Jérusalem,
ville sainte de l'islam et le christianisme.
Le flagrant mensonge de l'histoire juive de la ville
Ne
croyons pas, que la planification des informations, de la pensée unique si
largement rependue dans les médias par
les élites principalement politiques, mais aussi intellectuelles favorables au
sionisme, sur l'enracinement des Juifs en Palestine, soit un simple enfumage. Ni que cet enfumage soit fortuit et localisé exclusivement au Proche-Orient.
Cette planification concerne aussi les populations, aux USA, en Europe, en
France, où la quasi totalité des informations qui nous parvient sont
mensongères ou inexistantes, concernant le conflit israélo/palestinien, mais
aussi toutes les informations concernant ses acteurs sur place et à travers
tout l'occident, information politiques, bien sur, mais aussi économiques ou
sociétales. Dans les faits les populations occidentales subissent les
conséquences de l'allégeance de nos élites à Israël. Le sionisme est une idéologie qui a l'intrigue comme fondement et l'a érigé en dogme. Il n'y a pas un seul "arrangement" où ce constat puisse être réfuté.
22-03-2014
Les mosquées d'Al Aqsa et du Rocher dans la citée de Jérusalem-Est occupée
par l'armée israélienne depuis 1967, a une suite, l'escalade systématique d'une opération à double
objectif: la démolition de deux mosquées et la construction à la place de l'amplement
claironné "Troisième Temple" du judaïsme.
Cette opération soigneusement
planifiée par Israël et le sionisme international, a toujours été
à l'unisson avec la judaïsation urbaine et démographique
de partie arabe de Jérusalem, la destruction de quartiers anciens et
historiques de la ville, la construction
d'énormes masses de colonies juives dans son environnement immédiat asphyxie la population arabe indigène en violation constante du
droit international et devant un silence
sépulcral de la communauté internationale.
Ces derniers jours. Permettre à des
extrémistes juifs de réciter leurs
oraisons talmudiques, sur l'esplanade des mosquées, protégés par les
forces de sécurité israéliennes, n'a pas été le seul objectif, puisque ces
dernières interdisaient aux fidèles musulmans, à la fois, l'accès aux moquées
et la sortie de ceux qui se trouvaient à l'intérieur de la mosquée.
Nous ne prétendons pas entrer dans le détail multiples facettes du plan criminel israélien, mais exposer le flagrant mensonge
que représentent les allégations historiques israéliens sur l'Esplanade
des Mosquées, appelée -Mont du Temple- par les israélien
dans une ville, Jérusalem, où jusqu'à présent n'a pu être démontré qu'il existait, ici, un seul vestige remontant à la période de domination juive, d'autre
part, en admettant que se fut vrai, se fut fortuit et
passager sur l'ensemble
des 10.000 dernières années d'histoire
ininterrompue des peuples desquels
descend le peuple palestinien actuel.
Ce
point est d'importance capitale et permet de comprendre le titre donné à ce
"post". En effet, la civilisation palestinienne a 10.000 ans y
compris du temps où ses citoyens n'étaient pas, ni musulmans, ni chrétiens et
que cette terre ne s'appelait pas encore Palestine, ils n'étaient pas là, de
passage ni en vacances, s'était leur terre celle de leurs pères, de leurs
aïeuls, ils ont toujours vécu là.
Personne
ne dément le fait que la religion Musulmane ou Chrétienne prennent leur origine
dans la religion Israélite. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit, même si
le sionisme se sert de la religion et de ses Mythes pour laisser sous-entendre
un droit originel qui lui permettrait de prendre l'ascendant sur cette terre (la terre promise), sur les hommes (le peuple élu).
Mais
quelle est la réalité ?
La
réalité est que le sionisme (ces juifs qui veulent prendre possession de cette
terre en éradiquant son peuple originel) et si Moïse guida "le peuple
élu" jusque la "Terre promise", ils venaient d'Egypte et plus
récemment d'Europe. C'est-a-dire que les origines de ceux qui se prétendent les
propriétaires de cette terre, donné par Dieu, je le rappelle, se trouve quelque
part dans ce qui était la Mésopotamie et ils ne sont mêmes pas sur que le
Temple de Salomon (Premier Temple) fut érigé dans ce qui est aujourd'hui le
Proche-Orient, et aucun historient n'apporte la preuve que le second temple ait
existé, en Palestine ou ailleurs.
