Jusqu'à il-y-a encore quelques mois, je croyais en l'honnêteté
de l'homme. L'homme entant qu'être humain doué de réflexion intègre qui le différencierait
de l'animal, d'un homme qui n'agirait pas par intérêt personnel, ni pour celui
de sa meute, mais avec justice et probité. Naturellement des hommes-animaux il
y en aurait bien évidemment, cupides, hypocrites et sournois, des êtres pensant
posséder un espèce de droit divin qui lui permet de faire subir aux autres ce
qu'il refuse pour lui-même, des êtres pour qui la propriété privé est un
concept qui ne concerne que lui. Force est de constater qu'ils sont soutenus par
nos dirigeants politiques et par une grande partie de tous ceux qui ont: un peu
plus que la moyenne et que leur principale préoccupation est de préserver leurs
avoirs, bien ou mal acquis.
Dans ces condition on peut dire que le Mythe de la "terre
promise", sans un bouleversement de la mentalité humaine, est pratiquement
atteint restera celui du "peuple
élu" et nous constatons que les bouleversement
induits par l'influence de qui s'en prétend
sont immenses et dans tous les domaines ayant pour but le bénéfice exclusif de
la secte, de ses ayant-droit et de ses souteneurs actuels, mais que deviendra
le souteneur une fois son influence périmé ? Que deviendront tous ceux étrangers
au "peuple élu" ?
Cette question je me la suis posée depuis le début. J'ai
milité pour que le Droit international s'applique en Palestine, moins pour
faire plaisir aux palestiniens, que pour
la justice et pour que la loyauté triomphe dans ce monde.
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