samedi 8 mars 2014

Les soldats du Djihad






A part le fait que la justice française condamne quelqu'un  pour ses intentions, (non pour ce qu'il a fait) jusqu’à preuve du contraire, il me semble, que ces jeunes gens, s'ils sont majeurs, ont le droit de voyager y compris s'ils souhaitent aller se battre pour défendre ce qu'il croient être leur devoir, pour des questions philosophiques ou religieuses.   

  • A ce compte, la justice française aurait condamné, André Malraux. [Ministre sans portefeuille, puis (à partir du 3 juin 1958), ministre délégué à la présidence du Conseil et (du 12 juin au 7 juillet 1958), ministre chargé de la Radio, de la Télévision et de la Presse : André Malraux] qui s'est battu en Espagne au sein des Brigades Internationales, volant au secours de la République.
  • Sas compter que des français s'engagent dans l'armée israélienne et tuent des innocents en Palestine. Et on ne peut pas affirmer que ces jeunes français s'engagent [contrairement aux jeunes djihadistes] pour sa battre au péril de leur vie, ou pour aider un peuple en danger. L'armée israélienne est la 4é. armée du monde, elle n'a pas besoin de cette aide philosophique ou religieuse pour assassiner des musulmans. Si Israël est un jour en danger, il le sera par sa politique despotique et criminelle, que aucun homme doué d’intelligence ne peut cautionner quelque fut le prétexte.
  • Mais alors pourquoi que le Gouvernement français fait condamner ces jeunes par la justice française. (si c'est vrai, car, je n’ai pas trop confiance dans les médias, ni sur le font, ni sur la forme). La réponse est simple, c'est qu'il y a  au sein de ce Gouvernement (élu par des français de bonne foi) d'êtres déloyaux qui considèrent que les jeunes juifs peuvent aller, eux, tuer des êtres humains en Palestine, mais voient d'un mauvais œil que des jeunes musulmans aillent se battre pour ce qu'ils  considèrent être juste, au péril de leur vie, ce qui n'est pas le cas -et de loin- des jeunes français allant "se battre" avec l'armée israélienne. Et s'il se fait prendre, s'il se fait faire prisonnier, toutes les pucelles effarouchées de France te de Navarre, crient au scandale parce que le Hamas a fait prisonnier un français,  mais lorsqu'un français se fait accuser de terrorisme par la "justice israélienne" et est emprisonné, sans qu'il n'ait rien à se reprocher, sans qu'il nait rien fait, ces pucelles là, ferment leur gueule. Oui je suis en colère..., en colère de tant pharisaïsme hypocrite. 
 

Le manque d'honnêteté et la faillite du modèle occidental qui voudrait régir le monde est la principale cause du désordre actuel.

En résumé : La loyauté de nos dirigeants n'est pas à l'ordre du jour.  A contrario ce qui est  à l'ordre du jour, c'est : la fidélité de nos dirigeants à Israël. Un État illégal. Et ces dirigeants aigrefins voudraient nous donner des leçons !
Mais, quel est l'intérêt de tout cela ? Le motif parait évident, étouffer dans l’œuf toute velléité qui pourrait se retourner contre l’état illégal qu'est Israël.   




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 Le travail des bombes au phosphore blanc, interdites par convention selon la 4e convention de Geneve, utilisées par Israël lors de son agression de Gaza ou des jeunes juifs français y ont participé. 

 Quel être serait assez inintelligent pour dire : 
"les musulmans sont des terroristes ?" 

mercredi 5 mars 2014

Renaud Vivien -Ukraine la nouvelle proie du FMI






Par Renaud Vivien  -28 février 2004
Renaud Vivien est juriste du CADTM Belgique, renaud@cadtm.org 

Nous savons que des petits malins se sont enrichis au jeu du "marché" lors des attentats du 11 septembre au WTC. Et je me demande si le soulèvement des ukrainiens n'a pas été un peu aidé. Aidé par ce "Marché" que nos dirigeants adulent au point de le prendre pour le "veau d'or". Dans ces soulèvements tout le monde y perd... sauf, les usuriers de la finance privée, qui fait passer le taux de la dette de l'Ukraine de 5% à 34,5%. Somme-nous des imbéciles. OUI. Comment est-il possible que ces usuriers ont pu s'approprier ainsi de nos vies ? Élisons-nous les bonnes personnes ?
  
