samedi 18 février 2012

La déliquescence de la société occidentale


Dans leur tour d'"ivoire" nos dirigeants politiques, économiques, ont perdu le sens des réalités.  
Comme au temps de l'apogée  monarchique, nos dirigeants  mènent grand-train, que les populations ne peuvent plus tirer.  Ce manque d'éducation, cette grossièreté consiste, dans le fait, que ces êtres mineurs, voudraient que le train fusse tiré par les plus faibles d'entre eux.  
Ces politiques là, ne servent pas la nation, ils s'en servent... 


Hommes de cinquante ans, qu'avez vous fait du monde ?
Brisons le mur de ce siècle trop lourd...
Jean Ferrat.


La gestion d'une NATION n'est pas la communication ; n'est pas changer le sens d'une phrase, pour qu'enfin de compte c'est le contraire qui en résulte ; n'est pas appauvrir les populations, qui plus est, les plus faibles [...]  Ce sont les voyous qui se font élire sous de phrases flatteuses, qui se révèlent de véritables pièges pour la population. 
La politique n'est pas vivre sur le "dos" des citoyens, mais mettre ses compétences au service de la NATION, mais, que cette rémunération s’avère être une insulte pour une partie d'elle, ce ne sont plus des politiques que nous élisons mais des truands, qui profitent du mandant que les citoyens leur ont conféré pour  utiliser son influence à leur enrichissement personnel.   

Autre preuve du merdier qu'est la politique, on est le mardi 21 février, les médias annoncent : "M Borloo président de VEOLIA. Qu'a fait M Borloo lorsqu'il était au gouvernement ? Rien, rien, rien. Veolia société française compromise dans la construction du TRAM de Jérusalem, en contradiction de la 4e. Convention de Genève. Veolia partenaire des, gouvernements israéliens... 
La boucle est bouclée. Borloo est juif, cela ne regarde que lui, mais que les israéliens nous dictent la politique que la France doit mener n'est pas acceptable... 
[C’est ainsi que le CRIF (Association juive en France) suggéra au Ministre des AffairesEtrangères M Bernard Kouchner de remettre le prix des «Droits de l’homme 2009» que Chaque année le France attribue à une ONG méritante, qu’il le fut remis  à Science-Po au lieu qu’il soit remis au Quai d’Orsay (Ministère des Affaires étrangères) tel que le voudrait l’usage, dans le but d’en diminuer la solennité et par voie de conséquence l’importance.
Il faut dire que ce prix revenait cette année à une ONG Palestinienne.
Que M Kouchner soit juif, ce la ne regarde que lui, Il ne doit en aucun cas permettre à une organisation xénophobe de dicter la conduite que doit tenir la France.]


Nicolas Sarkozy corrompt tous les petits candidats, pensant récupérer leurs voix. Si c'est cela la politique nous ferions mieux d'élire des truands, au moins nous saurions à qui nous avons à faire. 
Nos démocraties ne le sont plus ;
C'est la dictature de l'influence, de l'arrangement ;
C'est la dictature du capital ; 
C'est la dictature du sionisme ;
C'est la dictature du Nouvel Ordre Mondial... 


Un État ne peut être gouverné en fonction d’intérêts particuliers, mais en fonction des intérêts de la NATION


La Dette est la preuve que nous élisons des gents qui se foutent de l’intérêt de la nation, que seul compte leurs intérêts et arrangements personnels. 
Quel être responsable ferait appel au crédit pour financer les "affaires courantes" d'un État, qui plus est à des financiers privés. Ce sont des êtres pour qui la "caste" le "communautarisme" leur bien être "personnel" compte d'avantage que l'engagement qu'ils auraient du assumer en se présentant à une élection. 

NE VOTEZ JAMAIS POUR UN HOMME QUI  SOUTIENT ISRAËL, LE SIONISME, (juifs ou non) VOUS RISQUEZ D’HYPOTHÉQUER L'AVENIR DE VOS PETITS-ENFANTS.. 


Ces dirigeants, nous montrent du doigt la crise pour nous faire accepter ce que normalement nous refuserions et n’ont même pas la décence des gens sensés et dépensent sans compter pour leur élection, comme s'il n'y avait pas de crise.
Ce simple constat, devrait permettre de comprendre aux français le genre d'hommes que nous élisons. Si le vocable : "faire table rase" a une signification, c'est bien par ces politiques là qu'il faudrait commencer.     