En
résumé : si la
religion musulmane ou la religion chrétienne ont fait scission avec la religion
israélite, rien ne permet d'affirmer que les juifs sont le peuple originel,
puisque à leur arrivé sur cette terre des hommes qui n'étaient pas de passage,
ni en vacances l'habitaient, qu'il n'est pas sur que les recherches
archéologiques puissent apporter la preuve d'un passage, comme le déclare
l'auteur de ce "post", fortuit et éphémère, par rapport aux 10.000
ans de la civilisation palestinienne.
Civilisation palestinienne qui elle n'a jamais quitté sa terre. Qu'ils soient,
aujourd'hui, musulmans ou chrétiens. Que les juifs veuillent, au regard des
persécutions et crimes commis à leur encontre, retourner sur la terre où leur
ancêtres y vécurent, pourquoi pas, mais assurément pas de la manière dont ils
l'ont fait. En tout état de cause, c'est aux palestiniens (au regard du mal que
les juifs sionistes venus d'Europe ont fait) de dire qui est digne d'y rester.
Le sionisme
falsificateur
Les propagandistes
d'Israël et le sionisme international
s'efforcent de propager en
Occident que Jérusalem n'est pas la ville sainte de l'islam, comme c'est le cas de l'article intitulé «Jerusalem Means More to Jews than to Muslims», (Jérusalem signifie plus pour les Juifs que pour les musulmans), que le tristement connu islamophobe américain Daniel
Pipes, a publié dans le Los
Angeles Times, le 21 Juillet 2000.
Dans ce contexte, l'un des faux
arguments utilisés sans vergogne
par le sionisme est que, contrairement aux Écritures juives,
le Coran ne mentionne pas une seule fois
Jérusalem. La vérité est l'exact
opposé: Jérusalem et la Palestine
en général est le seul endroit qui a été béni à plusieurs reprises dans
le Coran qui est pour tout croyant musulman
la parole de Dieu.
A titre d'exemple, la sourate du Voyage nocturne (sourate 17) commence
ainsi: "Gloire à Celui qui a déplacé son serviteur la nuit de
mosquée Masjid Al Haram (à la Mecque) à
la Mosquée Al Aqsa, où nous avons béni les alentours, pour lui montrer certains de nos signes". Ce
verset fait référence au voyage nocturne du Prophète Mohammad,
de la Mecque à Jérusalem, d'où il a fait, selon
la tradition islamique, son
ascension vers le ciel. En outre, tant le voyage nocturne (Al
Isra) et l'Ascension (Al Mi'raj) sont
deux faits absolument
fondamentaux dans l'élaboration de
la religion de l'Islam. Simplement,
l'islam est inconcevable sans Al Israa et Al Mi'raj, c'est à dire: sans Jérusalem.
Beaucoup se demanderont comment se fait le Coran fait
référence à la mosquée Al-Aqsa quand l'actuelle mosquée que nous connaissons aujourd'hui
avec ce nom a été construite près d'un demi -siècle après la mort du prophète
Mahomet ? La réponse est que, selon la tradition islamique, la mosquée Al Aqsa
a été construite par Adam quarante ans après avoir construit aussi, en Arabie,
la Kaaba, c'est à dire la mosquée Al Haram. Cela signifie que le l'actuelle
esplanade de 144 900 mètres carrés, où se trouvent les mosquées d'Al Aqsa et du
Rocher, ont toujours été une mosquée. Comme preuve de cela, nous avons le
suiveur hadith (dit) du Prophète, narré par Abou Thar Al Ghafari, noble
compagnon du Prophète, qui a dit : « J'ai interrogé le Messager de Dieu, la
paix soit avec lui, sur la première mosquée érigée
sur cette terre, et me dit: la Mosquée
Al Haram, je lui dit: laquelle ? En quoi il m'a répondu : la Mosquée Al Aqsa,
et lui ait demandé : et combien d'années entre les deux et me dit: Quarante ans.
