau à laquelle elle ait accès - l’aquifère souterrain - est sur-utilisée et est maintenant très polluée par l’intrusion de l’eau de mer et des eaux usées. L’ONU avertit qu’à moins qu’une solution ne soit trouvée pour fournir la bande de Gaza en eau salubre et abordable, l’aquifère de Gaza deviendra inutilisable d’ici 2016, et sera endommagé de manière irréversible avant 2020. [1]
Aujourd’hui, seulement 5% de l’eau extraite de l’aquifère côtier est potable. La plupart des familles de Gaza sont obligées d’acheter de l’eau potable à des entreprises privées à un coût élevé, certaines payant jusqu’à un tiers de leurs revenus pour l’acheter.
La portion de l’aquifère côtier qui court sous la bande de Gaza ne représente qu’un faible pourcentage du total des ressources en eau douce disponibles aux Israéliens et aux Palestiniens. Israël continue d’exploiter 90% de l’eau douce disponible pour l’usage exclusif d’Israël - en particulier l’aquifère souterrain de la montagne de Cisjordanie occupée - alors que les Palestiniens ont accès à moins de 10% de cette ressource. Israël le fait en violation du droit international de l’eau, qui prévoit que ces ressources soient partagées « équitablement et raisonnablement » entre Palestiniens et Israéliens. Il y a une solution, et elle commence par la mise en œuvre des droits des Palestiniens à l’eau. Si les Palestiniens avaient accès à leur part légitime des ressources en eau disponibles, et si Israël levait son blocus sur la bande de Gaza, qui restreint les importations d’eau ainsi que l’entrée des matériaux et produits nécessaires pour rénover et réparer ses infrastructures qui se détériorent, une grande part des problèmes de l’eau à Gaza seraient résolus.
La campagne "Soif de Justice", qui agit pour les droits des Palestiniens à l’eau, a besoin de votre aide ! Si cette pétition atteint les 100.000 signatures, les ambassadeurs de la campagne interviendront auprès des gouvernements européens pour leur présenter vos signatures, et leur demander qu’ils prennent des mesures concrètes. N’attendez pas que l’aquifère de Gaza soit irrémédiablement inutilisable, signez cette pétition maintenant
http://www.france-palestine.org/Petition-Gaza-a-court-d-eau, et aidez-nous à garantir les droits de Gaza à l’eau !