samedi 8 janvier 2011

La vérité libèrera les États-Unis

par akid lotfi,  
sam 25/ 12 / 2010 - 19:39

Aux USA comme en France et plus généralement en Europe,  la loyauté indispensable  qu'il devrait y avoir dans les relation entre les institutions, fait défaut. L'idéologie qui asservit l'être humain au profit de criminels est présente dans toutes les sphères sociétales, l'idéal politique détourné et mis au service d'êtres déloyaux et fourbes que seul les manipulations exercées à tous les niveaux permet leur dominance. Les uns s'en servent pour des visées personnelles, les autres pour les besoins communautaristes.  
Le drame  réside d'avantage dans l'incapacité de nos institutions, d'agir honnêtement pour le Droit international, ces règles dont nous nous sommes librement dotées. 

Aujourd'hui tout est passe-droit, corruption, criminalité au service de réels truands, qui asserviront; n'en doutons pas, nos arrières petit enfant du seul fait de ne pas appartenir à leur caste...
Nos dirigeants politiques, les journalistes sont conscients de faillir à la déontologie que leur métier impose, conscients aussi du particularisme des relations avec l'Etat israélien, en tous points contraires, aux normes humaines que l'Europe s'était imposée, mais appréhendent d'affronter le lobby pro israélien (l'organisation sioniste mondiale), de peur de voir leur carrière compromise.
L'Europe doit beaucoup aux Juifs, mais rien aux sionistes. 
Les Juifs rescapés des camps de la mort  auraient été accueillis en frères par les Palestiniens, si ces derniers n'avaient pas vu, dans l'idéologie sioniste, leur futur bourreau.
Il faut reconnaitre malgré-tout, qu'une grande partie des Juifs furent reçus comme des frères, qui ne s'étaient pas quittés...
Aucun homme ne peut faire référence à une religion quelle qu'elle soit, pour asservir une autre hêtre humain.
Aujourd'hui tous sont unanimes pour reconnaitre la nocivité de l'État israélien et de l'idéologie sioniste, seul les craintes de voir leur carrière interrompue, arrête nos dirigeants dans leur volonté de faire appliquer la la justice, le Droit international. Et pour préserver une carrière inutile ou par cupidité abondent  dans le sens des criminels israéliens.  

Libérer la politique étrangère américaine de la mainmise d'Israël
La vérité libèrera les États-Unis : Briser la mainmise d'Israël sur la politique étrangère américaine.


D’après d'éminents analystes spécialisés dans les relations américano-israéliennes, lorsque la mainmise d'Israël sur la politique étrangère des États-Unis disparaîtra, les Américains devront être informés des préjudices faits à leurs intérêts par le soutien inconditionnel de Washington à l'État sioniste.

Selon John J. Mearsheimer, co-auteur de The Israël Lobby and US Foreign Policy (Le lobby d’Israël et la politique étrangère américaine) : « Le seul moyen crédible pour affaiblir l'influence du lobby sur la politique étrangère américaine, c’est que les décideurs et les faiseurs d'opinion en vue, parlent ouvertement des dommages faits aux intérêts nationaux américains par cette relation spéciale ». « Quantité de gens, en particulier à l'intérieur du Beltway (à la périphérie de Washington), savent qu'Israël est un gros handicap pour les USA » dit John Mearsheimer à R. Wendell Harrison, un éminent professeur en Sciences politiques à l’Université de Chicago. « Mais ils craignent de se dresser et de parler, de peur que le lobby ne les attaque et nuise à leur carrière (…) J'espère que certains d'entre eux auront du cran » ajoute-t-il.

