dimanche 12 février 2012

Massacres en Syrie !


Massacres en Syrie ! Oh, pardon en Israël.

Cisjordanie : En marge de la manifestation organise en solidarité avec le prisonnier Khader Adnan, l'armée israélienne torture des manifestants,  fait des blessés dont certain par étouffement
[ 11/02/2012 - 21:03 ]


Ramallah – CPI
Des dizaines des citoyens palestiniens et des militants étrangers ont été blessés et asphyxiés, y compris des journalistes, le vendredi 10/2, lors des marches hebdomadaires pacifiques organisées contre la colonisation, le mur de séparation et l'expansion raciste en Cisjordanie occupée.

Dans le village de Bilin à l'Ouest de Ramallah, une marche hebdomadaire a été organisée cette semaine en solidarité avec le dirigeant prisonnier au mouvement du Djihad islamique, Khader Adnan, qui mène une grève de la faim, dans laquelle deux citoyens palestiniens ont été blessés, alors que des dizaines d'autres et de militants étrangers ont été asphyxiés, après avoir inhalé du gaz lacrymogène.

Le comité populaire contre le Mur et la Colonisation à Bilin a déclaré que les soldats de l'occupation ont tiré les balles en métal et le gaz lacrymogène sur les participants à leur arrivée dans les terres libérées "Protégé d'Abou Limon" près du nouveau mur de séparation raciste.

Le comité a déclaré qu'en raison de la suppression de l'occupation de la marche, son coordinateur à Bilin, Abdullah Abou Rahma, 41 ans, a été blessé à la jambe suite sa blessure par les belles en métal, alors qu'u autre citoyen a été blessé à sa main, au moment où des dizaines de citoyens et des militants de paix israéliens, ainsi que des solidaires étrangers ont été sévèrement asphyxiés.
Une délégation du Parti travailliste présidée par Martin Linton, les habitants de Bilin et des militants étrangers ont participé dans la marche convoquée par le comité.
Les manifestants ont haussé les drapeaux palestiniens, les photos du prisonnier Khader Adnan et de l'activiste détenu, Achraf Abou Rahma, en se déployant dans les rues du village, répétant les slogans qui appellent à l'unité nationale.

Kafr Kadoum et Maassara
Dans la marche hebdomadaire de Kafr Kadoum contre la colonisation et pour exiger l'ouverture de la rue fermée dans le village depuis des années, des dizaines ont été blessés, y compris une journaliste française et le correspondant Abdul-Haq.
Les forces occupantes ont opprimé les participants dans la marche hebdomadaire de Maassara contre le mur d'annexion et l'expansion raciste qui a été organisée, cette semaine, en solidarité avec le prisonnier Khader Adnan qui poursuit sa grève de la faim dans les prisons sionistes pour le 55e jour consécutif.

Le village de "Nabi Saleh"
Et dans la matche organisée dans le village de "Nabi Saleh" à L'ouest de Ramallah, trois journalistes et des dizaines de citoyens palestiniens ont été étouffés après que les soldats sionistes ont maté la marche organisée cette semaine en solidarité avec le prisonnier Khader Adnan.

Des témoins oculaires ont déclaré que les soldats sionistes ont attaqué la marche avec les bombes du gaz lacrymogène et les balles en caoutchouc et les eaux usées, afin de l'empêcher d'atteindre les terres menacées de confiscation, où les soldats sionistes humilient les femmes et les enfants et les militants étrangers dans cette marche.
Il est à noter que les forces occupantes ont fermé les entrées du village de "Nabi Saleh"depuis le vendredi matin et ont imposé un cordon de sécurité, lui annonçant une région militaire fermée, tandis que des dizaines de soldats sionistes se sont déployés dans les environs du village.

Village de Naplouse
 De violents affrontements ont éclaté entre les citoyens palestiniens et les forces occupantes, le vendredi après-midi 10/2, dans le village de Kariout, dans le sud de la ville de Naplouse, au nord de la Cisjordanie occupée.
Des témoins oculaires ont déclaré que les soldats sionistes ont lancé des bombes assourdissantes et du gaz lacrymogène sur les habitants du village qui ont organisé une marche, après la prière de vendredi, afin de demander la récupération de leurs terres confisquées par les forces occupantes et que les colons extrémistes ont profité de la situation et les ont récemment plantées.

Des affrontements ont également éclatés, la nuit dernière, entre les citoyens palestiniens et les comités de la garde avec des colons sionistes qui ont attaqué le village de Burin dans le sud de la ville de Naplouse, où les colons sionistes ont lancé des pierres sur les maisons des citoyens palestiniens et ont brûlé les pneus des voitures près des maisons résidentielles palestiniennes, causant des cas d'étouffement au sein de leurs habitants.

Des sources locales dans le village ont déclaré que des blindés militaires appartiennent à l'armée de l'occupation sont arrivés sur les lieux, protégeant les colons agresseurs et assurant leur retrait.
Qui peut douter que cette répression omniprésente dans tous les domaines de la vie palestinienne n'est pas aussi criminelle que peut l'être la répression en Syrie, pourtant toutes les pucelles effarouchés criant ; "mort au tyran" se taisent lorsqu'il s'agit des dirigeants israéliens. Pourtant par sa durée, par la criminologie démontré Israël mérite également l'opprobre des honnêtes gens, mais nous savons qu'en Israël les dirigeants sont des criminels et que leurs souteneurs occidentaux des êtres méprisables.


La conduite des l'armée israélienne, les autorités d'occupation israéliennes et les colons juifs, dans ce qui reste de la Palestine, est bien plus criminelle que ne le fit l'armée d'occupations allemande en France. C'est un fait indiscutable.
Bien sur il y a eu le génocide des Juifs par ces mêmes allemands, il faut reconnaître cependant que les palestiniens sont innocents de ce génocide. 
Cela veut dire que ces juifs là justifient aujourd'hui, tout le mal que l'on leur a fait hier...  


Hier lundi 13/02/2012 des représentations diplomatiques israéliennes ont été la cible d'attentas à la bombe. Benjamin Netanyahu tel un être stupide et schizophrène accuse l'Iran, comme de bien entendu. 
L'époque où Israël s'autoproclamait "fer de lance de la lutte contre le terrorisme" s'appuyant sur Al-Qaida, c'est fini. Aujourd'hui le punching-ball, l'alibi, celui qu'il faut dénigrer pour justifier l'acte criminel a venir, est l'Iran. 
L'arrogance de ces êtres sans foi ni loi, n'est plus acceptable. Mais je suis sur que nos dirigeants cupides gobeur de mouches accepteront ces arguments.   






  



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