samedi 4 juin 2016

La réalité du sionisme en France (contrôle des médias)

Vidéo :   
La réalité du sionisme en France (contrôle des médias)


Le CRIF fonctionne comme un État dans l’État, imposant (conseillant, bien entendu) la politique de soutient à Israël par nos dirigeants qui, par crainte de l'influence des sionistes, juifs ou non, sur leur carrières font allégeance à l'idéologie de corruption et de manipulation, jamais encore atteinte au plan mondial. Il y a la France, mais aussi l'Europe et surtout les USA, comment imaginer qu'une idéologie aussi criminelle que le sionisme soit si souvent absoute ? 

Je voudrais ajouter: que si nous avions des dirigeants honnêtes et compétents, ils n'auraient pas besoin de faire allégeance à ces criminels. Mais qu'avons-nous en face ? Des hommes médiocres qui pour y "arriver" doivent faire allégeance ou disparaitre. 
Vous dites tout cela c'est des mots.  Pour faire avaliser la lutte contre le terrorisme  il-y-eu le WTC d'accord, mais il à fallu faire élire le Président alcoolique et le plus stupide de toute l'histoire Américaine, j'ai cité Geoges W. Bush, a qui on a promis des royalties sur l'armement en Irak et le libre utilisation du son pétrole. Mais quelle étaient les réelles motivations du sionisme ? Punir Saddam Hussein pour l'aide qu'il apportait aux familles de kamikazes palestiniens. Kamikazes qui tuaient et se faisaient sauter pour rien, pour le plaisir bien entendu. Sommes -nous si cons ? OUI...

Philippe Pascot - Pilleurs d'Etat - Bourdin Direct - RMC



Notre monde va mal, c'est un secret de polichinelle. Aujourd'hui les corruptions, l'achat des consciences, les manipulations dépassent l'imaginable.
Il n'est donc pas étonnant que ces êtres inutiles (pour la plupart, nous sommes d'accord) de se croire obligé de faire allégeance a Israël, [Estrosi ; Valls ; Hollande ; Fabius ... ] puisque les sionistes à l'origine du vol des terres palestiniennes ont dans leurs "poches" des banquiers (Rothschild Lazard...) qui par leur influence (argent gagné honnêtement, bien entendu)  imposent a nos dirigeants  la politique que nous subissons. Politique qui se résume en : plus de richesses pour eux, plus  d'ennuis pour nous. 






vendredi 3 juin 2016

« Sans la grève et les blocages, nous en serions encore au monde de Zola, de Dickens et du travail des enfants »



Pourquoi cet article de politique intérieure dans un blog sur la Palestine ?
Parce qu'en Palestine les tenants de l'impérialisme (globalisation) font leur expérience grandeur nature de ce que seront nos futures sociétés.
Vous ne vous sentez pas très concerné par ce conflit, ne vous inquiétez pas votre tour ou celui de vos enfants viendra...  

hristophe Bonneuil, historien des sciences, chargé de recherche au CNRS et membre du Centre Alexandre-Koyré.
27 mai 2016

