Commerçant un court laps de temps, j'ai droit à une petite
pension, que cet Organisme à décidé, dans un premier temps de supprimer,
purement et simplement, de la diminuer, après que la CRAV ait réitère la
demande, dans un second temps. N'ayant aucune explication, ni réponse à mes
demandes écrites et sur place, sur la réduction, je me suis adressé au T.A.S.S.
(Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale). Au secrétariat de cette
institution, l'employée désigne une armoire à dossiers suspendus, double porte,
et m'informe sur la longueur de la procédure. En effet, cette dernière était
plaine de litiges concernant le RSI.
Pourtant. Le Tribunal qui me donne raison dans les faits, mais
me condamne aux dépends. [L'avocat à qui j'ai présenté la décision du
Tribunal me déclare : "c'est
étrange le tribunal te donne raison, mais te condamne aux dépends".
Dépends qui n'ont pas été réclamés, c'est à dire que aucun montant n'a été fixé
ni réclamé.
Le RSI pouvait continuer sa gestion, approximative, des sommes
que les adhérents lui confiaient. Ce qui d'après moi explique cette gabegie est
que:
[Le RSI considérait les cotisations des ses
membres comme lui appartenant et au lieu de les gérer en "bon père de
famille" pour faire face aux dépenses médicales et pensions des ayant
droit, s'en servait pour mener bon train
au leur dépens.]
Dans l'affaire m'opposant au RSI, je dois confesser être tombé
dans le piège tendu par le représentant du RSI qui a présenté un tel imbroglio,
où je me suis trouvé en position de devoir fournir des explications, plutôt
qu'a les réclamer, je pense que le tribunal il-y-a "perdu ses
petits". Pourtant habitué normalement aux atavisme de cet organisme. Comme
je me suis présenté sans avocat, (le TASS n'oblige pas a être assisté d'un
avocat) je n'ai pas su expliquer clairement que: si je me suis adressé au TASS
c'est que je n'obtenait aucune explication aux questions posées sur le
diminution de la pension. Or la
Commission de Recours Amiable de la CRAV avait débouté un de ses employés, M
Marc Bloch, qui cherchait également et illégalement à diminuer mes revenus.
Aujourd'hui CARSAT
Les Indépendants cotisent au R.SI. pour que ses employés
et dirigeants puissent, eux, mener une vie convenable, dans un cadre bucolique.
La gestion de ce qui devrait être le Régime Social des Indépendants est un
problème secondaire au regard de ce qui devrait être leur première
préoccupation.
Les membres cotisants sont pour les acteurs du R.SI. une
source d'ennuis et de tracas, des empêcheurs de tourner en rond, leurs audace à
exiger leur droits dépasse l'entendement.
Si nous pouvons considérer que le système est
"bancal" que la gestion de cet organisme est d'avantage axé sur l'extorsion de fonds, que sur la
gestions de fonds appartenant aux membres cotisants.