Ce
"post" décortique, avec une précision chirurgicale, la politique
nauséabonde que l'Occident déploie en général et en particulier en Ukraine. Comme
en Égypte un président élu est renversé avec l'aide financière et
"logistique" de la C.I.A. avalisé par cet Occident, que seul les êtres
stupides peuvent encore croire démocratique.
Pour faire quoi
? Y installer un fantoche, qui sauvegardera les intérêts de l'Occident qui
finance, cautionne et justifie les crimes israéliens depuis plus de 60
années.
Sous cet angle,
on comprend mieux pourquoi, par exemple, Laurent Fabius, juif (ce qui ne
regarde que lui, pro israélien ce qui nous concerne, par la caution qu'il donne,
entant que ministre des Affaires étrangères "Français") et a menée
une politique outrageusement a charge contre le dirigeant Syrien, Bachar
el-Assad, et s'est investi avec un acharnement démesuré (avec l'autre perroquet
BHL) contre le Président de l'Ukraine, qui avec Obama (président aux ordres), ont
agi au nom de l'Occident, moins pour déstabiliser le pays que pour nuire a
Poutine, qui s'oppose clairement à la politique criminelle d'Israël.
Dans la déstabilisation d'un pays, d'une guerre y compris si elle est nommée: ethnique,
économique (ce qui est souvent vrai) ou religieuse, il y a derrière cette sémantique
la sauvegarde des intérêts occidentaux et de l’état illégal qu'est Israël. Tout
ce petit monde, (ceux cités mais aussi la quasi totalité des dirigeants
occidentaux) obéissent aux chantres globalisants du groupe
"Bilderberg", dont un des principaux éléments est : (pour ne citer
quelle : la famille Rothschild qui investit son influence et ses capitaux dans la
pérennisation de l'Etat illégal). Et à coté de ces escrocs, qui dessinent la
cadre de la politique mondiale à mener, principalement pour les dirigeants
occidentaux, il y a les, soi-disant, "malins" à l'origine de la crise
des Supprimes, crise financière internationale avec, entre autres, la banque
Golman-Sach, l'escroc Maddof [...], (la Cabale du Sentier à Paris, dont le
principal protagoniste est aujourd'hui réfugie en Israël ou l’escroc aux
grandes entreprises réfugie, lui aussi en Israël), qui avec leurs mentors n'ont
pas d'autre lait-motif que de confisquer le fruit du travail des autres, usant,
sans vergogne, du mensonge, l'hypocrisie et la manipulation.
L'espérance que
l'on avait placée dans Obama a été anéantie par son manque de courage, son
carriérisme, et surement sa cupidité.
Quand aux
dirigeants Anglais, Français, Allemands..., on savait dès le départ que nous n'avions
rien à étendre de loyal. Ils sont des êtres normaux : cupides, jouisseurs,
amoraux.
Ne croyez pas
que le sionisme ou les Juifs soient l'origine de tous les maux. Non, ils sont,
par leur dispersion et leur népotisme un rouge important de l'organisation qui
pour parvenir à ses fins a besoin de phagocyter les instituions nationales et
internationales. Il faut cependant reconnaitre que pour pérenniser Israël, il
faille ruser et tenter de neutraliser
tout concept qui pourrait le mettre en cause. [L’État illégal s'est réalisé sur
le non respect des Droits du Peuple de Palestine, par les massacres, le vol et la spoliation ] Le but de ces globalisants est de : "nous faire aimer (admettre)
le destin auquel nous ne pouvons échapper..."
Le vieux
reflexe.
02-07-2014
Le coup d'Etat consumé en Ukraine le 22 Février, 2014 (avec le soutien financier, logistique,
le conseil et la protection diplomatique
de l'Union européenne et les États-Unis) a ouvert une dangereuse crise qui a déclenché
le désordre dans le pays et
menace de sombrer dans le chaos
et la guerre civile. Le conflit diplomatique entre l'Union européenne,
les États-Unis et la Russie au cours de la crise, et
le croisement d'accusations
mutuelles, ainsi que la désinformation
de la presse internationale, ont créé un miroir déformé
où Washington veut
y voir reflétée la supposée
responsabilité de Moscou.