Tous ceux qui suffisamment inquiets ou curieux  du monde qui les entoure ont depuis longtemps constaté  que les "élites" nous emmènent vers le  chemin de la décadence. Décadence morale, spirituelle, humaine, les hommes ne sont plus que des tubes digestifs a qui il faut, au nom de la compétitivité, faire ingérer le maximum de produits, le maximum de stupidités.  
Produits pour la médicamentation, qui nous tuent ; pour l'alimentation, qui nous empoisonnent ; pour l'esprit, qui nous manipulent.
L'honnête qui a honoré l'homme jusqu'à il y a encore quelques années a été remplacée par la déloyauté ; la cupidité ; la fourberie ;  le mensonge ; la mystification ; l'hypocrisie, toutes les tares des hommes qui par idéologie pensent être sur terre pour appliquer des valeurs qui asservissent l'homme et que parce que ils se sont donné les moyens de leur  déloyauté, se révèlent à nous tels des voyous, des criminels, que seul égale leur fonctionnement népotique, leur cupidité, leur faiblesse intellectuelle.
Aujourd'hui la sémantique employée, dans les meetings, salons (...)  est destiné à nous tromper, à laisser croire a une idée qui devient, dès que l'on analyse le parcours de l'orateur, un mirage. Amener par cars, trains, avions, voiture, charrette à bras et que sais-je encore, des militants à un meeting, salons, étables, cabine téléphonique et que sais-je encore, ne sert qu'a faire croire à une popularité, qui de fait est fausse. En effet, si la popularité était réelle il n'y aurait pas besoin d'y amener les disciples de Panurge.  
C'est en somme un piège-à-cons. Comme si la valeur du candidat, du discours, se faisait par rapport au kilogramme de graisse. 
Nus savions que la politique avait touché le fond, mais là ce n'est plus le fond, c'est un cloaque nauséabond.  


Hier encore un politique aussi respectable que peut l'être M Raffarin, affirmait ce vendredi 17 février 2012 sur R.T.L. que Nicolas Sarkozy est l'homme politique qui ment le moins.  Or il n'y a pas un seul discours qui'l ait prononcé , où il fait des comparaisons avec d'autres Etats, pour nous faire accepter sa politique, où il n'ai menti.  Le plus inacceptable reste que ces mensonges sont la conséquence directe de notre avilissement.
Qu'un "politique" nous mente pour se faire élire est la preuve de sa déloyauté, que son mensonge nous mène à la ruine, est la preuve de sa servilité à un ordre sournois, et hypocrite. En somme M Raffarin, laisse sous-entendre que nous ne pouvons choisir qu'entre la peste et le choléra. La nécessite de choisir un homme honnête, n'est finalement que secondaire. 
J'ai pris là l’exemple de M Raffarin, ils sont malheureusement la quasi totalité de  ces hommes que nous pouvons considérer comme "élites " qui ne sont finalement que les porte-paroles d'idées émétiques. 





L’Europe et le monde n’ont peut-être jamais été aussi près d’une « grande catastrophe » depuis la fin des Années 1930.

Dans la plupart des pays, la société semble avoir atteint un état de délitement, de déliquescence, sinon d’implosion plus qu’inquiétant, quels que soient les points de vue et outils de mesure. Egoïsme, xénophobie, intolérance, déresponsabilisation, violence sociale, matérialisme effréné, corruption, oligarchisme, « perte des valeurs »… : tous les compteurs sont au rouge !

L’Europe (de l’Union Européenne, et l’autre) fait plus que pitié : elle fait peur ! Elle semble inexorablement attirée dans le même tourbillon que celui des tragédies du XX° siècle. Elle tourne le dos aussi bien aux valeurs et convictions de ses concepteurs des années 1950 qu’aux projets des Lumières de la seconde moitié du XVIII° siècle. Ayant raté l’occasion historique du fédéralisme, elle revient sur tout ce qui la rendait attractive, intéressante et digne d’estime. Elle a même « réussi » à devenir un repoussoir pour une majorité de citoyens hostiles a priori et qui ne cherchent pas à « comprendre ce qui arrive ». Elle n’est plus à ce jour qu’une peau de chagrin favorisant la multiplication des idées fausses sur les responsabilités des crises présentes et suscitant la résurgence de formes mortelles de nationalisme, d’identitarisme, de communautarisme, de logocentrisme et d’occidentalocentrisme ;

— et cela, contre : le pluralisme, la diversité culturelle, religieuse et linguistique, le dialogue interculturel, scientifique et transdisciplinaire, la recherche de la Paix…

— mais aussi : du Royaume-Uni à la Hongrie, du Danemark à l’Italie, des Pays-Bas à l’Espagne, de la Pologne à la France, de la Grèce à l’Allemagne !...