Le 26 fevrier, les autorités provisoires ukrainiennes ont sollicité un prêt du FMI pour pouvoir rembourser la dette du pays dans les délais, soit 13 milliards de dollars rien que pour cette année. Le FMI a répondu positivement et a décidé d’envoyer une mission d’« experts » en Ukraine pour discuter des conditions attachées à ce prêt.
Alors que le pays est en pleine ébullition, le remboursement de la dette publique apparaît comme la priorité absolue de Kiev et de ses créanciers. Les besoins de la population passent quant à eux au second plan. Cette situation pourrait même encore se dégrader si un accord est conclu avec le FMI, qui est en position de force pour imposer une cure d’austérité au peuple ukrainien en échange du prêt.
En effet, les difficultés financières de l’Ukraine sur fond de trouble politique sont une nouvelle opportunité pour le FMI d’imposer une thérapie de choc, à l’instar de la Grèce, du Portugal et de l’Irlande, qui appliquent, depuis l’éclatement de la crise, de violentes mesures d’austérité dictées par la « Troïka », qui est composée du FMI, de la Commission européenne et la Banque centrale européenne.
Dans ces pays, le risque de défaut de paiement à l’égard des créanciers (principalement les banques privées) a été le point de départ de l’intervention du FMI et des acolytes européens. Ainsi, la Grèce, le Portugal et l’Irlande, qui n’avaient plus accès aux marchés financiers en raison des taux d’intérêt prohibitifs, se sont tournés vers la Troïka qui en a profité pour leur proposer des prêts, certes moins onéreux, mais assortis de programmes d’austérité connus sous le nom de « memorandum ». La liste des mesures contenues dans ces memoranda est toujours la même : privatisations des secteurs stratégiques de l’économie, baisse des salaires, des pensions, augmentation d’impôts injustes comme la TVA, licenciements massifs dans la fonction publique, coupes drastiques dans les budgets sociaux, etc.
L’Ukraine se trouve aujourd’hui dans une situation similaire puisqu’elle est au bord de la cessation de paiement et ne peut raisonnablement plus emprunter sur les marchés financiers suite à la dégradation de sa note par les agences de notation. Pour pouvoir emprunter sur le court terme, l’Ukraine doit aujourd’hui payer un taux d’intérêt exorbitant de 34,5 %, contre 5 % il y a seulement cinq mois. Par ailleurs, elle ne peut plus compter sur la Russie qui vient d’annuler le versement de la deuxième tranche d’un prêt de 15 milliards de dollars, suite à la destitution de l’ancien président Viktor Ianoukovitch.
L’Ukraine dispose donc actuellement d’une faible marge de manœuvre. Toutefois, le FMI ne peut en aucun cas faire partie de la solution vu les conséquences dramatiques des programmes d’austérité qu’il impose aux populations depuis plus de trente ans. Dans tous les pays qui ont conclu des accords avec cette organisation, on observe de manière générale une augmentation de la pauvreté et des inégalités. C’est le cas de la Grèce, de l’Irlande et du Portugal mais également des pays du Sud soumis aux plans d’ajustement structurel (PAS) depuis le début des années 80 et des pays de l’Europe de l’Est qui ont aussi subi une thérapie de choc administrée par ce même FMI dans les années 90.
Au lieu de s’endetter auprès du FMI pour régler les dettes passées, il faudrait plutôt s’interroger sur la légalité et la légitimité des dettes que l’Ukraine compte payer avec ce prêt du FMI. En effet, le remboursement des dettes publiques n’est pas une obligation absolue du point de vue politique et juridique. Rappelons aussi qu’en droit international public, les devoirs d’un État envers sa population sont supérieurs aux engagements pris envers ses créanciers et que l’obligation de rembourser ne vaut que pour les dettes « contractées dans le cadre d’un accord valide et légitime |1| » comme le souligne l’Expert des Nations unies sur la dette Cephas Lumina. Si les dettes sont illégales ou illégitimes alors l’Ukraine n’a aucune obligation de les rembourser et par conséquent, n’a aucun intérêt d’emprunter au FMI.
Un audit des dettes ukrainiennes permettrait d’identifier la part illégitime qui doit être annulée sans condition. L’audit permet notamment de répondre à ces questions : Qui a contracté ces dettes ? Étaient-ils juridiquement compétents pour contracter ces prêts ? Qui en a profité ? Les prêteurs ont-ils mis des conditions à l’octroi des prêts ? Ces conditions violent-elles le droit national du pays emprunteur ? A combien s’élève le montant des intérêts engrangés par les prêteurs ? Quels sont les projets financés par la dette ? etc.
Vu l’urgence, une réponse immédiate pourrait être la suspension du remboursement de la dette (avec gel des intérêts) et le gel des négociations avec le FMI dans l’attente (au minimum) des résultats des prochaines élections prévues le 25 mai et d’un vrai débat public sur les implications d’un prêt du FMI et les alternatives à l’endettement.
Les arguments pour décréter ce type de moratoire ne manquent pas. L’Ukraine et ses créanciers pourraient invoquer « un changement fondamental de circonstances » suite au renversement de Ianoukovitch et la nature provisoire du gouvernement mis en place le 26 février. Seul manque aujourd’hui la volonté politique aussi bien de la part des autorités provisoires de l’Ukraine que de l’Union européenne qui se déclare pourtant du côté du peuple ukrainien…

Note :
Principes directeurs relatifs à la dette extérieure et aux droits de l’homme, Annexe au rapport de l’expert indépendant Cephas Lumina du 10 avril 2012 (A/HCR/20/23). Sauf mention contraire, les citations sont issues de ce rapport.
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L’ensauvagement du monde