L'hystérie anti-russe
attisée depuis la Maison Blanche occulte la réalité, et les
mensonges et les manipulations les plus
éhontées occupent les pages des journaux occidentaux, les nouvelles télévisées et des conférences de presse d'Obama et de
responsables de l'OTAN. L'une des
plus grossières a été perpétrée par le président des États-Unis, la défendant, dans sa conférence de presse avec Mme Merkel, le 2 mai, le cabinet à l'origine du coup d'Etat comme le
gouvernement ukrainien "dûment
élu".
Il convient de rappeler que toutes les décisions du gouvernement ukrainien,
à l'origine du coup d'Etat, découlent de l'illégalité, et que les protestations
postérieures au coup d'Etat naissent, précisément,
en grande partie du rejet de la population, en particulier dans le sud et l'est, à un gouvernement imposé. Pour commencer, les accords signés entre l'opposition et le gouvernement de M. Yanoukovitch, le 21 Février, sous la supervision des ministres européens des Affaires étrangères, ont été transgressées
dès le lendemain. Le retrait de la police des rues de Kiev (contrairement aux accords) n'a
pas conduit à la création d'un gouvernement
commun de transition, comme
convenu, mais à l'occupation de tous les organismes gouvernementaux par les
forces d'extrême droite qui s'étaient auto-programmés la voix de manifestants de Maidan. Ensuite, toutes
les dispositions constitutionnelles ont été violées.
Le parlement, sous l'œil attentif
(même dans les sièges et des couloirs)
de voyous fascistes de Svoboda et Pravy Sektor,
vota la destitution de M. Yanoukovitch
avec 328 voix pour
et aucune contre. Les putschistes sont parvenus à acheter
des députés du Parti des régions, menacés par la brutalité fasciste. La
Constitution de 2004 a été restaurée de
manière irrégulière. Mais peu importe l'illégalité. Washington avait donné son feu vert, et avait déjà décidé
d'un gouvernement présidé par Yakseniuk,
qui a pensait pouvoir offrir un aspect plus "civilisée" des voyou de Maidan.
La Constitution établissait
que pour destituer un président,
le parlement devrait créer une
commission d'enquête qui représente un rapport motivé et, si
le parlement l'acceptait par une majorité des deux
tiers, pouvait suffire,
alors, devant la Cour suprême à
la destitution du président, et, si le Tribunal ainsi
l'appuyait, le Parlement devrait réexaminer la question
et, maintenant avec une majorité des trois quarts, pourrait destituer formellement le président. Il s'agissait d'un processus garant de la légalité, comme il en existe
dans d'autres constitutions dans le monde. Aucune de ces étapes ne s'est accomplie, et n'a même pas réussi à réunir le Parlement, gardé par des voyous fascistes, la majorité requise de 338 députés sur un total de
450. Il était évident que M. Yanoukovitch ne pouvait
pas être destitué, mais Washington
avait déjà décidé d'entre trminer avec
le gouvernement élu, à n'importe quel prix. Ainsi était consumé le
coup d'Etat, avalisé par les États-Unis et l'Union
européenne, et bien que doté d'une maladroite façade démocratique,
la machine de propagande occidentale s'est mise en marche, tandis que Washington imposait qui devait présider le gouvernement.
Dès lors, aucun média relevant de la
presse internationale a parlé d'un gouvernement putschiste,
et les chancelleries occidentales ont
reçu les protagonistes, les
ont soutenus et ont donné un traitement de chef d'Etat a aux protagonistes d'un coup d’État. Et est toujours en place le
"gouvernement intérimaire" ou,
sans plus, le
gouvernement de Kiev.