Selon la tradition islamique, les principaux prophètes avant Abraham ont renouvelé
et reconstruit les deux mosquées jusqu'à l'arrivée du Prophète Mohammad.
Mais encore, la foi musulmane
basée sur le Hadith du Prophète dans lesquels il raconte son voyage
nocturne à Jérusalem et son ascension (réalisée précisément depuis l'Esplanade des Mosquées)
établit qu'à cet endroit précis le prophète Mohammad a
présidé l'oraison dans laquelle ont participé tous les prophètes, juste avant son Ascension.
Qu'est le Dôme du Rocher?
Car c'est précisément la mosquée construite sur le rocher de 18 mètres de long et
14 mètres de large à partir de laquelle le Prophète Mohammad a commencé son
ascension. Il est un lieu de
grande sainteté et
de vénération pour l'Islam.
En outre, c'est
précisément pendant l'Ascension
depuis Jérusalem qu'ont été imposés
les cinq prières quotidiennes des musulmans comme un
pilier essentiel de l'Islam.
Pour le christianisme et selon la tradition, que serait l'essentiel de la Passion du Christ sans le parcours le long de la Via Dolorosa à Jérusalem, sans la crucifixion qui eut lieu à Jérusalem, sans la descente de la croix du Christ, sans son enterrement et sans son Ascension, toujours à Jérusalem? Et si l'on considère que la naissance de Jésus, toute sa vie, la prédication et la diffusion de son message, la dernière Cène, etc. nous constatons que tout cela eut Jérusalem, Bethléem, Nazareth et Palestine général pour scénario.
Pour le christianisme et selon la tradition, que serait l'essentiel de la Passion du Christ sans le parcours le long de la Via Dolorosa à Jérusalem, sans la crucifixion qui eut lieu à Jérusalem, sans la descente de la croix du Christ, sans son enterrement et sans son Ascension, toujours à Jérusalem? Et si l'on considère que la naissance de Jésus, toute sa vie, la prédication et la diffusion de son message, la dernière Cène, etc. nous constatons que tout cela eut Jérusalem, Bethléem, Nazareth et Palestine général pour scénario.
Au lieu de cela, qu'a le judaïsme à Jérusalem et en
Palestine en général? Rien du tout. Les Israéliens n'ont pas trouvé à ce jour,
malgré des décennies de recherche archéologiques et explorations, un seul vestige
fiable et documenté de la présence du judaïsme en Palestine... d'une présence
toujours éphémère et fugace, et toujours en tant que groupe d'invasion, agresseur,
violent et étranger à la terre où ils arrivaient (Canaan ) en provenance d'Egypte
(avec Moïse et Josué) puis transporté à Babylone (Irak) par Nobocodnosor II puis
70 ans plus tard de retourné à Canaan par Cyrus II, en 537 a.c. Tout cela selon
la tradition juive qui n'a jamais été confirmée par une autorité académique ni
source historique fiable. Alors, la séjour des Juifs en Palestine, d'avoir eu
lieu tel que narre la Torah, ce séjour fut toujours sous la forme d'épisodes
sporadiques et ensanglantes (en guerre constante avec la population indigènes)
qui avaient lieu dans l"'océan" de 10.000 années histoire de la
Palestine, documenté par l'Histoire et l'Archéologie, que les Cananéens ont
toujours résidés là (inclus les Jébuséens), les Phéniciens, les Philistins et
autres peuples qui sont les ancêtres du peuple palestinien actuel.
Il
me semble utile de préciser que les recherches archéologiques, [financés
par la famille Rothschild, ceux-là même qui sont à l'origine de la
déclaration Balfour et de la colonisation de la Palestine] ont deux objectifs:
- Prouver la présence juive au Proche-Orient, ce que personne ne conteste.
