samedi 22 février 2014

L'aide militaire de Washington à Israël



Faux processus de paix, véritable processus de guerre.


Ce "post", un peu long, néanmoins considérablement important. Analyse, Chiffre, Décortique, Décompose, Épluche, Dissèque..., l'aide militaire que Washington apporte à Israël par l'influence des Lobbys pro-israéliens qui agissent pour le versement de cette aide. Aide qui corrompt toute véritable représentation d'une paix, juste et durable.


 

TomDispatch.com
17-02-2014

Nous, les Américains, avons des idées très curieuses sur l'aide étrangère. Des sondages récents montrent qu'en moyenne nous pensons que cette aide absorbe 28% du budget fédéral, et qu'en ces temps d'austérité, son budget devrait être réduit à 10%. En réalité, c'est seulement 1% du budget qui est destiné  à l'aide étrangère de toute sorte.

Toutefois, dans ce cas, la vérité est au moins aussi étrange que la fiction. Il faut noter que le principal bénéficiaire de l'aide étrangère des États-Unis au cours des trois dernières décades n'est pas une nation appauvrie, pleine d'enfants affamés, mais un pays riche avec un PIB par habitant similaire à la moyenne de l'Union Européenne et supérieur à celui de l'Italie, l'Espagne et la Corée du Sud.
Considérez aussi que le grand récepteur de cette aide -depuis 2008, la quasi totalité  militaire- est activement engagé dans un projet colonisation propre au XIXe siècle. Dans les dernières années des années 1940, notre bénéficiaire à expulsé environ 750.000 personnes indigènes de la terre réclamée. En 1967, notre client a pris possession d'une partie des territoires contigus et depuis continue de coloniser les territoires avec près de 650.000 individus issus de ses rangs. A divisé les terres annexées par d'innombrables check-points et des routes accessibles uniquement aux colons, et construit un mur d'environ 710 km entourant (et morcelant) le territoire annexé, créant une géographie de contrôle qui viole le droit international.
Le "nettoyage ethnique" est un terme dur, mais adéquat à la situation dans laquelle s'expulse un peuple de leurs maisons et leurs terres, parce qu'ils n'appartiennent pas à la tribu élu. Bien que beaucoup refusent de faire cette accusation contre Israël parce que ce pays est, bien sûr, le principal bénéficiaire de l'aide américaine et surtout de la splendeur militaire, qui douterait du pragmatisme de ce terme si, dans une image spéculative du monde, tout cela était infligé aux Juifs israéliens  ?

Aide militaire à Israël
À première vue, armant et finançant un pays riche qui agit de cette manière peut, à première vue, sembler une politique indigne. Toutefois, l'aide américaine vers Israël coule en quantités toujours plus grandes. En fait, Israël a absorbé au cours des soixante dernières années, près d'un quart de milliard de dollars de ce type d'aide. Rien que l'an dernier, Washington a envoyé environ 3.100 millions d'aide militaire, complété par des dotations en matière pour collaborer en recherches militaires et d'exercices d'entrainements conjoints.
Habituellement les USA couvrent près du quart du budget de la défense d'Israël, des bombes lacrymogènes pour les avions de combat F-16. Dans l'attaque d'Israël contre Gaza, l'hiver 2008-2009, l'armée israélienne a utilisé des "bombes -tradition-" M-92 et M-84, "bombes intelligentes" Paveway II et JDAM, hélicoptères d'attaque Apache AH-64 équipés de missiles guidés Hellfire AGM- 114, munitions "anti-bunker" M141 [pour la destruction des tunnels entre Gaza et l'Egypte] et armes spéciales,  comme les munitions au phosphore blanc M825A1 de 155 mm, tous cela fourni par le biais de l'aide étrangère des États-Unis. (Seuls Israël, parmi les bénéficiaires de l'aide de Washington, a également été autorisé à dépenser 25% du financement militaire de Washington en armes fabriqués par sa propre industrie de l'armement.)
Je crois que là, il faut s'arrêter un peu. Demander pardon au peuple américain et reconnaitre qu'ils élisent des criminels. Je n'en suis pas fier, nous en Europe faisons la même chose, en France nous faisons même mieux puisque nos dirigeants politiques, tous nos grands médias, protègent et absolvent ces criminels.
Pourquoi Washington fait cela ? La réponse la plus commune est la plus simple: Israël est un «allié» de Washington. Mais les États-Unis a des dizaines d'alliés dans le monde et aucun d'entre eux est ainsi subventionné par l'argent des contribuables américains. Comme il n'y a pas de traité-alliance entre les deux pays et, compte tenu de la nature asymétrique des coûts et des avantages de cette relation, un terme plus adéquat pour les liens d'Israël avec Washington pourrait être celui "d'état clientéliste".
Bien vu. Ce n'est pas un secret d'Etat que les lobbys, et parmi eux le lobby juif pro israélien, financent l'élection à la Présidence. Là, est le dilemme U.S., puisque ces lobbys demanderont un retour sur investissement. Les uns requérant des mesures profitables et le lobby juif n'est pas en reste, puisqu'il exige que la politique extérieure Américaine au Proche-Orient lui soit bénéfique.  
Mais il n'est pas non plus un client particulièrement fidèle. En supposant que cette aide militaire massive permet à Washington d'avoir la capacité de tirer parti et de l'influence sur Israël (comme cela arrive souvent dans les relations clientélistes avec les Etats), la vérité est que ce n'est pas facile à détecter. Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, rares sont les visites diplomatiques étatsunienne à Israël, où ce dernier n'annonce de la manière la plus effrontée : L'intensification de la colonisation en territoire palestinien, appelée par euphémisme " colonies de peuplement".

Washington fournit également un soutien à la Palestine totalisant, en moyenne, 875 millions de dollars par an dans le premier mandat d'Obama (plus de deux fois ce que George W. Bush a donné lors de son second mandat). Cela représente plus d'un quart de ce que reçoit Israël. Une grande partie de cette aide va à des projets de valeur nette douteux, comme le développement des réseaux d'irrigation à un moment où les Israéliens sont en train de détruire les puits palestiniens et des citernes dans de nombreuses parties de la Cisjordanie. Une autre part importante de ce financement est consacrée à la formation des forces de sécurité palestiniennes. Connu comme «forces de Dayton» (par le général américain Keith Dayton, qui a dirigé l'entrainement de 2005 à 2010), ces troupes ont un triste historial de violations des droits de l'homme, notamment la torture, contre leurs propres concitoyens, comme Dayton lui-même l'à admis. Un ancien adjoint de Dayton, un colonel américain, a décrit ces forces à al-Jazeera comme une sous-traitance "troisième bras de la sécurité d'Israël". Selon Josh Ruebner, -conseiller principal national U.S. Campaign to End the Occupation [Campagne américaine pour mettre fin à l'occupation] et auteur de “Shattered Hopes: Obama’s Failure to Broker Israeli-Palestinian Peace” ["espoirs déçus : l'échec d'Obama pour négocier la paix israélo- palestinienne"] l'aide américaine à la Palestine sert avant tout à renforcer l'occupation israélienne.