Photo : © Laurent Guizard 

Haro sur les blocages, les grévistes et les syndicats qui y participent ! « Inacceptable », clame le gouvernement, « irresponsable », hurlent en cœur les éditorialistes des médias appartenant aux grandes fortunes françaises. C’est vite oublier que sans grèves ni blocages, nos démocraties n’auraient pas connu un tel progrès social, depuis plus d’un siècle. « Depuis l’invention de la grève générale en 1842, le blocage des approvisionnements énergétiques s’est maintes fois révélé une force des faibles, une arme du mouvement social et une fête émancipatrice... », rappelle l’historien Christophe Bonneuil dans cette tribune.
Angleterre, été 1842. Devant le refus des capitalistes d’augmenter les salaires alors que le coût de la vie s’envole, de réduire la durée du travail, et devant le refus du gouvernement de donner suite à une pétition de 15 000 signataires en faveur du suffrage universel – pétition qui dépassera ensuite les trois millions –, un immense mouvement social naît en mai de cette année-là : la première grève générale du monde. « Bloquer … c’est inacceptable », s’indignent le Premier ministre, les patrons et la presse des privilégiés.
France, mai 2016. Sourd à une pétition de plus d’un million de signataires, aux syndicats et au parlement qu’il balaye d’un coup de 49-3, autiste à la colère d’une jeunesse qui se remet « debout », Manuel Valls déclare que « bloquer … c’est inacceptable et on ne peut pas bloquer un pays… s’en prendre ainsi aux intérêts économiques de la France ». Il oublie que sans la grève, le sabotage, le blocage, et les luttes sociales depuis le XIXe siècle, nous en serions encore aujourd’hui au monde de Dickens et Zola, du travail des enfants et du suffrage censitaire.
Loi travail : « un retour au capitalisme sauvage du XIXe siècle ? »
Quel était en effet le mode d’action des inventeurs de la grève générale en 1842 (et de bien d’autres depuis, en 1905, 1936, 1947 ou 1968) ? Aller de mines en mines pour y casser les machines à vapeurs ou en voler les rondelles fusibles (« plug ») de sécurité. D’où l’appellation de « Plug Riots », les « émeutes des rondelles », donnée à cette mobilisation phare du mouvement chartiste. Comme le note un journal de l’époque, les mineurs avaient compris « le pouvoir qui était entre leurs mains de stopper tous les moulins, les usines et les trains ». En bloquant l’extraction et le transport de charbon pendant plusieurs semaines, les travailleurs réussissent en effet à mettre à l’arrêt les usines qui ne sont pas en grève, avant d’être suivis peu après par une grande grève des ouvriers textiles. Certains affirment : « mieux vaut mourir face à l’armée que de mourir… sous la machine du capitaliste » [1].
Cette Loi travail que le gouvernement et le Medef prétendent imposer à coup de 49-3 et de répression du mouvement social, n’est-elle pas précisément un retour au capitalisme sauvage du XIXe siècle ? Celui que des socialistes authentiques combattirent par le passé. Celui qui fut rendu en France moins invivable au XXe siècle : retraite, médecine du travail (affaiblie par l’actuel projet de loi), interdiction du travail des enfants (la première version de la loi rétablissait des journées de 10h pour les apprentis mineurs !), démocratie sociale insérant les citoyens (via le parlement et le code du travail, que le socialisme patronal détricote à présent) et les syndicats dans la décision (via la primauté des accords de branche que l’article 2 du projet supprime, livrant les salariés au chantage patronal à l’emploi même quand l’entreprise dégage de juteux bénéfices !).
Comment la « pétrolisation » a préparé le terrain aux régressions néolibérales
Cette régulation relative du capitalisme qui s’institutionnalise en Europe au milieu du XXe siècle n’aurait pu advenir sans le pouvoir de blocage énergétique des travailleurs comme l’a démontré l’historien Timothy Mitchell dans Carbon Democracy [2]. Mais après 1945, la « pétrolisation » de l’Europe, d’ailleurs encouragée par le Plan Marshall, réduit le rapport de force des travailleurs (le pétrole vient du Moyen-Orient néo-colonial) et instaure une démocratie consumériste (des blocages, plus difficiles, restent possibles comme en 1968 et 2010). Selon Tim Mitchell, « pétrolisée », la qualité de la démocratie change et cela prépare progressivement le terrain aux régressions néolibérales à partir des années 1970 : défiscalisation des riches, chômage, précarité, hausse de la part de la plus-value allant à la rémunération du capital au détriment du travail.
Bloquer serait aujourd’hui illégitime ? Alors que des millions de travailleurs pauvres sont en galère, sous le chantage du chômage de masse, et que le poids du patrimoine privé par rapport à la richesse nationale après avoir diminué après 1945, est maintenant revenu en France au niveau du temps de Zola [3] ?
Non !
Jour debout et nuit debout, la grève, le blocage des sites de production et l’occupation des places sont la dernière arme des victimes d’un système économique injuste, d’un capitalisme ré-ensauvagé ; la contre-offensive des sans-voix d’un système politique à bout de légitimité (inégalités croissantes, démocratie représentative qui ne représente pas le pays réel, parlement godillot, état d’urgence permanent).
Convergences
Bloquer sera peut-être aussi un déclencheur de nouveaux liens. Dimanche dernier, la convergence des Zadistes et les étudiants allant soutenir à vélo le blocage syndical de la raffinerie de Donges (Loire-Atlantique) ; aujourd’hui les rencontres inattendues entre voisins qui ne se parlaient pas grâce au boom du covoiturage… Quels nouveaux surgissements demain ?
Le blocage rend sensible à chacun d’entre nous les flux (énergétiques, financiers…) qui trament nos vies. Qu’est-ce qui est bloqué ? Manuel Valls et Emmanuel Macron nous le disent sans ambages : ce qu’ils veulent débloquer, c’est une France-entreprise, en guerre économique et sociale permanente pour satisfaire les intérêts gourmands de flexibilité et de paradis fiscaux. Ce qui vacille aussi, ce sont aussi des flux d’énergies et des infrastructures technico-industrielles (le pétrole, les centrales nucléaires) qui structurent nos vies quotidiennes sans pourtant faire l’objet de réels choix collectifs alors qu’ils menacent l’habitabilité de notre Terre, sans pour autant avoir réalisé dans nos pays riches leur vieille promesse de bonheur par l’abondance matérielle, à laquelle plus personne ne croit. EDF s’indigne et le PDG de Total menace de fermer ses raffineries en France ? Mais syndicalistes et deboutistes imaginent déjà ensemble une société post-pétrole et post-nucléaire, partageant le travail, le pouvoir et les richesses !


Voir notre dossier « Transformer le travail »

Notes
[1] Les citations sont issues du livre tout récent d’histoire sociale et environnementale de la révolution industrielle d’Andreas Malm, Fossil Capital. The rise of steam power and the roots of global warming (Verso, 2016), p 228-229.
[2] Timothy Mitchell, Carbon Democracy (La Découverte, 2013).
[3] Thomas Piketty, Le Capital au XXIe siècle (Seuil, 2015)

mercredi 1 juin 2016

Gaza: Michele Sibony Michèle Sibony donne une leçon magistrale aux journ...

