dimanche 15 août 2010

El Pais 100815

El Pais 15
ENRIC GONZÁLEZ  Jerusalén 11/08/2010
Le chef militaire israélien a demandé un arrangement politique à l’attaque de la « Flottille ».
Le général de corps d’armée Gabi Ashkenazi assure devant la commission d’enquête que ses soldats ont agi correctement à une situation « chaotique ». Gabi Ashkenazi, chef d’Etat Major de l’Armée israélien, a comparu devant la commission qui enquête sur le violent assaut de la flottille de Gaza.
Ashkenazi au nom prédestiné, a été désigné par le premier ministre et le ministre de la Defense comme responsable direct d’une operation qui causa la mort de neuf humanitaires trucs (dont un américano-turc), et qu’il avait commis des erreurs dans la planification. Mais ils ont incriminé aussi d’autres coupables comme les services d’espionnage, qui n’ont transmis une information correcte de la situation réelle à bord du bateau turc Mavi Marmara. Ashkenazi a démontré qu’il avait prévenu le gouvernement qu’un abordage en pleine mer pouvait occasionner des victimes. Il a transmis à la commission (crée par le gouvernement israélien) lka copie d’une lettre qu’il envoya au premier ministre, Benjamin Netanyahu, avants le départ de la flottille de Chypre. Dans cette lettre le général de corps d’armée priait qu’une solution politique fut trouvée parce que la solution militaire avait grandes probabilités de se terminer dans la violence.
Selon Ashkenazi, ses soldats on agi correctement a une situation « chaotique ». « la principale erreur », a dit, « consista a croire qu’il n’y avait que 10 ou 15 personnes à bord du Mavi Marmara et que nous aurions pu lances des grenades défensives, pour dégager l’espace suffisant pour faire descendre les soldats par la corde. Nous aurions du utiliser des tireurs de précision pour neutraliser ceux qui faisaient obstacle à nos soldats ». A ajouté que si dans le futur se reproduisait une situation similaire, l’armée posterait des franc-tireurs.  
« Ils n’étaient pas des terroristes »
Ashkenazi a explique aussi que les services secrets n’ont pas enquête sur les personnes qui étaient à bord du Mavi Marmara parce que l’organisation qui finançait la plus grande partie de l’expédition, la ONG turque IHH, « n’était considerée terroriste et provenait d’un pays ami comme la Turquie ». Les soldats espéraient résistance, mais non violence.

Comme le premier ministre Netanyahu et le ministre de la Défense, Ehud Barak, dans ses conférences du lundi et du mardi, Ashkenazi a assuré que le maintien du blocus naval sur Gaza était « fondamental » pour la sécurité d’Israël : « Si nous ouvrons le port de gaza, entreront armes de pays que favorisent le terrorisme, fondamentalement l’Iran ».  
Petit commentaire :
Ces hommes là, bienfaiteurs de l’humanité,  sur une mauvaise appréciation sont obligés de tuer neuf personnes, je précise, dans les eaux internationales. Et sur une erreur tirer à tord et a travers !  Honnêtement, les israéliens croient-ils réellement que nous avalerons  de si grosses couleuvres ?  
En l’absence de renseignements et en toute intelligence on s’autorise à tirer dans le tas !
Comble de la fourberie, mais avec le sionisme, Israël et ceux qui lui sont favorables, juifs ou non, on y est habitués. C’est donc la faute des humanitaires si l’armée israélienne a été obligée d’en tuer une petite dizaine. On croit rêver !   











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