vendredi 13 juin 2014

Après la Crimée...



La Vanguardia (journal barcelonais)
21-03-2014

L'Union européenne ne peut ignorer le signal, faire comme si rien ne s'était passé et continuer à contribuer à la violence en Ukraine et a l'exaspération mondiale



La Crimée signifie que les choses ne seront plus comme avant en Europe. On ne peut plus continuer d'abuser la Russie. Qui ne l'entend pas ainsi devrait réécouter le discours de Poutine, et d'observer sa chorégraphie. Il n'y a pas de retour en arrière. Russie, qui tout en étant une autocratie a une politique extérieure beaucoup plus prudente, plus responsable et constructive que ses partenaires européens, a parlé à l'Occident dans la langue que lui-même utilise et comprend: le langage de la force et le mépris de la légalité.
Ce mépris de la légalité et l'utilisation de la force est le langage qu'ont utilisé les USA, après la Seconde guerre mondiale et qu'a tenu Israël depuis sa création, soutenu, financé et cautionné par cette Amérique, phagocyté par les lobbys juifs.
L'Europe suit le même chemin à la nuance près que, si les USA font la guerre à l'extérieur de ses frontières pour des raisons apocryphes, l'Europe s'en prend, elle, à ses propres citoyens pour des raisons inavouables.    

Depuis la signature de la Charte de Paris pour une nouvelle Europe de Novembre 1990 ("Qu'est-ce que c'est?" se demandent les inutiles experts de nos think tanks atlantistes), L'Occident a bafoue l'accord général qui avait mis fin à la guerre froide (créer une sécurité continentale intégrée,  il ne s'agissait pas d'apporter une  sécurité à l'autre et de renoncer aux blocs) isolant la Russie ; occupant et militarisant tous les espaces que son exemplaire retrait a laissés libres, l'avancement de l'OTAN, installant des boucliers de missiles au sens stratégique clair: bloquer et délégitimer toute "tentative impériale de reconstruire l'URSS" tentative consolidant Moscou pour créer une grande zone commerciale sans douane. Cela s'est produit en Europe de l'Est, en mer Baltique, en Transcaucasie et en Asie centrale. En Ukraine l'Occident est entré en collision avec une ligne rouge.

Il me parait clair que le caractère va-t-en-guerre des dirigeants occidentaux est directement lié à leur incompétence. La guerre, le vol, la spoliation, l'assassinat est tellement plus aisé, qu'une gestion rigoureuse et loyale de nos Etats. Rigoureuse, oui mais pour tous les citoyens contrairement a ce que pensent ces escrocs que nous avons élus : s'engager en politique pour se servir de l’État, au lieu de le servir. Quand je pense que le socialiste Hollande s'est parjuré (comme la plupart d'ailleurs) pour se faire élire en gardant la tête haute, je me dis que les partis politiques, sont l'équivalent de la Camorra ou les associations de truands.

Le changement de régime induit à Kiev, profitant d'une révolte populaire légitime et sur un script des États-Unis avec les polonais comme protagonistes, accompagnés par les européens, a été un excès. Même si la moitié de ce qu'a révélé le Général Aleksandr Yakimenko, ancien chef des services secrets ukrainiens, en matière de financement, de franc-tireur, le rôle des ambassades, les camps d'entraînement, etc., n'était pas vrai, on est devant un cas d'école. Et le résultat de cet excès, un gouvernement arrivé au pouvoir irrégulièrement, qui n'est pas reconnu par la moitié du pays, a annoncé une longue instabilité. Réduire "l'agitation moscovite" le mécontentement que l'administration de Kiev sème avec ses décisions maladroites (annulation de la loi sur les langues co-officielles, l'introduction de visas avec la Russie où 3 millions d'Ukrainiens travaillent, vengeance et représailles contre les leaders du désaccord avec tout cela) souvent appliqué par les force d'extrême droite représenté dans le gouvernement, les ministres de la justice imposés, est une folie.