Un intermédiaire malhonnête
Rien n'est identique ou similaire en ce qui concerne les Israéliens et les Palestiniens en Cisjordanie, Jérusalem-Est ou la Bande de Gaza, et les chiffres disent tout. Pour donner un seul exemple: le nombre de victimes de l'opération Plomb durci, l'attaque d'Israël sur Gaza qui a eu lieu en Décembre 2008 à Janvier 2009 a été 1385 Palestiniens (la plupart des civils) et 13 Israéliens, dont trois civils.
Pourtant, l'opinion dominante aux États-Unis se détermine en considérant les deux parties sensiblement égales. Harold Koh, ancien Doyen de la de la Faculté de Droit de Yale "Yale Law School" et, jusqu'à récemment juriste principal du Département d'Etat, agissant en ce sens comparant le rôle de Washington dans une "supervision adulte» d'un «Terrain de jeu enfantin peuplée d'affrontements de gangs de "Navajeros" (manieurs de couteaux). Se fut un choix de métaphore étrange, puisque une partie est équipée d'armes légères et de roquettes plus ou moins complexes, et l'autre des armes nucléaires et une armée moderne dotée de la technologie de dernière génération subventionné par l'unique superpuissance du monde.
Dans le scénario global, tout le monde est conscient du rôle actif de Washington, à l'exception des Américains, qui se sont déclarés, eux mêmes, l'arbitre impartial d'un conflit qui suppose des efforts infructueux sans fin dans la négociation d'un «processus de paix». Au niveau mondial, chaque fois moins d'observateurs croient en la fiction de Washington comme spectateur bienveillant au lieu d'un participant profondément impliqué dans les crises humanitaires. En 2012, le très respecté International Crisis Group a décrit le «processus de paix» comme "une addiction collective qui sert d'avantage a toutes sortes de besoins, mais pas pour d'obtenir l'accord principal."
Il n'y a pas dans le monde un conflit où l'Occident y est mêlé, qu'il n'en soit pas à l'origine. Et la mansuétude démontrée par tous les autres Etats dits "démocratiques" dans ce conflit, s'approche d'avantage de la collaboration pendant la Seconde guerre mondiale avec le régime nazi, que d'une réelle volonté de justice.
La contradiction entre le soutien diplomatique et militaire de l'une des parties au conflit et la prétention de neutralité ne peut être justifiée. "En regardant objectivement, on pourrait dire, en tout cas, que les efforts diplomatiques américains au Moyen-Orient ont rendu encore plus difficile l'obtention de la paix entre Palestiniens et Israéliens", écrit Rashid Jalidi, historien de l'Université de Columbia et auteur de “Brokers of Deceit: How the U.S. Has Undermined Peace in the Middle East” ["Courtiers de mensonges: Comment les États-Unis été miné la paix au Moyen-Orient"].

Silence évasif
Les élites politiques américaines ne parviennent pas, ou ne le veulent pas, parler du rôle destructeur de Washington dans cette situation. Il y a une montagne de discussions au sujet de la solution à un Etat par rapport à celle de deux Etats, une désapprobation constante de la violence palestinienne, une vénielle critique occasionnelle («inutile») aux colonies israéliennes et, finalement, un débat animé sur le mouvement pour le Boycott, Désinvestissement Sanctions (BDS, pour son sigle en anglais) entrepris par la société civile palestinienne pour faire pression sur Israël pour une paix "juste et durable". Mais en ce qui concerne l'action des Américains, qui sont les grands responsables, -toute cette prodigalité dans l'aide militaire et la couverture diplomatique d'une seule des parties- ainsi que les déclarations qu'il faut espérer, sont un euphémisme ou un silence évasif.

Dans l'ensemble, les médias américains ont tendance à aborder la façon dont nous armons Israël dans le cadre de l'ordre naturel de l'univers, comme la force de gravité est incontestable. Inclus les médias "de qualité" évitent toute discussion sur le rôle réel de Washington attisant le conflit israélo-palestinien. Le mois dernier, par exemple, le New York Times a publié un article sur un futur Moyen-Orient "post USA" sans faire aucune référence à l'aide de Washington à Israël, l'Egypte ou à la question de la V flotte amarrée au Bahreïn.
Ils doivent penser que les troupes progressistes des programmes d'information MSNBC n'ont la moindre idée de ce que les contribuables américains subventionnent, parce que le sujet à peine entrevu dans les colloques de Rachel Maddow, Chris Hayes et autres. Tenant compte de la réticence sélectifs de toutes parts, la couverture Etatsunienne d'Israël et de la Palestine, et en particulier l'aide militaire à Israël ressemble à  un roman d'Agatha Christie où narrateur en première personne, qui observe et commente l'action avec un calme désinvolte, s'avère être le meurtrier.

Intérêts stratégiques propres et l'inconditionnelle aide militaire
Sur le front militant, ne se discute, non plus, le patronage militaire américaine, du en grande partie à l'ensemble de l'aide à Israël est profondément ancrée, que toute tentative d'y mettre fin ou de la diminuer pourrait être couronnée de succès dans un avenir proche. D'où la campagne pour le Boycott, Désinvestissement, Sanctions, BDS, a été centré en objectifs plus petits, plus abordables, même si, comme me l'à dit Yusef Munayer, directeur exécutif du: Jérusalem Funds, un groupe de soutien, le mouvement BDS prétend, à long terme, mettre fin aux transferts militaires de Washington. Cela a un sens tactique et, tant le Jérusalem Funds, que la Campagne pour mettre fin à l'occupation israélienne sont engagés dans de durables campagnes pour informer  le public de l'aide militaire américaine à Israël.


Moins compréhensible sont les groupes de pression qui s'annoncent comme étant " en faveur de la paix " champions du " dialogue " et des " conversassions ", mais qui partagent la même ligne de fond sur l'aide militaire à Israël que ses homologues ouvertement militaristes. Par exemple, J Street ("en faveur d'Israël et de la paix"), une organisation à but non lucratif basée à Washington qui se targue d'être une alternative modérée au tout puissant groupe de lobbying le Public Affairs Committee USA- Israël  (AIPAC), qui soutient tant la "robuste" aide militaire comme un quelconque moyen de payement supplémentaire  que Washington doit offrir l'armée israélienne. Americans for Peace Now adopte de la même façon la position que Washington doit fournir "un soutien fort" pour assurer "un avantage militaire qualitatif" à Israël. Au risque de paraitre peu imaginatif, il est clair que tout groupe en faveur de ces énormes "paquets" d'aide militaire pour un pays qui agit comme le fait Israël, ne peut évidemment pas être "pour la paix". C'est presque comme si les groupes de solidarité dans les années quatre-vingt en Amerique-Centrale avaient demandé la paix tout en soutenant que Washington continue de financer les Contras et l'armée salvadorienne.
En aparté des diverses factions du lobby israélien, l'image est tout aussi plate. Le Center for American Progress, un think tank de Washington proche du Parti démocratique,  publie régulièrement des pieux communiqués de presse sur un nouvel espoir pour le "processus de paix" sans jamais mentionner la façon dont notre flux inconditionnel d'armement de pointe pourrait décourager toute solution juste de la situation.