Après le coup d’État,
débuta la persécution des opposants,
à commencer par les communistes, avec l'incendie
de ses bureaux, l'emprisonnement et même
l'assassinat de ceux
qui résistaient au coup d'Etat. Un
des leaders ultranationalistes, Oleg
Liachko, arrêta, avec d'autres voyous, et battu,
le député du Parti des Régions, Arsen Klinchaev,
et d'autres ruffians et députés du parti fasciste Svoboda ont maltraité et
battu le directeur de la télévision publique ukrainienne, Oleksander Panteleimonov, le forçant à démissionner. Oleg Tsarev,
un chef de file du Parti des Régions et candidat
à la présidence, a été sauvagement agressé par les fascistes à Kiev et Odessa,
et s'est retiré de la campagne électorale en raison de l'impossibilité pratique de parler dans la plupart des régions du pays. Ce ne sont que quelques exemples, parce que le climat de persécution et de peur s'est répandu dans toute l'Ukraine.
Le 27 Avril, l'extrême
droite a organisé une marche à Lvov
(centre du nationalisme ukrainien) pour commémorer le 71e anniversaire de la création de la division
nazie de la Waffen-SS Galicien. Dans l'est et
au sud du pays, la crise ouverte
par le coup d'Etat a suscité
les protestations qui ont conduit à un référendum en Crimée, où la population a décidée de
rejoindre la Russie, tandis que croissaient
les rébellions dans l'est et le sud,
à Donetsk, Kharkiv, Lougansk, Odessa, et
d'autres villes.
La répression ne s'est pas fait
attendre, accompagné du silence
de l'information de la presse occidentale sur les excès du nouveau gouvernement à
l'origine du putsch, comme les années
Mussolini en Italie, les ultranationalistes
et fascistes ont empêché
le leader communiste Simonenko de parler au
Parlement et l'ont agressé physiquement.
Ils n'ont pas réussi, cependant, à le bâillonner. Les paroles du leader
communiste ont été sévères: il a
dénoncé que pour la première fois dans la courte histoire de deux décennies de
l'Ukraine indépendante, un gouvernement a utilisé l'armée contre les citoyens du sud et sud-est, qui
exigeait la reconnaissance du
russe comme langue co-officielle (une
des premières décisions
des putschistes a été de l'annuler), un système fédéral, que rejetait un gouvernement que personne n'avait élu.
Les sympathies de ce Parlement
ukrainien dans les mains de l'extrême droite sont claires: a décidé, par exemple, d'impulser un projet de loi pour annuler la fête le 9 mai, une
journée qui rappelle la défaite
du nazisme et la victoire de l'Union
soviétique dans la
Seconde Guerre mondiale.
La machine, bien huilée, de la propagande occidentale à exacerbée immédiatement l'hystérie anti-russe, jouant avec des malentendus, des
mensonges et des platitudes sur une nouvelle guerre froide... que Moscou
n'a pas l'intention d'initier. Entre autres raisons, parce que la forteresse russe actuelle loin d'être la même que celle de l'Union soviétique, et,
en plus, parce les affrontements d'après-guerre n'ont pas été déclenchée par Moscou. Les
supposées troupes russes dépliées en
Ukraine, selon Washington, n'ont
pas été vues en aucun lieu, et celles
qui se trouvaient en Crimée (n'ont
pas augmenté) elles étaient
ce qu'elles ont toujours été en vertu d'accords entre Moscou et Kiev, en relation avec la base
navale de la flotte russe méditerranéenne à Sébastopol.
En outre, deux questions
très importantes ont été ignorées par les chancelleries occidentales et par les médias connexes:
- D'abord,
la responsabilité du coup de
Maidan dans l'action
des mystérieux snipers, le 20 Février, qui ont assassiné plus de vingt
personnes dans les rues de Kiev,
action qui a été immédiatement
attribué au gouvernement de M. Yanukovich et que pourtant tout
désigne le contraire, et ont agi pour le compte de l' "opposition
pro-européenne", les révélations
d'Alexander Yakimenko, chef de la sécurité, sont contondantes,
et l'implication du «commandant» du
Maidan, Andrei Parubíi, et l'ambassade américaine, ne
fait aucun doute. La provocation et la tuerie a été
non seulement reconnu, en privé, par des ministres et responsables
de l'Union européenne, mais aujourd'hui, à la fois le gouvernement putschiste de Kiev, comme l'Union européenne et les Etats-Unis, refusent de créer une commission d'enquête sur les faits. Ils se bornent à
les étouffer.