En aparté, mais tut de même.
Le gouvernement distribue l'argent allégrement, sans doute justifié, les caisses étant vides, on peut supposer qu'en bons pères de famille, ces dirigeants responsables vont diminuer le nombre des Sénateurs (dix-sept suffisent) ; le nombre de Députés (quarante-trois suffisent) ; diminuer les frais, mais surtout devoir les justifier ; réduire leurs émoluments ; mutualiser les dépenses de fonctionnement (plus de secrétariat personnel, mais un secrétariat par groupe à l'assemblée) [...].

Gaza. Owen Jones, un journaliste qui ne mâche pas ses mots. Sous-titres ...

En aparté, mais tout de même.

Le gouvernement distribue l'argent allégrement, sans doute justifié, les caisses étant vides, on peut supposer qu'en bons pères de famille, ces dirigeants responsables vont diminuer le nombre des Sénateurs (dix-sept suffisent) ; le nombre de Députés (quarante-trois suffisent) ; diminuer les frais, mais surtout devoir les justifier ; réduire leurs émoluments ; mutualiser les dépenses de fonctionnement (plus de secrétariat personnel, mais un secrétariat par groupe à l'assemblée) [...].





Le porte-parole de Netanyahou pulvérisé en direct par un journaliste britannique






La traditionnelle propagande de Mark Regev, porte-parole du gouvernement israélien a été pulvérisée en direct par le journaliste de "Channel 4 News"' Jon Snow.

vendredi 25 juillet 2014

La traditionnelle propagande de Mark Regev, porte-parole du gouvernement israélien a été pulvérisée  en direct par  le journaliste de  "Channel 4 News"' Jon Snow,  qui a rappelé à ce proche de Netanyahou la responsabilité écrasante d'Israël dans les massacres de civils et particulièrement d'enfants. Le courageux journaliste a conclu cet entretien par une mise en cause de l'Etat hébreux qui préfère la violence à la négociation avec  le Hamas. Une belle leçon de journalisme dont certains médias français feraient bien de s’inspirer. 

Un tiers des Américains en faveur du boycott d’Israël !



33 % des Américains, sur un échantillon de 1100 personnes, estiment que le "boycott d’Israël est justifié et constitue un moyen légitime de faire pression politiquement sur l’Etat d’Israel", selon un sondage IPSOS à paraître, et révélé par la chaîne de TV israélienne Channel 2.

mardi 31 mai 2016

Attention ça grimpe ! Malgré le monopole de la propagande israélienne dans les grands médias, la campagne internationale de boycott d’Israël progresse dans le monde entier, selon un sondage IPSOS.
33 % des Américains, sur un échantillon de 1100 personnes, estiment que le "boycott d’Israël est justifié et constitue un moyen légitime de faire pression politiquement sur l’Etat d’Israël", selon un sondage IPSOS à paraître, et révélé par la chaîne de TV israélienne Channel 2, à la veille d’une conférence contre la campagne BDS organisée au USA par le lobby israélien.
(Que du beau linge : World Jewish Congress, Keren Hayesod, the American Center for Law and Justice, the Anti-Defamation League, the Zionist Organization of America, Israel Bonds, StandWithUs, B’nai B’rith International, Hillel, ...)
Un sondage similaire réalisé au Royaume-Uni monte à un pourcentage de 40 % de Britanniques qui approuvent la campagne de Boycott de l’occupant israélien, en tant que moyen de pression "légitime".
Sans commentaires !

Des membres de la LDJ condamnés par la justice



L'illustre grand-père de ces voyous...



Des membres de la LDJ condamnés par la justice pour avoir agressé Olivia Zemor et Houria Bouteldja

mercredi 1 juin 2016

 


Ils n’étaient que trois à comparaître hier, mardi 31 mai, devant la 14ème chambre correctionnelle de Paris - le quatrième inculpé et meneur, Joseph Ayache, ayant depuis longtemps déserté la France pour se réfugier en Israël - Steve Bismuth, Daniel Benassaya et Laurent Cashauda, ces nervis de la Ligue de défense juive (LDJ) et agresseurs en 2012 de Olivia Zémor, présidente d’Europalestine, de Houria Bouteldja, porte-parole des Indigènes de la République, et de l’antisioniste Jacob Cohen, ont été condamnés à des peines de prison allant de 6 mois avec sursis à 12 mois ferme, assortis de dommages et intérêts substantiels à verser à leurs victimes.
Les graves préjudices psychologiques et physiques dont ont été victimes Olivia Zemor, qui fut brutalement aspergée de peinture rouge très toxique le 28 juin 2012 (une attaque signée dont le mode opératoire est devenu la marque de fabrique de la LDJ, au même titre que la diffusion sur Youtube de ses hauts faits d‘armes), se voyant prescrire 5 jours d’ITT par l’Hôtel Dieu, ainsi que Houria Bouteldja, qui a subi le même sort quelques mois plus tard, le 24 octobre 2012, et fut contrainte à 6 jours d’ITT, ont été respectivement évalués à 11 800 euros et 8 500 euros de condamnations pécuniaires solidaires. (cf. article paru dans le Courrier de l’Atlas).
Ces trois membres, moins un (comme par hasard, celui qui écope de la peine maximale : 1 an d’emprisonnement. Vu de sa terre promise israélienne, comme le verdict doit paraître plus doux ! ) de la milice néo-fasciste juive qui continue de sévir sur le territoire national, alors qu’elle est blacklistée aux Etats-Unis, étaient poursuivis pour « violences en réunion avec circonstances aggravantes »
Après avoir justifié leur militantisme violent dans la LDJ en mettant en avant « la montée de l’antisémitisme », les trois comparses ont juré s’être rangés des voitures et acheté une conduite plus conforme aux valeurs républicaines sans doute… Ces mêmes valeurs gravées sur les frontons des édifices publics que leur milice continue de piétiner furieusement dans une République qui préfère fermer les yeux.