Par ailleurs, il ya une dynamique similaire en marche en ce qui concerne le deuxième plus important bénéficiaire de l'aide étrangère de Washington, l'Egypte. Le décaissement de plus de 60.000 milliards de dollars à l'Egypte au cours des trente dernières années, a assurée à la fois la paix avec Israël comme sa loyauté pendant la guerre froide, tout en soutenant un gouvernement autoritaire avec une terrible histoire de violations des droits de l'homme. Alors que l'armée post-Moubarak rétablissait son contrôle de l'Egypte, le Washington officiel s'employait à trouver des moyens qui permettraient de maintenir le flux de l'aide militaire, malgré l'interdiction du Congrès d'armer les régimes  qui ont renversé des gouvernements élus. Cependant, il y a un débat dans les médias dominants aux États-Unis sur le fait de mettre fin à l'aide des généraux égyptiens qui ont récupéré par la violence le pouvoir. Le journalisme d'investigation ProPublica, une organisation à but non lucratif, élaboré un "illustrateur" pratique sur l'aide militaire américaine à l'Egypte, mais ils n'ont pas tenté d'illustrer l'aide à Israël.

Le silence sur les relations américano-israéliennes est largement intégré dans la culture de Beltway. Comme George Perkovich, directeur du programme de la politique nucléaire de Carnegie Endowment for International Peace [Fondation Carnegie pour la paix internationale], a déclaré au Washington Post: "C'est comme toutes les choses en rapport avec Israël et les Etats-Unis. Si vous voulez prendre de l'avance, mieux vaut ne pas en parler, mais si vous ne critiquez pas Israël, tu protèges cette avance".


Ce paragraphe vaut aussi, pour l'Europe et particulièrement pour la France, où les dirigeants politiques, ne peuvent critiquer Israël au risque de mettre en danger leurs carrières, par ailleurs il n'y a pas d'homme politique français de haut rang, qui s'y risque. A contrario des dirigeants politiques médiocres voient leur carrière "flamber" du seul fait d'apporter un soutien -réel ou en paroles- à Israël. Pour soutenir Israël et le sionisme, aujourd'hui en France, la Shoah est érigée en religion d'état. Les journalistes de légende se brident ou en parlent en comité restreint pour ne pas compromettre leur carrière, journalistes de légende par opposition aux journalistes de brocante qui se livrent honteusement à la propagande pro israélienne quelque soit le crime commis et toujours présenté comme une riposte en référence au droit de se défendre d'Israël, [comme si le fait de l'avoir déclarée, faisait force de loi] alors que l'on sait qu'Israël harcelle les palestiniens jusqu'à un point insoupçonné, en attendant qu'ils manifestent leur désaccord et là prétextant la riposte frappent ces êtres sans la moindre compassion.  Mais je crois qu'en France nous allons bien plus loin puisque ces atavismes et se répercutent dans le septième art et le showbiz. En effet, tout artiste développant un concept contraire aux intérêts israéliens, risque de voir sa carrière ralentie, s'il est un artiste confirmé et  beaucoup de mal à percer, s'il y arrive,  au cas où il serait débutant. A contrario un artiste ouvertement favorable à Israël  verra sa carrière "exploser" y compris s'il est médiocre.
Aujourd'hui (février 2014) tous les médias de France et de Navarre fustigent le pouvoir Ukrainien, (sans doute avec raison)  pourtant ils ont "porte ouverte" dans le pays. Lorsque Israël a agressé la Bande de Gaza dans un combat que l'on appelle aujourd'hui "asymétrique" où les dernières "avancées" technologiques, en matière d'armement meurtrier, ont été utilisées par Israël, contre quelques fusils et quelques roquettes. Israël n'a laissé entrer aucun media dans la Bande de Gaza, le peu d'informations qui nous est parvenu étaient "suggérées" par l'armée israélienne.
Où étaient, les François Hollande, les Laurent Fabius si prompts à voler au secours du Peuple Ukrainien ? Et l'on voudrait nous faire croire qu'Israël est un Etat acceptable ? Ces médias là, ces dirigeants là, sont la lie, les excrétions d'une influence qu'il faudra un jour éliminer.  







Cela est lamentable, parce que l'aide militaire de Washington à Israël, invisible politiquement, n'est pas seulement un obstacle à une paix durable, mais aussi un obstacle stratégique et de sécurité. Comme le général David Petraeus, alors chef du Commandement Central US, attesta en 2010 devant le Comité des Services Armés du Sénat: "l'échec pour parvenir à un règlement durable du conflit entre Israéliens et Palestiniens fait qu'il est plus difficile d'atteindre tout autre objectif la politique étrangère de Washington". Il a aussi, déclaré, "que cela encourage la haine contre les USA dont se nourrit d'Al-Qaïda et d'autres groupes violents". Le successeur de Petraeus à CENTCOM, le général James Mattis, se fait l'écho de cette liste d'obstacles lors d'une déclaration publique avec Wolf Blitzer en juillet dernier :
"En tant que commandant de CENTCOM, je dois payer tous les jours le prix de sécurité militaire parce que les Américains sont vus favorisant Israël et cela nous éloigne, nous oppose aus Arabes modérés qui seraient de notre coté mais ne peuvent pas soutenir publiquement un peuple qui n'a aucun respect pour les Arabes palestiniens".

Vous ne devez pas croire les généraux ? Demandez à un terroriste. Khalid Sheikh Muhammad, le cerveau des attentats du 11 / S, maintenant emprisonné à Guantanamo, a déclaré à des interrogateurs que la motivation principale de l'attaque sur les Etats-Unis a été le rôle que Washington à joué dans l'aide apportée à d'Israël dans ses invasions répétées du Liban et la dépossession continue des Palestiniens.
Le lobby israélien apporte toujours toute une batterie d'arguments en faveur de l'armement et le financement Israël, y compris l'affirmation selon laquelle un pas en arrière de l'aide signifierait un «retrait» et a «l'isolationnisme». Mais comment les USA pourraient devenir isolés, une hégémonie mondiale intensément impliqué dans presque tous les aspects des affaires du monde, si elle n'a pas réussi à donner sa somptueuse aide à Israël ? Les Etats-Unis ont été «isolés» avant 1967, lorsqu'e, cette aide, a commencé à augmenter de manière significative ? Ces questions répondent d'elles mêmes à toute interrogation.
Quelquefois, le simple fait d'indiquer le degré de l'aide américaine à Israël provoque des accusations d'avoir une antipathie particulière envers Israël. Cela peut fonctionner entant que chantage affectif, mais si quelqu'un a proposait que Washington commence à envoyer des armes à l'Arménie d'une valeur de 3,100 millions de dollars par an afin qu'il puisse commencer à conquérir leur province ancestrale du Haut-Karabakh en Azerbaïdjan voisin, serait considéré comme un plan  absurde et non à cause de l'aversion viscérale pour les Arméniens. Et pourtant, dans ce pays la présomption que Washington doit armer généreusement l'armée israélienne est profondément institutionnalisée.


Faux processus de paix, véritable processus de guerre
Actuellement, le secrétaire d'État John Kerry dirige les efforts pour parvenir à une autre série des interminables processus de paix que les États-Unis dirigent dans la région depuis le milieu de la décade 1970. N'est pas exactement très audacieux de prédire que cette série sera également un échec. Le ministre de la Défense israélien, Moshe Yaalon, a déjà moqué publiquement de Kerry dans sa quête de paix en disant: "qu'elle est "obsessionnelle et messianique", ajoutant que le cadre récemment proposé pour la présente ronde de négociations "ne vaut pas le papier sur lequel est imprimé". D'autres hauts responsables israéliens ont accablé Kerry pour la mention simpliste qu'il fit aux potentielles conséquences négatives du boycott mondial pour Israël si la paix n'est pas atteinte.
Mais, pourquoi Yaalon et d'autres autorités israéliennes ne devraient-elles pas agacer le malheureux Kerry ? Après tout, le ministre de la Défense israélien sait que Washington n'agitera pas le gourdin et par contre il sait qu'il y a des montagnes de carottes en vue pour Israël comme : réduire ou augmenter l'appropriation des terres palestiniennes et les efforts de colonisation. Le président Obama s'est vanté que les États-Unis n'a jamais donné beaucoup d'aide militaire à Israël au cours de sa présidence. Le 29 janvier, le Comité des Affaires Etrangères du Congrès a voté à l'unanimité de relever le statut d'Israël en "partenaire stratégique majeur". Avec le Congrès et le Président garantissant que l'aide militaire va continuer affluant à des niveaux sans précédent, Israël n'a aucun intérêt à changer de comportement.