- La deuxième question est l'implication
de mercenaires occidentaux dans les premières manifestations.
A côté de la grossière ingérence
des ministres européens, (ainsi que notre imbécile
de service: BHL) des fonctionnaires et des sénateurs américains appelant au
renversement du gouvernement de Yanukovitch et au soutien politique et diplomatique
de l'opposition, des groupes de mercenaires ont alors agi
en ravivant les affrontements
et aidant à créer
le chaos nécessaire pour justifier le coup d'Etat. Ensuite, les mercenaires ont collaboré à la répression des manifestations, et agissent pour le compte du gouvernement
putschiste dans les différentes régions du pays. Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a dénoncé la
présence et la participation d'au moins cent cinquante mercenaires de la compagnie Greystone,
une organisation qui a été liée à Blackwater, la compagnie de mercenaires qui a effectué des massacres en Irak.
Greystone a été fondée
par un membre de la compagnie d'opérations spéciales de la
Marine nord américaine. En Avril 2012, Greystone a annoncé sur son site internet qu'il avait remporté un contrat majeur dans le "Caucase", sans plus de détails. Avec le langage cynique des marchands de guerre, ces entreprises
de mercenaires déclarent qu'ils se dédient a offrir des
"services et des solutions de sécurité" pour les
gouvernements du monde entier. En
réalité, se sont des entreprises de véritables assassins professionnels, prêts à tout, et travaillent
souvent pour le compte du
gouvernement américain. L'Ukraine est maintenant pour eux un terrain d'essais.
L'hystérie anti-russe
a continué avec Anders F Rasmussen, Secrétaire général
de l'OTAN, qui a alarmé le monde avec le mensonge que «des dizaines de milliers de soldats russes prêts pour
la bataille, attendaient à la
frontière avec l'Ukraine», accusant Moscou de "subvertir
le pouvoir des autorités ukrainiennes", comme si le gouvernement putschiste
était un cabinet élu par le peuple
et non le résultat d'un coup d'Etat. Rasmussen, en dépit de
l'évidence, a nié que l'OTAN se soit
élargi en violation des accords
et des garanties données à Moscou
au début des années quatre-vingt-dix,
et enthousiaste du langage guerrier,
accuse Moscou de saper
les fondements de la collaboration mutuelle. Derrière des déclarations de Rasmussen, fut le tour du chef du
Pentagone, Chuck Hagel,
accompagné par le ministre polonais de
la Défense, présentant une réalité déformée et alarmiste des intentions
présumées de Moscou pour maintenir l'hystérie antirusse et justifier l'expansion de l'OTAN et son mouvement des troupes.
Pour sa part, l'américain
Alexander Vershbow, secrétaire général
adjoint de l'OTAN, a présenté Moscou
non comme un «partenaire», mais comme un ennemi, et affirma que pour "prévenir de nouvelles agressions
russes" de l'OTAN allait moderniser
les armées d'Ukraine, Moldavie, Arménie, Géorgie et Azerbeijan:
sans se rendre compte, Vershbow a fait la démonstration du programme
complet d'expansion de l'OTAN. Tandis que ces scènes se produisaient, avions de
chasse français, américains et même canadiens, ont été
transférés en Roumanie et en Pologne,
accompagné du déploiement de plusieurs
centaines de soldats américains en
Pologne, Estonie, Lettonie et Lituanie. Sans craindre le mensonge, les
dirigeants mensongers de l'OTAN et du
Pentagone répétaient qu'il faut freiner l'expansion
de la Russie, configurant ainsi le nouveau
discours de l'OTAN.