- "Rogner" sous cet argument le maximum de l'espace palestinien, tout en leur créant des conditions de vie pénibles. Dans l'espoir de les décourager et qu'ils émigrent vers d'autres cieux.
Alquds... la Sainte
Un autre argument du sionisme
un peu désespérée, dans leur désir
de séparer Jérusalem et le peuple
autochtone arabo-palestinien, est quelque chose que la Torah (et donc, l'Ancien Testament) mentionne à plusieurs reprises le nom de
Jérusalem et aucune le Coran, argument
déjà vu et qui c'est faux. En réalité, le Coran fait référence à Jérusalem et au reste de la Palestine dans plusieurs sourates avec des expressions: Al Aqsa, Al Qarya (La Villa) et
Al Ard (l'endroit),
comme l'expliquent de nombreux érudits musulmans de la question, Imran Husein dans son
travail (Jérusalem dans le
Coran), publié en anglais par
Dar Al Quran, à
New York, en 2002 et traduit en arabe par Mahmoud
Assuqi.
Mais si nous voulons recourir à cette dialectique
utilisée par les propagandistes d'Israël, nous pouvons constater que seulement en langue arabe Jérusalem est appelé
La Sainte (Al Qods)
et (la Ville Sainte: Bait Al Maqdes), cependant,
et suivant la logique des propagandistes
d'Israël, la ville ne serait sainte que
pour les Arabes, musulmans et chrétiens,
et non pour les juifs étant donné que ces derniers ne la nomment Sainte.
Cette
dialectique manipulatrice nous en sommes victimes et est utilisée encore de nos
jours. A
Barcelone par exemple... Pourquoi cette fascination à s'approprier ou à
laisser une trace, dans des lieux et des monuments qui n'ont été ni découverts,
ni construits par les Juifs ?
Quel
que soit le pays d'ailleurs. Si nous prenons l'exemple de New-York ou en France
où les communautés juives y sont très importantes, quels monuments les juifs
laissent pour, la postérité ? Excepté le génotype: de faire de l'argent avec
l'argent ? A l'origine des crises économiques...
Le Prophète Mohammad fait référence à Jérusalem comme "Bait Al Maqdes" dans nombreux de ses hadiths, qui en plus de
faire référence
à la ville a toujours rappelé, dans de d'autres
hadiths, "la Mosquée Al Aqsa." Dans un
de ces hadiths du Prophète
Mohammad a déclaré que "une
prière à Jérusalem vaut mille prières ailleurs". Dans un autre célèbre Hadith dit: "il n'y a pas de pérégrination à l'exception de trois mosquées:
Masjid Al Haram,
la mosquée de la mine (à Médine) et la
mosquée Al Aqsa".
Plus encore, le nom hébreu de Jérusalem, Yerushalaim,
n'est pas de l'hébreu, mais Cananéen, comme
c'est le cas pour la grande majorité des noms des villes de
Palestine évoqué dans les textes religieux juifs, puisque la Ville Sainte existait depuis plus de 18 siècles avant le début de l'invasion hébreu de la Palestine en
1240 a.c. et plus de 20 siècles avant sa conquête par David, toujours selon les textes religieux juifs.
Jérusalem a été fondée par
la tribu cananéenne des Jébuséens et
son nom en l'année 3000 a.c. était Jebus
(Yabus en cananéen)
et 500 ans plus tard, en 2500 avant a.c. arquerait
le nom de Salem
(Genèse 14:18). Il
n'y a aucun doute, dans le monde académique
spécialiste de la question, que Salem était la Jérusalem
d'aujourd'hui. Cette certitude remonte au siècle IV (La Vulgate, traduction de la Bible hébreu
et grecque au latin réalisée en 382
sur les ordres du pape Damase I).
