samedi 25 octobre 2014

Une nouvelle intifada a-t-elle commencé à Jérusalem? (02)



Le point de vue de presse d'un journaliste israélien, qui s'est toujours remarqué par la justesse d'événements, qu'il a vécu eu cœur.  


Jérusalem, capitale de l’apartheid, attend l’insurrection

Arrestations massives, colons violents, expulsions et dépossessions : c’est le lot des Palestiniens de Jérusalem avec lequel personne n’aurait dû être surpris par l’attaque terroriste de mercredi.

Par Gideon Levy, le 23.10.14

L’attaque terroriste de mercredi soir à Jérusalem n’aurait dû surprendre personne. Après tout, deux nations vivent dans le Pretoria de l’État d’Israël. A la différence des autres zones occupées, il y aurait là une certaine égalité entre les deux peuples : cartes d’identité bleues accessibles pour tous, liberté de mouvement, impôt foncier payable à la municipalité, sécurité sociale – tous Israéliens. Mais Jérusalem sombre dans les mensonges. Elle est devenue la capitale israélienne de l’apartheid.
A l’exception d’Hébron, aucun endroit ne subit un régime de séparation aussi criant et cynique. Et maintenant que la botte israélienne s’abat encore plus fort sur la capitale, la résistance dans le ghetto-en-devenir s’intensifie : battus et opprimés, abandonnés et pauvres, emplis de sentiments de haine et d’un appétit de vengeance.
L’insurrection est en route. Quand la prochaine vague de terreur émergera des ruelles de Jérusalem Est, les Israéliens prétendront être surpris et furieux. Mais il faut dire la vérité : en dépit de l’incident choquant de mercredi, les Palestiniens se révèlent être une des nations les plus tolérantes de l’histoire. Arrestations massives, colons violents, privations, expulsions, manque de soins, dépossessions – et ils demeurent silencieux, excepté la récente manifestation des pierres.
Il n’existe aucune désillusion dont la ville ne souffre pas. La capitale n’en est une qu’à ses propres yeux ; la cité unie est l’une des plus divisées de tout l’univers. L’égalité alléguée est une plaisanterie et la justice est foulée aux pieds. L’accès libre aux lieux saints n’existe que pour les Juifs (et oui, pour les vieux musulmans). Et le droit au retour est réservé aux Juifs.
Un résident palestinien de Jérusalem est maintenant en bien plus grand danger d’être lynché qu’un Juif à Paris. Mais ici, il n’y a personne pour réveiller Caïn. A la différence du Juif parisien, le Palestinien peut être expulsé de Jérusalem. Il peut aussi être arrêté terriblement facilement. Après que le jeune Mohammed Abu Khdeir de 16 ans ait été brûlé à mort, provoquant une vague de protestations, Israël a arrêté 760 Palestiniens dans la ville, dont 260 enfants.
Comme toujours, la réponse à chaque problème est une main plus pesante. Le premier ministre a déjà ordonné de soutenir les forces de sécurité, utilisant le seul langage connu des membres de son gouvernement. Et quand, naturellement, la résistance devient plus violente, ils lèvent les mains au ciel et disent : « Regardez comment ils détruisent la voie légère que nous leur avons construite. »