En Crimée, la Russie a prévenu qu'elle ne cédera plus parce qu'il n'y a plus de terrain où se replier. "Continuellement on nous accule parce que nous avons une position indépendante (dans le monde), mais tout a ses limites et avec l'Ukraine, nos partenaires occidentaux, ont transgressé ces limites de manière grossière et irresponsable", a déclaré M. Poutine.


Deux options.
Après la Crimée l'Union européenne dispose de deux options. L'une est de reconnaître que la Russie a des intérêts géopolitiques légitimes, concernant à la fois la sécurité et l'économie, qui doit être pris en compte. Pour cela, il est nécessaire de corriger certaines erreurs flagrantes et commencer à penser dans un système de sécurité continentale intégrée, conforme à la Charte de Paris de 1990. Prendre conscience que l'Ukraine ne sera pas stable avec un gouvernement hostile à la Russie, qui "regarde" exclusivement vers l'Occident et dont la moitié du pays s'impose sur l'autre moitié. Cela est très bon pour obtenir l'installation des bases militaires à la barbe de Moscou, mais c'est aussi la perspective d'une guerre civile. Contre cela la solution est évidente: un gouvernement représentatif de la diversité ukrainienne, des garanties de neutralité et relations bilatérales non exclusives vers l'Est et l'Ouest. Pour cette option, il faudra les politiciens et hommes d'Etat européens prudents, avec une vision large et conscients  qu'en période de crise attiser la violence avec des propositions exclusives en Ukraine est une double imprudence.

Tout cela suppose l'autocritique et repenser fondamentalement nos relations. Cela implique aussi, une certaine émancipation des USA dans la conception de la politique étrangère européenne de la part des pays comme l'Allemagne et la France.
  • En premier le renforcement clairement exprimé de son vecteur militaire interventionniste qui déplait tant à ses citoyens. Deuxièmement les honteuses aventures comme en Libye, de même facture : le projet criminel contre d'Irak, dont plus personne ne parle du déroulement catastrophique du pays.
- On est le 12 juin 2013, et depuis deux jours l'offensive islamiste émeut, un peu, à nouveau l'Occident. Mais, comme ce dernier à exprimé l'Irak jusqu'à la lie, sera-t-il encore intéressé ? Et dire que l'agression contre l'Irak à eu comme argumentation, la Lutte contre le soi-disant terrorisme que ces escrocs ont eux-mêmes financé et armé. 
 
  • La deuxième option consiste à poursuivre la même politique. Et continuer à "fourrer son doigt dans l'œil de l'ours russe", plus de militarisation à la barbe des russes, continuer à diaboliser Poutine,  les sanctions doubles de la Russie et de Poutine. Poursuivre la politique de deux-poids deux-mesures et plus de sanctions. C'est à dire, continuer comme si la volte-face de la politique russe en Crimée - qui a montré "jusque où nous pouvions aller" - n'avait pas eu lieu. L'Ukraine est le terrain idéal pour pousser l'Europe vers une dynamique de crise destructrice et militarisé qui pourrait générer des conflits armés en Europe et une nouvelle guerre froide de caractère mondial. Si pour la première option précise des politiques prudents, pour elle (Europe) avec une poignée de crétins irresponsables à Bruxelles, Berlin et Varsovie. Il faut le dire : cette deuxième option serait la continuation logique de l'indécente et antisociale politique que nous avons vu sur le continent en matière bancaire et monétaire des dernières années.

