Certains documents du T.E.I. révèlent qu'un groupe sioniste
a espionné une délégation d'étudiants Américains qui allaient visiter la Palestine
Ce
que veut démontrer ce "post", c'est que la communauté juive favorable
à Israël cherche à contrôler toute émergence d'un concept contraire à ses
intérêts. La défense d'Israël sous les auspices de l'antisémitisme dépasse les
contours de la Méditerranée. Il démontre aussi que les associations juives
pro-israéliennes répètent leur histoire et rééditent l'ignominie qu'a représenté
Le
plan d’expulsion « Daleth » du Yichouv en 1940, a la différence que ce ne sont plus les villages
palestiniens qui son visés, mais l'ensemble des personnes qui n'agréent pas la
politique israélienne. Aux USA mais aussi en Europe et particulièrement en
France où la sémantique employée condense une vérité apocryphe contraire à la
réalité. L'important n'est pas de savoir si la résistance que rencontre le
sionisme est légitime, mais de la dénigrer pour quelle perde sa substance
en la qualifiant d'antisémite. Pourtant le sémitisme et le sionisme sont
antonymes l'une décrit des personnes, l'autre une idéologie. Comment se
prévaloir d'une idéologie raciste ou/et agir pour la pérenniser et qualifier de
raciste ceux qui la combattent ?
Ce
"post" se perd un peu dans les détails, s'est vrai, mais ce qu'il
faut retenir c'est qu'aux USA les groupes de juifs pro israéliens établissent
des listes de citoyens Américains, (étudiants mais pas seulement) considères
comme favorables à la Palestine.
Mes
craintes: est que si nous leur permettons d'atteindre leur but, nos descendants
deviendront des populations laissées pour compte. Car il s'agit moins de
Palestine, que de suprématie au plan mondial.
The Electronic Intifada
07-02-2014
Résumé du rapport:
Un groupe de la droite sioniste de Californie s'est infiltre
en 2012 lors d'un voyage d'étudiants américains en Palestine, comme le montre
une série de documents secrets obtenus par The Electronic Intifada.
Les fichiers donnent un aperçu inhabituel du monde
ténébreux de la surveillance des étudiants et d'autres militants sur les campus
aux États-Unis de la part des groupes pro-israéliens.
Prescott Watson, un étudiant pro-Israël espionnait les
membres de la délégation et les organisateurs de l'Initiative Olive Tree (OTI),
un projet d'"analyse des conflits" de l'Université de Californie, qui
répond au siège de Santa Cruz d' AMCHA Initiative.
AMCHA est un groupe anti-palestinien responsable d'une
série d'initiatives visant à réduire au silence et intimider les étudiants et
les enseignants qu'ils jugent critiques à Israël.
Dans un premier temps, Watson a refusé de l'écrire,
affirmant qu'il était l'œuvre du leader d'AMCHA Tammi
Rossman-Benjamin (qui est un professeur,
pas un étudiant) - et a ajouté que c'était "quelque chose de plus que son"
travail. Dans une seconde entrevue plus tard dans la journée, après qu'il ait
dit qu'il avait été en contact avec Rossman-Benjamin, Watson déclara,
cependant, que "je ne veux pas faire
de commentaire sur si oui ou non j'ai écrit le rapport".
Professeur d'hébreu employé par l'Université de Californie
à Santa Cruz, Rossman-Benjamin est un militant connu anti-palestinien et
antimusulman accusé de harcèlement, d'intimidation et menaces de poursuites
contre les étudiants et l'Université.
Le rapport indique que Watson avait la tâche de construire
une affaire contre les étudiants de l'OTI et d'étudiants individuellement dans
le cadre de la lutte croissante des groupes sionistes contre le boycott, le
désinvestissement et les sanctions (BDS) et le militantisme solidaire avec la
Palestine du campus.
"Enorme abus de
confiance"
Ces étudiants ont dit à The Electronic Intifada que
l'infiltration constitue une "énorme
violation de confiance". Leurs noms ont été enregistrés et ainsi que
leurs conversations privées et catalogués par AMCHA, et peut-être partagés avec
d'autres groupes anti-palestiniens. Un avocat a dit à The Electronic Intifada
que cette surveillance pourrait être en violation de plusieurs lois.
