Ce
soir en lisant le résumé du Téléfilm "Joseph l'insoumis" sur France
2, j'ai n'ai pu m'empêcher de penser : "avants
1945 il n'y avait pas d'espoir, mais aujourd'hui
il n'y a plus d'espoir". Je fais
allusion, bien entendu, a ces 20% -qui grandit de jour en jour- de la population qui n'a pas eu la "chance" de s'instruire
ou de naître dans une famille qui le lui aurait permis.
Les
années d'après guerre furent des années
d'espoir, grâce à ces hommes politiques honnêtes et courageux, qui ne capitulèrent
ni devant l'ennemi, ni devant l'adversité.
Des
années qui ne furent marqués par le sceau de l'insouciance, mais par le travail,
pauvres mais fiers d'être honnêtes.
Devenir propriétaire de sa petite maison était presque un leitmotiv, qui
une fois le but atteint et une fois à la retraite, ces anciens avaient la
fierté du devoir accompli.
Il
en va tout autrement depuis quelques années maintenant où le désespoir à remplacé l'espérance que ces êtres malchanceux plaçaient
en l'homme. La cupidité à remplacé l'honnête de nos hommes politiques, quand au
courage il n'ont que celui du fourbe qui s'attaque aux taches les plus aisées
et relève les défis, qui n'en sont pas, comme le déremboursement médical, la réduction des retraites, l'allongement du temps de travail -par des arguties indignes- quand il s'agit de volonté politique. à contrario, les guerres dans lesquelles ces "élites" s'engagent sont des "false Flag" -c'est à dire des attaques contre son propre camp pour faire accuser celui qui idéologiquement n'a pas les mêmes intérêts que soi-, et qui coûtent bien plus cher que toutes ces économies de bout de chandelles de ces êtres cupides que nous avons élus. Ce sont des hommes veules s'accrochant aux ficelles que d'autres tirent,
pour un profit temporaire et direct au
bénéfice du marionnettiste pour un profit constant et éternel.
Leur
seul courage, enlever à ces malchanceux le peu d'acquis que par des années d'efforts avaient
su conquérir y compris par des souffrances qui ressemblaient d'avantage à l'esclavage qu'a la
dignité de l'homme et que les élus actuels voudraient, sous des prétextes
nauséeux, nous voir abandonner.
Une
République c'est la démocratie la justice, tous ceux qui prétendent dissocier
la démocratie de la justice, la vraie, sont des imposteurs. Sachons-les démasquer
c'est facile, écoutez-les : "s'ils sont favorables a une cause injuste,
criminelle, manipulatrice, s'ils mentent -ne serais qu'une fois-, s'ils se vautrent dans des actes qu'un homme honnête
doit rejeter", récusez-les, renvoyez-les aux calendes grecques, qu'ils
retournent d'où il n'auraient jamais du sortir.
tels des prédateurs.
Les politiques vivent sur le dos des citoyens comme un parasite se nourrit de son hôte.
Obtenir le consentement des populations sur la situation dans laquelle elle vit, sont état de servitude, est le principe qui veut qu'avants de diminuer les avantages acquis il faille trouver l'argument -par exemple la "dette" ou le déficit de la sécurité sociale- pour obtenir ce consentement. Et permettre à cette oligarchie qui a toujours existé à faire aimer à la population sa propre servitude, quelle refuserait selon des critères normaux.
Quels autres soucis ont nos dirigeants, si ce n'est celui de nous transformer en un soutient des politiques mondialisées qui déstabilisent le tiers-monde et dont les populations les plus fragiles payent le plus lourd tribut.
Les politiques vivent sur le dos des citoyens comme un parasite se nourrit de son hôte.
Obtenir le consentement des populations sur la situation dans laquelle elle vit, sont état de servitude, est le principe qui veut qu'avants de diminuer les avantages acquis il faille trouver l'argument -par exemple la "dette" ou le déficit de la sécurité sociale- pour obtenir ce consentement. Et permettre à cette oligarchie qui a toujours existé à faire aimer à la population sa propre servitude, quelle refuserait selon des critères normaux.
Quels autres soucis ont nos dirigeants, si ce n'est celui de nous transformer en un soutient des politiques mondialisées qui déstabilisent le tiers-monde et dont les populations les plus fragiles payent le plus lourd tribut.
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