Sanctions y effets.
Il ne fait aucun doute que, dans les sanctions, l'Occident est plus puissant que la Russie. Beaucoup plus. Seul le krach boursier de Moscou qui s'est produit a déjà coûté à la Russie 60.000 milliards de dollars, plus que les jeux de Sotchi. L'important actionnariat occidental  d'entreprises stratégiques russes comme Gazprom ou Rosneft permet tous les types de chantage à Moscou ça fait mal. L'Europe peut également plier à la stratégie de Washington, avec de larges échos à Varsovie, de mettre fin à la «dépendance» européenne au gaz russe, faisant usage de la catastrophe écologique que représente l'extraction du gaz de schiste et la construction de l'infrastructure nécessaire à la réception liquéfié du gaz de schiste depuis l'Amérique. Pour cela il suffit de s'abandonner à la rondelette inertie de la guerre froide et oublier les idées basiques des pères fondateurs de l'Union européenne comme Jean Monnet, à savoir; que l'interdépendance est la clé de la paix et une alternative à la confrontation.
Fait-il encore élire des dirigeants honnêtes et non soumis aux concepts criminels. L'atlantisme de l'Europe est contre productif, autant par la déclaration d'après guerre de Georges Kennan, que du fait que les USA sont phagocytés par le lobbys militaro-industriel, pétrole et lobbys juifs, qui financent les besoins abyssaux des campagnes électorales. Pour le lobby juif, financer le futur président est un placement rentable, puisque les USA financent et arment Israël. Terreau de la déstabilisation mondiale. Autrement dit: tant que seront élus des hommes favorables au sionisme (juifs ou non) en Occident, croire que l'on peut parvenir à la stabilité internationale est une gageure. 
Sans doute que la Russie souffrira plus que l'Union européenne dans cette escalade insensée. Mais la Russie a une énorme capacité d'endurance. Confronté à de véritables sanctions, si vous lui coupez les veines de ses exportations d'énergie vers l'Europe.

Poutine cogite depuis de longues ce qui peut être considéré comme un projet particulier néocon (appellation donnée aux néo conservateurs en Amérique) slave-orthodoxe alternatif au "déclin de l'Occident". Ce projet prend sa force dans l'expérience que le pays a accumulée depuis les années quatre-vingt; la certitude que le monde ne respecte pas les faibles, que le libéralisme comme règle intérieure et la confiance dans les affaires extérieures conduisent uniquement à des abus et tenter de dominer la Russie. Tout ce qui pousse vers un nouveau nationalisme élitiste, au reflexe de réduire l'interdépendance, au retour à la mentalité soviétique de forteresse assiégée, à un retour à l'Est et rejeter ce qui reste de l'esprit démocratique qu'apporta perestroïka de Gorbatchev. (Andrei Medushevski en www.gorby.ru). Et, bien entendu, pousse également vers une "réponse cohérente."

Ces derniers jours, à été enregistré un retrait de capital, des fonds des États-Unis sans précédent (100 000 millions d'euros) attribué à des fonds russes. Poussé à son extrême, la réponse russe aux sanctions européennes précipiterait l'Allemagne (et l'Europe avec elle) définitivement à la récession. Dans le pire des scénarios, Moscou préparait représailles qui incluent la saisie des bien des 6000 entreprises allemandes présentes en Russie s'est vu avertie la communauté d'affaires allemande. En six ou sept ans, la Russie peut également tracer de nouveaux filons et exporter en Chine, quelque chose qui a déjà été fait. Se dessinerait quelque chose semblable à une nouvelle bipolarité  Est/Ouest qui est apparemment le schéma réservé aux stratèges du complexe militaro-industriel et  l'énergie des États-Unis sachant le faire fonctionner, et dans laquelle ni Pékin ni Moscou sont intéressés. L'Europe l'est-elle ?



Invitation au désastre
Niché dans une crise dissoute qui termine avec les dernières apparences de ce «club d'égaux et prospères» qui nous a été vendu prêt à se diffuser dans le monde son bienveillant "soft power", l'Union européenne, avec la maltraitance de sa périphérie et ses prétentions hégémonique et autoritaires de son centre, chemine décidé vers sa potentielle désintégration interne, tandis qu'elle réaffirme vers l'extérieur son vice historique du colonialisme-impérial, le meilleur exemple est la présence militaire en Afghanistan, en Libye, en Afrique, en Syrie, et en général dans la doctrine de sécurité allemande.
Le retour du monde occidental vers le colonialisme joue incontestablement en faveur du sionisme. Et réaffirme l'utopique contestation des Palestiniens. Notre destin est intimement liée à celui des palestiniens, il ne peut y avoir de réelles avancées humaines, de paix, de prospérité sans le droit des peuples à choisir leur destin. Ceux qui pensent autrement ce sont, justement, ceux qui appauvrissent les populations mondiales à leur seul bénéfice...