Jérusalem aurait pu être différente. Si Israël y avait pratiqué la justice et l’égalité, elle aurait pu devenir une cité modèle. ; le peuple qui l’a annexée aurait dû s’y efforcer. Aux pires jours de l’intifada, il y eut relativement peu de terrorisme dans la ville, alors même que ses résidents pouvaient voyager librement. Les Palestiniens sont les mêmes Palestiniens, mais la fermeture, le couvre-feu et le siège sont différents. Le résultat est qu’il y avait moins de terrorisme à Jérusalem, réfutant la théorie comme quoi un siège prévient le terrorisme. Pourquoi ? Parce que beaucoup de résidents de la capitale aspirent à devenir Israéliens. Mais Israël les en empêche. Unis, unis – mais sans les Arabes.
Les arrestations massives à Jérusalem, qui n’ont éveillé aucun intérêt en Israël, l’invasion des colons dans les quartiers arabes avec le soutien du gouvernement et des tribunaux, la négligence criminelle dont la ville est responsable – tout ceci aura un coût.
Combien de temps encore verront-ils leurs enfants craindre de quitter leur maison de peur d’être attaqués dans la rue par des hooligans ? Combien de temps verront-ils leurs enfants arrêtés à chaque jet de pierre ? Combien de temps observeront-ils l’abandon de leurs quartiers ?
Combien de temps consentiront-ils à leur expulsion tacite de la ville ? Entre 1967 et 2013, Israël a retiré le statut de résident à 14.309 Palestiniens de Jérusalem, avec d’étranges prétentions qui ne s’appliquent à aucun de ses résidents juifs. N’est-ce pas de l’apartheid ?
Alors, la terreur surgira. En retour, des drones envahiront les cieux du camp de réfugiés de Shuafat, il y aura des meurtres dans les rues d’Azariyeh et des assassinats ciblés à Beit Hanina, et une autre barrière de séparation sera construite entre les deux parties de la ville, juste pour être du bon côté. Avec un maire nationaliste, des forces de police violentes et un gouvernement dirigé par Benjamin Netanyahu, rien n’est plus sûr.


Lisez l'article de ces événements  Par Marie de Vergès du journal français L'Express




Comme Boris Vian, sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, l'avait écrit dans son roman J'irai cracher sur vos tombes, qui met en scène face aux difficultés des Noirs américains dans leur vie quotidienne face aux Blancs.
Le monde ferait bien de se réveiller et déclarer haut et fort  : "nous irons cracher sur vos tombes" en faisant référence à la condition des palestiniens face à leur occupants israéliens. Le monde bien pensant est-il réellement composé d'êtres humains ?   
 

Une nouvelle intifada a-t-elle commencé à Jérusalem? (01)



Le point de vue de presse internationale. Ici L'Express, qui raconte des fait.
On oppose trop souvent le jugement des juges, aux raisons des accusés.




Une nouvelle intifada a-t-elle commencé à Jérusalem?
De notre correspondante à Jérusalem, Marie de Vergès, publié le 23/10/2014

L'attentat perpétré mercredi intervient après des semaines d'affrontements opposant Palestiniens et Israéliens dans la ville sainte. Certains médias parlent ouvertement d'une "intifada municipale". 


Un jeune Palestinien a tué un bébé et fait six blessés mercredi à Jérusalem en lançant sa voiture sur un groupe à un arrêt de tramway.
REUTERS/Ammar Awad


C'est à un arrêt de tramway de Jérusalem qu'un Palestinien a lancé sa voiture contre un groupe de piétons, mercredi, causant la mort d'un nourrisson. Tout un symbole. Depuis l'assassinat, cet été, du jeune Palestinien Mohammed Abou Khdeir par un groupe d'extrémistes juifs, les rames argentées du tram sont la cible quotidienne de jets de pierres et de cocktails Molotov. Inaugurée en 2011, la ligne relie Jérusalem-Ouest à Jérusalem-Est, desservant plusieurs colonies juives implantées dans le secteur arabe de la Ville sainte. Pour de nombreux jeunes Palestiniens, elle est devenue l'emblème d'une souveraineté israélienne qu'il faut combattre à tout prix. 
"Intifada municipale"