19 octobre 2013 par Aminata Traoré
L’ensauvagement du monde poursuit son cours avec son cortège de souffrances humaines, de larmes et de sang. Les peuples appauvris et affamés qui prennent d’assaut la rue, parviennent parfois à évincer des dictatures militaires et civiles internes sans pour autant changer les causes structurelles des inégalités, des injustices et de la corruption. Ils sont impuissants face au « coup d’État permanent » que dénonce, inlassablement, Éric Toussaint en démontant les rouages du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale.
Le « Procès d’un homme exemplaire » ajoute une nouvelle dimension à sa contribution et à celle, tout aussi précieuse, du Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers-Monde (CADTM) à la démystification des institutions de Bretton Woods. Les potions du FMI et de la Banque mondiale ne sont pas seulement amères, elles sont souvent mortelles.
Le Mali en guerre ne souffre pas, comme le discours dominant le prétend, d’une crise sécuritaire au nord et d’une crise institutionnelle au sud. Il est l’un des meilleurs élèves de ces institutions à qui il doit largement le délitement de l’État, la porosité des frontières et le désespoir des jeunes sans emplois, prêts à se battre sur tous les fronts.
Comble de l’horreur, le Mali est à la veille d’un nouveau cycle de surendettement au nom de sa reconstruction selon le même paradigme sous la tutelle des mêmes institutions financières internationales.
Des histoires de vies comme celle de Jacques de Groote, anciennement directeur exécutif de ces deux institutions, aujourd’hui accusé par la justice suisse « d’escroquerie », de « blanchiment d’argent aggravé » et de « faux dans les titres », illustre, au-delà du parcours de l’homme, la crise morale dont souffre l’ordre dominant.
Les peuples se battraient ensemble et mieux si le traitement de l’information leur permettait de situer les responsabilités de tous les acteurs. Ce livre d’Éric Toussaint, contribue, valablement, à l’éducation citoyenne au Nord et au Sud.

Aminata Traoré est une femme politique et écrivain malienne. Parmi ses livres : L’Etau, Actes Sud, 1999 ; Le Viol de l’imaginaire, Editions Fayard, 2002 ; L’Afrique mutilée, Taama Éditions, 2012.
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Le Parlement européen questionne (à moitié) la Troïka

28 février 204 par Fátima Martín , Jérôme Duval

Un rapport préliminaire du Parlement européen pointe les irrégularités du triptyque UE, BCE, FMI. Explication de texte, avec une journaliste et un militant espagnols.
« L’examen de la troïka réalisé par le Parlement Européen justifie les graves déficiences démocratiques et juridiques de la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI) envers les pays soumis au « programmes » de sauvetages financiers qu’ils mènent depuis quatre ans.
Malgré l’intention dissimulée de blanchir la Troïka, le rapport préliminaire du Parlement européen ne peut s’empêcher de signaler de multiples irrégularités. Cette évaluation comprend des questionnaires envoyés aux principaux responsables, qui, en toute impunité, ne répondent pas ou bien ne le font qu’à moitié.
Dépendant du Comité des affaires économiques et monétaires du Parlement européen, le projet de rapport, signé par Othmar Karas et Liem Hoang Ngoc, oublie curieusement et inexplicablement, le sauvetage du secteur bancaire espagnol en juin 2012 représentant jusqu’à 100 milliards d’euros (desquels on dit qu’il a été utilisé 41,3 milliards).
Le rapport préliminaire, qui devrait être rendu définitif peu avant les élections européennes, en avril, signale de grandes irrégularités de la troïka, et justifie son action à plusieurs reprises. Parlant de « l’immense défit de la troïka », il défend l’idée selon laquelle « le temps s’épuisait, les obstacles légaux devaient être écartés, la peur d’une fusion du noyau de la zone euro était palpable, il fallait adopter des accords politiques... ». La possibilité de mettre en œuvre des mesures alternatives est rejetée en soutenant :
« l’assistance financière à court terme a évité une cessation de paiement désordonnée de la dette souveraine qui aurait eu des conséquences économiques et sociales extrêmement graves ainsi que des effets indirects dans d’autres pays d’une magnitude incalculable... ».
Le document signale que « due à une nature ad hoc, il n’existait pas de base juridique adéquate pour la création de la troïka sur la base du Droit primaire de l’Union ». Fait confirmé indirectement par la Commission quand elle écrit que « le modèle de la troïka a été pris en charge par le législateur de l’UE (voir l’article 7 de la Régulation de l’UE nº 472/2013) », ce qui implique qu’avant 2013, ce n’était pas le cas. Nous savons cependant que tous les programmes de la Troïka, sauf celui de Chypre, ont démarré avant cette date.
Par ailleurs, le rapport souligne la double fonction de la Commission européenne (comme agent des États et comme institution de l’Union européenne) et de la BCE (en tant que conseiller technique et créancier) dans la troïka et ses évidents conflits d’intérêt, en tant que juge et partie. Selon le traité de fonctionnement de l’UE, le mandat de la BCE est limité à la politique monétaire, et par conséquent, « la participation de la BCE dans n’importe quelle affaire en relation avec les politiques budgétaires, fiscale et structurelle se situe dans un terrain légal incertain ». D’où découle « la faible responsabilité démocratique de la troïka » dans les pays concernés.
Le rapport avertit que « le mandat de la troïka a été perçu comme opaque et non transparent » et se montre particulièrement critique envers les mémorandums (Memorandum of Understanding), dont il déplore le manque de transparence dans les négociations.
La Troïka élude les questions et désigne les États comme responsables
Les présumés responsables des sauvetages, Commission européenne, BCE, FMI, Eurogroupe et Conseil européen, répondent, quand ils le font, au questionnaire envoyé par le Parlement européen de manière légère et largement insatisfaisante. Ils se rejoignent tous en rejetant la responsabilité sur les autres. Par exemple, le FMI s’est refusé à répondre en argumentant qu’il n’a pas de compte à rendre aux parlementaires, ce qui peut paraître surprenant quand on sait que c’est lui-même qui impose ses politiques aux Parlements. Herman Van Rompuy a répondu qu’il « n’est pas impliqué », alors qu’en tant que président du Conseil européen, il représente les États membres de l’UE.
Pour sa part, le président de l’Eurogroupe a évité la question en disant que les institutions de la Troïka sont les plus à mêmes de répondre, alors que dans le même temps, la BCE renvoie la balle à l’Eurogroupe : « En ce qui concerne des mesures concrètes pour des pays spécifiques, il serait plus approprié que ce soit l’Eurogroupe qui réponde ».
Tous ces responsables sont impliqués depuis des années dans les politiques d’austérité menées par les gouvernements sous le mandat opaque de la troïka. Ils appuient ces politiques en exerçant une forte pression sur ces États pour qu’ils les mettent en application. Au moment de répondre aux questions de nos représentants du Parlement européen, ils éludent leurs responsabilités et rejettent la faute sur les États dont ils ont volé la souveraineté. La CE comme la BCE l’affirme clairement : « La paternité de la conception du programme appartient aux autorités ».
Nous savions déjà que ces institutions et leurs hauts fonctionnaires jouissent d’une totale impunité devant la justice, maintenant nous savons qu’ils vont jusqu’à refuser de répondre aux questions sur leurs implications. Fuiraient-ils leurs responsabilités face à une opinion populaire chaque jour plus révoltée par les conséquences humanitaires de ces politiques ? »