Habituellement on accuse les palestiniens de ces point mortes diplomatiques, mais étant donné le peu qu'ils peuvent s'exprimer, les blâme à nouveau prouvera cette fois la créativité des autorités de Washington. Cependant, quoi qu'il arrive, dans le post-mortem à venir, il n'y aura pas des discussions à Washington sur le rôle joué par leurs propres politiques qui minent la réalisation d'un règlement juste et durable.

Combien de temps durera ce silence ? Le fait d'armer et de financer un pays riche qui perpétue un nettoyage ethnique  devrait offenser, de quelque manière que ce soit, les conservateurs, les progressistes et tout autre groupement politique aux États-Unis. Après tout, combien de fois dans la politique étrangère des Etats sont alignés aussi clairement les intérêts stratégiques d'un Etat avec les droits humains et la décence commun à l'humanité, que de parvenir à la paix ?
Il ya des gens intelligents qui peuvent ne pas être d'accord avec la solution a un Etat face à celle de deux Etats, Israël et la Palestine. Il ya des gens de bonne volonté qui sont en désaccord avec la campagne mondiale BDS. Mais il est difficile d'imaginer quel type de procédé peut quelquefois parvenir à un accord juste et durable entre Israël et la Palestine si Washington n'arrête pas armer jusqu'aux dents une des parties.

"Si le soutien américain à Israël n'avait pas existé, ce conflit aurait été résolu depuis longtemps", a dit Josh Ruebner. Reconnaîtrons-nous, les américains, un jour le rôle actif de notre gouvernement détruisant les possibilités d'une paix juste et durable entre la Palestine et Israël?



Chase Madar est avocat à New York, collaborateur régulier de TomDispatch et auteur de

Le problème qu'on les Juifs avec Dieudonné



Le problème qu'on les Juifs avec Dieudonné, ce n'est pas le fait qu'il soit antisémite mais militant antiraciste et pro-palestinien. Ces juifs français qui s'y identifient si souvent à Israël, voudraient, lorsque cela les arrange, être considérés comme des citoyens français, et lorsque que professionnellement est plus avantageux de se prévaloir juif et pro-israélien, nous laissions nos convictions au vestiaire ! Ces citoyens "français" pro-sionistes, nous prendaient-ils pour des canards sauvages ?

S'il était antisémite le problème ne se posait pas, du fait même que s'il l'était lui ferait perdre sa crédibilité. Or, Dieudonné dans ces spectacles ne met pas en cause la Shoah, il ne cherche pas a faire du tord aux Juifs en tant que tels. Et s'il fait référence à la Shoah ou s'en prend à des juifs, c'est autant pour provoquer que pour renvoyer la "balle" à tous ces philosophes, journalistes, personnalités -juives ou non- qui le dénigrent ou cherchent à le museler. Et comme toujours dans ces cas là, c'est par le "porte monnaie" qu'on cherche à le faire taire.  

Dieudonné est un militant antiraciste, et voudrait que la Traite des Noirs  soit reconnue au même titre que la Shoah. Il conteste aux Juifs l'exclusivité de la souffrance. Il est pour la Palestine, il estime que le sionisme a volé les Droits du peuple autochtone de Palestine. Et avouons-le, cela fait beaucoup, pour les juifs sionistes qui s'estiment seuls détenteurs de la souffrance universelle et par cette souffrance s'autorisent le droit de faire subir au Peuple palestinien les mêmes violences (y compris de manière différente, ou plus lente) que celles qu'ils ont subies de la part des nazis. Car si les nazis sont coupables de Génocide, envers les Juifs, les Tziganes, les minorités non visibles..., l'idéologie sioniste prônée par Théodore Herzl et mise en place par les juifs venus d'Europe est d'éradiquer un Peuple.

Je ne vais me perdre en explications qui ne peuvent se résumer en quelques pages. On peut avancer que si les Juifs favorables à Israël et plus largement les sionistes -juifs ou non- craignent tant les hommes qui épris de justice, [et il ne faut pas s'y tromper : les mêmes qui ont risqué leur vie pour extirper quelques juifs des griffes nazis] militent pour que le Droit international s'applique au Proche-Orient et que les Droit de l'Homme y soient respectés, c'est qu'Israël est un État illégal qui à obtenu son statut d'un Chantage, qui à fait suite au non respect de la Conférence de San Remo de 1920 et de la Déclaration Balfour de 1927 qui y fut ajouté et si la Déclaration Balfour eut été respecté, s'eût été un moindre mal et nous ne parlerions plus aujourd'hui de ce conflit.  



Hier soir 22/02/2014, une nouvelle fois Fréderic Taddeï à été pris a parti de manière injuste, cette fois par Aymeric Caron, intervenant chez Laurent Ruquier, dans l'émission ONPC.



Il me semble que le traitement qu'a fait subir M Aymeric Caron à Frédéric Taddeï est injuste. En effet, les fait reprochés concernent ses invités et lui reprocher y compris au risque de le faire passer, lui, pour antisémite est non seulement injuste mais c'est une énième manipulation de tous ceux qui (en France) pour protéger Israël qualifient d'antisémite tous ceux qui ont un discours qui pourrait faire comprendre les crimes que commet le sionisme au Proche-Orient.
M. Caron, le racisme c'est vouloir faire du mal à quelqu'un du fait de ce qu'il est et non de ce qu'il fait. Aujourd'hui, cette intelligentsia pro israélienne ne sait plus comment faire pour museler tous ceux qui refusent les crimes que commet le sionisme en Palestine. L'amalgame Shoah /conflit israélo-palestinien sert à ça. Et n'ayez l'ingratitude de croire que je suis raciste. C'est grâce à des gens comme moi, que quelques juifs ont été extirpés de griffes nazies, les autres on les a qualifiés de "collabo".
 

jeudi 20 février 2014

Jean Bricmont: seul contre tous (Dieudonné - CSOJ)



Mme. Frèche voila ce qu'est le vrai racisme.
Chercher à faire du mal à un être innocent.
Vous, vous n’êtes pas innocente puisque vous êtes une néo-collabo,
qui permettez à une idéologie aussi nauséeuse que la nazisme de prospérer.
Apparamment ce n'est pas à vous mais à Jean Bricmont que le juif né en Israël Gilad ATZMON à demandé de préfacer son livre La Parabole d’Esther. Anatomie du Peuple élu
Ce personnage et tous ceux qui comme elles, cherchent à escamoter les crimes israéliens dans un amalgame raciste, ne sont finalement que des êtres sans conscience humaine. Ce n'est pas ce type de personnes qui pendant la seconde guerre mondiale ont extirpé quelque Juifs des griffes nazis, étant donné qu'aujourd'hui ils cautionnent les mêmes crimes...