Bien que Watson était connu sur le campus de Santa Cruz
comme pro-israélien, semble avoir mis de côté sa sympathie quand il a été appelé
pour le voyage d'Olive Tree. Cependant dans la biographie qu'il a présentée aux
organisateurs ne l'à pas mentionné, par contre s'il a fait référence à sa
motivation en tant que professionnel et universitaire, il a parlé: "J'ai
été attiré par le conflit israélo-arabe et israélo-palestinien en raison de sa
nature apparemment insoluble... le futur État de Palestine requiert, sans
doute, une croissance des institutions".
Fausses accusations
Le rapport est l'un des nombreux documents du Groupe de
travail Initiative AMCHA
Iniciative et le groupe de recherche dans le domaine de l'antisémitisme
(CTIA), obtenu par The Electronic Intifada. Aussi bien CTIA que AMCHA sont
administrés par Rossman-Benjamin.
Indépendamment, The Electronic Intifada a vérifié
l'authenticité des documents, et Watson lui-même a confirmé que le rapport
était un projet d'AMCHA Initiative. Les documents de CTIA se focalisent sur
la collecte des listes de noms de militants solidaires avec la Palestine,
généralement pris à partir de pétitions et des prospectus annonçant les
événements de solidarité avec Palestine y compris des photos de brochures
imprimées.
Les documents comprennent les rapports d'événements, considérés
antisémites. Certains des fichiers les plus récents d'AMCHA se réfèrent à l'Association
American Estudies qui a voté en Décembre une résolution en faveur d'un boycott
des institutions universitaires israéliennes.
La base de données du document indique que le fichier a
été créé en Janvier 2014, ce qui indique que les opérations de contrôle
Rossman-Benjamin sont actives en permanence.
De manière que, tout boycott d'Israël est -par définition-
considéré comme «antisémite» comme une sorte de "diabolisation" ou
"délégitimation" de la politique israélienne. Les rapports
d'événements catégorisent le type de l'antisémitisme. Une de ces catégories est
le "BDS". Rossman-Benjamin a par le passé tenté, sans succès,
condamner les étudiants, les professeurs et le système universitaire lui-même,
affirmant que le militantisme en solidarité avec la Palestine ou la critique d'Israël est
"antisémite".
Le rapport s'est concentre sur l'itinéraire
du Voyage et de quelle manière les étudiants participants ont réfléchi sur leur
expérience.
"Les
informations que les étudiants ont publiés après leur expérience de Voyage dans
les médias sociaux suggère que la plupart peuvent avoir une perspective
résolument pro-palestinienne qui s'est développe ou s'est renforcé au cours du
voyage," dit le rapport.
Base de données
privée
Ceci suggère que Watson - ou d'autres informateurs de l'AMCHA
- ont continué à surveiller les participants du voyage pendant un certain temps
après le retour de Palestine mais séparé du rapport, ce qui représente une
tentative de cacher des documents du Groupe de Travail d'Investigation sur
l'antisémitisme au sein du Campus.
La plupart sont des rapports d'enquête sur les événements en
solidarité avec la Palestine, afin de déterminer si l'affaire est ou n'est pas:
«antisémite» (généralement marqué «oui»). Il semble aussi être une tentative de
Rossman-Benjamin pour confectionner une base de données d'organisations
politiques individuelles dans les universités et les événements aux États-Unis.
Ces groupes sont classés selon les «types» suivants, «arabe», «chrétien»,
«musulman», «Juifs», «politiquement à gauche", "droite /
néo-nazi", "Autres" ou "Non sûr. "
La base de données de Rossman-Benjamin comprend également
des billets vendus aux particuliers. Une entrée assez longue détaille le
travail du poète palestinien-américain et activiste Remi Kanazi, le
désignant comme une personne impliquée dans des «activités antisémites» (classifiés:
«BDS», «dé-légitimation» et «diabolisation»). Et cite ensuite une longue liste
de vidéos sur YouTube de Kanazi et des messages publics sur Facebook et un
article publié
par The Electronic Intifada.
La stratégie de
l'infiltration
Cette stratégie d'infiltration et de surveillance
s'inscrit dans une tendance plus générale qui a émergé au cours des quatre
dernières années. En
2010, un influent penseur israélien de Reut Institut a fait valoir
qu'«Israël doit identifier et concentrer ses efforts sur les centres mondiaux de
délégitimation (y compris Londres, Toronto, Madrid, et la Baie de [San
Francisco]). Dans ce contexte, Israël devrait saboter les catalyseurs de réseau
et ouvrir une brèche entre ses «membres».