Quant au monde au-delà de l’Europe, il n’est guère plus attrayant, sauf en quelques rares zones un peu moins abîmées par le néolibéralisme, les privatisations dogmatiques, la financiarisation de l’économie, les oligopoles de l’énergie, de l’eau, des télécoms, de la pharmacie — une partie de l’Amérique du sud et de la Scandinavie ? Mais existe-t-il encore des pays que l’on puisse vraiment citer en exception à la loi commune de la débâcle et de l’effondrement (de l’intérieur) ? Les conflits n’ont cessé de se développer au lieu de régresser ; le printemps arabe est loin d’avoir tenu ses promesses ; la Chine et la Russie ne sont pas moins agressives que les Etats-Unis ; les puissances nucléaires « moyennes » sont au bord du chaos et agitent leurs menaces d’Armageddon ; la lutte pour les terres arables et les métaux rares se révèle féroce ; les asymétries économiques ne sont nullement résorbées ; la pauvreté ne recule pas ; le désordre climatique n’est pas traité à la hauteur des menaces objectives !... Et, « par-dessus le marché », les guerres de religions reprennent le pas sur les acquis de la Paix depuis 1945, sur les porteurs de paix, comme s’il fallait cautionner les fantasmes huntingtoniens…

Bref, nous avons affaire à un monde lumineux, à une « société des nations » qui vaut bien celle des années 1930, et à des « Nations Unies » sur la désunion seulement, le statu quo, l’égocentrisme et une attraction fatale pour la guerre !

C’est face à un paysage aussi singulièrement dévasté que nous devons nous déterminer sans tarder, et cela à des titres divers : comme citoyens, sujets et représentants politiques, artistes, intellectuels, pédagogues, acteurs sociaux et culturels, étudiants, professionnels de tout secteur, membres de communautés et de familles, femmes et hommes se revendiquant « libres » — personne ne pouvant se prétendre exempté de jouer un rôle quel qu’il soit afin de tenter d’infléchir le « cours des choses », là où il se trouve, avec ses moyens et atouts propres, même s’il les considère insuffisants, voire insignifiants…

Au contraire, chacun(e) peut contribuer à dissoudre les fantasmes, à modifier les points de vue et à faire progresser la compréhension, au détriment de l’ignorance et de la dénégation.

C’est pourquoi je fais la proposition à ceux qui partagent l’état des lieux résumé ci-dessus : qu’ils consignent par écrit leurs analyses, recherches, objections, suggestions ou projets le concernant.

Comme il est opportun de disposer d’un outil commun, aisément accessible et multilingue, pour éditer et diffuser ces contributions à venir, le GERM va consacrer à cet objectif une nouvelle rubrique de son site Web www.mondialisations.org intitulée, à titre provisoire : « Refaire le Monde » !

Le projet non lucratif et d’intérêt général du GERM depuis son lancement au printemps 2000 est, en effet compatible avec une telle dynamique, ses attendus et ses objectifs.

Il se trouve par ailleurs que nous sommes mobilisés depuis quelques semaines avec l’équipe éditoriale sur une réforme de la maquette (obsolète) de ce site Web, de ses fonctionnalités et capacités, et que la « nouvelle version » devrait en être disponible d’ici un ou deux mois.

Ce « nouveau site » et la rubrique considérée pourront ainsi constituer très rapidement une structure d’accueil et de publication adaptée pour tous ceux qui sont intéressés à lire et faire connaître des idées, des textes, des créations visuelles, des photographies, des enregistrements et montages audio ou vidéo : ayant à voir de manière directe ou indirecte avec les nombreuses problématiques liées.

Bonne réflexion, donc, à toutes et tous, en vous remerciant par avance de nous transmettre vos contributions à l’adresse germ@mondialisations.org!










