lundi 18 octobre 2010

Nuit noire, 17 octobre 1961

Nuit noire, 17 octobre 1961 

Sur France 3 hier soir 17/10/2010
Réalisateur(s) : Alain Tasma
Résumé :
Automne 1961. La guerre d'Algérie a gagné la France. Un climat de terreur règne sur Paris, et les affrontements entre FLN et forces de l'ordre font de nombreuses victimes. Maurice Papon, qui dirige la préfecture de police, décide d'instaurer un couvre-feu pour les Français musulmans d'origine algérienne. Le FLN organise, le mardi 17 octobre, une grande manifestation de protestation. Mais cette soirée devient le théâtre d'une sanglante répression. Sabine, journaliste, son amie Nathalie, «porteuse de valises», un policier, Martin, et son confrère syndicaliste, Albert, ainsi que des Algériens, Maurice, chef du FLN, Ali Said, militant, et Abde, ouvrier, traversent cette nuit d'horreur...


Le film Nuit Noire, 17 octobre 1981, démontre les arcanes du pouvoir, mais surtout d’un homme qui ne veut pas perdre la face et ne conçoit d’autre issue que la répression sans limités, aveugle, inhumaine, comme seule issue possible.
Je crois que tous les Etats ont, ont eu ou auront leurs « Nuit Noire », c’est d’ailleurs comme cela que les israéliens et les gouvernements sionistes doivent le concevoir. Ce film, comme la Shoah ou d’autres événements similaires y compris contemporains, légitiment, à leurs yeux, la politique qu’ils mènent, quelle que soit la tendance du gouvernement, d’ailleurs. Autrement dit et contrairement à l’exposé que Michel Rocard fit à Strasbourg, nous devons tenir compte de l’histoire ancienne  pour prévenir l’avenir et non (tel que les sionisme le conçoit) pour justifier le présent.
Michel Rocard se demande si l’homme est fait pour vivre en paix (je résume). La question est mal posé, en effet, elle devrait être : « pourquoi que l’homme n’arrive pas à vivre en paix ? ».


« Nuit noire, 17 octobre 1981 », met en lumière les intérêts particuliers (humains ou étatiques) des uns et des autres. Toutefois ce qui est à remarquer, est que cette France là ne reçut l’aval, ni l’appui, ni l’aide d’aucun autre Etat.
Comment se fait-il qu’Israël menant une politique bien plus brutale physiquement et psychologiquement, depuis si longtemps et qui ne cache même plus ses visées, reçoive le soutient qui est le sien, aussi bien financier, économique que militaire ?
  
Les puissances coloniales, les européens immigrant aux Amériques, les conquistadors, l’Indochine, l’Afrique […]. D’accord à ceci près :
Que les gouvernements pratiquant ces politique inhumaines ne sont soutenus, ni par leur diaspora, ni financés par d’autres Etats. Ils n’obtiennent au plan international  ni l’aide, ni l’impunité, qu’obtient Israël de la part de la diaspora, des Etats-Unis, de l’Europe, de l’occident en général.

Sans oublier que contrairement à Nuits noire, les Palestiniens sont chez eux, il ne sont venus en Europe manifester ou…  pour réclamer l’indépendance qu’ils avaient, avants que les Ottomans, l’occident (Angleterre/France) décide d’y aller y porter le "bonheur".

Nonobstant, comment ce fait-il que malgré une politique dépassant en barbarie, l’inhumanité, la criminalité, qu’a voulu démontrer ce film, Israël soit soutenu aussi ouvertement par des Etats, des Gouvernements, par des citoyens pro sionistes, par une majorité de Juifs ? Et nombreux sont les citoyens lambda qui ne comprennent les données de ce conflit par l’amalgame qu’ils font entre le conflit du Proche-Orient et l’Holocauste et plus spécialement la Shoah.

Tout cela tient en peu de mots, pour les citoyens lambda c’est : COMMUNICATION
Qui, encore aujourd’hui, rime avec, manipulation, la main mise sur nos medias par l’organisation sioniste mondiale directement ou par l’intermédiaire de juifs, permet de contrôler cette COMMUNICATION, je crois que si le sionisme à appris la brutalité des britanniques réprimant les révoltes arabes, il tout appris de la propagande nazi, l’incompréhensible réside dans l’adhésion aussi massive de la communauté, la Shoah peut expliquer en partie cette adhésion mais elle ne peut pas tout expliquer.
C’est donc de mon point de vue, et j’en eu encore la preuve ce week-end où dans le blog ténu par un membre de l’UJFP et alors que je n’exprimait qu'une opinion sur ce que j’avais personnellement vécu, un commentaire, qui n’émanait pas du responsable du blog, qualifiait mon intervention d’antisémite et que je cachait ma qualité de musulman. Cet homme n’était manifestement d’accord avec moi, mais était-il sur d’avoir raison ? Avait-il le droit d’insinuer un antisémitisme qu’il ne pouvait que supposer ? Et c’est là, je crois, où les juifs ont beaucoup de chemin à faire pour reconnaître leurs propres erreurs.  Et je ne parlerais de tous ces philosophes et journalistes y compris des politiques juifs manipulant ouvertement les populations françaises.  

Pour les Etats, c’est un peu plus complique, mais cela peut se résumer, en disant : "qu’en élisant un homme politique favorable au sionisme, nous le plaçons au centre des décisions et lui permettons, par là même, d’œuvrer pour l’impunité d’Israël". Mais il y aussi l’achat des consciences et là on a pas besoin d’être favorable au sionisme du moins au départ, c’est en constatant les avantages, que ces renégats favorisent cette impunité. Car  personne n’ignore les moyens dont le sionisme dispose.

L’autre jour je dénonçais le fonctionnement népotique de cet amalgame favorable au sionisme (juifs ou non) et se soutenant, contre vents et marrés, quelque soit le méfait ou crime.

La Shoah n’est pas la cause du sionisme, écartons une fois pour toutes, ce mensonge, je dirais même que le sionisme est l’une des causes de l’Holocauste, donc de la Shoah. Et donc écartons aussi une fois pour toutes cette retenue qui nous caractérise, par les crimes que nous avons commis, par l’inertie qui nous a caractérisée devant le génocide que commettaient  les nazis à l’encontre des Juifs, ne commettons deux fois la même erreur. Retenue  qui finalement profite aux criminels sionistes.  La question reste posé : « pourquoi, comment se fait-il que nous ayons tant et tant de mal à faire respecter le droit international ? » 

Une des rares fois où elle me fait mentir

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire