samedi 16 juillet 2016

Le Drame de Palestine, destabilise un musulman fragilisé.

Sur RMC et tous les média d'ailleurs philosophent sur le drame de Nice, mais omettent d'intégrer dans leurs "réflexions" scolastiques, que ce qui se passe en Palestine est en mesure de déstabiliser tout musulman fragilisé par un drame de la vie.
Il y en a qui se laissent illuminer par un miroir déformant et s'engagent dans un terrorisme aveugle, mais il y en a, comme ce franco-tunisien de Nice qui en instance de divorce s'est trouvé fragilisé et suicidaire. Suicidaire peut-être mais qu'est-ce qui a fait qu'il veuille assassiner d'autres gens ?
Aujourd'hui, Hitler russiserait son entreprise criminelle, c'est une certitude, tout comme le sionisme est en passe de réussir la sienne. Hitler se foutait des injonctions des démocraties, tout comme Netanyahou se fout des injonction de l'ONU ou des Dirigeants qui ont encore un peu de morale...
Vous pouvez penser autrement c'est votre droit, ouvrez cependant les yeux c'est votre devoir.

En Palestine il y a 10 millions d'êtres humains qui sont entrain de crever, par notre indifférence et la cupidité de nos dirigeants... 


Puis le gouvernement cherche a se dédouaner en affirmant que le "terroriste" inconnu au fichier s'est récemment radicalisé, bientôt le chômage sera, aussi, la faute de la radicalisation!  




jeudi 14 juillet 2016

Bachar el-Assad assure que Moscou ne lui a "jamais" parlé de transition





Le président syrien a déclaré que son allié russe n'avait "jamais" discuté avec lui d'une transition politique susceptible d'aboutir à son départ.
Source AFP.
Le président syrien Bachar el-Assad a affirmé que son allié russe n'avait « jamais » évoqué avec lui son départ, avant des entretiens à Moscou du secrétaire d'État américain John Kerry pour tenter de ressusciter le processus de paix en Syrie. Depuis plusieurs mois, Russes et Américains multiplient les efforts pour relancer des pourparlers entre le régime de Damas et les groupes rebelles afin de trouver une issue - via un processus de transition politique - à un conflit meurtrier qui a engendré une grave crise humanitaire.

Comment John Kerry veut-il être crédible et ne pas passer pour un guignol, lorsqu'il se fit le chantre de la paix entre israéliens et palestiniens et que c'est un fiasco retentissant pour les  USA, lorsque son protégé (Israël)  ne moque, non seulement, de lui mais continue à défier le droit international et donc tous ces inutiles, qui derrière leurs bonnes intentent il y a surtout l'hypocrisie...

mercredi 13 juillet 2016

Jusqu'à il-y-a encore quelques mois, je croyais en l'honnêteté de l'homme.



Jusqu'à il-y-a encore quelques mois, je croyais en l'honnêteté de l'homme. L'homme entant qu'être humain doué de réflexion intègre qui le différencierait de l'animal, d'un homme qui n'agirait pas par intérêt personnel, ni pour celui de sa meute, mais avec justice et probité. Naturellement des hommes-animaux il y en aurait bien évidemment, cupides, hypocrites et sournois, des êtres pensant posséder un espèce de droit divin qui lui permet de faire subir aux autres ce qu'il refuse pour lui-même, des êtres pour qui la propriété privé est un concept qui ne concerne que lui. Force est de constater qu'ils sont soutenus par nos dirigeants politiques et par une grande partie de tous ceux qui ont: un peu plus que la moyenne et que leur principale préoccupation est de préserver leurs avoirs, bien ou mal acquis.

Dans ces condition on peut dire que le Mythe de la "terre promise", sans un bouleversement de la mentalité humaine, est pratiquement atteint  restera celui du "peuple élu" et nous constatons  que les bouleversement induits par l'influence  de qui s'en prétend sont immenses et dans tous les domaines ayant pour but le bénéfice exclusif de la secte, de ses ayant-droit et de ses souteneurs actuels, mais que deviendra le souteneur une fois son influence périmé ? Que deviendront tous ceux étrangers au "peuple élu" ?

Cette question je me la suis posée depuis le début. J'ai milité pour que le Droit international s'applique en Palestine, moins pour faire plaisir aux palestiniens,  que pour la justice et pour que la loyauté triomphe dans ce monde.