Il ne manque pas des fous qui voient en Ukraine la grande opportunité pour que l'Europe se décide pour une «politique étrangère cohérente" et agressive. L'énorme et négligente stupidité ukrainienne, "s'aurait pu être le début de quelque chose de grand", disent certains crétins depuis les correspondant «think tanks» (Carnegie Europe). Ils ne manquent pas ceux qui recommandent à l'Ukraine de s'armée et acquérir des armes nucléaires (Andrei Illarionov en Pravda.com).

Après la Crimée, quand tous les indicateurs suggèrent la prudence et de la modération, une armée de irresponsables invite à la colère, demandant une ligne dure dans les médias. Face à un tel aveuglement, après la Crimée il faut avoir bien en main les arguments contre la guerre en Irak et les volontés du mouvement de paix allemand du début des années quatre-vingt. En temps de crise les généraux et exportateurs d'armes cotisent à la hausse des confrontations en Europe et l'extrême droite en plein essor non seulement en Ukraine, est particulièrement sensible aux battements de tambours.

L'extrême droite n'est pas la solution, nous le savons tous, mais elle n'est pas, non plus le danger sociétal que, justement, ceux qui nous ont mis dans ce dénuement, voudraient nous inculquer. Ils s'enrichissent sur notre dos.



mardi 10 juin 2014

Etrange vision de la ligue anti-diffamation sur l'antisémitisme


A la lecture de ce "post" vous serez tenté de penser qu'une manipulation mentale aussi grossière ne peut pas se produire chez nous. Que nos pouvoirs publics ne sont pas aussi déloyaux. Mais s'il vous arrive de réfléchir un peu, vous aurez remarque que chez nous, les manipulations sont bien plus raffinées. Ces agissements inacceptables au demeurant, que se soit dans une démocratie ou même un pays comme la France, (depuis Sarkozy, Hollande et plus largement dès que des dirigeants favorables à Israël ont phagocyté notre pays) qui n'est plus une véritable démocratie mais un pays soumis à l'influences des juifs favorables au sionisme, comme aux USA ou même l'Europe actuelle*.    
Ne parlons pas des manipulations exercées par les média, journalistes et personnalités qui y ont accès. Rares sont les journalistes qui analysent le monde avec justesse et loyauté, quand a ces personnalités (payés pour nous induire en erreur) s'autoproclamant experts ou que sais-je encore, serviteurs (pour ne pas dire laquais) de la pensée unique qui opprime les peuples, s'autorisent à trafiquer la réalité des événements historiques dans une sauce tellement rance, quelle pue l'hypocrisie, le crime, la escroquerie intellectuelle ou/et financière. Des êtres si stupides qu'ils croient leurs mensonges, une fois parus ou diffusés. Des êtres qui sans la force des armes et la puissance de la finance seraient illico internés dans un hôpital psychiatrique tant ils sont atteints de psychopathie schizophrénique.
* L'Europe actuelle, depuis Baroso et l'influence des députés juifs ou favorables au sionisme, cette Europe n'a plus rien de commun avec la philosophie de ses pères.
Il faut être totalement stupide pour se demander aujourd'hui pourquoi l'Euroscepticisme existe.

Etrange vision de la ligue anti-diffamation sur l'antisémitisme dans le monde (et à Hébron)

Haaretz
27-05-2014
Pourquoi les sondeurs ne demandent pas: Combien de personnes connaissez-vous dont les terres ont été volées par des Juifs ou des personnes a qui les Juifs ont expulsés de leurs maisons?

Les manifestants palestiniens font face à un soldat israélien au cours d'affrontements lors d'une manifestation contre la fermeture -pour les palestiniens- de la rue Shuhada à Hébron, le 21 Février, 2014.