Les USA : Sont-ils la matrice du terrorisme international ?



Étourdi par tant de pharisaïsme des bienfaits du camp occidental, des USA avec  le chevalier "Eon" de la philanthropie, [moins par ses mœurs, que par ses bouffonneries] Barak Obama  s'indigne du bout des lèvres et avec l'arrogance des gens stupides, autrement dit : "faites ce que dis ne faites pas ce que je fais" qui avec ses ailes écornées volait au secours des ukrainiens. Ainsi "parlait", en quelque sorte, Mme Nicole BACHARAN (technicienne de la surface américaine) dans le Grand Soir 3 hier soir, de la partie de poker entre Poutine, la Crimée et l'Ukraine. Cette "dame" je mets de guillemets, car lorsqu'on raconte une histoire en lisant une page sur deux, c'est que l'on est stupide ou que l'on à une bouche de travers, qui ne permet pas de lire la page de gauche ! Il me semble que si l'on ne veut pas être qualifié de propagandiste, un minimum de honnêteté intellectuelle est nécessaire...
Quant au député Européen Guy VERHOFSTADT,  je me demande encore ce matin, après une bonne nuit de sommeil, qui, dit-on porte conseil,  je me dis on est vraiment des cons pour élire des tels tartufes, qui nourrissent leurs familles avec notre pognon..., lui aussi fait abstraction de l'histoire  et se lance dans une diatribe digne de l'idiot du village, qui parque l'on fait les mêmes bêtises que lui, se fâche et réclame, des sanctions, la guerre, que l'on pende Poutine : haut et court. Pauvre homme... L'Europe, qui malgré quelques protestations, je pense de principe ou alors il faudrait mettre en place une bonne fois pour toutes, des sanctions contre Israël qui sans aucune légitimité, si ce n'est celle des MYTHES,  maltraite un peuple qui ne lui avait rien fait.
Voila une véritable réflexion au lieu de fustiger sans tenir compte de notre propre comportement mais surtout des liens entre la Crimée et la Russie. Aucun de ces techniciens de surface, n'a fait référence à la manière dont la Crimée est devenue un territoire autonome de l'Ukraine. Oh ! Ils ont bien parle des Tatars de Crimée, alliés des Ottomans, dispersés dans les Républiques de l'ancienne Union soviétique les Balkans et la Turquie, après la défaite des Ottomans par la Russie. Et dont une partie d'entre eux sont revenus en Crimée. Mais si ces escrocs de la pensée ont fait référence aux Tatars  ce n'est pas pour expliquer l'histoire, non, c'est pour tenter de délégitimer la démarche de Poutine à vouloir protéger les habitants d'origine russe de cet ancien  territoire russe.