Après le cessez-le-feu proclamé fin août à Gaza, le calme est revenu en Israël et en Cisjordanie occupée. Pas à Jérusalem. Voilà plus de trois mois que la ville est le théâtre d'affrontements incessants entre Palestiniens et forces de l'ordre israéliennes. Barricades érigées à la nuit tombée dans des quartiers arabes, batailles rangées dans la vieille ville, attaques contre des passants... Malgré près de 800 arrestations de Palestiniens depuis juillet, la police n'a pas réussi à ramener le calme. Pour le commentateur du quotidien Haaretz Hamos Harel, "il n'y a pas d'autre choix que de parler d'une intifada municipale qui fait rage depuis l'été". 
Détenteurs d'une carte de résident qui leur permet de circuler librement en Israël et dans les territoires, les Palestiniens de Jérusalem semblent à première vue mieux lotis que leurs pairs de Cisjordanie et Gaza. "Mais cette absence de séparation rend aussi la situation explosive, estime Aviv Tatarsky de l'organisation israélienne Ir Amim qui promeut une meilleure coexistence entre juifs et arabes dans la cité. Ici, 300 000 Palestiniens -soit un tiers de la population- vivent au quotidien des frictions avec les autorités israéliennes, et constatent les discriminations et les vexations dont ils sont l'objet." 
Plusieurs éléments ont contribué au pourrissement des dernières semaines. La colonisation d'abord, qui ne cesse de s'étendre. L'arrivée à deux reprises, en pleine nuit, de plusieurs dizaines de colons dans des habitations de Silwan, un quartier arabe niché au pied de la vieille ville, a frappé les esprits. 


Reuters/Ronen Zvulun


L'esplanade des Mosquées -appelé mont du Temple par les Juifs- est l'autre gros foyer de tension. L'affluence de pèlerins juifs lors des dernières fêtes de Soukkot et Roch hachana a provoqué l'ire des fidèles musulmans, alors que nombreux d'entre eux se voyaient barrer l'accès. La peur grandit de voir modifié le statut quo selon lequel les non-musulmans ont interdiction de prier sur ce site religieux, le troisième plus saint de l'islam. "Si on ne s'occupe pas de ce qui est en train de se passer au Noble Sanctuaire, la situation peut devenir incontrôlable, alerte Mahdi Abdel Hadi, directeur du centre de recherche palestinien Passia. Jérusalem est entré dans une ère de peur et d'incertitudes où l'on ne sait pas de quoi demain sera fait."

Lisez l'article de ces événements  Par Gidéon Levy du journal Israélien Haaretz

mercredi 22 octobre 2014

Selon un sondage, la majorité des Juifs israéliens s'opposent à un État palestinien



972mag
22-10-2014

Aucun sondage n'est parfait, mais il peut devenir un vrai reflet de la politique du gouvernement israélien, d'une grande partie de sa rhétorique et de la réalité du terrain.

Une grande majorité des citoyens juifs israéliens (74%) s'opposent à la création d'un Etat palestinien dans les frontières antérieures à 1967, selon un nouveau sondage réalisé par le Centre de Jérusalem pour les Affaires publiques, un groupe de réflexion de droite. L'organisation a également révélé que 76% s'opposent à un Etat palestinien si cela signifie de diviser Jérusalem.

Le sondage a interrogé 505 Israéliens juifs, les divisant selon leur l'orientation politique personnelle. 304 se sont déclarés de droite, 125 centristes et 68 de gauche. Il est  intéressant d'observer que parmi ceux qui se considèrent «centristes», 63% s'opposent à un Etat palestinien sur la frontière d'avant 1967, en comparaison des 19% de ceux qui se sont déclarés de gauche.

Quand il est question de Jérusalem une majorité surprenante de la droite et du centre, s'oppose à l'octroi de Jérusalem-Est à un futur Etat palestinien. Cependant, 51,5% des libéraux de gauche le soutiennent, près de 40% s'opposent à l'Etat palestinien. Cela signifie que même ceux qui se considèrent de gauche en Israël sont à la limite lorsqu'il s'agit de renoncer à Jérusalem-Est. De cela, nous pouvons conclure que la majorité des Juifs israéliens s'opposent à une solution à deux Etats, y compris ceux de gauche. Il montre également que la notion de ce qui est considéré «de gauche» en Israël s'est déplacée vers la droite avec le reste de la population.

photo 1: Militants palestiniens dans le village "Bab Al-Shams".
(Foto: Oren Ziv / Activestills)

Sur la question de la Vallée du Jourdain, la grande majorité des Juifs israéliens, y compris ceux qui s'identifient à gauche (42,6%), s'opposer au retrait d'Israël de l'ouest du Jourdain pour créer un Etat palestinien.
Le sondage, publié en Israël Hayom, est évidemment à l'agenda de Netanyahu. Alors qu'il est dangereux de se fier exclusivement sur un seul sondage pour appuyer une réclamation, cette enquête spécifie, pour imparfaite ou asymétrique quelle soit, un reflet fidèle des politiques du gouvernement israélien, d'une grande part de sa rhétorique et d'une réalité concrète.