Deux siècles après que Jérusalem fut conquise (toujours
selon la Torah) par David, aidé par les Philistins. Rappelons ici que David
était un allié des Philistins et fut au service du roi Aquis (Akish) de la
ville philistine de Gath (dans la bande de Gaza actuelle) et a contribué à
vaincre le premier roi d'Israël, Saül, dans la bataille de Gilboa qui eut lieu
autour de l'an 1010 avant a.c. Saül et ses trois fils ont été tués dans ladite
bataille, et dont a la suite de laquelle David fut élu par la tribu de Benjamin
en tant que roi de Juda, mais les 11 autres tribus juives ne l'a pas accepté et
ont élu Isboseth , un parent éloigné de Saül, comme son successeur en tant que
roi d'Israël jusqu'à ce que le nouveau roi fut assassiné [un atavisme,
décidemment celui qui contrevient aux intérêts sionistes doit être éliminé] et les 11 tribus du Nord ont
accepté David comme roi. C'est alors que David unifia Israël et Juda et décidé
de conquérir la ville neutre de Salem, (Jérusalem) qui jusque-là n'avait jamais
eu de présence juive (2° Samuel 5:1-10). Ainsi, David dut faire face à ses
anciens protecteurs, les Jébuséens et prit possession de la citée, Salem, qui
jusque-là avait toujours été administrée par ses fondateurs cananéens.
Jérusalem s'appelait alors
Salem et les
Hébreux ont maintenu ce nom cananéen, dans un premier temps, avants
de devenir Yerushalayim, c'est à
dire, la ville de Salem, purement et simplement. (Source: Terre de Canaan, Isaac Asimov, 1971).
Suivant cette ligne, les auteurs et les propagandistes
sionistes précités parlent des vestiges du
Temple de Salomon sous la mosquée du Rocher et Al-Aqsa, ce qui est
absolument faux, puisque après 46 ans depuis qu'Israël occupé
militairement Jérusalem-Est, où que
les équipes archéologiques israéliennes recherchent,
sans relâche, les «traces» du Temple,
n'ont trouvé rien du tout de ce qu'ils cherchaient.
Je le répète: Israël n'a rien trouvé des restes archéologiques
en relation au tant vantée Temple et son
affirmation selon laquelle le soi-disant Mur des Lamentations est une partie du Temple, n'a jamais été appuyé
par aucune autorité académique ou par tout archéologue indépendant.
Le propre professeur d'Archéologie
de l'Université israélienne de Tel Aviv, Israël Finkelstein,
a souligné encore et encore cette interprétation, en plus de rejeter
catégoriquement que la Torah ou l'Ancien Testament soient
des sources fiables de l'histoire
réelle.
Ce temple, que l'on croit que Salomon a achevée en 957 a.c.
(Finkelstein et d'autres archéologues israéliens et occidentaux ont exprimé de
sérieux doutes quant à la véracité de l'existence d'un tel temple) et détruit
par Nabuchodonosor II de Babylone en 586 avant a.c. De ce temple, qui est celui
que vénèrent les juifs, il n'y avait aucun signe. Le second Temple de Jérusalem
construit en 515 a.c. était beaucoup de moindre importance architecturale et a
été totalement détruit par l'armée romaine dirigée par Tito, 9 Octobre 70, après
avoir détruit Jérusalem.
Si l'on considère d'abord que le premier Temple "n'était
pas grand" (Encyclopédie Britannique, Volume 6, 1993) et si nous nous
rappelons que nous parlons d'une période historique et une zone où un seul
homme, Samson, pouvait démolir un temple tirant simplement deux colonnes (Ancien
Testament - Juges:16), nous pouvons facilement déduire quel genre de bâtiments
étaient ces deux temples.
Qui a construit le
Temple ?
A tout cela il faut ajouter que les Juifs ne trouvent
pas, dans toute leur intermittente et sporadique histoire en
Palestine, un motif de fierté a l'exception
d'inexistantes ruines d'un prétendu temple qui
selon tous les indices étaient d'avoir existé, de dimension réduites et qui a été détruit autour d'il y a 25 siècles.
Même le premier temple n'aurait pas pu être été construit, sans
l'aide essentielle fournie au roi Salomon par son voisin le roi phénicien
de Tyr Hiram, qui
a envoyé ses architectes (y compris l'architecte phénicien du même nom, Hiram),
les artisans et maçons, qui sont les véritables bâtisseurs de ce temple juif, ainsi que de l'envoi de bois de cèdre. (Ancien Testament.