A Kiev, les dernières scènes de l'hypocrisie nord-américaine
a été la visite du directeur de la CIA, Brennan, visant à préparer l'offensive
militaire à l'est du pays (visite que Washington a tenté d'occulter, niant les faits dans un premier temps, puis forcé de l'admettre devant les preuves ensuite), puis la
visite du vice-président Joe Biden, pour soutenir le
gouvernement de droite. Ils
étaient les garanties dont
putschistes de Kiev avaient besoin: la préparation de l'offensive militaire contre la révolte dans l'Est
a débutée immédiatement: au début de mai, le gouvernement
de Kiev a lancé ses unités
militaires contre l'Est, qui ont déjà fait plusieurs
victimes dans Kramatorsk, dix morts dans Slaviansk,
et me massacre d'Odessa, où 46 personnes (pour
la plupart membres du Parti
communiste et d'autres forces de
gauche) ont été brûlés vifs par
l'extrême droite dans l'édifice des syndicats. La résistance de la population et les groupes d'autodéfense ont rendu difficile les objectifs de Washington, mais la tendance vers
la guerre civile avait commencé.
L'Europe, et surtout l'Allemagne,
s'est montrée plus prudente, non seulement par la dépendance l'énergétique, mais parce que Berlin et Bruxelles
sont conscients qu'ils n'ont rien à
gagner dans une spirale de guerre
ouverte, même si la pression
américaine va les forcer à
accepter le programme
des "faucons"* de l'OTAN et du
Pentagone. Au lieu de cela, l'attitude
des gouvernements "clients" de Washington (tels
que la Pologne et les États baltes), ainsi
qu'à Londres et Paris sont plus susceptibles de suivre aveuglément
les décisions des
États-Unis. Les menaces et les sanctions
économiques à Moscou, et l'envoi de navires de guerre américains
en Mer Noire complété le plan d'isolation de la Russie, une véritable provocation, comme l'on affirmé les
anciens chanceliers allemands
Helmut Kohl, Gerhard
Schröder et Helmut Schmidt.
Ce
n'est peut-être pas pour rien que l'Allemagne plane au dessus des difficiles
économiques rencontrés par tous ces apostats des administrations nationales.
Ils préfèrent sans doute, les pots-de-vin, et favoriser des criminels.
Quelles sont les raisons pour
lesquelles les États-Unis et
l'Union européenne ont lancé une invitation similaire en Ukraine, une véritable provocation ?
- Primo, poursuivre l'élargissement des
territoires sous l'influence
européenne et américaine,
maintenir la pression sur l'ancien territoire
soviétique, afin de réduire la zone d'influence
de Moscou et provoquer une rupture
irréversible des républiques qui
jusqu'à il y a deux décennies
ont vécu ensemble. Selon le raisonnement particulier des États-Unis, que l'Union européenne
veuille étendre ses pays membres
est raisonnable, mais si Moscou prétend la même chose pour son projet
d'union douanière ... cette
option devient une «expansion» qui menace le monde. Parce que Washington cherche l'isolement de la Russie. Le coup d'Etat de Kiev avait
aussi des prétentions occultes: dénoncer et obtenir
l'annulation des accords russo-ukrainiens sur l'établissement de la flotte russe
à Sébastopol, Crimée, objectif que la réaction
Russe a détruit par le retour de la Crimée à la Russie.
- Secundo,
les Etats-Unis veulent donner
un nouveau rôle à l'OTAN**, avec une structure militaire renouvelée,
après des années de confusion,
cependant, n'a pas empêché l'intégration de tous les anciens pays
socialistes d'Europe orientale et les pays baltes (en
violation flagrante des accords de
Paris de la dernière décennie du XXe siècle). (Ben oui, l'Ukraine a une façade sur l'Atlantique Nord,
s'est connu de tous !!! Il n'y pas là confusion des genres ?)
Parallèlement à cela, un programme
complet de réarmement,
qui a été revendiquée par Chuck Hagel, le
chef du Pentagone, exigeant des alliés
européens une augmentation des dépenses militaires.***
La perspective de l'intégration
de l'Ukraine, la Géorgie, et
même la Moldavie, aboutirait au siège de Moscou, qui perdrait
ainsi, inclus l'influence
sur la périphérie russe et serait
condamnée à être une puissance régionale. La perspective
d'une OTAN renouvelée, chevauchant
l'hystérie guerrière (aujourd'hui, anti-russe, demain, anti-chinoise),
et l'Union européenne
et la Russie empêtrées dans des
conflits bilatéraux, mettrait dans des
meilleures conditions les États-Unis pour développer son grand défi des deux prochaines décennies: la lutte contre la Chine.