Quant au discours du Président de la République au diner du C.R.I.F. était pathétique. Quelles sanctions peut il réclamer autres que celles que l’Europe doit prendre contre Israël, que êtres déloyaux au possible cautionnent et se nourrissent du sang du peuple qui les à élu.

Ci dessous un article déjà un peu ancien qui retrace un peu les rapines occidentales et le merdier dans lequel, grâce à ces techniciens de serpillère, nous nous trouvons.

D'autres articles sur l'Ukraine et le FMI ; l'Ukraine et l'Europe et l'avis de personnes loyales, suivront.


  


Entrevue avec  Joan E. Garcés, auteur de “Soberanos e intervenidos” "Souverains et exploités" (IV édition)


Interview de Joan E Garcés par Enric Llopis, nous ouvre les œillères que, inconsciemment ou idéologiquement, nous nous sommes imposées. L'intelligentsia soumise à l'idéologie des va-t-en-guerre occidentaux et ses acteurs,  nous ont imposé, principalement, depuis la "Mondialisation" que le "Marché" doit tout régir, nous a entrainé vers des abimes qui trouvent dans cet article l'explication, même partielle, des crises économiques, politiques, sociétales, sociales, psychologiques, morales..., que nous traversons. Nous accordons notre confiance à des êtres qui ne nous veulent pas du bien. Nous élisons des êtres qui nous méprisent, qui nous mentent. L'intéressant serait de connaitre, principalement en Occident, pour qui œuvrent les aigrefins que nous élisons ? Nos États perdent leur souveraineté au profit : de la finance privé, d'idéologies de rapine, et où la manipulation y a toute sa place.   

Avec une préface de Mario Benedetti, le juriste et politologue Joan E. Garcés publia en 2012 la quatrième édition de l'ouvrage "Souverains et exploités" : "stratégies mondiales, américaines et espagnoles" (Du Siècle XXI). Garcés conseillé Salvador Allende entre 1970 et 1973, jusqu'au coup d'Etat militaire dirigé par le général Pinochet frustré le travail de l'Unité Populaire. En outre, en 1999, a reçu le prix Nobel alternatif. L'auteur du livre a également été l'un des principaux moteurs de la procédure ouverte en Espagne contre le dictateur Pinochet, en plus d'agir à titre de conseiller pour les plaignants dans l'affaire des disparus espagnols au Chili.

Joan E. Garces estime que les États-Unis ont utilisé l'attentat contre les tours jumelles en 2001 "comme un prétexte à des interventions préventives ou d'invasions de pays et le renversement de gouvernements qui ne sont pas à leur goût." Le recours à l'interventionnisme, prétextant d'y amener la "sécurité" au moyen d'une invasion ou l'instauration de dictatures se déroule en l'absence d'autres moyens de contrôle des ressources et des populations. Cette déstabilisation et les "coups" qui ont suivi ont eu lieu après le retour aux affaires des républicains à la gouvernance des États-Unis (en 2001) et les priorités stratégiques adoptées après l'attaque contre les tours jumelles à New York le 11 septembre 2001.

- Enric LLopis : Ces mécanismes sont liés à ceux mis en œuvre, par exemple, contre l'Unité Populaire d'Allende, que vous avez vécu de près.
- Joan E. Garcés : Ces trois pays d'Amérique latine ont subi, en effet, des modes de déstabilisation sociale et politique appliquée avant 1990, par exemple, au Chili, entre l'élection du président Allende en 1970 et les élections législatives de Mars 1973, des mesures combattues par la peuple chilien ont été remplacés par la destruction des institutions républicaines et un Etat-militaire de répression socio-économique et de contrôle de l'information, dont les effets se prolongent jusqu'à aujourd'hui. Tel que nous pouvons le voir en Europe, à ceci près, que la déstabilisation se réalise de l'intérieur, par ceux-là même élus à la charge de l'Etat au profit d'intérêts particuliers ou partisans.  

- Enric LLopis : Considérez-vous que dans des pays comme le Venezuela, l'Equateur et la Bolivie ont accédé à la souveraineté grâce aux gouvernements progressistes ? L'Amérique latine est-elle, aujourd'hui, moins dépendante des États-Unis ?
- Joan E. Garcés : L'accroissement de l'autonomie économique extérieure, l'accès au gouvernement des mouvements populaires organisés, les changements dans la situation internationale, ouvrent des opportunités aux peuples pour s'élargir et développer son système politique et économique interne. Une plus grande autonomie permet une plus grande souveraineté. Le danger réside d'utiliser cette autonomie pour entrer dans une économie spéculative.

- Enric LLopis : Quels sont d'après-vous les mécanismes qui lient les USA à Israël ?
- Joan E. Garcés : Les liens qui unissent ces deux États sont moins culturels ou cultuels que les rapports de subordinations des Présidents américains au lobbys en général, et au lobby pro israélien en particulier.  
  