Dans la défense de Dieudonné, Jean Bricmont chez Fréderic Taddei, dans l'émission: "Ce soir ou jamais", tente de clarifier la définition du mot antisémite et fait un parallèle entre l'antisémitisme et le retour des palestiniens dans leurs foyers. La néo-collabo Emilie Frèche s'exclame avec la haute voix de l'intolérance: mais que viennent faire les palestiniens dans l'antisémitisme ?
  • Primo, ne pas être d'accord avec un juif ou un sioniste, n'est pas de l'antisémitisme.
  • Secundo, l'antisémitisme, est aujourd'hui utilisé pour discréditer tout concept antisioniste. C'est à dire contraire aux intérêts israéliens.
  • Tertio, l'antisémitisme c'est du racisme et justiciable entant que tel. L'antisionisme est de l'ordre du débat d'idées,  et combattre une idée aussi criminelle que le nazisme me semble êtres une bonne idée.
  • On ne peut pas se barricader derrière la Shoah pour museler toute émergence d'un concept anti-israélien.  
Elle, la néo-collabo Emilie Frèche déclare aussi au sujet du parallèle fait par Jean Bricmont : "on est-là au cœur du problème", elle reconnait en quelque sorte que les palestiniens sont au cœur du problème de ce quelle appelle antisémitisme, mais on ne peut pas y faire référence !
Et c'est donc manifestement qu'elle et tous les néo-collabos, qualifient d'antisémite tout propos ou action contraire aux intérêts israéliens. Et là je me dis elle est sotte ou illuminée ? Ou les deux ? Comment reconnaitre que les palestiniens sont au cœur de la problématique et na pas vouloir y faire référence !  

Mais au-delà des opinions des uns et des autres, ignorer que le Djihad, y compris le terrorisme dit islamique, (que de mon point de vue doit son origine autant au conflit israélo/palestinien qu'à la politique que l'Occident mène à leur encontre) ou,  ce que les néo-collabos appellent antisémitisme, prend son comburant dans le conflit israélo/palestinien. L'ignorer c'est pratiquer la politique de l'autruche tel que l'à fait la "la néo-collabo de service". 

Et il y a aussi un point qu'aucun de ces soi-disant intellectuels n'aborde pas, c'est que: la majorité, aujourd'hui, des membres de la communauté juive sont sionistes et nombreux sont les sionistes qui -juif ou non- soutiennent et absolvent les crimes que les juifs venus d'Europe commettent en Palestine. Ces atavismes sont aussi a l'origine de ce que les néo-collabo nomment antisémitisme.
  


Il est urgent que tous ces êtres, juifs ou non, qui considèrent que défendre le peuple de Palestine, est de l'antisémitisme, s'informent sur la véritable histoire du sionisme (1897) et ses conséquences en Palestine à partir de 1947. Ils y gagneraient en loyauté dans leurs déclarations. 
A leur intention: Ilan Pape, Historien israélien qui se basant sur les archives de la Haganah (embryon de la future armée israélienne) à écrit : LE NETTOYAGE ETHNIQUE DE LA PALESTINE. Ils y apprendraient ce que qu'apparemment ignorent. Car il m'est impossible d’imaginer que l'on puisse être hypocrite à ce point.     





Hier soir 22/02/2014, une nouvelle fois Fréderic Taddeï à été pris a parti de manière injuste, cette fois par Aymeric Caron, intervenant chez Laurent Ruquier, dans l'émission ONPC.

Il me semble que le traitement qu'a fait subir M Aymeric Caron à Frédéric Taddeï est injuste. En effet, les fait reprochés concernent ses invités et lui reprocher y compris au risque de le faire passer, lui, pour antisémite est non seulement injuste mais c'est une énième manipulation de tous ceux qui (en France) pour protéger Israël qualifient d'antisémite tous ceux qui ont un discours qui pourrait faire comprendre les crimes que commet le sionisme au Proche-Orient.
M. Caron, le racisme c'est vouloir faire du mal à quelqu'un du fait de ce qu'il est et non de ce qu'il fait. Aujourd'hui, cette intelligentsia pro israélienne ne sait plus comment faire pour museler tous ceux qui refusent les crimes que commet le sionisme en Palestine. L'amalgame Shoah /conflit israélo-palestinien sert à ça. Et n'ayez l'ingratitude de croire que je suis raciste. C'est grâce à des gens comme moi, que quelques juifs ont été extirpés de griffes nazies, les autres on les a qualifiés de "collabo".

mercredi 19 février 2014

"L'histoire d'Israël a été fondé sur un mensonge"



Peled: "L'histoire d'Israël a été fondé sur un mensonge"

Des "israéliens" comme Miko Peled il y en a beaucoup, et possiblement qu'en pourcentage il y en a plus en Israël qu'en France où l'intelligentsia pro sioniste maintient une "Chappe de plomb" sur l'histoire vraie de la Palestine. Ils (ces escrocs de la pensée) ont phagocyté nos médias, nos institutions. En réalité notre vie, puisque pour pérenniser le non état qu'est Israël nous conduisent sur  un chemin semé d'embuches où l'homme perd son essence au bénéfice d'intérêts privés.
Les médias qui dénoncent, avec raison, les crimes en Corée du Nord, en Ukraine et partout ailleurs, mais taisent les crimes commis par Israël, ne sont pas des médias habités par la déontologie journalistique mais, comme les propagandistes, par le mensonge. C'est à dire que ce sont pas des médias, ce sont des agences malsaines qui ont comme déontologie, l’hypocrisie. En ce moment même ou tout juste il y a quelques heures, l'armée israélienne attaque, j'ai bien dit attaque des villages sans défense, parce que des manifestations pacifiques s'y déroulaient. 




Suhail Hani Daher Akel
13-02-2014

En dépit d'être né dans une famille sioniste, je suis anti-sioniste. Sans donner lieu au poids de l'histoire de ses familiers compromis dans la colonisation et de l'occupation de la Palestine, L'israélien Miko Peled, né en 1961 à Jérusalem occupée, a dû se confronter aux complexités naturelles de sa véritable identité avec le coût élevé avec son lien origine juive russe avec la nouvelle identité israélienne révélée en 1948 et dépossédée de sa véritable nationalité, par les sionistes, celle d'être palestinien par la naissance dans un territoire palestinien sous occupation.



Petit-fils du russe Abraham (Nissan) Katsnelson, avec sa rancune ethnique était l'un des 37 sionistes qui a condamné le peuple palestinien à la Nakba (catastrophe) étant signataire de la création d'Israël en 1948, et fils du général Matityahu Peled-Matti-qui ont envahi la Palestine en 1948, comme jeune officier de l'organisation terroriste du Palmah en 1967 comme général. Il s'est repenti en 1969 de général s'est converti en "militant pour la paix" condamnant l'occupation israélienne de la Cisjordanie, Gaza et le Golan syrien. Miko, a suivi les traces de son père et dès l'adolescence a rejoint les forces spéciales israéliennes, mais très vite l'a regretté et depuis 1983 après le massacre de sharoniana de Sabra et Chatila a commencé son militantisme pour la paix et il fit de sa plume d'intellectuel, un rejet permanent l'occupation depuis l'intérieur même, d'Israël et de décadence sioniste.