 
Photo: Reuters

La ligue Anti-Diffamation et l'entreprise chargé du sondage visant à mesurer l'antisémitisme, considéra opportun de poser a un polonais, un chinois et à un palestinien les mêmes 11 questions.

L'enquête comprenait 11 déclarations reflétant des stéréotypes anti-juifs. Toute personne répondant que six ou plus de ces déclarations étaient vraies, a été défini comme antisémite. Les rapports de presse sur l'enquête ont crié de joie, que les Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza ont été qualifiés les plus antisémite de tous.
Cette conclusion exprime clairement leur psychopathie schizophrénique. En effet : "l'antisémitisme, comme le racisme est de faire du tord à quelqu'un du seul fait de ce qu'il est" Les palestiniens ne veulent pas faire du mal aux juifs pour ce qu'ils sont, mais pour ce que les juifs leur font. Nuance somme toute logique que ces malades mentaux sont incapables de différencier. 

Ce dernier mardi après-midi, les sites Web israéliens ont publié leur conception au sujet de cette énorme enquête (il y avait 53 000 participants, qui nous renseigné sur les ressources financières de l'ADL).

À environ 22:30 heures, les troupes de l'armée ont pris d'assaut la maison de la famille de Saddam Abu Sneineh dans la vieille ville d'Hébron, qui est dominé par quelques deux milles de colons et soldats juifs. Le message texte m'est parvenu seulement le mercredi matin, sur cette spoliation. Dès que je l'ai vu, j'ai été submergé par la culpabilité. Deux semaines plutôt, lorsque  l'incident dans lequel a été impliqué le soldat du Nahal, David Adamov au retour de son circuit, les troupes d'occupation ont arrêté -sous une fausse accusation- Abu Sneineh, l'un des habitants d'Hébron que Adamov avait menacé d'un fusil. [Dans un premier temps, Abu Sneineh, 20 ans, ne voulait pas parler des 24 heures passées en détention et les mauvais traitements et abus qu'il a subi. "J'avais peur que cela ne provoquer les soldats, que les amis de Adamov, m'attaquent de nouveau. Plusieurs jeunes Palestiniens et moi avons essayé de le convaincre que la publication d'articles sur la terrible expérience était une forme de protection".]

Le porte-parole de l'Office des Forces de défense israéliennes a préféré de ne pas commenter mes questions sur l'arrestation illégale d'Abu Sneineh et l'abus des soldats. Et maintenant, quatre jours après que mon article a été publié sur l'événement (le 9 mai), les soldats se sont présentés à sa maison.
Ils ont dit qu'ils étaient venus pour l'arrêter à nouveau. Les soldats l'ont frappé, les membres de sa famille ont tenté d'empêcher son arrestation, les soldats les ont également battu et ont arrêté le frère de Saddam, Jibril 30 ans.
J'ai tenté de prendre connaissance des raisons de l'arrestation mercredi matin dans le bureau du porte-parole de l'armée israélienne pour commenter l'information que j'avais reçue, et la conclusion (la mienne), c'est que l'arrestation était un acte de représailles par les soldats qui accompagnaient Adamov.
Quelques heures plus tard j'ai reçu les nouvelles confirmant qu'Abu Jibril Sneineh avait été emmené au commissariat pour interrogatoire, relâché et admis dans un hôpital palestinien. La réponse à ma demande au bureau du porte-parole de l'armée israélienne est arrivée le jeudi matin:
"Au cours d'une opération de routine des troupes de l'armée, qui étaient à la recherche d'armes à Hébron, un conflit a éclaté entre les habitants et les soldats, quand un Palestinien a tenté d'attaquer les troupes utilisant des armes blanches", a déclaré le porte parole de l'Armée israélienne, se référant à d'autres armes que les armes à feu. "Les troupes ont arrêté l'agresseur, qui a été transféré à la police israélienne et libéré."