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L’État d'Israël jouit d'une impunité internationale



Pascal Durand:

lundi 23 mai 2016



Député européen et ancien secrétaire national d’Europe Ecologie Les Verts, Pascal Durand est l’invité de l’Esprit d’actu pour parler du conflit israélo-palestinien.
Dans cet entretien, il s’indigne de l’impunité internationale dont jouit Israël, appelle à mettre un terme au blocus de Gaza et dénonce l’assimilation entre antisionisme et antisémitisme.



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Le porte-parole de Netanyahou pulvérisé en direct par un journaliste britannique



La traditionnelle propagande de Mark Regev, porte-parole du gouvernement israélien a été pulvérisée en direct par le journaliste de "Channel 4 News"' Jon Snow.

vendredi 25 juillet 2014

La traditionnelle propagande de Mark Regev, porte-parole du gouvernement israélien a été pulvérisée  en direct par  le journaliste de  "Channel 4 News"' Jon Snow,  qui a rappelé à ce proche de Netanyahou la responsabilité écrasante d'Israël dans les massacres de civils et particulièrement d'enfants. Le courageux journaliste a conclu cet entretien par une mise en cause de l’État hébreux qui préfère la violence à la négociation avec  le Hamas. Une belle leçon de journalisme dont certains médias français feraient bien de s’inspirer. 



lundi 30 mai 2016

Pour ne pas oublier la lutte



Récit pavé de bonnes intentions qui resteront malheureusement lettre morte... Nous savons tous que les Juifs sont des gens respectables, ce sont les sionistes cette branche de la communauté, arrogante et belliqueuse utilisant un crime contre l'humanité pour justifier leurs rapines qui les mènera à nouveau vers les affres de leur destinée. 


27-05-2016

Je suis né en Israël.

Si je dois remercier de quelque chose ma mère et mon père est de m'avoir sorti de cet endroit, pour me sauver d'un pays terrible et belliqueux. Là, mon avenir, comme celui de la plupart des gens nés et vivant en Israël, devait être marquée par un conflit, une guerre, des armes, des bombes et par la haine, beaucoup de haine.

Le conflit israélo-palestinien a toujours été un sujet largement commenté et discuté dans ma maison, et je grandi dans le rejet de ce conflit, connaissant une partie de celui-ci, et en ignorant l'autre. L'inévitable sentiment d'injustice, le manque d'identité et de répudiation du pays où je suis né, a provoqué en moi un désir de connaitre les raisons de ceux  qui tentaient de mettre fin à des politiques d'occupation et d'assassinat.

Et ainsi en a été: en Août 2015, j'ai passé 15 jours dans le camp de réfugiés d'Aida dans la ville de Beit Lehem, Bethlehem. Pendant ces deux semaines, j'ai eu le plaisir de rencontrer en personne des gens qui vivaient là, et les conditions dans lesquelles ils l'ont fait. J'étais une instructrice d'un camp urbain qui n'était pas été dans les murs du camp de réfugiés, mais venaient des filles et des garçon de ce dernier.

L'une des règles de l'endroit était: ne peut pas entrer ici aucun Israélien. Inutile de dire que je gardais secret mon origine et mon nom. La peur que je ressentais était constante, mais mon désir et l'espoir d'essayer de réconcilier les Palestiniens et les Israéliens était plus grand, ou tout au moins leur montrer que tous ne veulent pas la disparition de son peuple. J'avais 15 jours pour dire que moi aussi combattait pour la cause des réfugiés palestiniens.

Il était sept heures du soir du 2 Août 2015. Tandis que nous jouions à cache-cache dans la cour de l'école, les yeux ont commencé à nous piquer et on a commencé à tousser, nous pouvions à peine voir ou respirer. Mais nous entendions: l'armée israélienne a tiré en l'air et jeté des gaz lacrymogènes. Nous sommes sortis tous de l'école. Ils ont recueillis des pierres et les ont jetées sur les soldats. Pendant ce temps, notre musique jouait encore.

