jeudi 9 décembre 2010

La loi existe

Pour tous ceux qui doutent encore de la nocivité du sionisme et de tous ceux qui, juifs ou on, soutiennent cette idéologie méprisable d'un autre temps.
Que ces criminels, tel la conclusion, "tentent de tirer les marrons du feu" on pourrait le comprendre, mais le soutient qu'ils obtiennent y compris de nos propres dirigeants, juifs ou non, cela n'est pas acceptable.
Toute communauté a ses délinquants, cependant aucune ne les soutient aussi ouvertement.    

" La loi existe "
Rapport  [ 07/12/2010 - 23:47 ]
Les colonies, repaires des bandits sionistes extrémistes

Cisjordanie – L’association israélienne « La loi existe » vient de publier une étude parlant de ces colonies qui rongent la Cisjordanie. L’étude confirme qu’elles sont devenues de vrais repaires de bandits, de maraudeurs, de brigands, d’organisations juives extrémistes et armées. Plusieurs colonies sionistes sont même désormais dirigées par de telles organisations.
Pire, les services de renseignements israéliens dont le Shabak reconnaissent leur impuissance face à ces organisations. Ils prétextent que la loi israélienne les empêchent de les poursuivre, sans dire que ces bandits sont épaulés par un bon nombre de partis sionistes, de la majorité comme de l’opposition.
L’association israélienne « La loi existe » parle du calvaire dans lequel vivent les Palestiniens hantés par l’épée de Damoclès dressée au-dessus de leurs têtes par ces extrémistes.
Au sud de la ville de Naplouse se trouve la colonie de Tafouh. Tous ses colons font partie de l’organisation de Kahana Hay fondée par le grand extrémiste Benyamin Kahana, qui a été tué par la résistance palestinienne, au début de l’Intifada. Benyamin est fils du rabbin Maïr Kahana, fondateur du mouvement extrémiste Khakh.
Les colons ne font rien pour dissimuler leur appartenance à ce groupe. Bien au contraire. Ils se sont montrés fiers durant l’enquête d’une chaîne de télévision israélienne. Un de leurs leaders a même osé conseiller, en public, les siens sur la façon de répondre aux questions d’enquêteurs des services de renseignements.
Et au nord de la même ville de Naplouse se trouvent les deux colonies Yatsahar et Harbrkha. Ce sont aussi des gîtes d’organisations juives armées. Y habite le chef extrémiste Yahouda Lifnat, frère de la ministre de la culture israélienne Limor Livnat, un chef du parti du Likoud. Ils travaillent ensemble pour rendre la vie dure aux Palestiniens de la ville de Naplouse et des villages des alentours.
Plusieurs Palestiniens ont perdu la vie à cause de ces colons. Ceux-ci pratiquent du tapage nocturne ; ils font de mauvaises querelles, au cœur de la ville de Naplouse, sous prétexte de vouloir prier près de la Tombe de Joseph.
Dans le département d’Al-Khalil
Le site de l’association israélienne « La loi existe » parle aussi de la région d’Al-Khalil où se trouvent plusieurs colonies sionistes, en particulier celle de Bet Ayen. De cette dernière, plusieurs cellules dangereuses sont nées. La plus dangereuse est celle dont l'insolence l’avait poussée à placer des obus explosifs dans plusieurs écoles primaires palestiniennes des villes d'Al-Quds et d’Al-Khalil.
Puis dans la région d’Al-Khalil, il y a la colonie de Karyat Arbaa et toutes ces poches coloniales. Elles sont devenues le refuge de ces organisations sionistes qui appellent à la violence envers les Palestiniens. En tête se trouve cette organisation présidée par Baroukh Marzil, qui occupe une zone appelée Ibraham Abino, aux cotés de la sainte mosquée d’Al-Ibrahimi.
Et dans la même région d’Al-Khalil, le mouvement de Khakh a mis en place une organisation nommée « La sécurité sur les routes ». Elle travaille contre tout ce qui est palestinien, sous prétexte d’assurer le déplacement des colons sionistes qui occupent le sud de la Cisjordanie.
La loi de la jungle
Le site a rapporté de Youfal Bazak, directeur de la division du développement des théories de combat de l’armée israélienne, que l’armée ferme les yeux devant toutes ces pratiques, depuis des décennies, aussi bien en Cisjordanie que dans la bande de Gaza. Et les colons se sentent au-dessus de la loi. Ils profitent de la loi du silence officiel.
Bazak affirme que l’armée de l’occupation israélienne les considère comme des amis et non comme des hors-la-loi. Pourquoi les colons se priveraient-ils alors de cette impunité ? Pourquoi se priveraient-ils de tirer les marrons du feu ?

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