Comment est-il possible qu'une maison devient un «terrain d'opérations»? Pourquoi il n'y a pas eu d'autorisation d'informer la famille, que les soldats avaient arrêté a nouveau Saddam et à nouveau battu ? Comment se fait-il que la police a immédiatement libéré un Palestinien qui avait tenté d'attaquer un soldat ? La réponse est connue seulement par les conseillers juridiques et les commandants militaires qui ont besoin de 24 heures pour parvenir à une réponse.

Comparant Islande avec Gaza
Mais nous parlons de l'enquête de la Ligue Anti-Diffamation sur l'antisémitisme. Dans un de ses bureaux, les noms des pays dans lesquels le nombre de Juifs est assez grand (au moins 10.000) ont reçu un astérisque. Les questionnés de ces pays ont reçu quelques questions supplémentaires. Il y avait un astérisque à la Pologne, non à la Chine, ni en Cisjordanie ou pour la Bande de Gaza. En d'autres termes, la ligue Anti-Diffamation avait libéré de la Cisjordanie de la présence inquiétante, arrogante et agressive de quelques 550.000 colons juifs. La Ligue estime également que les mêmes règles qui s'appliquent à l'Islande et au Laos s'appliquent à la bande de Gaza: Dans les trois cas, la familiarité avec le concept «juif» est abstraite parce que peu de Juifs y vivent.
Les invasions militaires (réalisées par les Juifs) presque tous les jours, des milliers de personnes ont été assassinés par des juifs, près de 40 ans colonisation, 40 ans de patrons juifs (bons et mauvais), des dizaines de milliers d'habitants de Gaza porteurs de souvenirs déchirants des juifs qui les ont expulsés de leurs villages et maisons, rien de tout cela est pertinent pour les personnes qui ont réalisé l'enquête de la ligue Anti-Diffamation.
C'est une certitude les autorités israéliennes et les juifs qui les soutiennent ou absolvent leurs crimes prennent les goïms pour des êtres stupides, y compris ceux qui les financent ou cautionnent leurs crimes.
Les mêmes questions ont elles été posées aux gens à Reykjavik, Vientiane et dans le camp de réfugiés de Jabalya ? A aucune d'elles ces questions ont été posées: Combien de fois avez-vous été frappé par un Juif ? Combien de personnes connaissez-vous dont la terre a été volée par des Juifs ou expulsées de leurs maisons par les Juifs ?