Qui, nous savons tous, détient une part très
importante de -bons du trésor américain-. Et
en toile de fond ces deux pays finiraient par ne plus s'opposer à l'avènement
de l'Etat illégal...
[Dans la politique US, il ne faudrait pas
oublier cet aspect des choses.]
- Tercio,
pourquoi Washington
veut forcer l'Union européenne
à un nouveau partage de la charge du réarmement:
agiter l'épouvantail de l'expansion russe, y compris si c'est faux, il est utile de
forcer Berlin, Paris et Londres
à dépenser plus pour assurer le
développement militaire de l'OTAN,
un bras militaire que Washington envisage d'utiliser
(comme il l'a fait en Afghanistan) dans de nouvelles zones de conflit, même
s'il viole les propres traités de l'organisation. Obama et le Pentagone utilisent pour faire pression sur ses alliés,
des membres
éminents de gouvernements clients, comme le ministre d'extrême-droite, de la Défense,
polonais, Tomasz Siemoniak, qui n'a pas hésité à parler de "la nouvelle doctrine russe,
qui protège les interventions
brutales" affirmation sans que le perspicace ministre ait remarqué les interventions militaires américaines à l'étranger.
- Quarto, les États-Unis prétend briser les liens qu'on développé Moscou
et Pékin ces dernières
années, dans le domaine de
la coopération stratégique, militaire
et énergétique, bien que cet objectif soit difficile: la pression sur Moscou
pour renforcer l'inclinaison
de la Russie vers l'Asie. Toutefois,
le Pentagone et la Maison Blanche
chérissent l'idée d'obtenir l'isolement de Moscou, de
renforcer la présence militaire de
l'OTAN en Europe de l'Est et
dans le Caucase, encercler les défenses militaires russes avec le bouclier
antimissile, et faire de la
Russie une puissance
régionale qui assiste impotente à la réduction
de son poids dans le monde.
Le désastre de l'Ukraine
indépendante (avec les parties orange
et bleu, les deux défenseurs de
l'économie capitaliste et les participants dans le vol et la corruption) est qu'aujourd'hui le pays n'a même pas atteint le niveau économique de
1991: près d'un quart de siècle perdu. Et,
au-delà de l'analyse de la crise créée en Ukraine par le coup d’État de
Février, la question
que doivent résoudre les forces politiques
ukrainiennes et sa population
de près de cinquante millions d'habitants est la viabilité d'une
Ukraine éloignée et confrontée à la Russie. Tout indique que l'intérêt national ukrainien devrait être le renforcement des liens avec Moscou. Que
le gouvernement de Poutine soit nationaliste et
conservateur est, dans ce sens, une question secondaire. N'oubliez pas que le Parti
communiste russe (qui est la
deuxième force politique du pays) a sévèrement critiqué
Poutine et parle de
"régime criminel", sans
que cela le mène a collaborez avec les
efforts occidentaux de marginaliser la Russie, ou à compléter
l'expansion de l'OTAN vers l'est.
Malgré l'hystérie anti-russe des médias occidentaux,
Moscou n'est pas intéressé
par l'aggravation de la situation
en Ukraine, ni par le début d'une
guerre civile. La situation économique en Ukraine est insoutenable,
proche de la faillite, le trouble se
développe, l’État ne peut même
pas payer la fourniture de
gaz russe, et a des centaines de milliers de personnes qui ne reçoivent pas
leurs salaires, et
des hausses de prix démesurées, tandis que le spectre de la faim réapparaît. Pendant ce temps, les promesses occidentales
de soutien financier sont restées de vaines paroles, et, a nouveau, les recettes néolibérales de
Washington, Bruxelles et du FMI annoncent des années de sacrifice pour l'Ukraine et de magnifiques affaires pour
les entreprises occidentales.