Les recommandations de Reut sur la lutte contre la "délégitimation"
ont été rapidement adoptées par le gouvernement et les groupes pro-israéliens leaders
dans la lutte contre les droits des Palestiniens aux États-Unis.
Pureté idéologique
En essayant de saper et surveiller les efforts d'un groupe
qui a été critiquée par des groupes d'étudiants en solidarité avec la
Palestine, AMCHA & ITCA trahiraient-ils leur obsession de la pureté idéologique
sioniste. L'à est l'hostilité extrême envers quelque chose d'aussi vague, que
peut l'être de militer en faveur des
droits des Palestiniens.
Le rapport sur le voyage d'OTI est daté, mais il n'est pas
fait mention dans le texte de l'opération "Pilier Défensif" agression mortelle à
partir d'Israël contre Gaza en Novembre 2012. Le fichier de base de données
indique qu'il a été écrit à ce moment là, entre alors et le 1er Avril 2013.
Délégitimer
Israël est un droit qui appartient à chaque être humain. En effet, Israël est
un Etat qui a obtenu sa légalité d'un chantage. Le chantage des USA sur les
pays du Tiers-Monde poussé au crime par le lobby juif américain, lors du vote
de la résolution 181 du 26 novembre 1947 à l'ONU. Que les Juifs veuillent
trouver paix et sérénité en Palestine -surtout après la Seconde guerre
mondiale- il n'y aurait rien à redire,
les palestiniens ne s'y opposaient d'ailleurs pas. Mais en aucun cas comme ils
l'on fait, pas comme le sionisme le voulait, les Juifs ont eu tord d'adopter
l'idéologie sioniste, surtout au vu des crimes commis. Le sionisme de voulait
pas "un foyer" en Palestine, il voulait un Etat belliqueux et
va-t-en-guerre à la place de la Palestine et des palestiniens. Cela est inacceptable. Et au vu du soutient qu'Israël obtient, son
impunité est devenue la huitième plaie, non d'Egypte, mais universelle. Le
sionisme le sait bien, se sera lui et ses souteneurs ou tous les hommes qui
défendent l'honnête, intellectuelle et morale.
"Sesgo
anti-Israel grave"
Le résumé affirme que le rapport "considère que l'expérience
d'infiltration à permis la connaissance d'un parti pris anti-Israël systémique
grave."
Il ressort clairement qu'à partir du matériel publicitaire
de l'OTI qui s'en enorgueillit de l'inclusion des étudiants "différentes
religions", les perspectives et horizons. Le rapport, a toutefois, fait
ressortir la tendance que les étudiants ayant participé au voyage "avaient
tendance à suivre la pensée de groupe contre Israël."
Une autre préoccupation pour l'auteur du rapport était que
le message global du voyage n'était pas suffisamment pro-israélien. Tout en admettant,
que les interventions du fondateur de l'OTI, Daniel Wehrenfennig, "étaient
souvent favorable à Israël," en général "l'itinéraire favorise un
message relativement unifiée et positif pour les Palestiniens." AMCHA
également critiqué ce que disent les qualifiés de "messages simplistes et
négatif sur Israël et les Israéliens." Malgré les interventions
Wehrenfennig soi-disant équilibrés, l'auteur se méfie de lui: «Les idées de
Daniel sur le sionisme ne sont pas claires», a déclaré le rapport. Le BDS reste
"Une préoccupation majeure"
De la même manière, le rapport ne fait pas confiance à Corey
Feinstein, un leader de l'OTI à l'Université de Californie, a Los Angeles:
"Comme étudiant, Corey a suggéré qu'il était du coté israélien", mais
que [depuis] s'est déplacé plus au centre de l'échiquier. "
Une autre préoccupation centrale dans le rapport est la
possibilité que les étudiants peuvent s'impliquer dans l'activisme solidaire au
retour de Palestine. "Le BDS est une préoccupation majeure, et le soutien
des membres de l'OTI est un sujet digne de l'enquête», dit le rapport.
"Parmi les orateurs palestiniens [sur le voyage ...] le soutien au BDS sous
différentes formes a été universel".
Le directeur de la collecte de fonds auprès des étudiants
de l'UCLA pour Olive Tree Initiative "a été crédité d'avoir recueilli plus
de 100.000 dollars par an" et est dit avoir "groupes connexions
BDS" et est "un Palestinien-Américain" selon l'auteur du
rapport.
