Cet article j'airerais le
dédier à François Hollande, nullement qu'il ne soit pas intelligent, mais parce
qu'il est un idéologue, qui met la Nation et les Populations en danger par
communautarisme., qu'ils soit ethnique ou idéologique.
Mais à quoi bon.
Il préférera établir une
fiche répertoriant tous ceux qui ne pensant pas comme lui ou qui peuvent porter
tort au bénéfice qu'il escompte de sa trahison.
Carlos Molina Velásquez
25-11-2015
Un spectre hante le monde: le spectre du nouveau réalisme apolitique et "post-idéologique".
Bon nombre des appels à la solidarité
par les récentes attaques à Paris évitent d'analyser
ce qui s'est passé. Sont l'expression d'un moralisme light qui ne prend
pas parti, qui refuse de faire la distinction entre les victimes ou
a se demander pourquoi ils ont été
assassinées. Ils pensent, sans
doute, que d'enquêter dans les
causes de ce drame finiront par justifier
le terrorisme. Comme si la cécité
était un bouclier contre la
dureté de nos propres actions.
Il est possible que ces augustes
soient simplement incapables de voir la différence entre «comprendre» et «justifier» un
fait de ce type. Il faut les informer qu'ils pourraient condamner les attentats sans refuser de
comprendre le pourquoi qu'ils se
produisent, pourquoi ici, pourquoi
maintenant, qui sont les responsables, etc. Bien sûr, c'est a ça que set l'information et par information je me réfère a la presse sérieuse et
responsable, Est-ce réellement ce qui
s'est produit ces jours?
Mais "d'autres
raisons" peuvent être distinctes de
l'ignorance. A attiré mon attention
un certains usage de l'argument «toutes
les victimes sont importantes." Au lieu de l'utiliser pour exposer, que depuis plusieurs années, nous assistons
à la barbarie des USA et de l'OTAN au Moyen-Orient - "et tous ce
tas de morts ne sont pas importants, aussi?"
- il semble que cela répond a la
fonction inverse: "ne me demandez
de comparer parce qu'il n'y a pas de comparaison possible ".
Mais il est pas question d'un recensement simple du nombre
de morts "des deux côtés",
mais de comprendre que les dizaines d'un côté sont le résultat de centaines
de milliers de l'autre. La
comparaison est non seulement possible, mais nécessaire.
D'autres se sentent plus à l'aise
en appelant à la barbarie, en lettres majuscules, et son visage d'avantage médiatisé par CNN : terroriste, islamique,
arabe, syrienne ...
Ils pensent que dans "cette
partie du monde" les enfants
viennent avec un AK-47 sous le bras. Du passé colonial français il ne veut rien
savoir. "Ce fut il-y-a longtemps,"
disent-ils. "Et il n'entre en
compte que l'Occident a créé, vêtu
et nourri l'Etat
islamique." Ainsi parlent.
Il ya ceux qui argumentent que l'on ne peut pas analyser
un acte démentiel, que devant les massacres
la raison reste muette. Mieux vaut savoir que les guerres ne créent pas les fous,
mais le froide et calculatrice rationalité, la voracité et l'appétence des pouvoirs qui ne sont pas prêts à partager la richesse du monde. Méfiez-vous
de ceux qui parlent de folie,
surtout s'ils vénèrent ce «noble héritage occidental» appelé
«modernité» ou «illustration».
Face à ça, pensent les "ennemis de l'Occident" (sic) seul peuvent être fous ou possédés.
Toutes ces simplifications
perdent la direction. La distinction
morale entre ceux qui envahissent
un pays -la France
de Sarkozy et Hollande- et ceux qui luttent contre l'envahisseur, la Libye détruite par le
premier et la Syrie qui résiste au deuxième, est tout à fait pertinente pour notre solidarité. Cette
volonté sera morale et politique ou ne sera pas.
chroniqueur de journal numérique et
contributeur: Contra-Punto, rébellion.
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