Finis les sourires de nos visages. Nous avons eu peur, j'ai eu peur et ressenti de l'impuissance, beaucoup d'impuissance, que j'ai pleurais. Le désir d'arrêter cela, pour y mettre un terme à concilier les deux parties, de mettre fin à une guerre qui a durée trop d'années et avait déjà tué beaucoup de gens innocents m'inondait. A ce moment, je n'ai était capable de penser clairement qu'une chose: si j'étais resté en Israël j'aurais-pu être un de ces soldats qui ont tiré.

Ce voyage a eu de nombreuses expériences où je vraiment craint pour ma vie, mais constamment senti que mon travail était de démontrer que beaucoup d'entre nous ne voulions plus de ce conflit, même nés, où nous sommes nés. Cependant, a mesure que passait le temps, les gens du camp de réfugiés nous ont fait comprendre que l'impuissance ressentie était normale, mais que ce n'était pas notre combat et qu'ils n'avaient pas besoin de notre aide. Notre champ de bataille était dans nos maisons, et leurs maisons étaient leur champ de bataille, et non le nôtre. Il y avait pas grand-chose à faire, mais observer et apprendre.

Les filles et les garçons du camp de réfugiés d'Aida m'ont appris que notre travail dans le monde n'est pas d'en finir avec cette guerre, ce n'est pas possible. Notre tâche consistait à apprendre à gagner les batailles dans notre environnement, et en nous-mêmes.
Aboud, un enfant de 13 ans m'a dit: quand tu retourneras raconte notre histoire. C'est le meilleur que vous pouvez faire pour soutenir la lutte pour la liberté du peuple palestinien.

Dans la partie du mur près de l'école il y avait un dessin. C'était le visage de Leila Khaled, une militante palestinienne, connu pour être la première femme à détourner un avion en 1969. Elle est actuellement membre du Front Populaire pour la Libération de la Palestine. A côté on pouvait lire cette phrase: DON’T FORGET THE STRUGGLE. (NE PAS OUBLIER LE COMBAT)

Il est impossible d'arrêter une guerre et il est impossible de sauver le peuple palestinien, mais il est possible de connaître, comprendre et le voir souffrir, prendre de lui sa lutte et l'espoir de l'amener dans nos espaces et revendiquer ses droits. Est possible, après tout, de ne pas oublier. J'ai appris qu'il ya des choses que même une guerre ne pourrait finir: la force d'un peuple uni qui comme nous veut défendre la paix et la liberté qu'ils méritent, partout où nous allons.

Le 5 Octobre de la même année, a été tué par Aboud d'une balle dans le cœur par des soldats israéliens. Je ignoré Aboud, c'est pourquoi je suis ici, écrivant ceci pour vous demander à tous de lutter racontant cette histoire, allez où vous allez, pour qu'un jour, quand tous connaitront, empêchons que le terrible et belliqueux Israël de continuer a  assassiner des enfants qui mont appris à ne pas oublier la lutte.

Israël s'enfonce toujours plus dans la haine



Quelle leçon de BONHEUR...
Tous ces journalistes et épandeurs de mensonges feraient bien de réfléchir sur l'utilité de leur existence.


Middle East Monitor
27-05-2016

L'un des grands mensonges de la propagande sioniste est celui qui proclame que le peuple palestinien déteste la vie et d'utilise ses enfants comme des boucliers humains. Compte tenu de mon expérience, qui est importante, en Palestine, de la Cisjordanie à la bande de Gaza, je peux vous dire que c'est un mensonge ignoble. Le précieux amour des mères se fait évident dans la pauvreté des camps de réfugiés et des foyers bombardées des Palestiniens comme nulle part ailleurs dans le monde.

D'autre part, malgré les injustices quotidiennes entourant la vie palestinienne à tous les niveaux, du local à l'international, toujours il y a eu cumul remarquable d'optimisme. Cette attitude positive devant la vie et une espérance éternelle n'a jamais cessé de me surprendre, bien que j'ai toujours tenté de chercher le bon côté de la vie et la croyance que tu peux obtenir beaucoup plus que si tu te laisses alourdir par des attitudes négatives.

Je ne suis pas sure d'où sort l'optimisme du peuple palestinien, peut-être sa foi, mais s'est quelque chose que beaucoup reconnaissent, de Westminster à l'ONU, et se manifeste clairement dans leur détermination à éduquer leurs enfants à tout prix. Quant à moi, vous pouvez probablement traquer quelques-unes des lectures de quand j'avais huit ans et j'ai trouvé une copie rachitique et écornée de “Pollyanna” sur une étagère de ma maison:

Le personnage principal du best-seller d'Eleanor Porter en 1913 est une jeune orpheline qui est envoyé vivre avec tante célibataire très stricte. Dans l'argument est fondamental un jeu que Pollyanna aime s'y consacrer: le "Bright Side" (Le bon Coté), dans lequel elle essaie d'être heureuse malgré les circonstances difficiles de la réalité. L'action du bien intentionnée livre se situé au début du XXe siècle, par conséquent, la question serait comment une Pollyanna nord-américaine aurait fait face à la triste réalité de la vie palestinienne à Jenin, Ramallah ou à Gaza ?