Dans l'émission "Des paroles et des actes" sur France 2 du jeudi 23 février 2012 où Marine Lepen était l'invité, il y a eu parmi les  intervenants M Fabien Namias. (Malheureusement loin du journaliste que fut son père Robert Namias) L'émission portait sur les candidats à l'élection présidentielle française. Et si une question de politique internationale pouvait avoir son intérêt,  poser des question de politique étrangère comme l'a fait M Namias n'avait aucun intérêt, qui au lieu de placer la question dans toute sa problématique, en escamotait une partie, rendant de fait sa question tendancieuse, visant a répandre enfin de compte, comme le font les journaliste de brocante, félons à temps perdu, la pensée dans l'air du temps. Qui veut, qu'aujourd’hui il faille diaboliser les musulmans, pour faire plaisir à Israël, et par voie de conséquence diaboliser la Syrie, l'Iran. Pour ce genre de journalisme être dans l'air du temps est l'essentiel, et occasionnellement    dans l'information. 

En effet, l'intervenant a demandé a Mme Lepen  : "si elle était pour ou contre les milliers de morts que faisait Bachar el-Assad et si elle estimait que le dirigeant Syrien devait ou non rester au pouvoir." et "Si elle était pour ou contre le programme nucléaire militaire de l'Iran". 
Ce journaliste,  tout comme M Pujadas,  sous un respect feint se cachent des êtres sournois. Car M Namias a occulté et cela sciemment qu'en Syrie il ne s'agit pas d'une manifestation mais d'une révolution armée. Et si l'armé syrienne à pilonné indistinctement  les populations à Homs, c'est que Homs est épicentre de la révolution. L'aviation française venait de bombarder indistinctement les populations en Lybie et que la coalition l'avait fait en Irak. Fait passés sous silence par ces journalistes de brocante. Quant à savoir si le potentat syrien devait ou non rester au pouvoir, c'est au peuple syrien qu'il fallait la poser. 

Quand au programme nucléaire iranien, il s'est bien gardé de préciser que Israël , le Pakistan, l'inde, l'Afrique du Sud [...] possèdent l'arme nucléaire sans y avoir été autorisés et aucun n'a signé le protocole d'accord de l'AIEA. Accord signé par l'Iran et c'est justement  pour cette raison que l'Iran s'est, normalement astreint aux visités (que pour le moment il refuse) de l'AIEA.
Mais il faudrait que M Namias nous explique, pourquoi Israël devrait être la seule puissance nucléaire du Moyen-Orient ?  L'Iran n'est à l'origine d'aucun conflit de l'ère moderne, contrairement aux va-t-en-guerre occidentaux et ses guerres économiques, mais surtout Israël qui martyrise un Peuple depuis plus de soixante années. 


La question aurait du être plutôt : "que pensez-vous du drame Syrien ?" et "que pensez-vous des États accédant ou ayant accédé à l'arme nucléaire illégalement ?"

Mais, ces questions n'étaient pas posées pour embarrasser Marine Lepen, mais pour marteler, et marteler encore, la pensée unique. Pensée unique qui veut que l'on diabolise les ennemis d'Israël, qui s'opposent à sa politique despotique et criminelle, ici, la Syrie, l'Iran. En effet, la question n'était pas d'ordre général mais ciblée, tendancieuse et partielle, la réponse ne pouvait pas être l'opinion de l'invité mais une réponse partielle et par conséquent tendancieuse.   
Tant que nous aurons des journalistes aussi parcellaires, aussi imprécis, aussi inutiles, des imposteur comme M Henri Guaino pourront continuer à raconter des sornettes sans que M Pujadas ne relève aucune objection.  
De tel journalistes feraient mieux d'aller cueillir des champignons, ils rendraient service à la collectivité.


Le plus agaçant, réside dans la partialité de l'information qui nous est distillé. 
En effet, le crime de guerre à même été évoqué par des journalistes, possible, mais ce sont ces mêmes journalistes inutiles, pour moutons, qui se tisaient lors de la formidable déferlante de violence israélienne sur Gaza.
Lorsqu'on est pas hypocrite, un fourbe, un... on s'insurge contre les injustices, toutes les injustices y compris celles exécutés par ses propres coreligionnaires.  
        




















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