Reyes I).
Tous les peuples contemporains et antérieurs à la période
que nous traitons ont laissé de multiples et grandioses édifications, même si beaucoup
d'autres ont disparu tout au long des siècles. Egyptiens, babyloniens,
assyriens, romains, grecs, arabes, ect., ont laissé à l'heure
actuelle un riche patrimoine
archéologique, artistique et architectural, dans de nombreuses régions du monde antique,
à l'exception des Juifs, qui à partir de l'état actuel et artificielle d'Israël
et son appareil de propagande installé
dans l'Ouest, assourdissant la
moitié de l'humanité avec son interminables histoires et hystérise sionistes en relation à un seul temple dans
toute son histoire qui fut apparemment
la seule chose utile qu'ils
ont été capables de construire, et
seulement grâce à la précieuse aide
des Phéniciens de Tyr.
Les propagandistes
israéliens étourdissent la moitié
du monde (e l'Ouest, bien sûr) parlant de ce temple
inexistant, dans le seul but d'aveugler l'opinion publique occidentale
hypnotisée avec une hallucination
sioniste qui convertit le mot Jérusalem en un synonyme du mot Juif, [comme
ils l'on fait avec Muntjuic à Barcelone] afin de justifier dans une certaine
mesure de leurs horribles crimes en Palestine et excuser
les incessantes opérations et les
travaux illégaux de judaïsation
de la ville qu'Israël occupe manu militari depuis 1967.
De cette façon, les sionistes ont la prétention de faire oublier à
l'Occident que Jérusalem est en fait la ville du
Saint-Sépulcre, de la Basilique de la
Résurrection et de nombreuses d'autres
églises et des monuments historiques chrétiens, et à la fois Jérusalem est
les mosquées d'Al-Aqsa et du Rocher, d'Omar, et
de nombreuses d'autres mosquées et monuments
islamiques construits au fil des siècles et qui sont, conjointement
avec les chrétiens, sont de véritables
joyaux du patrimoine de
l'humanité. En plus, la vieille
ville de Jérusalem elle-même est
de construction islamique avec quelques vestiges de l'époque romaine.
Il en résulte que de tant et
tant temples glorieux existants
de fait depuis
des siècles ne comptent absolument pas pour Israël, parce
qu'ils sont chrétiens et musulmans, et tout ce qui compte dans
la ville occupée de Jérusalem, selon
l'occupant sioniste, est un supposé temple disparu
il y a 25 siècles et dont il ne reste aucune trace
depuis des centaines d'années.
La même chose se
produit dans le reste de la
Palestine, où les Juifs ont
laissé peu de traces,
à l'exception de tombes imaginaires
et jamais, (en
aucun cas) documentées, tandis que les musulmans et les chrétiens ont leurs lieux saints, encore debout, pleins de vie,
depuis de nombreux siècles. Même les
Romains ont en Palestine et dans toute la région du Moyen-Orient de nombreux sites archéologiques
magnifiques. Les Hébreux, cependant, n'ont rien de rien. Ça oui, une propagande
formidable, beaucoup de mythologie et dans
un bruit assourdissant.
Et n'oublions jamais
que nous parlons d'une ville
occupée par Israël, sans aucun
droit d'y rester. Israël, puissance envahissante et occupante de l'ensemble du territoire
de la Palestine, et depuis des
décennies ignore et piétine le
droit international, en rejetant systématiquement
les exigences de la communauté internationale, telle qu'elle est exprimée
dans d'innombrables résolutions de l'ONU,
pour qu'il se retirer des territoires
occupés depuis 1967, y compris Jérusalem-Est
qui doivent être restitués à leurs
propriétaires légitimes, les Palestiniens: musulmans et chrétiens.
Au-delà
des textes religieux qui peuvent s'opposer, il y a une vérité inaliénable qui
est celle du peuple autochtone. Les invasions, les dominations, les
occupations, les incursions, les agressions [...] font partie de l'Histoire de
la Palestine des palestiniens et sont loin des vicissitudes exclusives d'une religion.
