Ce soir ou jamais : Marine Lepen
Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.
(Voltaire)
L'émission portait sur l'avancée de l'électorat du Front National, avec des invités de bords différents exposant leur point de vue avec plus ou moins de bonheur.
Mais naturellement, comme souvent dès que dans une émission des invités sont-là pour défendre des principes autres que ceux de l'émission, le débat à été, en partie, détourné.
M William Golnadel (que je félicite pour ses progrès d'élocution) eut un discours "entre deux-eaux" avec quelques pointes (comme de bien entendu), mais il fallait encore décrypter. Cette fois, il ne vint pas seul, l'union faisant la force, il vint avec un suppléant, une suppléante plus exactement, et dans le cadre de l'offensive médiatique israélienne dénigraient les musulmans de France, espérant dénigrer l'islam en général...
Dénigrez, dénigrez, il en restera toujours quelque chose...
La suppléante, dont le nom importe peu, dénonçait l'antisémitisme à l'école des enfants, particulièrement des petits musulmans, les difficultés des soins médicaux, particulièrement hospitaliers, concernant les femmes musulmanes...
(il y eut même un des invités lui demandant d'arrêter ces conneries éculées...)
Suppléante, qui avait, pour toute réponse aux objections a ses stupidités manipulatrices, qu'un rire vulgaire. En effet : si ces... discourent sur les bienfaits qu'Israël, le sionisme apportent à l'Occident, à l'Europe, à la France, cela se verrait ostensiblement et perdrait toute l'efficacité espérée.
Dénigrer sa future victime, cela fait plus de soixante années, que le sionisme, l'Etat israélien pratique cette politique inculqué par Théodore Herzl, lui même.
La politique israélienne est si criminelle, est si inacceptable, si écœurante, que pour la faire accepter, ces criminels en puissance, bien de chez-nous, n'hésitent à discriminer, à dénigrer, à faire l'amalgame sur toute une communauté.
Amalgame, dont les juifs eux-mêmes ont été victimes et dont des juifs innocents ont payé le prix fort à la place des sionistes, seuls responsables par leur arrogance des vicissitudes qu'a traversé cette communauté et qui ne manquera de traverser encore, s'ils ne se ressaisirent à temps...
Ce matraquage médiatique n'a pas d'autre objectif que d'influer sur le psychisme, de la majorité des populations, qui pour un bon nombre d'entre eux, boivent ces paroles par un manque de réflexion personnelle, de temps, d'intelligence ou plus grave, par cupidité.
L'antisémitisme musulman dans l'enseignement dont la suppléante faisait référence, ce sont les disputes qu'il peut y avoir entre enfants, en aucun cas ne peuvent être liés à un racisme latent. A la rigueur, une réaction à la politique que les juifs mènent en Palestine et dont ces enfants en entendent parler à la maison.
L'antisémitisme, le racisme, est une haine contre quelqu'un du seul fait d'être ce qu'il est, c'est vouloir faire du mal à un juifs, parce qu'il est juif, c'est vouloir faire du mal à un arabe du seul fait d'être musulman.
Si une raison peut être lié à ce "racisme" ce n'est plus du racisme mais une réponse, une réaction à une situation tangible.
C'est donc, en se penchant sur les racines de ce "racisme" et par conséquent sur la, politique sioniste de l'Etat israélien que l'on pourra voir ces deux communautés vivre en bonne intelligence.
Malheureusement, ce n'est pas ce que veulent les sionistes et trouveront toujours des..., juifs ou non, pour répandre une idéologie nauséeuse, que même les primates refuseraient d'appliquer.
L'ordre conduit à toutes les vertus, mais qu'est-ce qui conduit à l'ordre ?
( Georg Christoph Lichtenberg)
En aparté, ce matin -11/03/2011- j'ai cru comprendre aux info, que les autorités françaises réfléchissaient sur une surveillance d'Internet (comme si Internet, n'était déjà surveillé) pour interdire certains commentaires.
Interdiction sous des prétextes apocryphes ou inavoués, mais surtout tentant de faire taire ceux qui encore hier auraient affirmé que Internet est un moyen de communication populaire.
Derrière ces visées il y a, n'en doutons pas, la volonté d'étouffer dans l'œuf le mécontentement des citoyens, par rapport, sans doute, aux révoltes arabes. C'est dire si la politique de la plupart des truands que nous élisons, est acceptable...
Quand, dans ce monde, un homme a quelque chose à dire, la difficulté n'est pas de le lui faire dire, mais de l'empêcher de le dire trop souvent.
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