Pensée unique !

Tout d’abord et afin de recadrer la tendance actuelle, à lutter contre la pensée unique tendant une nouvelle fois  à tromper le citoyen, à l’enduire en erreur, je voudrais affirmer ici que  le vocable employé, aussi bien par les média que par des personnalités issues de l’élite politique ou intellectuelle, est une manipulation.  

En effet : le vocable « activiste » qui d’un point de vue philosophique signifie d’avoir une attitude morale qui attribue la primauté à l’action, à la réalisation concrète. Ou qui du point de vue politique préconise l’action directe, l’action violente en matière politique ou syndicale. Est employé –actuellement- pour désigner des personnes ayant un but « Humanitaire ».

ACTIVISTE         = quelqu’un qui cherche l’affrontement, l’action violente.

HUMANITAIRE  = quelqu’un qui cherche à secourir, à porter secours.

Flottille de la Liberté  

Comment se fait-il que ces hommes, ces femmes, ces humanitaires, (n’étant pas en possession d’armes) allant porter secours (médicaments, matériels, vivres…) à des êtres humains –des civils- pris au piège, enclavés dans un espace clos sont qualifiés d’ACTIVISTES ? Je pense bien évidemment à ces humanitaires tentant de rompre un blocus inhumain contre une population civile et d’après le droit international pouvant être qualifié de PUNITION COLLECTIVE.

Qui peut nier que ces Humanitaires Internationaux n’avaient pour but de porter secours à une population qui, d’après tous les observateurs (honnêtes) s’accordent pour dire : « quelle est, surtout les enfants, en grand danger ». Dans ces conditions pourquoi sont-ils qualifiés d’activistes ?

Comme dirait notre cher président. « Je vais vous le dire » : « parce que cela permet de minimiser le crime  qu’Israël a commis, parce que cela permet à tous les escrocs de la pensée qui lui sont favorable de répandre la pensée unique visant à pérenniser des criminels dans leurs acquis. Nous ne sommes obligés d’ l’accepter, nous ne sommes obligées d’être d’accord, nous avons le devoir de dire à tous ces êtres qui nous prennent pour matière négligeable, que nous ne voulons pas du monde d’affrontements qu’ils nous préparent.

Nous voulons vivre dans une nature que nous respectons et au premier chef, le premier d’entre eux,  l’homme. Que ces « hommes » qui pensent avoir des prérogatives qu’ils refusent aux autres s’en aillent au diable vauvert, s’ils le veulent, mais qu’ils ne nous empoisonnent plus l’existence. Que ces philosophes juifs, parce qu’ils sont juifs, soutiennent une idéologie criminelle, même s’ils ne sont pas les seuls, aillent répandre leurs expectorations quelque part où leur nocivité deviendra inutile.