jeudi 1 juillet 2010

ANTIZIONISM ( III )


2.Posté par  Domingo le 01/07/2010 09:31 

Catholique, je n'ai jamais appris que Jésus aie attaqué qui que ce soit ! 
Il se rebellait contre un mode de vie, de société (
marchants du temple...) qui manifestement ne lui convenait pas. 
Catholique on ne m'a jamais enseigné qu'il faille se défier : d'une autre ethnie, d'une autre religion (
sur ce point la religion catholique ne m'a rien dit), ni même dit (comme il m'a été reproché) : "que Jésus fut crucifié par dénonciation de juifs". Ce que la religion Catholique dit c'est que Jésus fut dénoncé par Judas.  
Cette mise au point me semblait nécessaire afin de lever toute ambiguïté sur le fait que l'antisémitisme aurait été (
conditionnel)initie par la religion Catholique. 

L'adhésion du Judaïsme au sionisme c'est faite principalement entre les deux guerres : Les événements surprirent Consistoire et Communautés. L’antisémitisme et la misère favorisèrent l’immigration dans les années 20 des juifs de l’Est européen et à partir de 1933 ceux persécutés par Hitler. Le nouveau Consistoire tout en perpétuant la tradition, fut un Consistoire d’un style diffèrent. Il n’était question de se borner pour l’essentiel au culte, mais de se soucier avec intensité, de la culture juive, des écoles juives, de la solidarité avec Israël et les autres communautés juives en France et dans le monde, de la lutte pour les droits de l’homme et contre antisémitisme.
 
- Il est évidement que l’on ne peut qu’être d’accord avec ce témoignage.
 
- Cependant où finit la solidarité et où commence la complicité ?
 
- La "solidarité" dont la "Diaspora" juive fait preuve à l’égard d’Israël aujourd'hui, est-elle de la solidarité ou de la complicité ?
 
Le Consistoire devrait nous dire aujourd’hui ou finit la solidarité et ou commence la complicité.
 
Le grand Rabbin Schwartz prononça en 1936 à Strasbourg un sermon, à l’occasion de la fête de Roch Hachanah, retraçant les événements importants de l’année écoulée et rappelant les événements qui agitaient le monde et les attaques portées contre l’honneur des juifs expliquant en partie le resserrement des rangs et la nécessité d’une solidarité sans faille suite aux « lois de Nuremberg ». 

Aujourd'hui encore pour la grande majorité de la diaspora juive cette solidarité sans faille est un soutien aux crimes israéliens, ou encore en un fonctionnement népotique, qui lèse tout non juifs. Le Consistoire Israélite n'aurait-il du réorienter cette solidarité en lui donnant un sens plus humain plus en phase avec le Droit international au lieu du sens criminel qu'elle prend aujourd'hui ?
 
Des Rabbins exercent "leur profession" dans l'armée israélienne endoctrinant le jeunes recrues comme jamais ne s'est vu y compris sous l'idéologie nazie.
 
Est-on en droit de se demander si, ce ne serait justement ce fonctionnement qui engendrerait l’animosité envers la communauté juive toute entière et qui l'obligerait a être solidaire avec Israël, ce le sionisme a de tous temps cherché a faire :
 

Théodore Herzl, dignitaire de l'empire Autro/Hongrois, aurait voulu un foyer juif y compris au Congo ! Ce que voulait Herzl s'était la séparation des classes à laquelle il tenait tant et cherchait à se débarrasser des juifs pauvres fuyant les pogroms en Russie et transitant par l'Autriche.
 

Chaïm Weismann (Président du 1r congrès sioniste de Bâle, premier Président de l'organisation sioniste mondiale et premier Président d'Israël) déclara 1912 à un public Berlinois : "
Chaque pays ne peut absorber qu'un nombre limité de juifs, s'il ne veut avoir des maux d'estomac, l'Allemagne a déjà trop de juifs." 
Cette déclaration antisémite a haut degré ne lui fut jamais reproché ni par la communauté, ni par le Consistoire.
 
Les sionistes sont antisémites, cela me semble évident.
 
Que la solution vienne de la communauté juive elle-même, cela me semble aussi évident, mais qu'elle se dépêche, car on ne peut pas commettre autant de crimes depuis si longtemps, sans qu'un jour il faille payer pour ses crimes et là encore une fois c'est la communauté toute entière qui devra payer, surtout les plus fragiles.
 
Trop de personnalités favorables a Israël (
juives ou non) pensent, aujourd'hui, bénéficier de la manne que représente l'organisation sioniste mondiale ! 
Espérons que, ni eux, ni leurs descendants doivent un jour rendre des comptes.
 







3.Posté par hb le 01/07/2010 10:05 

Parabole 

Examinons les avantages dont peut bénéficier un parti qui entretient en son sein sa propre "opposition" : 
_ déconcerter l'adversaire (nous avons chez nous des gens qui pensent comme vous) 
_ diviser l'adversaire en l'obligeant à se disperser dans les actions 
_ provoquer une certaine confusion dans l'esprit des observateurs neutres 
_ organiser de faux débats internes aboutissant à la disqualification de l'idéologie combattue et balayant par avance les arguments de l'opposition réelle. 
_ dissuader et se rallier les partisans de l'adversaire ( pourquoi aller chercher en face ce que nous pouvons vous offrir estampillé, en prime, du label exclusif "politiquement correct") 
_ etc...et sans oublier l'adage qui pulvérise toute tentation du monolithisme: 

... On ne met jamais tous ses oeufs dans le même panier..." 
...




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