Philip Giraldi, directeur exécutif du Conseil pour l'Intérêt National, estime que la mainmise de Tel Aviv sur Washington peut être brisée « uniquement en contestant directement le pouvoir du lobby pro-israélien et la fausse affirmation selon laquelle il (le lobby) est de l’intérêt des États-Unis ». Giraldi, également conseiller de rédaction de The American Conservative, ajoute : « Cela doit être fait de bas en haut car Israël ne peut être contesté par les grands médias, le Congrès et la Maison Blanche ». « Le peuple américain doit savoir qu'Israël est et a toujours été un handicap stratégique causant des torts immenses aux Etats-Unis et à ses intérêts dans le monde » conclut cet ancien officier de la CIA.

S'il doit y avoir une fin aux décennies de « domination d’Israël sur le Congrès et l'intimidation des Présidents » a déclaré Jeffrey Blankfort, un éminent porte-parole juif américain, critiquant Israël et son lobby, « il faudra appeler à des actions en commençant au niveau local pour informer le peuple américain, non pas tant à propos de ce qu'Israël a fait aux Palestiniens, mais plutôt de ce que ses agents, vivant dans la clandestinité aux États-Unis et décrits par l'euphémisme de "lobbyistes", ont fait pour détruire le peu de démocratie qu’il reste, en sacrifiant des vies humaines et en détournant des impôts ». Blankfort attribue l'échec des démarches concernant le départ des territoires occupés au « refus persistant des personnalités-clefs du Mouvement américain de solidarité palestinienne à reconnaître l'odieuse puissance du lobby sioniste » lesquelles préfèrent « mettre la responsabilité des crimes d'Israël et de la politique américaine au Moyen-Orient sur le dos de Washington ». « C’est pourquoi, les premières étapes peuvent être de contester publiquement ces personnages tout en les ignorant pour s'adresser directement au peuple américain » suggère Blankfort.

Aucun Président américain n'aura jamais assez de liberté pour résoudre le conflit en Palestine « à moins que les Américains soient suffisamment informés pour faire leur travail de démocratie » selon Alan Hart, ancien chef correspondant au Moyen-Orient de l’actualité télévisée de The Independent (britannique). En d'autres termes explique Hart, qui a aussi été présentateur spécialiste du Moyen-Orient de l’émission Panorama à la BBC : « si le Président Obama ou l'un de ses successeurs parvient un jour à affronter et à vaincre les larbins du lobby sioniste au Congrès et dans les médias grand public, il faudra alors créer une cellule pour comprendre pourquoi il n’est pas de l’intérêt des États-Unis de continuer à soutenir l’enfant monstrueux du sionisme, vrai ou faux ». L'essence du problème, affirme Hart dans l'édition américaine en trois volumes de son œuvre Zionism : The Real Enemy of the Jews (Le Sionisme : Le véritable ennemi des Juifs), c’est que : « les Américains ont été conditionnés, ils ont eu le cerveau lavé, pour ne croire qu’à une version de l'histoire, celle du sionisme, qui n’est que de la propagande mensongère ».

Jeff Gates, ancien conseiller à la Commission des finances du Sénat américain, estime que « la transparence, la responsabilisation et une meilleure compréhension » sont nécessaires pour briser la mainmise d'Israël sur la politique étrangère américaine. « En ce moment même, les Américains ignorent l'influence omniprésente d'Israël. Son contrôle passe par des informations truquées des médias visant à persuader cette nation de faire la guerre pour le Grand Israël » a déclaré Gates, auteur de Guilt By Association : How Deception and Self-Deceit Took America to War (Coupable par association : Comment la tromperie et l'aveuglement ont conduit l'Amérique à la guerre). « Nous saurons que la prise de conscience des responsabilités progresse quand on verra les grands jurys fédéraux se réunir pour examiner des accusations contre des agents, des indicateurs et des Sayanim (volontaires) d'Israël. Quand un jury rendra son premier verdict de trahison, les Américains sauront que la justice est rétablie. Nous saurons qu'une solution est proche quand les nombreuses tentacules du lobby d’Israël seront tenues de se déclarer en tant qu'agents étrangers ».

http://www.partiantisioniste.com


CRIMINELS DE GUERRE

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