Mon avis personnel, auquel je n'y avais
pas réfléchi et que ce "post" fait jaillir dans la lumière, est que: les
monuments religieux ou historiques juifs, à part les synagogues ou les bains,
il n'y a pas dans les villes où ils résident, d'ouvrages à leur mémoire. La
religion et (je ne sais pas si l'on peut parler
d'ethnie, puis c'est maintenant reconnu que le prosélytisme -et les conversions-
juif fut tout aussi actif que le prosélytisme musulman ou chrétien.), les Juifs entant communauté, n'ont
pas marqué leur civilisation de leur empreinte. La seule empreinte laissé par
la communauté juive, même, si nous sommes d'accord pour affirmer que
tous les juifs ne sont pas concernées, la seule trace d'un savoir faire
est celui de faire de l'argent avec l'argent -fausse plus-value qui n'enrichit
que le spéculateur- et à l'origine des crises qui nous appauvrissent
et nous soumettent, par conséquent, à leur volonté.
Ce que je crois est qu'il y a dans la communauté juive -certainement plus que dans aucune autre- des personnages que l'on pourrait classer dans le qualificatif INTRIGANTS, et toutes les négociation menées en secret depuis 1897 par le sionisme étayent ma réflexion. Et c'est peut-être de là que vient la mauvaise réputation dont ils se dédouanent en qualifiant d'antisémite ceux qui, ne sont pas d'accord avec les intrigants, qu'abrite la communauté.
Ce que je crois aussi, c'est que nous confondons INSTRUCTION et INTELLIGENCE, et si l’instruction des juifs ASHKENAZE est, en moyenne, supérieure a celle des autres communautés, je ne crois pas qu'il soient plus intelligents, peut-être plus rusés. Mais, si l'intelligence permet de faire accepter un concept, la ruse berne celui qui accepte.
En résumé: intriguer, n'est pas un signe d’intelligence, c'est un moyen -lorsqu'on les a- de mener à bien un complot. Et personne d’intelligent ne pourra nier qu'il y a eu un complot contre la Palestine.
Mes craintes : c'est que cet atavisme s'applique à plus ou moins long terme à l'humanité. Ne se veulent-ils pas: "le Peuple Élu" ?
Je me souviens de la domination des
Almoravides (Moines guerriers berbères) de l'Espagne où ils sont restés 8
siècles en Andalousie, il y avait à Cordoue un grand centre universitaire, où
des intellectuels du monde venaient y étudier. Sans compter : La Mezquita de
Cordoue, la Giralda de Séville, l'Alhambra de Grenade [...] marquant le passage de
leur civilisation.
Ce que je crois, c'est que vivre
pour amasser ne permet pas de vivre, tout comme vivre pour dominer...Ce que je crois est qu'il y a dans la communauté juive -certainement plus que dans aucune autre- des personnages que l'on pourrait classer dans le qualificatif INTRIGANTS, et toutes les négociation menées en secret depuis 1897 par le sionisme étayent ma réflexion. Et c'est peut-être de là que vient la mauvaise réputation dont ils se dédouanent en qualifiant d'antisémite ceux qui, ne sont pas d'accord avec les intrigants, qu'abrite la communauté.
Ce que je crois aussi, c'est que nous confondons INSTRUCTION et INTELLIGENCE, et si l’instruction des juifs ASHKENAZE est, en moyenne, supérieure a celle des autres communautés, je ne crois pas qu'il soient plus intelligents, peut-être plus rusés. Mais, si l'intelligence permet de faire accepter un concept, la ruse berne celui qui accepte.
En résumé: intriguer, n'est pas un signe d’intelligence, c'est un moyen -lorsqu'on les a- de mener à bien un complot. Et personne d’intelligent ne pourra nier qu'il y a eu un complot contre la Palestine.
Mes craintes : c'est que cet atavisme s'applique à plus ou moins long terme à l'humanité. Ne se veulent-ils pas: "le Peuple Élu" ?
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