Le Premier ministre Netanyahu a dit et redit que Jérusalem est la capitale éternelle d'Israël et ne sera jamais divisée. Les membres du Likoud se sont prononcés ouvertement contre la création d'un État et les leaders des partis Foyer juif et Israël Beitenou n'ont pas été plus clairs dans leur opposition à l'idée d'un État palestinien.

Il y a quelques jours, le ministre de Défense Ya'alon a dit clairement qu'il "ne cherche pas de solution, mais une manière de gérer le conflit et maintenir des relations qui soit bénéfique pour nos intérêts. Nous devons nous libérer de l'idée que tout se réduise a ​​une seule option appelée État [palestinien]."


Le secrétaire U.S. John Kerry est bien reçu par le ministre de Défense israélien Moshe Yaalon, à Jérusalem le 23 mai 2013 (State Dept Foto)

Il est entendu que, même si de nombreux sondages au cours des dernières années ont montré que la majorité des Juifs israéliens soutiennent la solution à deux États le long de la frontière de 1967 avec des échanges de territoires, ce sentiment est de moins en moins partagé dans la façon dont israéliens votent et parlent. Cette nouvelle enquête semble fournir une évaluation plus honnête de la réalité sur le terrain et de la réalité dans les couloirs du gouvernement.

Si les politiques gouvernementales et la rhétorique du gouvernement reflètent la réalité sur le terrain et des enquêtes de ce type ne convainc pas le gouvernement des États-Unis et le reste du monde que les Israéliens n'ont aucun intérêt à négocier un accord de paix qui inclut un Etat palestinien viable, quel avenir il y aura dans ces négociations?

Source:


On avait l'habitude de dire: "Israël ne veut pas la paix" ; nous nous demandions si les pourparlers de paix étaient des négociations ou des farces ? ; nous constations que ce que les israéliens nommaient représailles, étaient en fait des actes provoqués et que cette politique était la responsabilité des dirigeants israéliens.  Cependant  à la lueur de ce sondage il faut se rendre à l'évidence que la société israélienne approuve très largement cette politique condamné par l'ONU et les Droits de l'Homme.

mardi 21 octobre 2014

Les agents/soldats du libéralisme américano/sioniste, sont bien formés.


Ils sont la caisse de résonance de l'idée qui nous détruit ; Ils répandent le prêt à penser, défendent la pensée dominante de gens sans scrupules ; L'honneur et la morale sont des concepts  étranges et loin de leurs préoccupations ; Théoriser, voler, escroquer est leur morale, leur but sur terre...


21/10/2014

Pas une décision gouvernementale (en Occident) qui n'ait leur adhésion, les USA en premier lieu, c'est une évidence, mais, rares sont les pays européens qui peuvent se vanter d'une réelle souveraineté. Que cette inféodation soit dictée par une organisation internationale liée à la Politique, au Commerce, elle bénéficie à l'idée globalisante des va-t-en-guerre libéraux.
Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) du groupe Bilderberg a tissé le panorama de la globalisation libérale, il en est la "clé de voute". Le  sionisme et ses membres, juifs ou non, est la "pierre angulaire" du N.O.M. et qui lui offre le liant indispensable à l'idéologie économico/financière, au sein des États.