Cela me rappelle. Quand mon père était un enfant en Roumanie, il a appris qu'il était préférable de garder les stores fermés le dimanche, lorsque les populations locales allaient à l'église. Ses données biographiques comprennent l'expulsion de la maison avec des milliers d'autres personnes et trois ans dans un ghetto. En d'autres termes, il a étai victime de l'antisémitisme. Mais que font les Juifs aujourd'hui...
Heureusement, il est mort en 1997, sans voir jusqu'à quel point l'occupation juive de la Palestine était arrivée et ressemblée à sa biographie. Mais déjà 1991, quand je suis retourné à Gaza avec des rapports sur la façon dont l'occupation extirpait l'argent aux Palestiniens, dit-il avec un soupir d'amertume et de douleur, dans sa typique manière de parler généralement exagérée en yiddish: «Israël est entrain de justifier rétroactivement ce que les antisémites disent sur nous depuis 2000 ans ".
Cette dernière phrase résume l'historiographie mouvementée de la communauté juive. Et si chaque homme est responsable de ses rapports humains les Juifs méritent ce qui leur est arrivé ou arrivera... On ne peut abuser indéfiniment son prochain.
Que penser du premier ministre français Manuel Valls ? Lui, qui s'est totalement soumis aux mensonges israéliens et qui déclare que : "l'antisionisme est de l’antisémitisme déguisé", que ; " c'est l'antisémitisme des gens qui n'acceptent pas Israël".
Cet homme sans caractère propre, qui épouse la vision criminelle de la confession de sa femme devrait se poser la question de savoir: si pendant la Seconde guerre mondiale,  avons-nous combattu les Allemands ou le nazisme ? L'illumination par procuration de cet homme me déçoit, m'attriste. 
Ce homme est un manipulateur, un nain-intellectuel et un escroc de la pensée (il n'y avait pas derrière lui lorsqu'il a prononcé son discours, Bernard Henri Lévy -BHL- le plus fourbes, le plus déloyal des "intellectuel" pour brebis égarées franco/israélien 
- Primo, s'il existe une race sémite, (dont les palestiniens font partie) le sionisme est une, idéologie et si l'antisémitisme est racisme, l'antisionisme est de l'ordre du débat d'idées (idéologie) et combattre une idéologie qui spolie un Peuple et s'empare de ses terres, maisons etc. etc. est, n'en déplaise aux escrocs de la pensé juif ou non, une bonne chose.
- Secundo, que les juifs d'Europe voulant vivre en paix en Palestine,  veuillent immigrer en Palestine qu'il le fassent, mais par l'amour de Dieu pas à la place du Peuple autochtone. D'ailleurs les premiers juifs immigrés en Palestine ont été accueillis comme des frères. C'est en constatant qu'ils accueillaient-là, leur futur bourreau qu'ils leur imposaient (par l'influence du lobby juifs américain) la soumission ou l'expulsion (par la violence) qu'il n'ont plus été d'accord et que la résistance s'est organisée.
- Tertio, Comment voulez-vous que la France se redresse, si elle nomme au poste de Premier ministre, un homme soumis à des criminels !  
Je dois avouer que la stupidité et la soumission de la majorité de la population mondiale, m'enlève tout espoir dans l'homme. Nous sommes des moutons qui ne méritons pas autre destin que celui qui est le notre. L'arrogance affichée de la majorité des  juifs et acolytes, me fait penser qu'ils ont raison. Nous sommes nés pour les servir...  


C'est parce que la communauté juive abrite en son sein la secte sioniste, au comportement incompatible avec la bonne séance qu'il devrait y avoir entre les hommes, que l'ensemble de la communauté est victime des conséquences d'un tel comportement.
 
L'un des 11 énoncés de l'enquête - faite en Ukraine, au Liban et à Hébron - était: "Les gens détestent les Juifs à cause de la façon dont ils se comportent." Cela indique d'avantage la méthode dont à été posé la question. Ainsi, il n'existe aucun lien entre le subjectif et le contexte social et historique du site concerné. L'interaction entre un Juif et un non-Juif à Riga est identique à celle de Jénine.  (Camp de refugiés palestiniens où l'armé israélienne y opère fréquemment des raids où les palestiniens sont tuées ou au mieux arrêtés, sans motifs.)
Si la Cisjordanie et la bande de Gaza, qui ont été sous l'occupation juive continue, n'auraient pas été incluses dans l'étude, ses conclusions auraient pu être une base de discussion. En y incluant les territoires palestiniens occupés dans l'enquête, elle devient un outil de propagande pas chère et dangereuse.

Les Juifs, enfin tous ceux qui, juifs ou non, cautionnement et soutiennent les crimes israéliens, ont un droit de racisme. Racisme que l'on peut remarquer tus les jours dans les média?. Nombreuses sont les personnalités qui au titre de leur métier, fonction, influence dénigrent ou qualifient de racisme, ils vont même jusqu’à menacer, celui qui n'est pas d'accord ou qui dénonce les crimes que les Juifs commettent en Palestine y compris en les qualifiant d’antisémite. Il y en a même qui, et pas le moindre d'entre-nous puisque c'est le Premier ministre M Manuel Valls, qui va jusqu’à déclarer que antisionisme est de l'antisémitisme déguisé. C'est à dire que les Juifs/sionistes ou ceux qui les soutiennent estiment que dénoncer les actes justiciables (crimes ou/et détournements) qu'ils commettent par ailleurs et pas seulement en Palestine est passible d'une condamnation judiciaire. C'est purement et simplement de la dictature d'une bande d'escrocs de pensée qui estime que seul la leur est acceptable...