Comme un exemple de leçon à Mahmoud Abbas, président de l'Autorité nationale palestinienne, disposé à céder  toutes les valeurs palestiniennes pour un compromis avec la puissance occupante dans l'«accord-cadre»  de l'américain «plan Kerry», lors du symposium organisé dimanche dernier 2 février par la Bibliothèque scientifique à Ramallah occupée, Miko, auteur de "le Fils du général : voyage d'un Israélien en Palestine" (The General’s Son: Journey of an Israeli in Palestine), «en a appelé les Palestiniens à renoncer aux négociations en cours sur un accord-cadre avec Israël, puisque les pourparlers de paix se solderont par plus de pertes pour les Palestiniens et des profits plus élevés pour les Israéliens... L'histoire l'enseigne a l'humanité que le pouvoir fort n'a jamais fait des concessions volontairement sans être pressé, par tous les moyens, de le faire» ... « Quelqu'un devrait suggérer à John Kerry que au lieu de fouetter le "cheval mort" des négociations entre un gouvernement israélien intransigeant et brutalement raciste avec une éteinte Autorité palestinienne, qu'il pourrait en réalité parvenir à un changement afin d'éviter l'incertitude de la violence et de la souffrance potentielle».

Avec une forte attitude et un engagement absolu de conscience, Miko, a déclaré que «depuis le long temps de sa croissance et de son éducation, lui a été dit que les guerres qui avaient été livrées par Israël étaient de la légitime défense, mais maintenant je suis pleinement conscient que ces mensonges ont conduit au continuel nettoyage ethnique et a assassiner en masse des Palestiniens, sans doute, les propriétaires légitimes de la terre. L'histoire d'Israël est fondée sur le mensonge». Courageux et accablant lors du Symposium a noté que «la Nakba palestinienne qui a eu lieu en 1948 avec l'assassinat de Palestiniens, leur expulsion par la violence, la démolition des 351 villages, leurs maisons et beaucoup d'autres violations à leur encontre sont toujours en vigueur aujourd'hui».

Miko, qui réside actuellement en Californie, adhérent du mouvement de Boycott, désinvestissement et sanctions -BDS- contre Israël, osé bande la puissance occupante avec la force du mot, comme mis à nu la lâcheté de ceux qui osent d'élever la voix convaincante, s'accrochant à la peur des menaces sionistes accusent nazi, antisémite ou les bloquer succulent négociés économique qu'ils vous donnent. A réussies sales tours israéliens pendant des décennies de diaboliser la lutte de libération de la Palestine en un simple «terroriste» une action contre un «Etat démocratique».

En ce sens, Miko, a brisé les mythes  israéliens et ceux qui indiquent "les Palestiniens comme une menace existentielle à travers d'absurdes comparaisons Yasser Arafat avec Hitler, les Palestiniens avec les nazis et la résistance palestinienne à Al-Qaida",  soulignant qu'il «ne considère pas Israël comme un Etat démocratique, puisqu'il discrimine les Palestiniens et les ignore même si ceux-ci constituent plus de la moitié de la population".

Ceci est un chapitre de plus des centaines de milliers de Juifs a qui le sionisme a vendu une histoire fausse et les a escroqué dans l'honnêteté de leur conscience, qui les conduit à changer leur véritable identité et de nom comme son grand-père Katsnelson, qui l'a remplacé par l'hébreu Nissan sur le territoire volé.

Suhail Hani Daher Akel a été le premier ambassadeur de la Palestine en Argentine et a été le premier représentant de l'OLP en Argentine, analyste international sur la situation en Palestine.











mardi 18 février 2014

Entretien avec Manu Pineda



Entretien avec Manu Pineda, défenseur des droits humains
"Le peuple palestinien a le droit de se défendre"


La lecture de ce "post" y compris de la manière la plus neutre, vous permettra d'entrevoir la conduite digne, du nazisme le plus pur : raciste, extrémiste, despotique, des autocrates israéliens. Quant à la manipulation qui permet cette conduite est à rattacher au caractère international de l'Organisation sioniste fondée en 1897 à Bâle. Organisation où il n'est pas nécessaire d'être juif pour adhérer a son idéologie. Idéologie qui sert de liant aux prédateurs de la mondialisation. Qui mieux que cette organisation internationale peut faire le liant du Nouvel Ordre Mondial qui coopte et corrompt les élites de demain ?
C'est d'ailleurs-là que doit se trouver, le point culminant du soutient inconditionnel à Israël de tous les escrocs que nous avons élus...

Je n'ai aucune envie de citer des noms, mais très souvent ce n'est plus la colère qui m'envahit mais la commisération de voir ces êtres apparemment instruits se laisser tromper a ce point, a moins que leur illumination les guide vers tant de tartuferie.
Si chaque être humain a une responsabilité dans ses rapports avec les autres, Il n'est pas étonnant que de plus en plus de personnes à travers le monde s'élèvent contre  le soutient à Israël. Soutient qui se traduit en une "Chape de plomb" sur les événements qui se produisent en Palestine. Nous sommes informés sur les manquements des Droit de l'Homme de tel ou tel Etat, mais nous ne savons pratiquement rien (ou peut-être 0.01%) de ce qui se passe en Palestine. Cette simple réflexion nous apporte la preuve du caractère psychopathe des dirigeants sionistes -c'est un fait- mais aussi du caractère malfaisant de nos dirigeants ou/et de nos médias.
 
23-01-2014
Directeur de l'école de littérature à la Bibliothèque "Las Rozas" de Madrid. Auteur d'ouvrages littéraires, reportages, interviews... collabore dans des magazines et journaux. (Magazine de la culture du gouvernement régional de Castilla-La Mancha), Journal de mathématiques, Le Zénith, latéral, Platée, Journal Ya, Journal Lanza (Ciudad Real), La Nouvelle-Espagne (Asturies). Il a étudié les sciences politiques à l'Université Complutense de Madrid et fait l'École des Arts.

Tandis que les médias présentent les occupants de la Palestine comme un État démocratique et occulte systématiquement ses crimes, l'occupation de la Palestine, l'expulsion des Palestiniens, la poursuite de la répression, le vol des terres et de l'eau des Palestiniens, leur racisme équivalent à celui des nazis, ses bombardements, le mur qui encercle et divise la population palestinienne, la pénurie du minimum nécessaire, les arrestations et d'emprisonnements abusives y compris d'enfants, toutes les questions, qui affectent les personnes vivant sous l'occupation de la bande de criminels sionistes, sont réduites au silence.
A tout cela, la solidarité internationale avec le peuple palestinien oppose des personnes attachées au Droit  International, Droit de l'Homme meilleures, et aujourd'hui nous interviewons une personne impliquée, comme personne, dans la défense du peuple palestinien, l'internationaliste Manu Pineda. 

Manu Pineda est un militant des Droits de l'Homme, membre de l'Association UNADIKUM International, basé dans la bande de Gaza depuis un peu plus de deux ans d'où il participe a la protection en tant que bouclier humain, des agriculteurs et des pêcheurs palestiniens.