Après la Deuxième guerre mondiale, le conseil de la Résistance a élaborée tout une série de mesures sociales et sociétales que les gouvernements (après le Général de Gaulle) n'ont cessé de déconstruire. (appelé: La déconstruction sociétale) c'est Georges Pompidou qui à initié (en France) cette déconstruction en Obligeant l’État a emprunter, pour ses investissements, sur le "Marché", (finance prive) au lieu de s'adresser a sa banque centrale comme il l'avait fait jusqu’alors pour construire: ses écoles, hôpitaux, autoroutes, par exemple.  M Pompidou ancien directeur de la banque Rothschild fut un de ces premiers agents/soldats qui mit le wagon de la DETTE sur les rails. Les États devaient être gérés comme des entreprises.

Quel est le rapport? La branche américaine des Rothschild qui avec les Roquefeller sont les chantres du groupe Bilderberg et de la mondialisation et qui avec les banques privés bénéficient en priorité de ce changement du financement des États.
C'est Dominique Strauss-Kahn, autre agent/soldat, à qui l'on doit la courbe exponentielle de la DETTE française, lui qui passe pour le meilleur économiste, (c'est dire jusque où la manipulation des agents/soldats influe les États) a financé la politique sous le règne Mitterrand avec de l'argent privé. C'est a dire qu'en matière d'économie d'entreprise les prêts à moyen et long terme sont destinés a des investissements et non comme l'à fait M Strauss-Kahn en faisant appel au crédit pour financer les dépenses courantes de fonctionnement. N'importe quel Chef d'entreprise qui aurait agi comme l'avait fait ce ministre des finances, accumulant à ce point les DETTES aurait été placé sous tutelle et accusé de détournements de biens sociaux.   
Un seul Gouvernement qui a respecté les règles de gestion économique: a été celui de Raymond Barre, sous Valérie Giscard d'Estaing, qui à laissé les comptes de la France quasi en équilibre.
Depuis, nous connaissons la gabegie de nos gouvernants, qui pour la plupart sont des agents/soldats. Je ne vais m'étendre mais en m'attardant simplement sur Nicolas Sarkozy, François Copé, Bernard Kouchner [...] François Hollande, Laurent Fabius Pierre Moscovici [...] (aujourd'hui commissaire européen a multiplié ses émoluments par 3) sont des exemples d'agents/soldats œuvrant pour des intérêts idéologiques, mais non pour le pays dont il reçu mandat.  

Aujourd'hui fin 2014 il y a dans le monde 6.2 milliard d'êtres humains qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. Tandis que ces "miséreux" crèvent au propre comme au figuré (un enfant de moins de 10 ans  meurt de faim ou de ses suites immédiates, toutes les 7 secondes ) une infime minorité qui possède plus que le nécessaire fomente des guerres, déstabilise les États qui n'agréent pas cette politique, qui enfante des montres qu'ils combattent ensuite pour avoir un argument et y amener la "sécurité" ou la "démocratie" et se garde tout le loisir de marauder les matières premières que renferme leur sous-sol.

Voila dont en résumé (très résumé, je suis d'accord) le but pour lesquels ces agents/soldats on été crées, répandre et défendre la pensée dominante. Le népotisme de la communauté pro sioniste favorable à Israël, (principalement juive, mais pas exclusivement) offre toutes les garanties que demande le N.O.M. à la manipulation des citoyens, grâce à sa dispersion et les moyens financiers dont elle dispose.  Qui n'ont seulement nous élisons, mais corrompent par des association créées ad-hoc (le C.R.I.F. par exemple) nos dirigeants les plus cupides, nos instances démocratiques, nos Média,

Les exemples où ces agents/soldats interviennent à la radio, à la télévision son légion, et avec un peu de perspicacité pour pouvez les démasquer aisément.