L'attitude de l'OTAN en Libye et en Syrie, contribuant
à la guerre, ressemble beaucoup à
l'irresponsabilité de l'impulsion donné au Coup d’État en Ukraine et après
appuyer une junte putschiste (appelée "gouvernement intérimaire" dans leur sémantique hypocrite) présidé par
un personnage comme Yakseniuk, si grotesque qui est capable de dire, sans rougir : que
Moscou "veut commencer la
troisième guerre mondiale". Comme si le monde avait oublié les
constants mensonges de Washington
et de l'OTAN, comme si méconnaissions la sanglante histoire
des interventions militaires et des
guerres, comme si nous avions oublié
la légende des «armes de destruction massive» en Irak, ou les mensonges avancées pour envahir l'Afghanistan, comme si personne ne se souvenait des provocations de la télévision lituanienne en 1991; comme si nous venions
de découvrir les révélations de Seymour
Hersh sur la véritable paternité de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, ou la propre provocation
et coup d'Etat à Kiev, le gouvernement nord-américain continue à
inonder le monde de mensonges, grâce
à une armée de journalistes
et manipulateurs de
l'opinion publique, et des
groupes d'affaires, se faisant l'écho des mensonges
de Washington.
Washington et l'OTAN tentent de faire oublier que la crise en
Ukraine a été initié par une révolte
soutenue par eux, que leurs
protégés ont violés les premiers accords
de Kiev entre le gouvernement et
l'opposition, que l'actuel gouvernement ukrainien résulte
d'un Coup d'Etat, et que le accords de Genève ont été violés par le gouvernement putschiste, qui prétendait
désarmer les rebelles de l'Est
et du Sud du pays, mais non les extrémistes de Maidan, ni les fascistes de
Svoboda et du Pravy Sektor,
responsables du massacre d'Odessa. L'administration
Obama, qui encouragea la révolte
contre le gouvernement de M.
Ianoukovitch, n'a pas la moindre pudeur d'accuser
Moscou d'être derrière les protestations de ceux qui n'acceptent pas le gouvernement putschiste. Ainsi, alors que se
succédaient les protestations à Kiev
et les attaques contre la police,
les participants ont étaient considérés par la presse internationale comme «manifestants
pacifiques», en dépit de la dureté des
images, malgré les
lynchages et les meurtres. Lorsque
les manifestations ont commencé dans l'est et le sud,
les citoyens on été considérés comme
«terroristes» et Washington
a soutenu le développement de ce que le président putschiste, Tourtchinov, a appelée "opération antiterroriste", envoyant l'armée et les groupes
de fascistes qui furent
enrôlés dans la Garde nationale créée à cet effet. Ainsi, un bataillon de 350 voyous
fascistes a été envoyé à Slaviansk.
Ce ne sont pas les premiers mensonges de
Washington et de l'OTAN, loin de
là. Jusqu'à présent, Obama se justifiait en disant
qu'il ignorait la portée des logiciels espions de la NSA et d'autres agences d'espionnage du pays.
Maintenant, nous savons aussi qu'il mentait: le 15 Avril
2014, Le New-York-Times a révélé que Obama avait
autorisé la NSA à espionner des dizaines de
millions de personnes et a autorisé l'agence à profiter de
failles de sécurité pour espionner les
gouvernements, dirigeants d'autres pays
et des entreprises. Régnant sur le marché du mensonge, dans
la crise qu'ils ont déclenchée en Ukraine et qui peut conduire à l'apparition d'une nouvelle guerre civile,
Washington et l'OTAN se révèlent comme un danger pour le monde, se protégeant de l'hypocrisie
et de la duplicité de ses dirigeants, comme l'a fait Obama dans sa conférence de presse avec Mme Merkel, où il a eu le cynisme de qualifier le gouvernement putschiste de Kiev comme «dûment
élu" caressant sans vergogne
l'objectif d'accueillir l'OTAN. Accumulant canulars,
inondant le monde de mensonges, de
tromperie, ayant recours au mensonge que représente la
déclaration alarmiste sur les intentions russes, l'OTAN est devenue un "bunker" de
menaces mensongères employés dans les guerres.