- Enric LLopis : Pensez-vous que la Chine, l'Inde, le Brésil, la Russie et l'Afrique du Sud, appelés pays du BRIC, continuent-ils à valider l'hégémonie de l'empire américain ou s'est une exagération ?
- Joan E. Garcés : Pour les USA maintenir son hégémonie militaire et investir dans sa défense, plus la participation au budget militaire des 25 Etats qui le suivent dans l'escalade des dépenses militaires, coute cher. Dans la dernière décennie, la contribution américaine au budget de l'OTAN est passée de 62% à 73%.
Plus les États-Unis identifie ses intérêts avec le maintien du système capitaliste mondial, plus il relativise sa situation économique, politique, culturelle et idéologique interne. Avec l'Europe le pays le plus attaché à l'hégémonie américaine est Israël, dont il s'en sert à comme un rempart visant à cautionner sa politique, parfois même au détriment de l'influence des USA eux-mêmes, comme avec l'Iran où Israël sape ses tentatives de rapprochement.  

- Enric LLopis : Quel a été le rôle de l'OTAN dans les conflits en Libye, la Syrie et le «printemps arabe»?
- Joan E. Garcés : On connait aujourd'hui la Synthèse que fit en 1949 Lord Ismay, Secrétaire général de l'OTAN, des objectifs de : "to keep the Russians out, the Americans in, and the Germans down" «garder les Russes, les Américains, et les Allemands". La réunification de l'Allemagne en 1989, la dissolution de l'URSS en 1991 et l'organisation militaire du '"Pacte de Varsovie", ont mis l'OTAN en contradiction avec sa raison d'être.
Les interventions néocoloniales à l'extérieur des frontières de ses Etats membres, comme en Libye, a produit une telle alarme en Asie que le Conseil de sécurité de l'ONU n'a pas autorisé leur répétition en Syrie. Depuis 2004, les reculs stratégiques américaines et britanniques en Irak et de l'OTAN en Afghanistan marquent une étape. Ces "déstabilisations" servent d'avantage à l'assujettissement des Etats "aidés" et au pillage des matières premières qu'a la soi-disant sécurité apportée. 

- Enric LLopis : Comment évaluez-vous la notion de «terrorisme international» dans ces conflits et au Mali ?
- Joan E. Garcés : L'attaque sur New York en 2001 devrait être conceptualisée comme ce qu'elle était : le résultat de la conspiration d'une association terroriste,  concernant la compétence de la police judiciaire des pays concernés.
A contrario, elle a été utilisée comme un prétexte pour des «interventions préventives» ou d'invasions de pays et le renversement de gouvernements que n'aimait pas le président des États-Unis, qui s'est autoproclamé policier, juge et bourreau de massacres, meurtres collectifs ou individuels, pour légitimer la torture et centres de détention clandestins, sans distinction de nationalité ou de frontières.
Le cas du Mali est un peu différent dans la mesure où l'argument sécuritaire a été le "sésame" pour le néocolonialisme, sous prétexte de "mater" une révolution, financée et armé par le "camp" qui y apportait la soi-disant sécurité.  Deux objectif sont poursuivis au Mali, exploiter les matières premières avec un maximum de rentabilité, repousser les révoltés ver le Nord, vers l'Algérie...  
Les conséquences prévisibles néfastes pour la paix et la primauté du droit international émergent de partout.

- Enric LLopis : Vous affirmez dans l'épilogue de votre livre que la désintégration de l'Union soviétique et la réunification allemande, depuis 1989, ont dépassé les structures qui, à partir de 1945, ont incité les États-Unis pour contenir l'URSS (et partis ouvriers en Europe occidentale) et d'éviter une autre tentative de germanisation Europe.
- Joan E. Garcés : Le moteur de l'unité de l'Europe capitaliste entre 1947 et 1990 ont été les États-Unis, dès l'origine et à cette fin. Depuis 1990, ce moteur est de moins en moins présent, son remplacement a relancé les relations allemandes centre-périphérie, de domination et de subordination, avec des racines du XIXe siècle qui étaient restés latentes sous l'hégémonie des Etats-Unis.

- Enric LLopis : Vivons-nous actuellement sous le IV Reich ?  
- Joan E. Garcés : L'eau ne passe pas deux fois sous le même pont. Les garnisons US sont toujours stationnées en Allemagne (et d'autres pays). Le fondateur de la dynastie financière Rothschild constatait en 1790 : "Laissez-moi les pièces et le contrôle de la monnaie d'une nation et je ne me soucierais pas de savoir qui écrit les lois." Et si l'occident, les USA déstabilisent tous ceux qui lui déplaisent, la finance mondialisée fragilise ceux qui s'opposent à sa politique financière ou/et idéologique.    

- Enric LLopis : Y a-t-il des mécanismes d'intervention nouveaux qui limitent ou suppriment la souveraineté des pays, par exemple dans l'Union européenne ? Quels sont-ils ?
- Joan E. Garcés : Le contrôle de l'Euro par les institutions qui servent les intérêts d'un autre pays, subit une sorte de «protectorat», sans l'envahir.