C'est hier soir la "goute qui à fait déborder mon vase" dans l'émission On n'est pas couché (ONPC) présenté par Laurent Rouquier où un des invités était Jean-Luc Mélenchon.
Mme Léa Salamé, qui (loin d'avoir une analyse aussi fine que pouvait l'avoir Mme Natacha Polony), à cherché a détourner le débat dans un affrontement Le Pen/Mélenchon cherchant à le déstabiliser ou le dénigrer,  au lieu d'orienter le débat sur l'objet de son livre pour lequel il avait été invité! Je me suis dit Mme Léa Salamé doit être juive, (rien d'extraordinaire) pourquoi elle fait cela ? Elle qui il y a quinze jours devant les mensonges du philosophe pour ânes bâtés, j'ai cité M Bernard Henri Lévy,  s'est tu ? Tout juste elle a ose exprimer, en substance: " à quoi cela a-t-il servi ?" en parlant de l'agression israélienne de Gaza. Et là, bien que je m'en doutais depuis longtemps elle est une agent/soldat de plus dans le paysage audiovisuel.
Je dois dire que M Mélenchon a été une des rares personnalités ayant eu le courage de condamner Israël pour son agression de Gaza. 


Le fonctionnement intellectuel de ce pseudo philosophe est le même que celui d'un dictateur, il pense parce qu'il le croit en son raisonnement, qu'il doit être le seul.

Le plus singulier, c'est le nombre étonnant de soi-disant journalistes, politiques et intellectuels ayant "porte ouverte" dans les moyens de diffusion de la pensée dominante y compris les "patrons" de ces moyens, n'osant  pas s'y opposer. C'est à croire que se genre de personnages leur font peur, moins leur propre personnes que ce qu'ils représentent. Nous sommes d'accord.  Ce n'est pas une peur palpable, c'est une peur induite, pour sa carrière, pour l'avenir aussi bien personnel que pour l'entreprise. Comment comprendre la déférence de ces personnalités devant de tels individus?

Il n'y a pas en France un débat (sauf éventuellement chez Fréderic Taddeï dans l'émission  "Ce soir, ou jamais") où au moins un de ces personnages ne soit présent. Cette peur ou cette déférence est nettement visible, chez le présentateur mais aussi chez certains des intervenants, qui prennent des contours  et font des détours avec la crainte que leurs propos soient mal interprétés.  Alors même que, s'ils se trompaient ou s'aventuraient dans une fausse affirmation, ils ne feraient que ce que ces personnages font à presque chaque une de leurs interventions.

Il est vrai qu'aujourd'hui pour s'opposer aux mensonges de la plupart des personnalités favorables  à Israël, aux USA et à la mondialisation rampante, il faut un certain courage.  
 

Les Bombes au Phosphore blanc sont interdites par convention dans les zones peuplées, sélon la 4e Convention de Genève ce qui n'a pas empêché Israël de les utiliser, ici en 2008/2009
 
Car compte tenu du blocus imposé par Israël, bombarder cette zone est belle et bien un crime de guerre. Il n'y que le fait qu'Israël refuse de signer (comme els USA) la convention de la Cour Pénale Internationale (C.P.I.) et de ce  fait ne peut être jugé par elle.
Cet État voyou laisse le citoyen lambda dans l'ignorance, grâce à l'influence de ses commanditaires et  agents/soldats qui manipulent les populations des pays, dont ils se disent originaires.   

Ce n'est plus acceptable, que ces agents/soldats utilisent la médiatisation que leur métier confère pour tromper, enduire en erreur et en fin de compte manipuler le citoyen.
Soyez attentif, les agents/soldats n'œuvrent pas pour la France mais pour idéologie mondialiste qui doit pérenniser l’État illégal qu'est Israël.   


Il faut reconnaitre cependant que sur cette photo il y a des personnalités respectables, peu mais il y en a, en revanche tous les "agents/soldats" n'y sont pas...


Ce soir samedi 24/10/2014 aux information de France 2, Marie Drucker, dans le journal du soir qualifie l'attentat au Canada où un soldat a été tue, d'attentat islamiste, alors que la morphologie du tueur, ni l'enquête de police ne permet, jusque-là, un tel qualificatif.