- Ariel Sharon est mort, quelle a été la réaction de la population de Gaza?
- Manu Pineda : Il y a tout juste quelques jours je suis sorti de Gaza, mais selon mes renseignements  il ne sait rien passé de remarquable, les gens le croyaient mort depuis 8 ans, quand il est tombé dans le coma. Il était mort politiquement et ne signifiait plus rien. Il aurait dû être jugé pour génocide pour le massacre de Sabra et Chatila, l'armée sioniste et Phalangistes libanais ont assassiné plusieurs milliers de Palestiniens de tous âges. Se fut aussi le début de la construction du "MUR" qui encercle et physiquement divisé le peuple palestinien, isolement les populations entre-elles et les séparant de leurs terres agricoles. Il a été à l'origine de la deuxième Intifada, a assiégé a Arafat et à l'origine de son assassinat..., est crédité de la planification de l'occupation de la Palestine au cours des dernières années et la persécution du peuple palestinien, déplacent de centaines de milliers d'entre eux de leurs maisons et terres, ainsi environ 70 % de la population de Gaza aujourd'hui sont des réfugiés d'autres territoires palestiniens, déplacées par la violence et criminellement par l'entité sioniste. Si pendant les massacres de Sabra et Chatila Sharon conduisait l'armée sioniste, le prix de ses crimes fut d'être nommé Premier ministre d'Israël. Que pouvons-nous dire sur un tel personnage et ce qu'ils appellent Israël ?

- Quelle est la situation actuelle de Gaza ?
-MP : Ce qui affecte le plus directement la population en ce moment est le blocus criminel que soumet l'occupation sioniste, blocus qui s'est intensifié depuis le coup d’État en Égypte ; les tunnels ont été détruits ; la fourniture de marchandises à été coupé et seul pet passer ce que permet le régime sioniste. Les seuls matériaux de construction qui sont autorisés sont ceux d'un projet qatari,  19 des 20 projets prévus par l'ONU ont du être suspendus, par manque de matériel. N'entrent pas non plus les médicaments d'urgence, il y a une pénurie flagrante et délibéré, la plupart des malades qui suivent des traitements sont obligés de les suspendre, et ne leur est pas permis à la plupart d'entre eux quitter Gaza pour recevoir traitement nécessaire dans d'autres pays, ou subir des opérations chirurgicales nécessaires, et nous parlons d'enfants, des personnes âgées, de toutes types de malades. D'un autre coté les marchandises qui entrent arrivent à des prix très élevés, qu'ils ne peuvent pas payer, imposés par les sionistes. Mais peut-être la pénurie qui a le plus de conséquence est le carburant, il n'y a qu'une seule centrale électrique et fonctionne avec du diesel. En raison de la pénurie de carburant, il ya eu des périodes, qui a coïncidé avec une grosse tempête, où l'approvisionnement en électricité a été seulement d'une heure et demi dans les zones les plus fortunés, les autres ont été jusqu'à cinq jours sans électricité. De ces restrictions les hôpitaux n'en sont pas épargnés, avec des conséquences dramatiques. En ce moment de la fourniture d'électricité est passé à six heures.

- Comment les habitants de Gaza résolvent les problèmes causés par l'hiver?
-MP : Je vais vous donner un exemple : il y avait une tempête qui a privé d'électricité tout Gaza durant 5 jours, il a plu, la grêle est tombé, il a gelé,  je visitais des zones pauvres, d'extrême pauvreté, et je savais que des enfants et les personnes âgées sont mortes de froid, savez-vous ce que cela représente ? Son des maisons de tôle et plastique, et celles qui sont encore debout, sont à moitié détruites, des murs, des toits, des fenêtres manquent, le froid et l'humidité sont terribles, les gens tombent malades et meurent. Israël et l’Égypte appliquent les tactiques de la " cocotte minute " laissent entrer un peu de carburant, 450 000 litres, pour atténuer les effets de la tempête, une tempête qu'à Madrid n'aurait de conséquence et pourtant ici les conséquences sont tragiques. Les hôpitaux tentent avec des génératrices de faire fonctionner les incubateurs, les appareils de dialyse, les salles d'opérations, peuvent fonctionner parfois 6, 4 ou 1 heure à tout moment de la journée, il n'y a pas de temps fixe, de sorte que les traitements, opérations, ..., peuvent être suspendus. Il y a les plus petits moyens. Même les ambulances ne peuvent répondre qu'à des situations d'extrême urgence.
Au milieu de la tempête les eaux usées stagnent dans les rues parce que les moteurs devant les évacuer ne fonctionnent pas en raison du manque d'électricité, avait s'enliser quartiers de Gaza, alors Israël ouvre les vannes des barrages (construits pour voler l'eau des palestiniens) près de la frontière et inondé les zones qui ont été déjà fortement inondées, la situation fut un désastre absolu.

L'alliance entre Israël et l’Égypte est à la recherche des dissensions internes. L'asphyxie imposée a des répercussions  parmi la population qui accuse le gouvernement de Gaza, et la situation est insoutenable. Par exemple, les fonctionnaires ne facture pas bande depuis Septembre, la plupart du reste de la population n'a pas un revenu suffisant ou fixes ce qui peut être dit. Mais à un autre niveau, il doit répondre à l'ONU car il est nécessaire, nous constatons que l'Agence pour les réfugiés de Palestine, UNRWA, appartenant à l'ONU, qui est légalement tenu d'assister à 70% de la population, qui sont des réfugiés, est couper les fonds à cet effet, en essayant de rejeter le concept de réfugié palestinien, limitant à ceux qui ont été expulsés de leurs terres en 48, et en essayant de laisser en dehors de ce cadre à leurs descendants.

Par exemple, les fonctionnaires de la bande ne sont pas rémunérés depuis septembre, la plupart du reste de la population n'a pas un revenu suffisant. Mais à un autre niveau, l'ONU (en votant la résolution 181 sur la partition de la Palestine) doit répondre  au problème posé par les refugiés palestiniens. Ce que nous constatons est que l'Agence pour les réfugiés de Palestine, UNRWA, appartenant à l'ONU, légalement tenu d'assister à 70% de la population, qui sont des réfugiés, coupé les fonds qui leur sont destinés, en essayant de rejeter le concept de réfugié palestinien, limitant à ceux qui ont été expulsés de leurs terres en 48, et en essayant de laisser en dehors de ce cadre à leurs descendants. C'est un crime qui s'ajoute au crime commis. Sachant que la résolution 181, sur la partition de la Palestine, voté le 26 novembre 1947, a été obtenue par le chantage des USA sur les pays du tiers monde, poussés au crime par les lobbys juifs américains.
Ces lobbys juifs, que l'on nomme par discernement sionistes, ne doivent pas nous faire oublier que s'il y a des Juifs respectables il y en a qui ne le sont pas.     
A tout cela il faut ajouter que nous sommes sous les bombardements aériens des forces d'occupation israélienne, et si ce n'est pas l'aviation, ce sont les blindés: le jour de Noël , un char d'assaut a bombardé une maison dans un camp de réfugiés et tué une petite fille de trois ans, et grièvement blessé sa tante et ses cousins​​, qui ont enregistré et diffusé l'attaque en direct, la maison était à 700 mètres de la barrière de séparation, la transmission de la télévision israélienne, depuis l'une des tours de guet et qui en passant filma la scène, n'a pas pu le nier tel qu'ils le font normalement.  Ces images porteront-elles Israël devant  la Cour internationale ? Pourtant cela se produit tous les jours.
Le prix World Press Photo de l'année 2013 a été donné à la photo de l'enterrement de deux enfants de la famille Hijazi. Il existe d'autres cas similaires, l'ors d'une attaque sioniste dans Zaytoun, à l'est la ville de Gaza a fait 42 morts, le cas a été porté à l'ONU, l'entité sioniste s'est engagé à enquêter sur l'affaire et a conclu en inculpant le colonel responsable de ce crime énorme.
Ensuite, comme d'habitude, il à été décoré comme le fait toujours Israël avec ses criminels de guerre. Peut-être même deviendra-t-il premier ministre. Il y a en Israël des Juifs honnêtes c'est une certitude, mais il y en a aussi qu'il faudrait juger et leur permettre de s'évaporer...    