Violation des lois
"Les militants soucieux de leur vie privée ne peuvent
être rassurés sachant que des citoyens privés violent les lois de l'État de
Californie en espionnant d'autres citoyens dans une expectative raisonnable de vie privée", a déclaré à
The Electronic Intifada.
"Préjudiciable"
Les étudiants ont ajouté collectivement que ce
comportement "sape complètement les efforts pour de réunification dans
cette question complexe, et est particulièrement préjudiciable pour les
étudiants palestiniens qui sont l'objectif de groupes comme AMCHA". Karmalawy
ajouta, "AMCHA essaye de trouver le sentiment anti-israélien dans les plus
petites choses. Essaye de convaincre les étudiants juifs de ne pas s'impliquer dans
l'OTI."
Histoire de
l'incitation
AMCHA et la co-fondatrice de l'ITCA, Tammi
Rossman-Benjamin, ont accusé précédemment, les étudiants participant à la
solidarité avec les organisations palestiniennes d'avoir des liens avec des
«organisations terroristes» et que «beaucoup d'entre eux sont des étudiants
étrangers en provenance de pays et les cultures où l'antisémitisme est la
manière de penser générale". Ses déclarations racistes ont été capturées
sur vidéo en 2012. Les étudiants de Santa Cruz, de l'Université de
Californie ont à l'époque demandé à l'université de condamner le discours de
haine de Tammi Rossman-Benjamin. L'administration a refusé de le commenter, et
des fonctionnaires n'ont réussi à écarter Rossman-Benjamin.
À une occasion, elle a demandé au procureur général de
Californie à poursuivre David Klein, professeur à l'Université d'État de
Californie à Northridge, pour avoir osé afficher son soutien au mouvement BDS sur sa page web de la
faculté.
Cependant, Rossman-Benjamin il réussit
encore à faire pression sur les universités et l'État, pour qu'ils
s'actionnent ce genre de professeurs.
AMCHA Initiative était également à l'origine des plaintes pour
discriminations d'étudiants juifs qui affirmaient avoir été victimes de
discrimination sur le campus de la part de militants de Solidarité Palestine. Les plaintes ont été rejetées
par le Département d'Education
en août.
Selon les informations du Service des Rentes Internes,
AMCHA est répertorié comme organisme de bienfaisance exonérée de l'impôt 501
(c) (3), et a reçu $ 199 155 en recettes en 2012. Il lui a été versé également
plus de $ 48 000 en «honoraires professionnels et autres paiements à des entrepreneurs
indépendants."
Bien que AMCHA et ITCA ne cotise pas en bourse, ses
concédants ont reçu un financement de la Fondation MZ, basée à Oakland, en
Californie. AMCHA
apparait sur leur site Web à titre de courtier.
La fondation a été financée par le magnat de l'immobilier
Myron Zimmerman pour un montant de 2
millions de dollars en 2012, comme l'indiquent les déclarations informatives.
Les formulaires montrent également que cette année, la Fondation a accordé une
subvention de 1000 $ à ITCA.
En plus de financer AMCHA et ITCA, la Fondation MZ a donné
des subventions à une surprenante variété de groupes anti-palestiniens, islamophobes
et de l'extrême droite sioniste.
En
France les groupes juifs islamophobes ne sont pas clairement identifiés, mais
des associations comme le CRIF et la LYCRA*, pour ne citer qu'elles se chargent
très bien du "travail" qui
conjointement avec l'intelligentsia pro-israélienne, quelle provienne du monde
universitaire ou politique (comme la
plupart des élites socialistes, mais aussi quelques-uns à droite) étouffent
(dénigrent) toute émergence de démarches ou réflexions qu'ils jugent contraires
à leurs intérêts.
La
LYCRA (association de lutte contre le racisme) ne lutte contre le racisme de
manière générale, mais se porte systématiquement partie civile dans toutes les
actions qui peuvent porter (à tord ou à raison) attente aux intérêts non de la
"race" juive, mais a Israël et au sionisme. C'est à dire que la LYCRA prend les législateurs
et tribunaux français pour des demeurés.
* On le remarque aisément, le sionisme -contrairement à
ses affirmations- se retourne aussi contre les Juifs dès que ces derniers
pourraient porter atteinte à ses intérêts. L'incompréhensible ne réside pas
dans ce fait, encore aujourd'hui principalement en France, dans le soutient que
les Juifs lui apportent. Ou subséquemment il faudrait admettre que ceux qui
soutiennent le sionisme, juifs ou non, le réalisent pour des raisons étrangères
à la communauté juive.