Tout
cela augure : (partie de la lettre que j'avais envoyée à Stéphane Hessel) l’Europe
d’aujourd’hui fait partie intégrante des criminels du « Nouvel ordre
mondial » ayant pour devise : « Communauté,
Identité, Stabilité ».
Nouvel
Ordre Mondial dénoncé par Aldous Huxley en 1933 dans (Le Meilleur des Mondes
et dont nous pouvons remarquer les prémices en occident, mais surtout
l’expérience grandeur nature, en Palestine. Et comme il le disait :
le secret du bonheur et de la vertu est, d’« aimer ce que l’on est obligé
de faire ». Tel est le but du conditionnement : « faire accepter
aux gens la destination sociale à laquelle ils ne peuvent échapper. »
Est-il
possible, M Hessel, de connaître votre avis sur ces criminels cherchant à créer
un « Eden » pour eux et un « no man’s land » impropre
à l’existence pour les autres.
En Palestine et depuis quelques années,
l'expérience déborde sur les pays et les dirigeants qui ne cautionnent pas son
idéologie. Idéologie de rapine (sur les matières premières et les secteurs
stratégiques de ces pays).
* Ces
"faucons" appelles aussi "néocons" (néoconservateurs
américains) sont en grande majorité: sionistes et par conséquent pro
israéliens. Et, il n'y a pas qu'au Pentagone où ces juifs y font la loi. (Je
n'ai rien contre le juif lambda, c'est un constat que je fais). L'axe du Mal,
par exemple, à été inventé par David Froom, juif et néocon. Et quand on me fait
comprendre que les USA ont une politique indépendante des intérêts israéliens,
par exemple, je veut bien les croire, mais l'influence du lobby juif en
Amérique du Nord, ajouté aux juif influent aux destines des administrations
américanises, il est logique que par le népotisme juif la politique des USA
préserve les Intérêts des juifs.
Logique peut-être, mais arbitraire à
coup sur.
Les palestiniens en savent quelque
chose...
Cependant il y a une population qui,
pour la plupart, ignorent les implications de leur pays dans le soutient
financier a cette politique. Ils payent un point s'est tout. Ils répugnent à
mettre en place un service social digne d'une démocratie, mais non seulement
ils financent des criminels, mais ils financent, aussi, une idéologie digne de
criminels.
** O.T.A.N.
"Traité de l'Atlantique Nord". On le remarque aisément les
"faucons" de l'OTAN, ne se contentent pas de l'Atlantique Nord !
Est-ce une manière d'intervenir en toute illégalité avec (pour les cons) un
semblant de légalité. Israël n'a pas fait et ne fait
autre chose.
*** Non seulement
nos dirigeants politiques mènent grand train, nous mettent à contribution, pour
financer leurs gabegies et leur incompétence
L'actuel bombardement de Gaza (8/9 juillet 2014) par Israël suit les mêmes
principes que ceux utilisés par les USA et Obama. Mais le plus grave à mes Yeux
c'est la capacité de nuisance de la secte sioniste. En effet, concernant les
bombardements de Gaza de 2008/2009 sur Wikipédia Israël prétend détruire les infrastructures
du Hamas.
Or, l'armée israélienne n'a pas
seulement détruit les infrastructures du Hamas, mais aussi les bâtiments
officiels de l'ONU, les Hôpitaux, les écoles, les maisons d'habitation etc. Il
faut signaler aussi, que la zone portuaire de Gaza, par exemple, à été détruit par Israël il y
quelque temps déjà. Les desseins de Netanyhau vis a vis des Palestiniens est le même que celui d'Hitler vis à vis des Juifs. Seil les sont peuvent encore aujourd’hui l'ignorer, ou pour des raisons nauséeuses, faire semblant de l'ignorer.
Prétendre, pour justifier le
massacre de civils et la destruction de leur habitat, lutter contre une
formation politico/religieuse élue démocratiquement, qui d'adhère pas à la
politique de colonisation et de spoliation israélienne, est un concept qu'un être
normalement constitué ne peut y faire référence.