jeudi 8 décembre 2011

CRISE II


Crise Franco/Allemande !

Le manque de vision à moyen et long terme de nos dirigeants est effarant.
Aucun des dirigeants de la zone Euro n'émet l'urgence et même l'obligation qu'il y a pour les États à ne plus faire appel au marché privé pour  leur financement.
Aucun ne demande que les Banques centrales jouent le rôle pour lequel elles ont été créées (par exemple "voler" au secours de l'Euro, comme le fait la Banque centrale américaine pour le dollar.) bien au contraire puisque Mme Merckel impose son dictat et demande que la BCE ne puisse intervenir.  Cette vision de l'économie, est la vision tel que le demande la mondialisation du Nouvel Ordre Mondial, qui n'est faite pour aider les populations mais pour que les tenants de ce N.O.M. puissent s'emparer des services régaliens de l’État.
Dans les fait, pour avoir la mainmise sur des pans entiers de l'économie et sur les citoyens, qui deviendront les nouveaux esclaves. Ne voyons-nous pas des travailleurs pauvres, des travailleurs qui n'arrivent même plus à se loger !


Un homme intellectuellement sain s'obligerait à respecter la loi, surtout lorsqu'il est, de par sa fonction, amené à la concevoir ou à la faire respecter.
Nos élus, Nos dirigeants, usent et abusent de cette position si honorable, pour la souiller et trahir l'engagement qu'ils ont librement consenti à exercer. Ce sont des minus, des vauriens, des êtres mineurs cupides, dominés par leurs pulsions, quelles soient physiques ou psychiques.


Un autre exemple de l'incurie de nos dirigeants qui doublent la taxe sur les cotisation des mutuelles santé, passant de 3.5 à 7% à partir d'octobre 2011, que certaines mutuelles répercuteront qu'a partir du premier janvier 2012. 
Les français "prenaient" une mutuelle par confort, aujourd'hui il nous faut prendre une mutuelle par obligation, si l'on en a les moyens pour un remboursement acceptable des soins médicaux  suite aux déremboursements successifs de médicaments et prestations sociales, décidé principalement par ce gouvernement. Ces hommes politiques là, manquent du minimum d'éducation nécessaire pour faire la différence entre une dépense, disons, de loisir et une dépense que l'on ne peux éluder et qui handicape la frange de la société qui a le plus besoin de la solidarité nationale. Comment dans ces condition éviter de penser que nous avons élus des escrocs, surtout que ayant fait cadeaux de fortes sommes, en crédits d’impôts et autres prodigalités  aux plus nantis et s'entendre dire, par la suite, qu'il a été élu pour ça ! Alors qu'une infime minorité l'on éventuellement élu pour ça, mais il a "arnaqué" tous ceux qui et ils étaient une majorité qui ont cru au "travailler plus pour gagner plus", c'est de la stupidité à l'état pur.   Quand en même temps c'est aux plus fragiles -la preuve- que ces êtres sans vergogne demandent de faire des efforts pour palier aux carences de leur gestion imbécile. 
Soit il sont complices, soit ils ne se rendent pas compte que comme l'on fait avec des ânes, la "carotte" que le Nouvel Ordre Mondial leur pend devant le nez, ne l'obtiendront que s'il veulent bien le leur donner.  Mme Merckel, comme le fut Bush, Blair, Aznar [...] et aujourd'hui Sarkozy sont des êtres avec un si grand besoin de reconnaissance  qui les amené à trahir leur propres concitoyens.
Un dilemme se profile a nouveau devant les français, en effet : un des aspect de la crise dont les candidats à la présidence taisent  et largement occulté par les médias, est celui  du "bouclier fiscal". Nous sommes tous d'accord pour dire que les riches payent beaucoup d’impôts, il faut reconnaitre aussi qu'ils gagnent beaucoup d'argent et bien plus aisément que ne peut le faire un ouvrier. Qu’en période faste on leur accorde quelques avantages, rien a dire, mais en période de crise il me semble qu'ils devraient être les premiers a donner l'exemple. Non ? Au lieu d'abuser des niches ou d'expatrier leurs capitaux.  Bouclier fiscal qui, quoi que l'on en dise, contribue à alourdir la dette.  La France comme toutes les démocraties ont besoin de dirigeants honnêtes et courageux, mais surtout qu'ils aient suffisamment de caractère pour prendre les décisions dont la France a besoin, indépendamment de tout électorat. 
Il n'est pas necessaire d'être économiste pour admettre que si un État fait appel a des capitaux privés, il va, à plus ou moins long terme, perdre son autonomie. Or le plus urgent pour nos État, est e retrouver leur indépendance et en premier lieu leur indépendance financière. La politique menée par le gouvernement Sarkozy est la politique la plus aliénée, depuis la Seconde guerre mondiale, aux directives du Nouvel Ordre Mondial, (nommée aussi MARCHE, où un petit groupe de personnes imposent leur dictat) qui, pour sauvegarder les acquis des plus nantis n'hésite pas a sacrifier les classes les plus fragiles.  
Il y a aussi un point  occulté, celui des agences de notation. Si ces agences restent dans le domaine privé, quelles notent des banques ou des entreprises du point de vue économique, serait acceptable mais quelles veuillent noter des États où la politique voir l'idéologie politique a un si grand rôle, n'est pas acceptable. Nous serions, ce qui est le cas actuellement, à la merci d’intérêts qui n'ont rien de commun avec les États notés, si ce n'est le bénéfice qu'un ou des groupes privés peuvent en tirer. 