Cependant, les enfants palestiniens ont un optimisme obstiné et pourraient avoir inventé pour eux-mêmes le jeu favori de Pollyanna. J'ai les ait observé jouer entre les décombres de leurs maisons bombardées. J'ai les ait vu aussi courir le long des plages où quatre garçons ont été tués par un missile israélien il n'y a pas si longtemps. Comme tous les Palestiniens, ces enfants aiment la vie et s'aiment les uns les autres et c'est ce lien spécial qui les rend apparemment imperméable à l'incendie de la haine affirmé par leurs voisins israéliens. Ici où sont sous-jacent quelques-uns des événements qui vont au-delà de la portée du jeu c'est le bon côté et l'éternel optimisme des enfants qui domine.

Je me suis souvenu de tout cela aujourd'hui et quand ce message sur Facebook est apparu dans mon courrier entrant. La première image est celle d'une jeune fille palestinienne d'un sourire contagieux; la photo rayonne de bonheur et d'espoir. A côté d'elle se trouve une autre photo, une image horrible, tant horrible que en la regardant j'ai senti comme  un coup de poing dans l'estomac. La même fille couchée sans vie sur le check-point israélien où les soldats qui l'ont abattu, tournaient autour admirant leur maudit travail.
Je dois admettre que les larmes me sont montées quand, encore une fois, j'ai essayé d'entrer dans la mentalité sombre de ceux qui avaient appuyé sur la gâchette. Quel genre d'esprit doit avoir une personne capable de soulever une arme à feu, mettre une fille dans la ligne de mire et appuyer sur la gâchette après ?

Un message simple accompagnant les photos sur Facebook: « Nous ne verrons plus son sourire. Son nom était Sausan Ali Mansur, 18 ans; a été exécuté ce jour au check-point de Beit Exa par des soldats de l'occupation sioniste; a été assassiné parce qu'elle était palestinienne, le 23 mai 2016 ».

Le Principe de Pollyanna n'existe pas dans le monde du soldat (s) qui a assassiné Sausan; sa seule émotion et sa motivation semble avoir été la haine, et jouer à la haine est beaucoup plus facile. Il suffit de pointer et tirer sans réfléchir à deux fois. Tu n'as même pas besoin de t'assoir ni réfléchir à une excuse pour haïr quelqu'un; le fait que l'autre soit palestinien, suffit pour être "Untermenschen", tel que les Nazis l'ont utilisé pour décrire les «peuples inférieurs»; Il rend tout beaucoup plus facile. Dans le monde de ces "acteurs de la haine", il n'y a pas besoin de regarder au-delà de l'objectif ou s'interroger sur les motivations ou actions; Israël est un endroit sombre, sinistre, et semble aller vers le pire, bien pire.

Il y a quelques indices d'incommodité entre les israéliens eux-mêmes par les événements de ces derniers jours. Un changement radical a eu lieu dans la politique israélienne lorsque le Premier ministre Benjamin Netanyahu a tourné le dos à un accord de manière inattendue incorporant le centre-gauche à sa coalition. Au lieu de cela, il a uni ses forces avec le nationaliste d'extrême droite Avigdor Lieberman, l'ex portier de boîte de nuit en Moldavie qui veut introduire la peine de mort pour les Palestiniens, mais pas pour les juifs, accusés de «terrorisme».

"Ce qui est arrivé est qu'un certain nombre d'éléments dangereux ont fait une OPA hostile du gouvernement israélien", a déclaré l'ancien Premier ministre Ehud Barak sur Channel 10 TV. Israël. C'est maintenant «les graines du fascisme infecté" a-t-il ajouté. Cela devrait constituer (une lumière rouge pour tous ceux qui sont au courant de ce qui se passe dans ce gouvernement).
Selon Reuters, la décision de se joindre à Lieberman a été était de trop Roni Daniel, un commentateur vétéran sur les questions militaires Canal 2. "Je ne peux pas encourager mes enfants à rester ici», a-t-il révélé, "parce qu'il est un endroit où personne ne peut se sentir agréable d'y être ".

Il seraient beaucoup qui pourraient soutenir que le projet sioniste n'a jamais été un endroit "agréable" à vivre, peut-être cela est la raison pour laquelle tant de Juifs du monde entier ont décidé de ne pas y immigrer, et il y a un flux sortant, de plus en plus rapide, du pays. Israël a déjà toutes les apparences d'être un lieu où prospère la haine et, en passant, fait du monde un espace de moins en moins sur.

Yvonne Ridley est une journaliste britannique et militante du Respect Party.

Les alliés d'Israël a Miami planifient...




Les alliés d'Israël a Miami planifient les campagnes de déstabilisation, menacent, et prennent position contre la démocratie.

