mercredi 13 juillet 2016

Jusqu'à il-y-a encore quelques mois, je croyais en l'honnêteté de l'homme.



Jusqu'à il-y-a encore quelques mois, je croyais en l'honnêteté de l'homme. L'homme entant qu'être humain doué de réflexion intègre qui le différencierait de l'animal, d'un homme qui n'agirait pas par intérêt personnel, ni pour celui de sa meute, mais avec justice et probité. Naturellement des hommes-animaux il y en aurait bien évidemment, cupides, hypocrites et sournois, des êtres pensant posséder un espèce de droit divin qui lui permet de faire subir aux autres ce qu'il refuse pour lui-même, des êtres pour qui la propriété privé est un concept qui ne concerne que lui. Force est de constater qu'ils sont soutenus par nos dirigeants politiques et par une grande partie de tous ceux qui ont: un peu plus que la moyenne et que leur principale préoccupation est de préserver leurs avoirs, bien ou mal acquis.

Dans ces condition on peut dire que le Mythe de la "terre promise", sans un bouleversement de la mentalité humaine, est pratiquement atteint  restera celui du "peuple élu" et nous constatons  que les bouleversement induits par l'influence  de qui s'en prétend sont immenses et dans tous les domaines ayant pour but le bénéfice exclusif de la secte, de ses ayant-droit et de ses souteneurs actuels, mais que deviendra le souteneur une fois son influence périmé ? Que deviendront tous ceux étrangers au "peuple élu" ?

Cette question je me la suis posée depuis le début. J'ai milité pour que le Droit international s'applique en Palestine, moins pour faire plaisir aux palestiniens,  que pour la justice et pour que la loyauté triomphe dans ce monde.  



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