20 novembre 2012 - Deux ans Suhaib Hijazi, âgée de 2 ans, et son frère aîné Muhammad, âgé de 3ans, ont été tués lorsque leur maison a été détruite par un missile israélien.
Leur père, Fouad, a également été tué et leur mère a été très gravement blessée.
Les frères de Fouad portent ses enfants à la mosquée pour la cérémonie d’enterrement.
Son corps est porté en retrait, sur une civière - Photo : Paul Hansen

- Quelle est la situation des militants internationaux qui vont à Gaza?
-MP: Après le coup d'Etat en Egypte le passage de Rafah, le seul passage pour aller de l'autre coté de la frontière, l'ouvrent ou le ferment sans préavis, le 26 décembre était ouvert, puis fermé jusqu'au 9 Janvier. Là nous ont été retenus durant des jours 38 militants internationaux et plusieurs milliers de Palestiniens, attendant la réouverture pour pouvoir sortir. Seul peuvent sortir les cas très urgents. Même Amnesty International a décrit Gaza comme la plus grande prison à ciel ouvert dans le monde.

- Que pouvons-nous faire pour les habitants de Gaza?
-MP: Pour nous, comme pour l'UNADIKUM, c'est la solidarité politique puisque le conflit doit être résolu politiquement. Nos gouvernements vendent des armes aux sionistes et ensuite apportent les miettes de l'aide humanitaire aux Palestiniens. Nous devons faire pression sur les gouvernements pour mettre fin à l'hypocrisie. Il faut faire pression  sur nos gouvernements pour en finir avec cette hypocrisie. [Faire pression sur un gouvernement ou des juifs pro-israéliens y officient, est une galéjade. C'est peut-être par ce que l'on n'a pas compris cela, que ce conflit s'éternise.] Nous faisons ce que nous pouvons et nous allons l'étendre à d'autres pays. Nous appelons les gens à participer à nos mission comme boucliers humains visant à protéger les agriculteurs, les pêcheurs, à connaitre ceux qui sont en prison, a coopérer du mieux qu'ils peuvent. Nous ne disons pas comment résister au peuple palestinien, nous les aidons seulement le peuple palestinien, le peuple palestinien a le droit de se défendre. La résistance, résistance à l'occupant est légitime et reconnue par l'ONU, les terroristes sont ceux qui participent aux crimes que commet l'armée israélienne.

- Comment se maintien l'UNADIKUM ?
-MP : Nous n'avons demandé  d'argent a personne, ansi nous n'avons personne qui nous commande. Nous, nous maintenons avec nos propres fonds, les bénévoles qui font partie de nos brigades, payent leur voyage et leur séjour.
Ce que nous demandons est de faire pression sur les gouvernements pour qu'ils suspendent les relations avec Israël. Les gouvernements  Européens collaborent étroitement avec l'entité sioniste, des relations de portée économique, commerciale et universitaire, avec l'armée et les questions de «l'intelligence», par exemple à Madrid l'aéroport de Barajas des agents sionistes vous interroger. Nous ne devons pas oublier que c'est le gouvernement socialiste de Felipe González qui a établi des relations diplomatiques avec cette organisation criminelle, [ce n'est un secret pour personne que c'est à partir de 1981, sous le gouvernement de Mitterrand que des relations entre socialisme français et sionistes socialistes en France et sionistes d'extrême droite israéliens, se sont étroitement liées.] et que tous les gouvernements qui ont suivi ont maintenu ou augmenté.[Comme en France) Parfois les "européens" ont soulèvé le cas de l'Afrique du Sud, mais par rapport au cas de la Palestine et l'occupation sioniste est mentionné, mais le cas l'Afrique du Sud était un jeu d'enfant par rapport à ce que fait Israël au peuple palestinien .

- Et le BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) contre Israël, fonctionne-t-il à l'étranger ?
-MP : Eh comment que cela fonctionne, c'est le meilleur outil dont nous disposons pour lutter contre ce régime génocidaire, tout comme il a mis fin à l'apartheid en Afrique du Sud qui était un régime absolument raciste et criminel, était un jeu d'enfant si on le compare au "savoir-faire" sioniste. Le chemin est le boycott a tout ce qui est supposé apporter une aide au soutien de ce régime criminel, boycotter leurs produits, leurs institutions, leurs universités, nous devons nous assurer de son isolément, nous devons éviter toute tentative de normalisation, nous ne devons même pas assumer  leur langage, nous ne devrions jamais parler d'Israël comme d'un état, c'est une force d'occupation, c'est une invention impérialiste pour déstabiliser la région, un policier de l'Ouest, un cancer, mais pas un état, jamais.
Nous devons dénoncer la collaboration de nos gouvernements "démocratiques et défenseurs des Droits Humains", et qui collaborent avec ce régime criminel. Nous devons créer une conscience au sein de nos populations que acheter les produits israéliens c'est    investir dans le génocide et l'apartheid, que ce sont des produits tachés du sang des palestiniens.

-Manu, vous voulez ajouter quelque chose? Comment peut-on vous contacter?
-MP: Vous pouvez nous contacter via notre e-mail, info@asociacionunadikum.org, ou en visitant notre page www.asociacionunadikum.org

-Merci pour ces paroles. Toute notre solidarité avec le peuple palestinien.
Marche pour la Dignité à Madrid le 22 Mars.
Ramón Pedregal Casanova est l'auteur de "Journal de crise" (Livres gratuits en rebelion.org), et est l'auteur de "Sept romans de la mémoire historique. Posfacios", est  l'éditeur la Fondation Dimanche Malagon.


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Ce matin mardi 18/02/2014 les médias annoncent :
Une commission d'enquête de l'ONU a réclamé lundi une action urgente de la part de la communauté internationale face à la situation des droits de l’homme en Corée du Nord. Elle propose de saisir la Cour pénale internationale.
La situation n’a aucun parallèle dans le monde contemporain, souligne la commission présidée par le juge australien Michael Kirby.
A lire ce qu'a souligné le président de la Commission Onusienne, on se demande s'il est aveugle et sourd ou encore s'il regarde les manquements aux Droit de l'homme au travers le prisme de l'injustice israélienne. En effet, s'il faut condamner la Corée du Nord, il est essentiel de condamner dans le même élan Israël, si l'ONU veut encore garder un peu de sa légitimité.
Ce qui se passe à la Bande de Gaza est l'équivalent de la Shoah. Pourquoi  que ces crimes sont tus ? La méthode est plus fourbe et autant inacceptable, puisqu'elle nous est présente comme étant légitime.
Les Juifs venus d'Europe, n'ont aucune légitimité à maltraiter les Palestiniens.



- 09/03/2012
 L'occupation sioniste, les démolirions de maisons, les mots y les déplacements, la privation des droits… n'ont pas réussi à arracher aux Palestiniens leur conscience et leur identité. Ils pensent être les grands oubliés, non seulement en Occident, mais dans le monde entier, bien sûr pas par les citoyens mais par les gouvernements.