Le sionisme voudrait assimiler l'antisionisme à l'antisémitisme. Ce concept basé sur l'ignorance historique gagne du terrain, moins par l'intérêt qu'il pourrait susciter, que par les moyens financiers qu'il développe, qui attire a lui tous les dirigeants cupides de la planète. C'est le malheur des Palestiniens et plus largement des musulmans qui leur sont favorables. Et il suffit de faire le constat des États qui ont été et sont déstabilisés par l'Occident, aux ordres, pour admettre la nocivité extrême du sionisme et de tous ceux qui par cupidité ou communautarisme le soutiennent.
Hajo Meyer juifs allemand rescapé d'Auschwitz, décédé depuis peu, disait: "le sionisme est pire que le nazisme puisqu'il endoctrine ses enfants d'avantage que je ne l'ai été moi-même par les nazis". Il disait aussi: "Israël est une démocratie pour certains israéliens et une dictature pour les autres".
Il n'y a pas un secteur dans le monde où l'influence néfaste des sionistes n'y ait jeté leur dévolu. L'avenir de nos enfant est hypothéqué par les dettes cumulés des Etats, mais aussi par cette idéologie infâme que développé cette secte de criminels, manipulateurs, voleurs, assassins, cupides et qui grâce à l'argents des juifs argentés comme la Banque Rothschild, par exemple, compromet notre avenir et celui de nos enfants...

Ce congres ressemble, dans ses grandes lignes, aux directives données par Théodore Herzl au premier Congrès sioniste Mondial de Bâle en 1897, à la différence près, que si Herzl les donnait pour Envahir un Etat, aujourd'hui il s'agit de phagocyter le Monde.
Cela ne vous concerne pas !
Une fois la toile tissée, pensez-vous pourvoir passer au travers ?
Tant que votre action n'entravera les desseins sionistes, vous vivrez selon les moyens qu'ils vous permettront d'avoir.
Si votre action risque de porter atteinte  aux intérêts sionistes, vous serez balayée comme le sont les palestiniens aujourd'hui.
Le sionisme réalise en Palestine l'apprentissage grandeur nature de ce que seront nos futures sociétés...        


26-05-2016

Très récemment, un des bras d'Israël qui réalise des opérations contre les forces démocratiques dans le monde a rencontré des représentants ultras à Miami. Pourquoi se réunissent secrètement à Miami la Fondation des Alliés d'Israël et des membres de l'armée, les services secrets et de la CIA, avec des représentants de l'extrême droite au Venezuela, Equateur et 11 autres pays d'Amérique latine, plus Ileana Ros-Lehtinen, ultra anti-cubaine membre du Congrès américain pour le parti républicain de Floride, et la plupart des membres du Congrès du même parti pour les États de Californie et Caroline du Sud, conjointement aux membres du Congrès du parti démocrate de New York et de Pennsylvanie, accompagnés par l'espagnol Germán Alcayde FAES (Fondation appartenant à l'extrême droite du Parti populaire); Germán Alcayde, qui a été chef de cabinet du gouvernement Aznar ?. Pourquoi ?: Selon des fuites de cette réunion secrète, le but était de informer les personnes présentes sur la voie à suivre dans leurs activités pro-sionistes, à court, moyen et long terme, contre les gouvernements progressistes en Amérique latine. Ils ont élaboré différentes attaques contre ces derniers et les forces qui s'opposent au colonialisme au Moyen-Orient.

Les projets mis en place par la Fondation des Alliés d'Israël, l'armée, les services secrets et la CIA, ultra-droite d'américaine latine ont le contenu suivant:
1. Réaliser des actes qui favorisent l'image publique d'Israël dans chaque pays.
2. Employer un discours qui justifie la violence de l'armée et des colons sionistes contre la population palestinienne.
3. Effectuer une politique qui maintienne de manière constante le mépris des Résolutions de l'ONU sur Israël.
4. Exalter les colonies en terre palestinienne.
5. Justifier l'occupation de la Palestine comme un droit sioniste.
6. Œuvrer pour l'interdiction et la persécution du BDS.
7. Soutenir le blocus économique d'Israël sur les organes institutionnels palestiniens.
8. Acheter, faire pression sur les dirigeants politiques, construire des réseaux d'influence politique pour reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël et faire en sorte d'y apporter son ambassade.
9. Créer des lobbies qui se joignent aux États-Unis à l'ONU pour refuser quelque responsabilité dans les condamnations du monde entier contre Israël dans le plus grand organisme international.

Israël les informe et les forme sur la façon de renverser des gouvernements démocratiques, et a ceux d'extrême-droite leur proposé d'ouvrir les portes de leurs pays au nouveau colonialisme. C'est ce qu'on appelle une intervention dans la souveraineté des pays, une alliance pour faire tomber l'ordre qui soutient que la justice sociale doit être une question de première importance.
Nous allons redemander que font les sionistes avec l'armée américaine, les services secrets et la CIA, qui se cachant à Miami ?.
Est-ce que ce que nous appelons Israël aujourd'hui ferait partie du corps américain ? Comment pouvons comprendre autrement que Israël reçoive du gouvernement de Washington plus d'argent que l'État de Floride entre plusieurs autres États. Comment le gouverneur de la Floride, Etat dont dépend Miami, a reçu l'ordre de s'empresser à signer une loi interdisant l'utilisation de l'argent public pour faire des affaires avec des entreprises participant au boycott de son plus grand Etat: Israël. C'est à la même "recommandation" sioniste qu'ont commencé à obéir et convertir en loi certains gouvernements européens, français, anglais, ... et en Espagne c'est en chemin,  c'est pourquoi, a été publié la lettre envoyée par le lobby sioniste menaçant les représentants élus au Conseil municipal Tarragone, l'une des quatre capitales catalanes, si le Conseil admet a discussion la possibilité à se joindre à la campagne pour le respect des droits de l'homme en Palestine, ce qui favorise le Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS ) des citoyens et des gouvernements pour que l'entité israélienne est conforme au Droit International.