- Enric LLopis : Aussi vous vous référez aux emprunts et à la dette dans l'économie mondiale, agissant comme des éléments d'intervention et de domination. Y a-t-il des exemples historiques de refus de payer la dette et qu'aujourd'hui pourraient être suivis ?
- Joan E. Garcés : Ils y en a, ils doivent être étudiés et connaitre leur utilité dans des circonstances particulières de temps et d'espace. Et innover, sans aller plus loin de ce qu'a fait l'Islande, après avoir été frappé par la crise financière initiée en 2007 aux États-Unis, avec la Banque Goldmann-Sachs et la escroquerie des supprimes.

- Enric LLopis : La démocratie est kidnappé par le secteur bancaire et le capital financier, que les partis politiques ne sont pas autonomes. Si c'est ainsi, quels sont les mécanismes ? Comment se concrétise cette subordination ?
- Joan E. Garcés : L'endettement des États, la cooptation et contrôle des individus dans un système électoral de listes bloqués et fermées dans des circonscriptions provinciales, depuis 1977 ont été conçu comme un moyen de perpétuer les structures et intérêts engendrés pendant une longue période antirépublicaine.

- Enric LLopis : Enfin, vous soulignez que «le présent n'est pas prisonnier, ni ignorant de l'histoire." Quelles sont d'après vous les possibilités de fissure, dans l'hégémonie du capital financier dans la périphérie européenne, par exemple ?
- Joan E. Garcés : Les fissures sont visibles, les alternatives le sont moins. Les construire requiert persévérance dans la volonté, l'organisation, coordinations internes et internationales. 


mardi 4 mars 2014

UKRAINE -La légitimité des gouvernements élus -



Les gouvernements élus sont-ils légitimes ? 
S'ils sont dans la sphère atlantique oui, y compris si leur gouvernance se réalise contre les intérêts du peuple. A contrario les gouvernements élus démocratiquement, ne sont pas à l'abri d'un soulèvement y compris "populaire", a fortiori lorsqu'ils sont fomentés par cet Occident qui se dit "démocratique".

C'est étrange qu'avec l'Ukraine, après l'Egypte, -pour ne citer que les plus récents- un gouvernement élu démocratiquement soit renversé, ou comme en Palestine, discrédité et enfin décompte ignoré et la population brutalisé. Qu'ont en commun ces gouvernements ? Ils ne mènent pas -directement ou indirectement- une politique pro israélienne et plus largement globalisante. Et comme derrière Israël il y a les USA... Qui suivant la déclaration de Georges Kennan, l'Amérique et les néoconservateurs (pro sionistes) se donnent les moyens de leur politique.

En Palestine où l'élection de la formation politico-religieuse Hamas se déroula incontestablement démocratiquement, fut contestée par cet Occident qui se dit démocratique. Bien entendu le prétexte employée n'a pu être l'illégitimité acquise par l'élection puisque le scrutin s'est déroulé avec la plus parfaite loyauté. C'est donc par la ruse que l'on à tenté de déstabiliser l'élection en accusant le Hamas de parti du terrorisme issu des Frères musulmans et tout le toutim...
Pourtant, il ne peut être reproché au Hamas aucun acte violent qui ne soit un fait de résistance. Je disais par la ruse pour le déstabiliser ! Mais c'est l'hypocrisie la plus acérée qui fut employée, puisque avec l'aide des USA et Israël que le pouvoir déchu, le Fatah, assassina ou emprisonna les élus et sympathisants du Hamas en Cisjordanie. Israël pouvait être satisfait, les palestiniens s'entretuaient. La duplicité occidentale ne s'est pas arrêté là, puisque cet Occident qui se dit démocratique (j'insiste fortement, sur: qui se dit démocratique) refusa le verdict des urnes et suspendit son aide au nouveau gouvernement légitime, élu sans contestation possible. La tartuferie ne s'arrêta pas là. Cet Occident que seuls les êtres stupides croient encore démocratique, ne reconnaissait comme seul représentant légal de la Palestine -malgré son échec à l'élection- Mahmoud Abbas issu du Fatah.

En Egypte, après le soulèvement populaire et la destitution du despote Moubarak la formation politique qui remporta les élections qui ont suivi fut les Frères musulmans et Mohamed Morsi élu Président de la République. On peut toujours épiloguer sur le fait délire un parti religieux, cependant Mohamed Morsi proposa un consensus pour former le gouvernement et proposé à l'opposition des postes ministériels. Mais comme manifestement le nouveau président, dont l'élection fut étroitement contrôlée, n'était pas la marionnette que les USA et Israël espéraient, il fut renversé par le coup d'État du 3 juillet 2013 organisé par l'armée, avec la complicité de la C.I.A., que les médias occidentaux attribuaient à un vaste mouvement populaire, soi-disant protestataire qui s'est très vite révélé comme étant une manipulation de plus. En effet les USA menaçaient de couper les subsides  qui bénéficiaient en grande partie à l'armée égyptienne, si...
[A ce sujet il faut dire que si l’Égypte bénéficiait de 260 millions de dollars annuels, Israël bénéficie lui de 3 milliards de dollars d'aide tous les ans]. Le contribuable américain paye ? Oui. Le calcul de l'AIPAC ou des autres lobbys juifs pro israéliens  est très simple et rentable. En finançant tout ou partie des campagnes électorales, ces lobbys ont un excellent retour sur investissements... Le système américain est tel que les élus restent prisonniers de leurs "mécènes". En France le financement étant contrôlé, la manipulation se réalise par le matraquage médiatique et les sondages, que seul les pasteurisés des méninges peuvent croire.