Jusqu’à présent je tenais Marie Drucker en haute estime, mais c'est a ces déclarations que  l'on peut déterminer les manipulations, mise-en place, par les agents/soldats, avec la mission, où qu'ils se trouvent, de dénigrer les ennemis d'Israël? En laissant croire qu'un attentat est d'origine islamiste, c'est l'islam qu'ils cherchent à atteindre. Et plus l'islam perd de crédibilité plus Israël peut commettre ces crimes en toute impunité...  

Lire:

Technion, pépinière d’élite des étudiants-soldats



Il faut cependant admettre que si les agents/soldats peuvent ainsi influencer le citoyen c'est que nous sommes gouvernés  par des dirigeants médiocres qui laissent faire.
Ce matin 27/10/2014 dans l'émission des Grandes gueules sur RMC, un des sujets était le redressement fiscal sur les grandes fortunes du Président de la Commission des finances M Gilles Carrez. Il aurait tente de bénéficier de l'abattement fiscal accordée aux personnes physiques, mais qui ne concerne pas les S.C.I., la mansuétude à son égard d'un des intervenant lorsqu'il déclare: "je ne savais pas" est stupéfiante.

Cela prouve simplement que nous sommes gouvernés par des incapables. Des aigrefins serait plus juste. D'accord, il n’empêche que leur inaptitude à se conduire honnêtement et courageusement, fait d'eux des incapables.
 
En effet, à l'occasion du décès de Christophe de Margerie, PDG de TOTAL, l'évasion fiscale de Groupe international s'est a nouveau posé. Des spécialistes nous ont expliqué en long en large et en travers que les bénéfices sur les sociétés son du là où ils sont réalisés. Bon, d'accord. Circulez il n'y a rien à voir. Mais alors comment se fait-il que les multinationales américaines peuvent-elles rapatrier leur bénéfices, sans payer d'impôt là où le bénéficie a été réalisé ?

Sommes nous des niais où avons-nous à la tête de notre État des médiocres ?



Ce samedi 30 novembre 2014, dans l'émission ONPC animé par Laurent Rouquier sur France2, au sujet du vote sur l’État de Palestine par le Parlement français, la question d'Émeric Caron, sur la réelle efficacité de voter pour un État que la colonisation juive condamné. Ségolène Royal  (personne tout-a-fait respectable) n'a pas répondu loyalement, relayant la vision sioniste de ce conflit. C'est à dire: la pensée unique que distille le sionisme et les laquais, qui veut que les palestiniens soient les responsables de ce conflit. C'est une vision injuste mais surtout manipulatrice. Et Ségolène Royal n'a pas exquise à aucun moment la nécessite et le devoir de la communauté internationale a exercer une pression coercitive sur l’État colonisateur. La résistance palestinienne qualifié de "terrorisme" comme d'habitude et le droit d'Israël de vivre en sécurité, est le cœur de cette pensée unique, sans jamais mettre en cause, pas une seconde, la politique israélienne qui mènerait à la lutte armée le plus doux des êtres intelligents.
 
Quand à Mme Salamé, [que Philippe Geluck a qualifié de "Mère juive" en plaisantant bien entendu, mais est significatif de l'aura quelle dégage, journalisme de brocante par rapport au journalisme de légende] a une nouvelle fois mis les Dhihadistes sur la table, [on croirait qu'elle est payé pour cela] sans expliquer les tenants et les aboutissant, a savoir: qui est à l'origine des mouvements islamistes dits "terroristes" pourquoi ont-ils été crées et qui est à l'origine du recrutement de ces derniers. Ce genre de journalisme n'apporte rien aux populations, si ce n'est de discriminer l'ensemble de la communauté musulmane.
Encore, ce samedi 13 décembre 2014, face à Natacha Polony, sous des accusations a peine déguisées, l'assimilait au FN. Cette femme (Mme Salamé) ne fait pas là son métier de journaliste, elle abonde dans sens de la pensée dominante et dénigre tout concept qui pourrait éveiller les conscience des citoyens face aux escrocs (tous sens confondus) de la politique de la finance, ces va-t-en-guerre, sans nom  ni citoyenneté, mais avec l'arrogance inhumaine de leur l'idéologie.