Ci-dessous la lettre où l'on peut vérifier les pression et l'arrogance de ces personnages colonialistes:



TRADUCTION de la lettre :


ACTION ET COMMUNICATION SUR LE MOYEN ORIENT
Allée de la Castillane, 93, 9
Madrid 28046
 Marie de Tarragone
Pour le Bureau Général
Place de la Fontaine, 1
43003 Tarragone

Concerne: Nouvelle Législation anti-BDS aux EEUU  (Etats-Unis)

Très cher M. le Secrétaire
ACOM est une organisation engagé avec la défense d'Israël, et dédié à la lutte contre les politiques et pratiques discriminatoires.

Nous avons prévenu que dans l'ordre du jour --- convoqué pour le prochain jeudi  20 mai 2016 apparait une proposition d'appui à la campagne de Boycott, Désinvestissement, Sanction (BDS) contre Israël. Devant la possibilité d'une motion alternative qui avec les mêmes objectifs, mais sous une formulation moins explicite, cherche à faire pression activement, énoncer ou imposer des limites aux entreprises qui maintiennent des relations avec Israël, avec des entreprises israéliennes, ou avec les territoires contrôlés par Israël, j'en appelle à votre attention  sur le fait que la simple promotion ou insinuation d'un boycott contre Israël, y compris sans actes concrets d'exécution, est l'objet des effets extraterritoriaux de nouvelles lois Nord-Américaines.

En particulier, le 24 février 2016 le Président Obama a signé la loi de Facilitation et Application du Libre Commerce oblige à la création de listes noires et information sur les boycotts, actes de désinvestissement, sanctions, et d'établissement des barrières au commerce ou à l'investissement, réalisé par des personnes, sociétés, gouvernements et entités publiques étrangères que pour des motifs politiques, soient dirigés contre Israël, contre les territoires sous son contrôle, ou les entreprises qui aient des relations avec les précédents. 

D'un autre coté, les Marchés Publics sont  soumis tant à la directive 2014/24/EU que l'Accord sur les Marchés Publics de l'Organisation Mondiale du Commerce du quel Israël est signataire. Ces instruments imposent l'obligation de ne pas discriminer les contractant en fonction de leurs origines. Etant donné que les Marchés publics n'est pas un instrument pour boycotter les contractants selon leur origine national ou pour ses relations avec d'autres pays, les boycotts ou l'introduction ou insinuations de barrières peut avoir de larges conséquences y compris internationales qui peuvent être demandées devant la Commission Européenne ou l'OMC, à l'origine de fortes amandes pour l'autorité contractante.

Attentivement
Angel Mas
Président

Israël est signataire de l'OMC, mais non de l'AIEA (contre la prolifération nucléaire) ni du TPI (Tribunal pénal International) [...] Vous avez dit bizarre, comme s'est bizarre...
Les sionistes de moquent de nous. Il ne tient qu'à nous qu'il en soit autrement.  
 

Retournant au plan de l'Amérique latine et de la géostratégie sioniste nord-américaine, arrive une nouvelle qui nous mène à la réunion secrète de Miami et les plans mentionnés: le coup d'Etat institutionnel que l'extrême droite a donné au Brésil a accompli, entre autres, un objectif sioniste: gouvernement dirigé par Temer aussi vite qu'il a pu a nommé Gouverneur de la Banque centrale du Brésil, l'israélien Ilan Goldfein, ultra-sioniste qui avait été nommé a la direction de Banco Itau, la plus grande du Brésil, ayant été conseiller de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international.
Combien de réunions pour décider ce qui va se passer dans le monde, contrôlées par l'Etat d'Israël.
Combien de réunions secrètes comme Miami?.
Combien de journaux, stations de télévision, stations de radio, (et ne parle pas de gouvernements), occultent les réunions d'ingérence comme celle-ci où le personnel se comporte comme des mercenaires ? La lettre du lobby sioniste menaçant le Conseil municipal de la ville de Tarragona démontre le sionisme en tant que membre de l'impérialisme, toujours oppressifs, toujours antidémocratique, toujours contre le droit des peuples à décider de leur propre mode de vie. Dans le macro et micro l'idéologie du sionisme est raciste, colonialiste et ennemi de la paix, l'exemple le plus flagrant est l'invasion et la colonisation de la Palestine.

Vous connaissez un des derniers secret de votre propre ennemi, ne lui permettez pas de s'épanouir en cercles fermés, aidez à les faire connaitre.

Ramón Pedregal Casanova est l'auteur de “Gaza 51 días”, “Siete Novelas de la Memoria Histórica. Posfacios”, y “Dietario de crisis”. Est Président de la Association Europe de Coopération Internationale et d'Etudes Sociales AMANE.