dimanche 20 novembre 2011

Panneaux photovoltaïques à Emnazeil



Israël arrête la démolition d'une installation photovoltaïque financé par l'Espagne, les pressions diplomatiques ont réussi à sauver le projet qui fournit de l'électricité en Cisjordanie.  

Le travail diplomatique espagnol a réussi à paralyser l'ordre de démolition qui pesait sur une installation photovoltaïque construite au sud de la ville d'Hébron en Cisjordanie avec le financement et la collaboration espagnole. L'ordre de démolition  était basée sur le fait que l'installation photovoltaïque était construite sans permis en zone "C", c'est a dire, près des deux tiers de la Cisjordanie sur lesquels l'armée israélienne impose son contrôle administratif de sécuritaire (selon les accords d'Oslo de 1993) quelques cas de minuscules construction ont été permises.
Mais Israël construit des colonies contrairement a ces mêmes accords où est la logique, où est la justice. Les Palestiniens sont chez eux en Cisjordanie. Avoir signé ces accords, comme toujours injustes pour une hypothétiques paix, ne suffit pas apparemment a ces criminels de et par le sang.
"Nous sommes satisfaits. L'affaire était très sensible et délicate parce que l'installation fut réalisé avec des impôts espagnols avec le seul but de porter une aide publique à des personnes nécessiteuses" à déclaré cette après-midi le consul espagnol à Jérusalem, Alfonso Portabales.       
Il est question concrètement de deux panneaux solaires construits en 2009 pour approvisionner en électricité pour la première fois aux 400 habitants du village palestinien de Emnazeil au sud d'Hébron. Le projet est l'œuvre conjointe de l' ONG catalana SEBA ; l'Université de Naplouse au nord de la Cisjordanie ; et de la mairie de Yata près du village d'Emnazeil. Son coût près de 300 000 euros ont été versés par l'Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID).
Israël fait souvent référence a sa propre sécurité pour serrer chaque jour d'avantage le nœud gordien. Quel danger peut-il y avoir a ce que 400 personnes aient l'électricité ? Cela me parait évident,  la nuit à la lueur de ce jour artificiel, des plans sont échafaudés pour renverser le gouvernement d'un Etats illégal. Et brancher les "tagger" avec lesquels ils leur rôtissent les "choses de la vie".  Cette Illégalité nous saute à la figure, en effet comment comprendre tant de perfidie, tant de manipulations, si la présence du sionisme en Palestine était légale. Il faut néanmoins comprendre que cette terre leur a été donne par Dieu. Excusez du peu.   
Le premier ordre de démolition n'a pas été remis en mains propres, mais "laissé dans le village par les militaires israéliens sous une pierre dont personne ne sait exactement ce qui lui arriva",  c'est à dire que les villageois ignoraient la menace qui pesait sur l'installation jusqu'a la deuxième sommation qui donnait a peine quelques jours, selon le responsable de la SEBA, Carlos Sordo.  "Je pense que nous réagirons très rapidement, avec des arguments sensés sur le fait que l'installation ne fait du tord à personne, bien au contraire et qu'une simple exigence d'approbation de doit être au même niveau que le projet", a signalé, pour sa part Portabales.    
Il y a eu marche arrière et cela a été communiqué à SEBA en fins de semaine passé, a déclaré aujourd'hui a Efe le porte-parole de la Coordination du Gouvernement israélien pour les activités dans les territoires palestiniens, (COGAT) Gay Inbar.  


Le COGAT a précisé dans un communiqué que l'arrêt de l'ordre à démolir est à titre gracieux, c'est à dire, un geste de bonne volonté, dû à la pétition espagnole.
La pétition précitée avait été effectué par Portabales lors d'une réunion qu'il eut avec les autorités militaires israéliennes samedi dernier 26 octobre, dans laquelle il demanda "de réviser l'ordre et d'étudier une issue qui épargnerait la destruction du site". Des efforts diplomatiques eurent lieu à Madrid avec l'Ambassade d'Israël, a ajouté le Consul espagnol a Jérusalem. Le COGAT intentera de "légaliser rétroactivement" la structure et a demandé à l'ONG de fournir les documents nécessaires pour initier le processus, en accord avec Inbar.

Des améliorations substantielles pour le village, l'installation à changé la vie a Emnazeil, un village composé de maisons faites de bric et de broc où le bétail va-et-vient non loin des superbes colonies juives avec piscine et tout le confort. Colonies qui déversent leurs eux uses à travers champs, polluant les quelques cultures palestiniennes.       

L'électricité permet maintenant que l'école de posséder un ordinateur et la clinique peut
entreposer les vaccins au réfrigérateur ou effectuer des échographies deux par semaine. L'électricité à permis aussi de voir la nuit et se déplacer en évitant les serpents et tarentules...
Jusqu'au projet espagnol, les foyers devaient de contenter de la légère lueur des lampes et quatre générateurs que possédaient les plus fortunés qu'utilisaient end es rares occasions du au prix élevé des combustibles transitant par Israël. Les panneaux photovoltaïques augmenté l'efficacité du village et la fabrication de fromage par femmes, les taches ménagères ou le travail se réalise maintenant plus rapidement, mais au-delà de gagner du temps il y a aussi d'autres avantages : des chambres froides permettent de stocker le fromage. Un autre avantage  fondamental que l'installation apporte au village -situé dans une des zones les plus dures de  Cisjordanie, les collines méridionales d'Hébron- la possibilité de pomper l'eau, ce qui évite d'aller avec des camions d'aller acheter l'eau à Yata.

Les israéliens vantent les progrès de la société palestinienne en Cisjordanie, cependant, il faudrait être totalement ignorant de la réalité en Palestine pour prétendre que la colonisation juive leur a apporté un quelconque progrès.
Mais je suis sur qu'il y aura la majorité des médias de brocante français pour prétendre le contraire.      

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire