Israël arrête la démolition d'une
installation photovoltaïque financé par l'Espagne, les pressions diplomatiques
ont réussi à sauver le projet qui fournit de l'électricité en Cisjordanie.
EFE Jérusalem 17 NOV 2011 - 21:04 CET140
Le travail diplomatique espagnol a réussi à paralyser l'ordre
de démolition qui pesait sur une installation photovoltaïque construite au sud
de la ville d'Hébron en Cisjordanie avec le financement et la collaboration
espagnole. L'ordre de démolition était basée sur le fait que l'installation
photovoltaïque était construite sans permis en zone "C", c'est a dire,
près des deux tiers de la Cisjordanie sur lesquels l'armée israélienne impose
son contrôle administratif de sécuritaire (selon les accords d'Oslo de 1993)
quelques cas de minuscules construction ont été permises.
Mais Israël construit des colonies contrairement a ces mêmes accords
où est la logique, où est la justice. Les Palestiniens sont chez eux en
Cisjordanie. Avoir signé ces accords, comme toujours injustes pour une hypothétiques
paix, ne suffit pas apparemment a ces criminels de et par le sang.
"Nous sommes satisfaits. L'affaire était très sensible
et délicate parce que l'installation fut réalisé avec des impôts espagnols avec
le seul but de porter une aide publique à des personnes nécessiteuses" à
déclaré cette après-midi le consul espagnol à Jérusalem, Alfonso Portabales.
Il est question concrètement de deux panneaux solaires construits
en 2009 pour approvisionner en électricité pour la première fois aux 400
habitants du village palestinien de Emnazeil au sud d'Hébron. Le projet est l'œuvre
conjointe de l' ONG
catalana SEBA ; l'Université de Naplouse au nord de la Cisjordanie ; et de
la mairie de Yata près du village d'Emnazeil. Son coût près de 300 000 euros
ont été versés par l'Agencia
Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID).
Israël fait souvent référence a sa propre sécurité pour serrer
chaque jour d'avantage le nœud gordien. Quel danger peut-il y avoir a ce que
400 personnes aient l'électricité ? Cela me parait évident, la
nuit à la lueur de ce jour artificiel, des plans sont échafaudés pour renverser
le gouvernement d'un Etats illégal. Et brancher les "tagger" avec
lesquels ils leur rôtissent les "choses de la vie". Cette Illégalité nous saute à la figure, en effet comment comprendre
tant de perfidie, tant de manipulations, si la présence du sionisme en
Palestine était légale. Il faut néanmoins comprendre que cette terre leur a été
donne par Dieu. Excusez du peu.
Le premier ordre de démolition n'a pas été remis en mains
propres, mais "laissé dans le village par les militaires israéliens sous
une pierre dont personne ne sait exactement ce qui lui arriva", c'est à dire que les villageois ignoraient la
menace qui pesait sur l'installation jusqu'a la deuxième sommation qui donnait a
peine quelques jours, selon le responsable de la SEBA, Carlos Sordo. "Je pense que nous réagirons très rapidement,
avec des arguments sensés sur le fait que l'installation ne fait du tord à
personne, bien au contraire et qu'une simple exigence d'approbation de doit être
au même niveau que le projet", a signalé, pour sa part Portabales.
Il y a eu marche arrière et cela a été communiqué à SEBA
en fins de semaine passé, a déclaré aujourd'hui a Efe le porte-parole de la
Coordination du Gouvernement israélien pour les activités dans les territoires
palestiniens, (COGAT) Gay Inbar.
Le COGAT a précisé dans un communiqué que l'arrêt de
l'ordre à démolir est à titre gracieux, c'est à dire, un geste de bonne
volonté, dû à la pétition espagnole.
La pétition précitée avait été effectué par Portabales
lors d'une réunion qu'il eut avec les autorités militaires israéliennes samedi
dernier 26 octobre, dans laquelle il demanda "de réviser l'ordre et d'étudier une issue qui épargnerait la
destruction du site". Des efforts diplomatiques eurent lieu à Madrid
avec l'Ambassade d'Israël, a ajouté le Consul espagnol a Jérusalem. Le COGAT
intentera de "légaliser rétroactivement" la structure et a demandé à l'ONG
de fournir les documents nécessaires pour initier le processus,
en accord avec Inbar.
Des améliorations substantielles pour le village, l'installation à changé la vie a
Emnazeil, un village composé de maisons faites de bric et de broc où le bétail va-et-vient
non loin des superbes colonies juives avec piscine et tout le confort. Colonies
qui déversent leurs eux uses à travers champs, polluant les quelques cultures
palestiniennes.
L'électricité permet maintenant que l'école de posséder un
ordinateur et la clinique peut
entreposer les vaccins au réfrigérateur ou effectuer des échographies
deux par semaine. L'électricité à permis aussi de voir la nuit et se déplacer
en évitant les serpents et tarentules...
Jusqu'au projet espagnol, les foyers devaient de contenter
de la légère lueur des lampes et quatre générateurs que possédaient les plus
fortunés qu'utilisaient end es rares occasions du au prix élevé des
combustibles transitant par Israël. Les panneaux photovoltaïques augmenté l'efficacité
du village et la fabrication de fromage par femmes, les taches ménagères ou le travail
se réalise maintenant plus rapidement, mais au-delà de gagner du temps il y a
aussi d'autres avantages : des chambres froides permettent de stocker le fromage.
Un autre avantage fondamental que l'installation
apporte au village -situé dans une des zones les plus dures de Cisjordanie,
les collines méridionales d'Hébron- la possibilité de pomper l'eau, ce qui
évite d'aller avec des camions d'aller acheter l'eau à Yata.
Les israéliens vantent les progrès de la société palestinienne en
Cisjordanie, cependant, il faudrait être totalement ignorant de la réalité en Palestine
pour prétendre que la colonisation juive leur a apporté un quelconque progrès.
Mais je suis sur qu'il y aura la majorité des médias de brocante
français pour prétendre le contraire.
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