En Ukraine après l'élection de  Viktor Iouchtchenko avalisé par l'occident termina, lui, son mandant, malgré l'incapacité à résoudre les problèmes économiques et le mécontentement de la population. Il fut battu dès le premier tour dans l'élection qui suivit par 
Viktor Ianoukovytch l'actuel Président trop prés du pouvoir russe, au gout de cet Occident "démocratique", à été "destitué" suite aux affrontements sanglants de ces dernières semaines. Fallait-il attendre les prochaines élections ? Seuls les ukrainiens peuvent le dire. Mais la question reste posée: les violences sont-elles l'affaire des seuls ukrainiens ? Il n'y a pas eu là des -pousse au crime- pour faire basculer le pays dans le camp occidental et discréditer celui qui s'oppose, entre-autres à une intervention du Conseil de Sécurité en Syrie et en Iran ?

Ce post ne se veut pas un encart historique, sa seule prétention est vous faire méditer sur le comportement  occidental qui fomente des guerres et déstabilise les Etats.

Le pourquoi que l'occident à rejeté le Hamas parait clair: "Eliminer un obstacle qui s'oppose à la politique israélienne". Et les guerres néocoloniales dont nous sommes les témoins suivent sous une forme différente le même objectif: l'Irak, la Lybie, le Mali et aujourd'hui la Syrie. Eliminer un pouvoir islamique en Egypte, cule aussi de source. Islamisme assimilé par la propagande sioniste au terrorisme a été déterminant, désormais il suffit de prononcer le mot islamisme pour l'associer au terrorisme, et qui dit islamisme dit Musulmans, dit Arabes, les discréditer permet "d'affaiblir un pouvoir qui pourrait se révéler contraire aux intérêts d'Israël".
Au Mali, le néo-colonialisme poursuit son œuvre,  avec le soulèvement de populations, qualifiées d'islamistes. En Centre-Afrique, les médias annoncent le massacre des Musulmans par les Chrétien. Mais se gardent de donner toute l'information, ils ne disent pas que ces Chrétiens là sont des évangélistes, un mouvement qui a aujourd'hui une très grande influence politique aux USA et qui se basant sur la prophétie biblique, déclarent que les Juifs doivent se réunir en Israël et militent en ce sens.

L'Ukraine, [où les grandes-gueules incultes, françaises, américaines... accusent l'action Russe sans tenir compte de l'histoire, (parmi elles des juifs sionistes comme Bernard Heri Lévy -dont l'illumination ne fait plus illusion- ; le Jeune Gluckmann -tout aussi déloyal que son père- ; mais aussi Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères et sioniste ; François Hollande Président et sioniste), oublient les arguments employées pour l'obtention par les Juifs d'un territoire à l'ONU, ces êtres font référence à l'histoire que lors qu'elle leur convient, comme le font tous les nains intellectuels].  
L'Ukraine, disais-je, suit le même raisonnement: le gouvernement d'Ianoukovytch proche de la Russie, la Russie de Poutine qui tient tête à l'Occident, qui use de son veto au conseil de sécurité dans les résolutions contre la Syrie, l'Iran [...] qui condamnent la politique criminelle d'Israël. L'Ukraine présentait le double avantage: (après les émeutes savamment orchestrées) tenter d'y faire élire un fantoche et d'affaiblir l'influence de la Russie de Poutine.

Les experts s'accordent pour affirmer que la déstabilisation économique et politique mondiale n'est pas liée au conflit du Proche-Orient. Et dans un certain sens on peut le croire. Les Etats sont déstabilisées, des guerres sont fomentées, avec le label: économique, ethnique, religieux, parfois même dans un mixage de ces "ingrédients", mais tous ont deux responsables : soit les richesses de leur sous-sol, soit des intérêts sionistes à préserver. J'emploi le vocable sioniste plutôt qu'israélien parce que les enjeux dépassent le cadre du Proche-Orient, et derrière ces déstabilisations il y a l'intérêt supranational  des nouveau Maitres du Monde incarné par le Groupe Bilderberg où les chantres de la mondialisation tel que nous la vivons y ont le gite et le couvert.        

Ce que je crois, que tant que nous n'aurons pas trouvé de solution juste et durable au conflit israélo/palestinien ; tant que les USA seront soumis au dictant de l'argent, pour financer les élections ; tant que nos dirigeants économiques et politiques, journalistes, personnalités influentes, seront cooptés par le Bilderberg qui leur impose les décisions prises en cercle restreint. Que ces élites par leurs origines ou par cupidité s'empresseront d'exécuter et ne placeront pas la justice (la vraie) au pinacle de leurs illusions, la prédation des ces "élites" restera ce qu'elle est.