D'autre part, Mme Merckel, qui voudrait aujourd'hui imposer son dictat oublie bien vite que la réunification allemande s'est réalisé grâce, en grande partie, à l'Europe ! 
Discours de l’Abbé Pierre : 
http://www.youtube.com/watch?v=swZePLi2nuM

Depuis plus de dix ans je défends -a ma façon- le Peuple de Palestine, je n'ai pourtant aucune accointance, ni avec ce peuple, ni avec la religion musulmane, je n'ai aucun grief à faire a la Communauté juive, si ce, n'est peut-être le soutien qu'elle apporte au sionisme que je considère à l'égal du nazisme.
Mais au-delà de la question palestinienne, il est clair que le Nouvel Ordre Mondial fait son apprentissage grandeur nature en Palestine. Ce qui se passe en Palestine avec des variantes, bien entendu,  est le miroir de ce que seront nos sociétés à l'avenir.
C'est à dire, qu'une minorité régnera sur une population rendue à la condition d'esclave où les populations seront parquées dans des espaces insalubres, (à contrario les nantis protégés dans un espace idyllique, comme aux États-Unis par exemple) ;  les déplacements des populations seront contrôlées et où des axes leur seront carrément interdits. (Axes interdit ou rendus inabordables.) [...]

Si vous doutez de ce qui a moi me semble pourtant clair, prenez le temps de visionner ces films.  (Attention la moyenne de chaque film est de 1h20, il ne s'agit pas de les survoler mais de bien comprendre ce que ces journalistes américains cherchent à vous dire. Il vous parleront des mensonges des États concernant les false-flags mais aussi du groupe BILDERBERG initiateurs du Nouvel Ordre Mondial, dont les sionistes, depuis Rothschild sont une des pièces maitresses.)  


Voir un peu plus loin que la moyenne des gens, vouloir défendre l'avenir de nos familles, de nos petit enfants, ne peut être considéré comme du racisme. 


Serge July, (cofondateur de Libération) interrogé sur RTL glorifiait la démocratie israélienne comme étant la seule au monde (haussant le ton, pour vient marquer l'exclusivité) a avoir mis en prison un président de la République, pour abus sexuel (viol) et un Premier ministre pour abus sociaux.

C'est effectivement une manière de voir les choses, ce journaliste de brocante ne qualifie pas Moshé Katsav  de violeur, non, il encense "sa" république. Il se tait néanmoins sur les conditions de détention, par comparaison à celle que les israélien font subir aux palestiniens par exemple, conditions indignes d'êtres humains. Ce journaliste de brocante se tait aussi sur les actes antidémocratiques, pour ne pas dire criminels, y compris des crimes de guerre, voir contre l'humanité, dont Israël se rend quasi journellement ou s'est rendu coupable il n'y a pas si longtemps. Mais là chuuuuut. Il doit y avoir écrit "gogos" sur nos fronts pour que ces juifs et ces médias de brocante prennent a ce point les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages... Grands médias, mais surtout grands par leurs fadaises.
 

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